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Jeux d'enfants – Chapitre 1




Avec le temps, je me suis rendu compte que je n’étais pas très "famille". Je suis plutôt "amis". Ma vie se déroule normalement avec des rencontres, des séparations, des liens qui se tissent et d’autres qui s’émoussent. Pourtant à une époque ma famille était très unie car nous vivions tous dans le même village, nous étions même voisins. Mais les années et les voix professionnelles de mes parents ont fait que je me suis éloigné petit à petit de ce beau monde pour nouer d’autres liens.

J’ai désormais 34 ans, une compagne et un bébé et il m’arrive parfois de croiser ma famille lors de réunions chez mes parents. (plutôt rare car ma compagne ne s’entend pas très bien avec ma famille) J’y retrouve le plus souvent des oncles et tantes, parfois les grands cousins (du fait des générations très différentes de la famille, 7 enfants en tout et un fossé entre les générations de cousins dû au fait que deux de mes tantes n’ont pas eu d’enfants) et exceptionnellement mon cousin et ma cousine Audrey 32 ans. Elle a toujours été très coquette, brune de longs cheveux arrivant au-dessus de sa chute de reins et son physique élancé, est très proche des femmes asiatiques malgré les mélanges culturels dans la famille ) des petits seins et un joli petit cul. Depuis notre enfance je l’ai toujours trouvée très belle, encore aujourd’hui quoique nos rapports aient changé, j’aime parler d’elle lorsqu’on m’interroge comme d’une femme élégante et très belle.

Lors d’une de ces réunions je me suis donc rendu seul chez mes parents un dimanche midi. Comme à l’accoutumée il y avait du monde et exceptionnellement ma cousine était présente. Durant le repas, ma cousine se leva de table une énième fois pour une pause cigarette et cette fois-ci qu’elle ne fût pas ma surprise :

— Cousin tu m’accompagnes ça fait un moment qu’on n’a pas discuté tous les deux – me lança-t-elle.

Un peu surpris j’acquiesce et l’accompagne dans le jardin.

— Alors que racontes-tu de beau cousin?

— Pas grand-chose la routine, la petite vie de famille, les potes, la passion, …

— A oui tu peins toujours?

— Toujours oui, je ne pense pas m’arrêter de sitôt – lui dis-je en souriant

— Ça doit être chouette pour ta fille de te voir peindre

— Ho tu sais elle est encore petite pour comprendre ce que papa gribouille. Et toi raconte quoi de neuf?

— Moi pas grand-chose le boulot l’appartement, d’ailleurs tu n’es encore jamais venu chez moi. Il faudra penser à venir un de ces jours.

— Oui, envoi moi un texto quand tu seras disponible et je passerai sans doute te voir.

— Chouette, d’accord j’y penserai.

Nous sommes rentré finir le repas tranquillement, puis ma cousine nous à quitter pour vaquer à ses occupations. Tant qu’à moi je n’ai quitté tout le monde qu’une heure plus tard. Sur le trajet du retour mon mobile a sonné, c’était un texto de ma cousine.

-"Tu rentres directement après chez toi?"

Je me gare pour lui répondre.

-"Je viens seulement de les quitter, je comptais rentrer oui."

-"Mince je voulais te proposer de passer mais je pense que tu dois retrouver ta petite famille"

-"Je ne suis pas attendu avant ce soir normalement et je n’ai pas encore envoyé de texto à ma douce pour lui dire que je rentrais"

-"Ha je vois, et ça te dit de passer?"

-"Pourquoi pas"

-"A tout de suite alors tu vois où ça se trouve,"

-"Oui à peu près, j’arrive et je te bip quand j’arrive en bas"

-"D’accord"

Quelques minutes plus tard me voilà arriver chez ma cousine, je bip et elle vient me chercher sur le parking pour me conduire chez elle. Son appartement est très sympa, très moderne. Rien d’étonnant connaissant ma cousine. Après une visite guidée de son appartement elle m’invite à m’asseoir.

— Je t’en prie cousin assieds-toi, tu veux boire quelque chose?

— Volontiers

— Soft? Alcool?

— Soft merci, je dois rentrer après.

— Oui c’est vrai. Moi ce sera alcool – avec un sourire toujours aussi ravissant.

— Alors que me vaux cette invitation si soudaine?

— Je ne sais pas je suis rentré et je pensais à toi et je me suis dit pourquoi attendre – elle éclate de rire.

— Toujours aussi direct, ça me rappelle notre enfance.

— haha, oui notre enfance on en a fait des belles, parfois j’y repense avec le sourire.

— Tu repenses à quoi de spéciale? – soudain je me souviens d’une activité que je proposais souvent et qui me met soudain très mal à l’aise…

— Les balades à vélo avec toute l’équipe du village, les cabanes dans ton jardin avec les bambous, le catch que vous faisiez avec mon frère et le tien dans ton grenier et bien sûr…

Non pas ça!!!!

