Jeanne Dubois, Annie, Sacha et Serge… et compagnie.
Depuis la nuit passée chez Sacha avec son jumeau et Annie, nous sommes restées sages…
Pour moi, tout juste une ou deux séances de masturbation dont une s’est transformée en une partie lesbienne un soir de solitude avec ma fille Amandine.
C’est vrai que ces deux coquins avaient profité de l’absence de leur femme, parties selon eux s’encanailler, pour nous démonter sérieusement… Ils nous avaient baisées chacun trois fois…
Nous n’en pouvions plus quand nous nous sommes écroulées dans l’immense lit rond où nous étions tous les quatre… et nous n’avions pas réussi à les assécher…
Au réveil, ils auraient bien remis le couvert…
Mais trop, c’était vraiment TROP d’autant qu’ils nous avaient fait prendre des positions quelque peu acrobatiques certaines fois !
Si bien que de retour à la maison et après un bain à remous chaud et réparateur, j’avais dormi jusqu’au milieu de la matinée du lundi !
Près d’un mois s’était écoulé quand Annie est venue à la maison…
Selon ce qu’elle m’avait dit au téléphone, elle avait une surprise à m’annoncer…
Sacha et Serge nous invitaient le week-end suivant pour fêter leur anniversaire.
J’étais un peu réticente car je ne voulais pas m’attacher ni même avoir des relations suivies…
La nuit dans le club échangiste et celle passée chez Sacha suffisaient à mon bonheur…
Annie a poursuivi en insistant :
— Tu verras, ce sera bien… nous ferons connaissance avec leurs femmes… ce sera génial… Tu n’ignores pas que je suis ouvertement bisexuelle… alors j’arriverai bien à séduire l’une ou l’autre.
— Bon, puisque tu insistes, je ne te laisserai pas y aller seule !
— Sacha m’a dit que nous serions une douzaine de participants à la fiesta ! Comme eux, ce sont des coquins… alors je pense que nous n’allons pas nous ennuyer.
Quand ce samedi en fin d’après-midi nous arrivons à la maison de Sacha, nous sommes accueillies par Serge et une jolie blonde aux formes menues qu’il nous présente comme étant Véronique, la maîtresse de maison…
Avec Annie, je comprends mieux pourquoi ce coquin a flashé sur nous… Avec mon 95 D et Annie son 90 C, nous sommes nettement avantagées par rapport à Véronique qui nous confie :
— Entrez vite, nous n’attendons plus qu’un couple… et nous serons au complet. Comme vous connaissez la maison, déposez vos affaires dans le bureau de Sacha et rejoignez-nous autour de la piscine.
Serge complète :
— Nous boirons d’abord l’apéritif… et celles et ceux qui le voudront pourront se baigner ! Nus, cela s’entend !
Véronique nous présente aux différents convives. Tous sont en couple, dans la tranche des 35 / 45 ans sauf un homme qui est seul.
— Hervé, c’est mon coach sportif… et celui de deux autres des femmes présentes… Je ne l’ai jamais essayé, mais mes amies me disent que c’est un bon coup !
— OK… s’il s’intéresse à moi, je ne serai pas contre !
Sur cette réponse je regarde un peu autour de moi… Nous sommes tous encore habillés, certes très légèrement compte tenu de la saison estivale mais je ne vois pas Sacha. J’interroge Véronique.
— Oh… il est parti faire visiter le sous-sol à Sandrine… mais ils sont bien longs à revenir
À peine avait-elle dit cela que Sacha est arrivé près de nous en tenant Sandrine par le cou… Il semblait lui dire des choses…
Waouh… Sandrine… une jolie fleur exotique tout juste vêtue d’un paréo aux couleurs chatoyantes… grande et mince mais avec des hanches galbées et une poitrine dressée fièrement sur son buste, un visage un peu aplati avec des lèvres fortement ourlées, des grands yeux de biche et des cheveux courts crêpés… et lorsqu’elle pose son paréo, nous découvrons un immense serpent tatoué sur sa cuisse droite autour de laquelle il s’enroule avant de poser sa tête au niveau du nombril !
