La semaine qui suivit fut intense pour toutes les deux. Le lendemain de leur première fois. Elsa et Anna furent très fatiguées, épuisées par l’effort qu’elles avaient fourni lors de cette nuit inoubliable. Elles restèrent ainsi dans leur lit, toujours nues, enlacées et s’embrassant. Elsa n’en revenait toujours pas, elle embrassait sa sur et personne ne pouvait rien lui dire, elle n’était ni dans un rêve, ni dans un de ses fantasmes. C’était bien la réalité ! Elle firent l’amour encore ce matin là, mais pas aussi intensément que la veille. Il faut dire que cette nuit les avait vraiment vidées.
Le reste de la journée consista en le déménagement de la chambre d’Anna, qui voulait vivre avec sa sur.
Une vraie complicité amoureuse commençait à naître entre les deux surs. Le soir, dans ce qui était devenu leur lit conjugal, elles baisaient jusqu’à l’épuisement. Et la journée, elles se cherchaient constamment, s’excitant mutuellement, en faisant des petits jeux.
L’un d’eux prit place dans l’immense salle de bain du château. Les deux surs avaient pris l’habitude de se laver ensemble. Elles étaient allongées l’une face à l’autre dans la grande baignoire. L’eau les surplombait, seul leur visage émergeait.
Hé, fit Anna en écartant les cuisses et plaçant ses jambes sur les rebords de part et d’autre de la baignoire, dévoilant son intimité à sa sur tout en la caressant. La première qui jouit se prend une faciale ce soir.
Elsa comprit tout de suite où sa sur voulait en venir mais l’en dissuada.
Où est l’intérêt ? J’adore me prendre tes faciales.
Un autre truc alors, la gagnante fait ce qu’elle veut de l’autre.
Elsa n’en voyait toujours pas l’intérêt car toutes les deux seraient gagnantes au final mais se prêta au jeu.
Très bien, fit-elle en se plaçant dans la même position que sa sur.
Elles commencèrent à se masturber. Chacune fixait l’autre, tentant de maîtriser au mieux sa masturbation pour retarder son orgasme. Néanmoins, Anna s’en sortait mieux qu’Elsa qui, bien trop excitée par le fait de voir sa sur nue en face d’elle en train de se masturber, s’emballa et se doigta frénétiquement, accélérant sa jouissance. Son râle trahissait son orgasme.
Ouiiiii, cria Anna, j’ai gagné !
Ok ok, reconnut Elsa en s’approchant de sa sur, je ferai ce que tu veux.
Elle pris son visage mouillé entre ses mains et l’embrassa.
Un autre jour, alors que les deux surs étaient allongées dans leur lit en sous-vêtements, s’embrassant et touchant leur corps. Elsa décida de pimenter les choses. Elle forma un gode à l’intérieur du vagin de sa sur, ce qui lui arracha un cri.
Ouuuhh mais qu’est-ce-que tu fais ?
Je te l’enlèverai que si tu arrives à m’attraper avec ça entre les jambes.
Sur ces mots, elle quitta le lit et couru à travers les grandes pièces du château.
Anna, excitée par ce nouveau jeu, quitta le lit à son tour et courut après sa sur. Celle-ci n’avait pas lésiné sur les moyens : l’énorme gode était fixé dans sa chatte et l’empêchait de se mouvoir correctement, chaque pas la faisait jouir un peu plus. Cela lui donnait une démarche chaloupée et parvenait tant bien que mal à suivre sa sur.
Certains majordomes ne comprenaient pas pourquoi la princesse courait d’une manière étrange après la reine en riant, toutes deux en sous-vêtements. Beaucoup avaient remarqué le comportement étrange des deux surs ces derniers jours et s’en étonnaient. Toutes les deux étaient des exemples de sagesse et un tel manque de tenue ne leur ressemblait pas.
Elsa, ressentit tout à coup une chaleur dans son bas-ventre, elle avait besoin d’être baisée. Là, tout de suite. Anna avait eu le loisir durant les derniers jours de voir que sa sur, lorsqu’elle avait envie de sexe, se refusait de faire autre chose tant que ce besoin n’était pas comblé. Après tout, pensait-elle en ces moments-là, toutes les reines doivent avoir des caprices.
Elsa désirait donc être attrapée et ralentit la cadence pour que cela arrive.
Lorsque Anna parvint enfin à rattraper sa sur, elle la plaqua contre un mur de peur qu’elle ne lui échappe et l’embrassa.
Je t’ai eu, se vantait-elle en glissant une main sous la culotte de sa sur, comme pour lui montrer sa supériorité.
Elsa prit le visage d’Anna entre ses mains et lui rendit son baiser.
