Forcément, le lendemain matin, je me réveille avec plein d’images qui se bousculent dans ma tête et me demande si je n’ai pas rêvé de tout ça !? Geoffrey !?… Il s’est sans doute déjà levé !?… Moi !?… Je m’aperçois que je n’ai même pas quitté ma robe hier soir, enroulée au niveau de mes hanches. Mes longs cheveux sont en pagaille, complètement emmêlés. Une forte odeur de sexe et de sueur plane dans toute la chambre.
Je me tâte mon petit illet pour arriver à me convaincre vraiment que ce vieux cochon de Roger m’a bel et bien défoncé le cul ma peau est toute moite et collante, mon entrecuisse et notamment mes petites lèvres sont encore hypersensibles au moindre effleurement.
Je n’ose pas me lever, anxieuse à l’idée de croiser le regard de Geoffrey ou même de son grand-père. D’ailleurs, je n’arrive pas à comprendre comment mon copain fait pour supporter tout ce que je lui fais subir, en me laissant baiser comme une petite pute juste devant lui. Et si cela l’excitait lui-aussi, que je m’offre à d’autres hommes en sa présence ?!
En tout cas, cette pensée furtive suffit à humidifier ma petite chatte et à faire se dresser mes tétons
Après quelques minutes à avoir laissé divaguer mon esprit et à mêtre caressée le bout des seins, je me décide enfin à aller prendre une douche, avant de rejoindre Geoffrey et ses grands-parents. Pour calmer la situation que j’ai l’impression de ne plus du tout maîtriser, je choisis de m’habiller de façon plus sobre et moins provocatrice que la veille, avec un short long et un chemisier tout ce qu’il y a de plus classique. Je n’oublie pas non plus de passer une petite culotte en coton en-dessous, afin de ne laisser planer aucune ambiguïté pour ce vieux vicieux qu’est Roger. Néanmoins, étant donnés la forte chaleur de ces derniers jours et le fait que mes seins sont relativement petits et fermes, je m’autorise à ne rien porter sous mon chemisier.
Je rejoins donc les hôtes de ce lieu ainsi que Geoffrey, déjà tout trois attablés sur la terrasse.
— Bonjour mon amour, tu as bien dormi ?!
Je suis un peu déconcertée par le sourire et la bonne humeur de mon copain, à l’opposé de sa gueule de trois pieds de long de la veille. Il se lève d’ailleurs promptement de table pour venir m’embrasser d’un baiser gourmand sur la bouche, alors que je m’assieds à côté de son grand-père.
— Oui !?… Tu es levé depuis longtemps ?…
— Non depuis une petite heure seulement.
— Bonjour ma puce vous avez dû en faire des coquineries les deux cette nuit pour avoir l’un et l’autre les traits tirés comme ça ?! D’ailleurs, mon petit-fils est levé depuis une heure mais il n’est vraiment réveillé que depuis deux minutes et ton arrivée.
Roger, en me disant ça, me caresse délicatement la joue avec son pouce, me provoquant un agréable frisson dans le haut du dos.
— Roger ! Qu’est-ce que c’est que ces manières avec Axelia ?!… Vous voudrez bien l’excuser, les enfants mais la sénilité semble lui faire perdre tout sens commun et toute retenue !
Je ne peux m’empêcher de sourire, me demandant d’ailleurs si la mamie n’était pas tout bonnement en train de se foutre de nous, avec son air faussement offusqué. En tout cas, pour un papy sénile, son Roger était encore très alerte et avec une belle queue bien dure quand il le fallait. D’ailleurs, à peine mon copain rassis à sa place, je m’empresse de poser ma main au niveau de l’entrejambe du vieillard pour sentir l’objet de mes désirs durcir entre mes doigts. Toutes mes bonnes résolutions du réveil se sont déjà envolées
Roger, sans perdre le moins du monde son assurance, me propose de remplir mon bol de café et de préparer mes tartines de confiture, précisant qu’il avait ses deux mains inoccupées. Je comprends le message subliminal et commence donc à branler doucement la colonne de chair tendue d’excitation à travers le tissu du short.
Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je ne me reconnais vraiment pas, à me comporter ainsi telle une vraie grosse salope ! Bien sûr, mon corps n’a que faire de mes questionnements ontologiques et je sens de nouveau ma petite chatte s’humidifier et mes tétons pointer d’excitation.
Pour autant, le petit-déjeuner se poursuit tranquillement… Nous parlons de tout et de rien, sans bien sûr aborder les événements de la nuit. Roger me prépare mes tartines de confiture tout en taquinant son petit-fils en lui disant notamment de prendre exemple sur lui pour nos futurs petits-déjeuners en amoureux. Geoffrey parait quant à lui heureux et enjoué, riant aux plaisanteries de son grand-père comme s’il ne lui tenait pas rigueur de baiser sa copine, qui plus est en sa présence.
Moi, je continue méthodiquement la masturbation du sexe du vieillard tout en déjeunant à l’aide de mon autre main, sans me préoccuper du risque d’être démasquée par mon copain ou sa grand-mère. J’aime sentir cette virilité se renforcer au gré de mes caresses et c’est donc avec une certaine fierté qu’au bout d’un moment, je sens entre mes doigts les spasmes si caractéristiques de l’éjaculation. Je m’empresse alors de faire glisser la fermeture éclair, de passer ma main droite dans l’ouverture pour aller récolter la précieuse semence… puis de porter celle-ci à ma bouche et la lécher avec délectation comme si c’était de la confiture.
Roger me regarde avec un sourire amusé.
— Bon, les jeunes maintenant que chacun a bien déjeuné, je vous propose le programme de la journée ! Comme tu es là, Geoffrey, j’aurais voulu que tu me refixes le chéneau à l’angle de la maison car ce n’est plus de mon âge de monter travailler en haut d’une échelle Je vais donc te sortir les outils et t’expliquer ce qu’il faut faire.
— D’accord papy, pas de souci
— Quant à nous, Axelia, nous allons en profiter pour ranger mon établi si bien évidemment ça te dis de m’aider ? Et puis cet après-midi, après le repas, je vous emmène visiter Nantes avec mamie et nous restons jusqu’à ce soir pour voir le feu d’artifice au pied du château des Ducs de Bretagne. Vous verrez, il est magnifique
— Ouiiiii !…
Je ne sais pas ce qui m’enthousiasmait le plus dans ce programme de la journée !? Etait-ce l’escapade à Nantes ou pas plutôt les cochonneries que nous allions immanquablement faire dans son atelier les deux ?! En tout cas, je me lève précipitamment de table et demande où est le fameux établi à ranger.
— Et bien dis-donc, Axelia j’ai rarement vu des jeunes de ton âge aussi motivés quand il s’agit de faire du rangement !? Prends-en de la graine de ta copine, Geoffrey car il me semble me souvenir que tu avais beaucoup de mal à ranger ta chambre.
— Mamie, il m’arrive aussi de ranger !… répond Geoffrey avec une pointe d’agacement dans sa voix.
Je souris intérieurement, avec malgré tout un sentiment de compassion pour mon copain. Le pauvre Geoffrey, qui tenait absolument à me présenter à ses grands-parents, vit sans aucun doute un début de vacances cauchemardesque car, en plus de me voir le cocufier, ses aïeux me citent régulièrement en exemple pour lui faire la morale. Toujours debout sur la terrasse à quelques mètres de la table, un profond trouble m’envahit
Perdue dans mes pensées, je me demande comment notre couple allait ressortir de cet épisode, et la seule réponse à mon interrogation était « en miettes ». Je me fais d’ailleurs la réflexion que j’ai de la chance qu’il ne m’ait pas encore jetée et obligée à rentrer chez moi par mes propres moyens.
Pendant tout le restant de la matinée, bien que toute proche de lui à plusieurs occasions, je n’essaye même pas d’aguicher Roger, l’esprit hanté d’un sentiment coupable. Etonnamment, lui non plus ne tente rien, pas même une main baladeuse Sent-il mon désarroi ? A-t-il un don pour lire dans mes pensées ? Cette dernière idée me terrorise d’ailleurs toujours autant
L’établi et plus largement tout l’atelier du grand-père se rangent ainsi dans un silence pesant.