J’ai vu le regard d’Annie s’illuminer… elle trouvait cette noire très à son goût… mais partageait-elle les mêmes ?
La soirée nous l’apprendrait.
Steve et Loïc le mari de Sandrine, s’occupaient de la cuisson des viandes qui compléteraient un buffet abondamment garni…
Pendant que nous trinquions à l’anniversaire de Sacha et de Serge, tout le monde offrait des cadeaux aux compères.
Compte tenu du peu de temps dont je disposais, j’avais déniché à grand-peine chez un bouquiniste une édition reliée et numérotée de « Histoire d’ Ô » de Pauline de Réage alors qu’Annie offrait un traité sur l’érotisme au Japon.
Quoi de mieux que choisir ce genre de littérature pour un fieffé coquin ?
Alors que je bavardais avec Catherine et Loïc, j’observais du coin de l’il le manège d’Annie vis-à-vis de Sandrine… Elle se faisait chatte… et cela n’a pas tardé à porter ses fruits : elles se sont esquivées discrètement derrière un bosquet qui était aménagé en coin câlin.
Visiblement, Annie n’avait pas envie de débuter la soirée avec un homme.
Cela a été le déclic… Tous les vêtements sont tombés les uns après les autres…
À ce moment-là, je bavardais avec Véronique qui m’a prise par le cou en disant :
— On tente le coup avec Hervé ?
— Oui… si tu veux… Je suppose que tu connais le sous-sol ?
— Oui, bien sûr !
— Alors on l’invite dans le jacuzzi ! Je suis sûre qu’il ne refusera pas que deux femmes débutent la soirée avec lui !
— Certainement pas… Go !
Nous nous sommes approchées d’Hervé et le prenant chacune sous un coude nous l’avons entraîné vers la cave.
Véronique lui a expliqué en quelques mots qu’elle avait une chose à lui montrer…
Hervé nous a prises par la taille et guidé par Véronique, nous avons gagné le sous-sol. Il y faisait beaucoup plus frais que la fois où je l’avais visité.
— On passe d’abord par le jacuzzi ?
— Oui, tu as raison Jeanne, on va commencer à s’y amuser avec notre étalon !
C’est qu’Hervé présentait un sexe, qui loin d’être hors norme comme celui des jumeaux, était quand même de taille respectable, assez long avec un gland proéminent comme un chapeau de champignon…
Nous nous sommes installées de part et d’autre d’Hervé après avoir mis en route le système des remous. L’eau n’a pas tardé à faire des bulles qui masquaient nos jambes…
Nos mains se sont retrouvées sur ce sceptre dressé devant le pubis de notre compagnon de jeu… J’ai dit à Véronique :
— Je te le laisse… ce coquin reluque ma poitrine dès qu’il l’a vue, je vais la lui offrir !
Je me suis relevée et j’ai offert mes lèvres à Hervé mais sa bouche est descendue rapidement jusqu’à ma poitrine et il a pris un des tétons saillants entre ses lèvres pour le mordiller puis il est passé à l’autre pour le même traitement.
Inutile de vous dire que ma chatte était en folie…
— Si on veut le faire durer, j’ai assez joué avec sa queue ! On va voir comment il s’en sert !
— OK… Je pense qu’en même temps… il ne sera pas contre le fait de me bouffer la chatte !
— OK… les filles… le programme me plaît… Sortons de l’eau !
Il s’est installé sur le dos, la queue dressée comme un obélisque.
— Véronique, tu connais l’amazone ? Alors en position et fais toi plaisir, je sais que tu fantasmes sur ma bite… quant à toi, mets-toi au-dessus de ma tête que je bouffe ta chatte. J’aime bien quand elles sont ornées d’un petit toupet comme toi !
— Tu as de la chance… j’avais envie de me faire épiler ce matin mais il n’y avait pas de place !