On va dans la chambre, lui demanda-t-elle, Anna sachant très bien ce que cela signifiait.
Celle-ci la regarda, des étoiles plein les yeux et lui répondit en l’embrassant.
Oh que oui !
Elles n’avaient jamais fait l’amour en pleine journée. C’était une première. Leur couple passait de plus en plus d’étapes, ce qui les soudait d’autant plus. Elles se connaissaient depuis toujours, elles avaient donc cette complicité naturelle à toute épreuve qui décuplait leur amour l’une pour l’autre.
Lorsqu’elles ne jouaient pas, les deux surs passaient tout leur temps à s’embrasser. Dans toutes les pièces, dans toutes les positions, avec ou sans la langue, debout, allongées, contre un mur. Elles ne faisaient que ça si bien qu’Elsa, qui n’avait connu son premier baiser seulement quelques jours plus tôt, était devenue experte en la matière. Le problème était le personnel. Comment être discret lorsque les deux seules maîtresses de maison passaient leur temps à rouler leur langue entre elles. Elles avaient été maintes fois surprises par des majordomes ou des femmes de ménage. Ce qui, indubitablement, faisait naître des rumeurs au sein du royaume. De plus en plus de citoyens entendaient parler, par leurs amis travaillant au château, d’une liaison entre la reine et sa sur. Certains en étaient choqués, d’autres excités mais tous ne voulaient qu’une chose : la vérité.
La semaine touchait à sa fin, et les nuits d’orages qui les avaient rapprochées sestompaient petit à petit.
Une nouvelle journée pleine de tendresse et de baiser entre les deux surs prenait fin. Elsa tirait Anna vers leur chambre tout en se retournant par à-coups pour l’embrasser. Une fois à l’intérieur, Elsa poussa sa sur qui se laissa tomber dans le lit, rapidement rejointe par la première, qui l’enjamba et se positionna à califourchon sur Anna pour lui retirer ses vêtements avant de retirer sa robe à son tour.
Une fois les deux surs nues, les choses sérieuses pouvaient enfin commencer. Elles n’avaient pas fait l’amour de la journée et la veille non plus, leurs obligations respectives de reine et de princesse passant avant toute relation quelle qu’elle soit.
Elles étaient donc toutes deux aussi en manque de sexe l’une que l’autre. Elsa décida de commencer par sucer le clitoris de sa sur, pour le bander. Elle avait pu apprendre toute cette semaine comment Anna aimait être traitée et avait remarqué qu’elle ne prenait pas autant de plaisir lorsque son clitoris était mis de côté. Elsa prenait donc toujours soin de s’en occuper en tout premier lieu.
Après quelques minutes de préliminaires où Elsa s’occupait du bouton de sa sur tandis que celle-ci s’occupait de ses seins. Elle sut que le moment était venu.
Elle redressa sa sur et plaqua sa chatte contre la sienne, avant de former un gode de glace.
Déjà ? fit Anna en gémissant lorsque l’objet crée par sa sur rentra en elle, tu dois être vraiment chaude
Elsa acquiesça et, sans attendre, remua ses hanches, faisant coulisser le membre glacé entre ses parois vaginales si sensibles lorsqu’elle était en présence de sa sur. Lorsque les deux chattes se touchaient, on pouvait voir la mouille couler sur les draps, ce qui excitait encore plus Elsa.
Mais comme bien souvent, cela ne suffisait plus. Les deux surs baisaient souvent ainsi et Elsa s’en était lassée. Elle retira le gode.
Qu’est-ce-que tu fais ? demanda Anna, je n’ai pas encore joui.
Chuuuut, se contenta de répondre Elsa, obnubilée par ce qu’elle sapprêtait de faire.
Elle attrapa sa sur par les hanches et la retourna. Celle-ci se laissa faire, intriguée par ce qu’Elsa avait en tête. Alors qu’Anna était dos à sa sur, celle-ci la plaqua contre le lit, ne laissant que ses fesses surélevées, face à la chatte d’Elsa.
Tout d’abord, Elsa regarda ce spectacle, fascinée par la beauté de sa sur. Penchée ainsi, sa chatte n’avait jamais été aussi bien visible, elle était dans toute sa splendeur, dégoulinant de part en part. Elsa approcha son visage de la vulve qu’elle avait mainte fois léchée mais ne put s’empêcher de le faire à nouveau. Elle recueillit tout la cyprine et embrassa tendrement le sexe de sa sur à l’odeur acre et attirante.
Elle s’en éloigna à contrecur, mais en sachant que l’instant d’après serait encore mieux. Elle approcha le gode, qu’elle avait toujours en main, vers sa chatte et le souda à son entrejambe par son pouvoir. Dès lors, elle agrippa les fesses de sa sur, et la pénétra d’un coup sec.