— Quand on jouait au docteur tous les deux….- dit-elle avec un regard malicieux comme pour me défier.

Soudain le ciel me tombe sur la tête, c’est la douche froide. En effet quand nous étions ados je profitais de cette excuse pour assouvir mon désir naissant comme chez tous les jeunes de notre âge. Je n’allais jamais plus loin que dénuder ses jolies fesses, mais on peut dire que ma cousine fût ma toute première partenaire de jeux.

Voyant mon embarras elle se mit à éclater de rire comme à son habitude, ce qui fit descendre immédiatement la pression chez moi et je me risquais même à rire avec elle.

— Tu pensais que j’avais oublié ça? – avec un large sourire

— Je dois bien avouer que ça remonte très loin et que ça fait des années que j’essaie d’éviter le sujet de peur que tu m’en veuilles.

— T’en vouloir? Mais pourquoi? Nous étions jeunes et c’était rigolo non?

— Heu….je ne sais pas ce sujet me met terriblement mal à l’aise, à l’époque je découvrais tous ça et je m’en veux beaucoup d’avoir profité de nos jeux pour te pousser si loin…

— Mais non ne t’en veux pas c’est bon, tu ne voyais que mes fesses et moi aussi je découvrais tous ça tu sais et c’était très étrange comme expérience mais on peut dire que … j’aimais bien ça.  Me dit-elle en me regardant du coin de l’oeil.

-Tu me fais marcher!

-Non je t’assure, il est même arrivé parfois que je reste avec toi jusqu’à ce que tu me le propose. on peut dire que j’attendais que ça en fait. Elle se mit à rire.

-Là tu me fais marcher c’est sur. Tu me fais rire cousine.

-Mais non je te jure, tiens à propos de ça ne bouge pas je reviens.

Elle s’éclipsa dans sa chambre, je restais bouche bée de ses révélations d’il y a un instant et plein de questions me vinrent en tête en quelques secondes. Que voulait elle bien dire par là? Je pris mon verre de coca d’un trait pour faire redescendre la pression et souffler un coup. Quand soudain la porte de sa chambre s’ouvrit et là j’ai bien cru que mon coeur allait exploser. Ma cousine réapparut dans une tenue d’infirmière digne d’un film pour adultes, une petite blouse blanche rase le corps avec des bas en résilles à large quadrillage blanc, des talons hauts rouges et un petit chapeau d’infirmière rouge.

— Houla que se passe-t-il? – lui dis-je avec les yeux grand ouvert

— Ça ne te dit pas de faire une petite partie? – dit elle en rigolant

— Je … – rien n’étais en mesure de sortir de ma bouche

— Elle te plaît ma tenue? elle me va encore tu as de la chance je l’ai depuis que j’ai acheté cet appartement il y a cinq ans, je la mets pour la première fois depuis car tu n’es jamais venue.

— Quoi? Attends je ne comprends pas.

— Depuis que je vis seule, je ne me l’explique pas mais j’ai eu envie de faire une partie de notre ancien jeu. Ça doit venir du fait que je n’ai jamais joué le rôle de l’infirmière quand nous étions jeunes.

— Mais tu étais sérieuse quand tu disais que ça te plaisait?

— Bien sûr, mais j’étais trop jeune pour te l’avouer.

Je reste stupéfait par cette annonce et ne dis plus rien

— Bon alors dit quelque chose, elle te plaît ma surprise?

-Je…oui…

-À ce que je vois, quoique rien ne sorte de ta bouche ton corps lui apprécie la surprise…

Je me rendis vite compte que je bandais comme un fou devant cette superbe créature qu’était devenu ma cousine dans cette tenue qui la met parfaitement en valeur. j’essaie en vain de cacher cette boss sur mon jean.

-Ne t’inquiète pas cousin, n’est-ce pas là le but d’une telle tenue? Fit elle en rigolant.

-Tu…tu es vraiment superbe dans cette tenue…

-Ho c’est mignon merci cousin.

-D’ordinaire tu es déjà superbe mais dans cette tenue tu me coupe le souffles.

-Tu me flattes-la je vais finir par rougir.

-Pardon cousine.

-Ne t’excuse pas, merci pour ce compliment. Allé on commence ?

-Ok, si tu veux.

-Bonjour monsieur, allongé vous je vous prie

Je décide de me prendre au jeu et je m’allonge sur le canapé en L du salon et ma cousine dans sa superbe tenue vient s’asseoir sur l’autre partie du canapé au niveau de ma tête.

-Que vous arrive-t-il Monsieur ?

-Heu…je tousse beaucoup en ce moment…

-Quoi ? c’est tout ? Allé cousin on est plus des enfants tu peux te lâcher, ma tenue ne t’inspire rien d’autre ?

-Heu…je ne sais pas à vrai dire ce que tu veux ?

-Je te dis que je n’ai jamais joué le rôle de l’infirmière et toi tu me proposes de voir ton torse…je veux quelque chose de plus excitant tu vois ?