— Allez… J’attends ! En selle !
Pendant que je me plaçais au-dessus de la tête d’Hervé, j’ai pu voir comment Véronique s’abaissait pour introduire le gland puis toute la bite jusqu’au plus profond de son sexe…
Quand elle a commencé les mouvements alternatifs, Hervé a relevé la tête, j’ai senti ses mains écarter mes fesses et une langue pointue se vriller sur mon anneau plissé… Oh… que c’était bon ! Mais les choses sérieuses ont réellement commencé quand sa langue est venue lécher mes lèvres… Je mouillais comme jamais… d’autant que Véronique avait pris mes seins dans ses mains à la fois pour maintenir son équilibre mais aussi pour les caresser du bout des doigts…
Lorsque j’ai tourné la tête vers un des miroirs, j’ai vu notre accouplement ! C’était TORRIDE !
Soudain, au bout de quelque temps Véronique s’est écriée :
— Je viens !
— Moi aussi… quel bouffeur de chatte !
— Alors lâchez-vous… j’arrive aussi !
Et tous les trois nous avons joui simultanément dans des cris inarticulés…
Véronique s’est écroulée à moitié sur Hervé dont le sexe était sorti de la chatte, laquelle suintait abondamment !
— Jeanne… ça te dit ?
— Oh oui, j’ai envie de goûter son sperme !
— Moi aussi ! Prends-en dans ta bouche et viens me le donner !
J’ai aspiré ce nectar poisseux et, unissant mes lèvres à celles de Véronique, je lui ai passé le contenu de ma bouche !
— Humm… dis donc… tu as bon goût… un goût indéfinissable mais agréable !
Nous avons pris une douche rapide tous les trois dans la vaste cabine et nous sommes revenus près de la piscine pour voir comment Annie se faisait prendre en double par Serge et Loïc… La queue fine de Loïc occupait la rondelle plissée et Serge copulait rapidement la chatte offerte par la position…
Ils n’étaient pas loin de terminer car Serge est sorti de la chatte de mon amie et a craché son foutre sur son ventre au milieu des applaudissements des voyeurs qui les entouraient…
La soirée était bien lancée et elle a pris fin au milieu de la nuit quand tout le monde a été repu de caresses, de pénétrations diverses…
L’apothéose a été sans nul doute quand Sacha et Serge ont baisé Catherine… Sacha la prenait en levrette pendant que Serge se faisait sucer la bite dans une gorge profonde excitante…
Je n’aurais jamais cru qu’une femme puisse avaler un tel membre jusqu’à avoir le pubis mâle au contact des lèvres !
Le lendemain matin, je me réveillai dans les bras de Steve…
— Bonjour ma belle ! Tu m’as laissé en panne hier soir !
— Ah bon… Je ne m’en souviens plus !
— Alors on va se rattraper ce matin… Viens descendons à la cave !
C’est vrai que j’avais perdu toute notion de ce qui m’arrivait…
Hervé m’avait bouffé la chatte…
Loïc m’avait sodomisée après s’être fait sucer pour bien durcir…
Plus tard, Hervé m’avait prise à la cavalière… pendant que je tentais de sucer la bite de Loïc qui est allé baiser une autre femme…
J’avais eu un 69 saphique avec Sandrine…
et… combien d’autres hommes ou femmes…
et… je ne sais plus… à quel moment Steve m’avait rejoint !
Ce coquin bandait à moitié comme pas mal d’hommes au réveil…
Mais laissez-moi vous décrire Steve. Tout comme sa femme, c’est un Antillais pur jus… noir comme l’ébène avec une dentition d’un blanc éclatant, son corps aux muscles déliés et finement dessinés qui roulent sous sa peau… Comme beaucoup de noirs, il a le crâne rasé. Quand j’abaissai les yeux sur son gourdin, je vis que son pubis était glabre lui aussi ! Humm… je sens que ça va être bon.