Néanmoins, alors que Roger est parti vérifier que tout allait bien pour Geoffrey et son chantier, je me surprends à défaire le bouton de mon short et à glisser une main en direction de mon pubis, l’autre main effleurant le bout de mes tétons à travers l’étoffe du chemisier. Quelle sensation exquise ! Tout de suite, je ferme les yeux et laisse échapper un gémissement de plaisir.
— Hmmm !…
Mes doigts se font d’un seul coup plus précis, écartant ma petite culotte en dentelle pour s’immiscer aux lèvres charnues qui marquent l’entrée de mon sexe. Tout s’enchaîne prise dans un tourbillon de sensualité et de plaisirs, je dégrafe trois boutons de mon chemisier et m’empresse de l’ouvrir pour libérer mes deux petits seins de tout carcan. Ma main gauche joue de leurs réactions en en caressant et titillant les bourgeons turgescents.
— Ohhh !… Oh ouiii !… Hmmm !…
De mon autre main, je fais glisser la fermeture éclair de mon short et le laisse choir à mes pieds, puis je reprends immédiatement l’exploration de mon intimité. Il ne me faut d’ailleurs pas attendre bien longtemps pour sentir ma petite fente se mettre à couler de l’intérieur. Toute haletante, j’y introduis donc un doigt, puis deux trois et enfin quatre m’adossant à l’établi pour ne pas tomber
Je jouis une première fois, les jambes flageolantes et le cur battant la chamade mais il m’en faut plus !
Instinctivement, comme si cela sonnait comme une évidence, je saisis la massette accrochée au mur à côté de l’établi et approche le manche de mon sexe. Des décennies d’utilisation conventionnelle de l’outil enfin, j’ose le présumer avait poli et lissé le bois, et notamment l’extrémité de ce sextoy de circonstance.
Après avoir fait suivre à ma petite culotte le même chemin qu’à mon short, puis joué un instant avec les poils de mon pubis, c’est donc tout naturellement que je positionne l’objet de tous mes désirs à l’entrée de mon puits d’amour, écartant légèrement les cuisses pour en faciliter l’accès. Une fraction de seconde d’incertitude puis, tout doucement, je commence à introduire ce phallus inerte mais si dur qu’il n’a aucun mal à se frayer un chemin, aidé en cela par l’abondante mouille qui coule dans ma chatte. Je ferme de nouveau mes yeux afin de concentrer toute mon attention sur cette pénétration peu orthodoxe et source malgré tout d’une légère appréhension étant donné la longueur de l’objet.
Néanmoins, très vite, je ressens les premiers frissons de plaisir avec le contact du bois patiné sur mes parois vaginales à la sensibilité exacerbée.
— Oh oui !… Oh oui !… Hmmm !…
Toujours adossée à l’établi pour ne pas partir vers l’arrière, j’écarte un peu plus encore les jambes et commence à faire coulisser le manche en de longs va-et-vient, poussant à chaque fois un peu plus ce gode improvisé pour bientôt me retrouvée avec les presque vingt-cinq centimètres en moi et la tête en métal contre mes grandes lèvres. J’adore cette sensation j’accélère encore le mouvement, mon bassin ondule pour faire corps avec cet objet phallique. Mes jambes se dérobent Je jouis
Je me retiens à l’établi pour rester debout mais c’est déjà trop tard !… Je chavire, emportée par un violent orgasme comme jamais je n’en avais eu auparavant. Tout mon corps tremble de jouissance ! Je crie, je hurle de toute ma voix qui résonne dans ce local étriqué
Le souffle court, je sens mes forces m’abandonner je lâche la massette qui s’échappe de mon vagin et tombe sur le sol en ciment dans un bruit métallique.
Un genou à terre, j’ouvre enfin les yeux et en face de moi, à l’entrée de la pièce, Geoffrey et Roger sont là debout, immobiles, silencieux. Les secondes me paraissent une éternité. Je baisse la tête pour ne pas avoir à croiser leurs regards
Au bout d’un moment, c’est le grand-père qui rompt le silence
— Eh ben, cré nom de vingt dieux si on m’avait dit qu’un jour ma massette de terrassier allait donner autant de plaisir à une aussi jolie femme, j’en aurais pris beaucoup plus soin !?