-Ok on reprend, désolé

-Alors racontez-moi de quoi souffrez-vous ?

-Et bien écoutez c’est délicat, mais depuis quelques jours je souffre à l’entrejambe… Lui dis-je pour voir où cela nous mènerait.

Elle se mit à sourire

— Très bien retirez vos vêtements que je puisse voir de quoi il s’agit s’il vous plaît.

Curieux et la fois excitée par les souvenirs de nos petits jeux, j’ai baissé mon jean et suis resté en boxer.

-Je me permets de vous retirer votre boxer. Dit elle en saisissant délicatement l’élastique  avant de laisser jaillir ma queue gonflé d’excitation.

-Très jolie membre dites-moi. Dit elle en souriant.

-Merci madame.

-Je vais vous ausculter pour voir où se trouve la douleur.

Elle passa le stéthoscope en plastique sur ma hampe, à son contact ma queue palpitait de désir. Elle se rapprocha de ma queue et s’arrêta à bonne distance et me regarda droit dans les yeux.

-Je vais souffler sur votre membre pour vous soulager.

-Faites donc je vous en prie. Elle souffla sur ma queue en soufflant sur ma hampe ce qui m’excita au plus haut point.

-Il y a quelque chose que tu aimais faire quand nous étions jeunes et ça fait partie des choses que j’ai toujours fantasmé de faire.

-Quoi donc ?

Elle me regarda droit dans les yeux se rapprochant de ma hampe et se mit à sentir l’odeur de ma queue. Quelle surprise! je ne m’étais pas aperçu qu’elle avait remarqué que j’aimais sentir l’odeur de sa peau durant nos jeux. Je pensais avoir été des plus discret lorsque je le faisais. Elle sentait ainsi mon sexe sans jamais me lâcher du regard, cette magnifique vue le fit palpiter et ma queue vint se déposer sur ses lèvres l’obligeant à l’embrasser. Elle eut un mouvement de recul.

-Cousin tu abuses!

-Excuse moi cousine ! Lui dit je en éclatant de rire, me disant qu’elle n’était finalement pas si sérieuse et que ça n’irait pas plus loin.

-Pourquoi tu rigoles ? tu penses que je vais me dégonfler ?

-Je ne sais pas moi je voulais tester jusqu’où tu voulais aller et je me rend compte que ça va trop loin pour toi.

Sans dire un mot elle se pencha en avant, sortie sa langue et la posa à plat sous ma hampe et dans un mouvement des plus sexy me la lécha jusqu’au bout.

-Ho putain !!!

-On commence à peine et déjà la première insulte ? Tu es trop pressé cousin, d’abord tu provoques un baiser sur ta queue et maintenant tu lâches le premier mot cru ? J’adore ça quand on me prend, mais j’ai l’impression que tu ne veux pas me laisser profiter de mon premier rôle d’infirmière me dit-elle dans un regard de défi.

-Bon vu que les hostilités sont lancées voyons jusqu’où je peux aller.

Elle ouvrit grand la bouche et en posant ses mains fines sur mes hanches, enfonça ma queue lentement entre ses lèvres, cette sensation humide et chaude me fils fondre. Et ses lèvres arrivèrent jusqu’à mes couilles, elle sortit même la langue pour me les lèches avant de ressortir ma queue humidifiée de salive de sa bouche.

-Ta queue est parfaite cousin, elle est pile à ma taille, par contre tu vas rester passif comme ça encore longtemps ? Ou vas-tu te comporter sauvagement comme dans mes rêves coquins ?

-Tu rêves de moi ?

-Bien sur très souvent

-Sérieusement? lui dis-je les yeux grands ouverts.

-Ne soit pas choqué, si ça peut te rassurer tu ne me fais jamais l’amour dans mes rêves, tu es bestiale, je ne suis pas ta copine tu me malmènes sauvagement.

-Tu m’excites cousine !

-Il n’y a que dans ses rêves là où je me comporte comme une grosse cochonne !

Ses paroles résonnent comme un coup de tonnerre dans ma tête et me font perdre la raison, Je me redresse l’attrapant par les cheveux et lui enfonce ma queue au fond de sa bouche et commence un va-et-vient violent sans ménagement. Elle me lance un ultime regard de défis.

-Tu me cherches cousine ? tu vas voir !

Mes coups de reins sont violents, le bruit obscène de sa salive sur ma queue me rend dingue et j’utilise sa bouche comme un trou. Cela dure un instant avant que je relâche mon étreinte mon sexe trempé de salive ressort luisant, puis un flot de sécrétions ressort de sa bouche pour éclabousser le sol. Elle se met à tousser.

-Putain cousin on ne m’avait jamais fait subir ça avant…

-C’est trop pour toi ?

-Non pas du tout, tu es digne d’un de mes rêves hard avec toi.

-Tu m’excites trop je vais te défoncer la bouche !

-J’adore ça, vas-y baise-moi la bouche !

-Tu es une sacrée cochonne !

-Tu n’as pas idée !

La suite bientôt …

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