Arrivés dans la cave, Steve me couche sur un des lits de repos, ouvre le compas de mes jambes qu’il place sur ses épaules et plonge vers mon sexe…
Ses lèvres épaisses et sa langue font des merveilles… Mon vagin ne tarde pas à s’ouvrir… et à s’humidifier…
Pas besoin d’en faire plus… Son sexe bande comme un pieu ! Le gland gorgé de sang et de désir semble avoir encore pris du volume…
Bien que ce sexe n’ait rien de comparable avec celui des jumeaux, il est d’une taille tout à fait acceptable pour la gourmande que je suis devenue…
Depuis mon quasi-viol deux ans auparavant, combien de bites ai-je sucées, combien ont pénétré mes trois orifices, combien de femmes ont partagé une étreinte avec moi… y compris ma fille au cours d’une soirée privée où j’avais les yeux bandés ???
Là, Steve commence à me baiser d’une manière tout à fait classique… la seule que semblait connaître mon époux : la missionnaire !
Il est doux… je sens son sexe qui va-et-vient lentement et profondément dans mon vagin qui est de plus en plus humide…
Dans une posture quelque peu acrobatique il parvient à sucer la pointe de mes seins et fait rouler le téton entre ses lèvres pendant que la langue l’agace… Hum… c’est bon… je mouille de plus en plus !
Mais Steve ne continue pas ! Il se retire et dit :
— Allez… en levrette… J’adore et d’après ce que je sais… toi aussi !
— Oouuiiiii !
Je prends aussitôt la pose demandée, prosternée sur la couche, les avant-bras en appui et le cul levé bien haut… La pointe de mes seins frotte sur le coton du lit…
Je sens le souffle de Steve dans ma raie et ses mains ouvrir largement la fente…
— T’es vraiment une belle cougar… des seins de folie, un cul bien ouvert, une belle gueule et une jolie silhouette… MERCI à Sacha et Serge de t’avoir invitée !
Là, je sens sa langue se vriller sur ma rosette. Oh non… Pas ça… je le veux dans ma chatte !
Et cela ne tarde pas…
Je sens la bite de Steve parcourir mon entrejambe comme s’il cherchait l’entrée de ma chatte… et soudain, c’est l’estocade !
D’un seul coup de reins, Steve s’est introduit au plus profond de moi…
Heureusement que ma position était stable… Quelle entrée en matière !
Pour le récompenser, je commence à masser le bout de sa queue avec mes muscles intimes… une chose que je ne savais pas faire et qu’Anja m’a appris à faire… Depuis mes amants apprécient ce talent comme ils apprécient mes talents de suceuse !
Steve commence à me baiser à longs traits, sortant à chaque fois de mon sexe pour y plonger à nouveau sans tâtonner, de plus en plus vite… ses mains crochées autour de mes hanches…
Quand il devine que je vais jouir, il s’arrête, laisse retomber la pression mais il ne débande pas… bien au contraire, il me semble que sa bite gonfle encore…
Et il ne tarde pas à m’envoyer en l’air au moment où je le sens si vider en moi !
Après tout ce qui s’est passé… il est encore abondant… J’ADORE !
Lorsque nous remontons, tout le monde est autour de la piscine ou dans l’eau… Les couples se sont reformés et Steve rejoint sa femme qu’il embrasse amoureusement en lui pelotant ses fesses…
Ils n’en ont pas assez ?
Lorsqu’Annie me dépose devant la maison je la remercie de m’avoir convaincue de participer à cette soirée… et j’ajoute :
— J’ai retenu un appartement au Cap d’Agde pour la deuxième quinzaine d’août. Je serai avec Amandine qui m’a parlé de ce lieu… Si tu veux nous rejoindre, tu seras la bienvenue !
— OK… je vais voir si mon homme est libre pendant cette période ! Je suis sûre que vous ne serez pas contre sa présence…
— Oh NON… je serai même TOUT CONTRE une fois ou l’autre… Ton homme est un bon baiseur lui aussi ?
FIN.