Aaaaooouhhh, cria Anna, visiblement surprise.
Elsa pilonnait sa sur de plus en plus rapidement, elle voyait le gode entrer et sortir de la chatte d’Anna au rythme de ses coups de butoir et des cris de celle-ci et cela l’excitait bien plus que son propre plaisir à elle.
Oui ! criait Anna de plus en plus fort, oui ! Continue ! J’aime tellement toutes tes idées surette ! Je t’aime tellement ! Baise-moi fort !
Ces aveux lui faisaient tellement plaisir. Elle savait que sa sur l’aimait mais l’entendre le répéter était ce qu’elle préférait venant d’elle. Pour la remercier, elle la pénétra encore plus violemment, lui déchirant la chatte et lui arrachant le cri de jouissance le plus fort et le plus excitant qu’elle ait poussé.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, criait-elle difficilement, le souffle coupé par son orgasme.
Entendre sa sur jouir ainsi était lextase, sans attendre la fin de l’orgasme d’Anna, elle jouit à son tour, poussant un cri qui se mêlait parfaitement à celui d’Anna.
Toutes deux avaient joui. Elsa, décontenancée, laissa le gode fondre, laissant les litres de cyprine accumulées au bord de sa chatte se déverser sur les jambes d’Anna.
Essoufflée, elle se laissa tomber aux côtés de sa sur qui haletait.
Bon sang, quel orgasme ! C’était tellement intense, merci surette.
Elle l’enlaça et les deux surs s’embrassèrent longuement.
Après plusieurs minutes de silence. Les deux surs, complètement nues et enlacées reprenaient leurs esprits. Aucune n’osait briser ce calme suivant ce qui était leur baise la plus torride. Câlinant sa sur qui était lovée contre sa poitrine, Elsa tenta de faire le point sur sa situation, sur le couple qu’elle formait avec sa sur. Tout ce qu’elles avaient vécu en si peu de temps et tout ce qu’il leur restait encore à vivre. Elle aimait profondément sa sur. Non, elle était amoureuse d’elle, et elle était persuadée qu’Anna ressentait la même chose de son côté. Peu importe ce à quoi elle pensait, elle en arrivait toujours à la même conclusion.
Marions-nous, dit-elle à Anna.
Celle-ci écarquilla les yeux.
Quoi ?
Bah oui, exposa Elsa, nous nous aimons passionnément et pour ma part, je refuse de passer une seule seconde loin de toi. Je pense qu’il en est de même pour toi. C’est donc la suite logique non ?
Elsa commençait à avoir peur d’avoir brûlé quelques étapes et redoutait d’avoir à essuyer un refus. Cela la briserait.
Oui, oui, bien sûr que je ressens la même chose et je suis très flattée que tu me le demandes mais on peut ?
Pourquoi pas ?
Bah, je sais pas, on est de la même famille, et du même sexe qui plus est. On briserait je ne sais combien de lois en se mariant , personne ne nous laisserait le faire.
Comme si on n’en avait pas déjà enfreint plein, fit Elsa, moqueuse, et puis, je te rappelle que je suis la reine. Les lois, c’est moi qui les fixe. Donc je te le redemande
Cette fois, Elsa fit les choses avec la manière. Elle se leva du lit et plia le genou. Elle faisait face à sa sur qui ne put s’empêcher de verser une larme en comprenant ce que sa sur faisait.
Anna, surette, voudrais-tu devenir ma reine ?
Submergée par l’émotion, Anna sauta dans les bras de sa sur en pleurant.
Bien sûr que je le veux, je le veux tellement
Elsa prit le visage de sa sur entre ses mains et l’embrassa. Ce baiser, scellant leur union, dura de nombreuses minutes.
Devant le balcon du château surplombant la place principale de la ville d’Arandelle, Elsa attendait, vêtue d’une magnifique robe blanche et de sa belle couronne taillée dans le plus pur des saphirs.
Tous les habitants d’Arandelle étaient présents pour assister au mariage de leur reine, qu’ils chérissaient tant. La place était noire de monde, des milliers de personnes étaient présentes, mais aucun ne connaissait l’heureux élu. De nombreuses rumeurs circulaient depuis l’annonce du mariage mais aucune n’avait pu être confirmée. Certains pensaient à un puissant roi, d’autres à un beau chevalier. Certains disaient même que l’heureux élu serait en réalité une femme, et pas n’importe laquelle : Anna, leur princesse, la sur de la reine. Très peu croyaient ces médisances, de part la nature interdite d’une telle relation. Certains trouvaient cette idée immonde, d’autres, trouvaient que se serait une formidable avancée pour les murs encore trop anciennes de cette société.
Elsa était stressée. Depuis toute petite, elle rêvait de son mariage, elle pensait à sa robe, sa bague et son prince charmant. Sauf qu’elle n’aurait jamais pensé que ce serait finalement une princesse charmante qu’elle épouserait, mais elle préférait largement cela. Sa sur était tout pour elle et celle-ci la connaissait sur le bout des doigts, qui d’autre serait plus à la hauteur pour l’épauler pour le reste de sa vie ? Personne, elle le savait. Elle aimait profondément Anna et ne l’échangerait contre rien au monde, elle s’en était rendu compte lorsqu’elle avait failli causer sa mort un an plus tôt.
Lorsque le prêtre arriva, toute l’assemblée se tut. La cérémonie commençait.
J’appelle la mariée, fit-il.
Elsa se retourna pour voir sa sur arriver. Elle ne l’avait pas encore vue.
Anna entra, vêtue d’une somptueuse robe blanche semblable à celle d’Elsa mais beaucoup plus sexy. Émue, elle admirait sa beauté. Anna avait coiffé ses beaux cheveux roux en chignon, comme Elsa l’aimait. Cette dernière ne put s’empêcher de mouiller à sa vue. Heureusement, elle avait prévu qu’elle ne pourrait contenir ses émotions et avait fourré plusieurs tampons dans sa chatte avant le mariage, empêchant les fuites malvenues.
Lorsque la foule aperçut la mariée, un tumulte la gagna. La fameuse rumeur était confirmée. D’un côté ceux qui approuvaient ce choix criait leur joie, et les autres de l’autre côté, leur déception. De là où se trouvaient les surs sur le point de s’unir pour la vie, cela paraissait être une clameur générale.
Tu vois, fit Elsa en riant, émue, ils t’ont déjà adoptée comme reine.
Alors que le calme reprenait, le prêtre commença son discours. Il parla de l’importance du mariage, ce qu’il représentait etc. Ni Elsa, ni Anna ne l’écoutaient, elles étaient bien trop excitées à l’idée de se marier enfin et ne faisaient que se regarder. Elles se dévoraient toutes les deux du regard en souriant, imaginant la folle nuit de noces qui les attendait.
Une fois le discours terminé et les alliances enfilées, le moment que toutes les deux attendaient tant était enfin venu.
Je vous déclare donc unies par les liens sacrés du mariage ! Vous pouvez embrasser la mariée, dit-il à Elsa.
N’attendant que cela, Elsa s’approcha de sa sur et l’embrassa langoureusement. Elle appliqua tout ce qu’elle avait retenu de ces longues journées passées à embrasser sa sur dans ce baiser qui n’en finissait plus sous les cris de joie des citoyens.
Les nombreux adolescents d’Arandelle furent chamboulés par la vision de ces deux femmes, de ces deux surs, s’embrassant. Tous voyaient ça pour la première fois et en furent excités.
Le lendemain, toutes les mères d’Arandelle trouvèrent les sous-vêtements de leur fils tâchés de sperme. Tous les jeunes garçons s’étaient masturbés, imaginant sans doute la nuit de noces intense entre les surs reines.
D’ailleurs, beaucoup de ces mères étaient entrées dans la chambre de leur progéniture pendant qu’il se faisait du bien. Et parmi ces femmes, dix d’entre elles, attendries par la vision de leur fils se masturbant sans doute pour la première fois, décidèrent d’aller l’aider en s’occupant de finir la masturbation de leur petit. Parmi celles-ci, sept avaient laissé leur garçon éjaculer sur elles. Néanmoins, cinq de ces femmes décidèrent d’embrasser le gland encore dur de leur fils, avalant la dernière goutte de sperme qui ruisselait avant de lui souhaiter bonne nuit. Mais trois restèrent, jugeant qu’il était injuste de laisser à leur petit garçon qu’elles aimaient tant, un simple baiser sur le gland en guise de première expérience sexuelle. Celles-ci entreprirent donc de le sucer amoureusement en caressant sa verge jusqu’à ce que celle-ci explose dans leur bouche.
Mais de toutes ces mères d’Arandelle, qui avaient surpris leur fils se masturber avant de l’aider dans cette tâche, puis d’embrasser son gland avant de le sucer. Une seule fut excitée par cette fellation, au point de décider de dépuceler elle-même son fils adoré qui la remercia en l’embrassant.
FIN !
Merci d’avoir suivi cette histoire jusqu’au bout ! N’hésitez pas à cliquer sur j’aime si vous l’avez apprécié. une suite n’est pas prévue pour le moment mais si vous y tenez vraiment, je réfléchirai à écrire une saison 2, faite le moi savoir !