Comme toute étudiante, l’argent est un besoin et on n’en n’a jamais assez. A 18 ans, j’ai donc succombé à des annonces vantant l’argent facile. Bien qu’assez réservée je me doutais bien que j’allais devoir "passer à la casserole". Je n’étais pas encore vraiment décidée mais, la perspective dun week-end shopping avec les copines m’a fait passer le cap.
J’ai donc répondu à une annonce d’un "gentleman" qui cherchait des câlins sans pénétration et qui promettait une belle somme en échange. Son premier mail me demandait des des détails très intimes que je vais vous livrer pour que vous puissiez m’imaginer.
Je mappelle Amandine, j’ai 18 ans, un physique de lolita : taille moyenne, très mince, de petits seins ronds ( 85b) et un superbe petit cul bien rebondi dont je suis très fière.
J’ai également dû lui parler de mes relations intimes, du nombre de masturbations que je fais par semaine, de mes pratiques, mes tabous, … Il aime savoir que je me masturbe de temps en temps, que j’ai eu très peu de relations sexuelles, que j’aime pratiquer la fellation, que mon anus est vierge et que l’idée d’y mettre ne serait-ce qu’un doigt ne m’attire vraiment pas.
Nous avons fini par fixer un rendez-vous pour le lendemain. Il m’a demandé de porter une jupe en jeans, un débardeur (pas de soutien, il dit que mes petits seins n’en n’ont pas besoin), une petite culotte blanche classique et des ballerines. Pas de maquillage, il me veut naturelle, telle une lolita.
Je me suis rendue chez lui dans un état de stress pas possible. Ça ne s’est pas arrangé en le voyant, il est vieux, gros, vraiment pas beau mais heureusement assez gentil, je finis par être un peu plus à l’aise. Vient le moment d’enlever ma jupe et le stress remonte d’un cran. Ses mains parcourent mon corps frêle, plus je stresse, plus ça l’excite. Il est debout derrière moi, ses mains sous mon débardeur caressent mes seins. Malgré la peur j’apprécie cette caresse qu’il pratique très bien. Après m’avoir enlevé mon débardeur, il me les suce et je chavire. Je jouis malgré moi. Il commente les réactions de mon corps et apprécie mes petits tétons érigés comme jamais. Ce premier orgasme a eu le don de me détendre un peu mais sa respiration dans mon cou et ses mains dans ma culotte me rappellent le côté vicieux de cet homme. Après avoir presque arraché ma culotte, il découvre mon sexe épilé pour l’occasion (à sa demande) et se jette dessus. Cette fois-ci pas question de me faire jouir, il joue avec mes sens et attend que je l’implore de me libérer. Soudain je me rends compte que je suis nue, chez un inconnu, que cet homme qui pourrait presque être mon grande père me lèche le sexe. Et moi, petite adolescente timide je lui demande de me faire jouir.
Mais ce pervers a décidé de profiter de la situation et repousser mes limites. Il insère doucement un doigt dans mon anus. Mes protestations ne servent à rien si ce n’est à l’exciter d’autant plus. la sensation est spéciale mais pas désagréable, ses coups de langues sur mon clitoris m’aident à oublier. Il insère un 2ème doigt dans mon vagin dont il apprécie l’étroitesse et l’humidité.
Il me libère enfin d’un coup de langue prodigieux et d’un doigt profondément enfoncé dans mes petites fesses. Terrassée par l’orgasme je ne me rends pas compte que c’est à moi de lui en donner un. Il est déjà devant mon visage, je suis couchée sur le dos, la tête en arrière et il me pénètre littéralement la bouche. Je me sens salope et honteuse tandis que lui, il apprécie la douceur de ma bouche et la vue de mon petit corps frêle et transpirant de l’orgasme qu’il m’a donné. Il commente mon corps tel un pervers pour accélérer sa venue que je crains un peu. Où va-t-il éjaculer? Je n’ai pas très envie d’avaler. Il me dit aimer mes petits seins dont les tétons sont toujours bien dressés, il aime aussi voir mon mont de vénus encore bombé du plaisir qu’il m’a donné, ses mains caressent nerveusement tout mon corps, je sens qu’il va venir et je ne peux me libérer. Ouf, il sort de ma bouche, un premier jet arrive jusqu’à mon sexe, un second entre mes seins et mon visage reçois les dernières goûtes. Je me sens gênée, je voudrais me laver et me rhabiller mais il a payé pour une heure et compte bien profiter de la vue. Il étale un peu son sperme sur mon corps, frotte son pénis mou entre mes fesses qu’il apprécie beaucoup, ses doigts repartent dans mon vagin, …
Il me rappelle notre conversation sur la masturbation et insiste pour que je me caresse devant lui. Honteuse et désireuse de mériter mon salaire, je m’exécute. Il se masturbe et repend vigueur en regardant mes doigts s’activer sur mon clitoris.
Il me guide, m’impose des poses et me dicte de mettre 2 doigts dans mon petit sexe. Je dois ensuite me mettre à 4 pattes et lui montrer mon petit anus légèrement ouvert par sa caresse. Je sais déjà ce qui m’attend, avec un sourire sadique il insiste pour que je me doigte l’anus devant lui. La vue de mes petites fesses fermes et rondes, écartées rien que pour lui, de mon anus doigté pour la première fois le fait jouir à nouveau. De longs jets de sperme s’abattent entre mes jolies fesses et coulent jusqu’à mon anus. De son doigt, le pervers pousse son sperme à l’intérieur de mon petit trou désormais habitué à une présence. Il joue encore un peu avec mon corps comme si j’étais sa poupée puis me jette quelques billets que j’ai bien gagné.
Il fini par me laisser prendre une douche et en profite pour regarder une dernière fois le corps de la jeune fille timide qu’il a pervertie.
Moi je suis heureuse, j’ai vécu mes premiers vrais orgasmes et j’ai de quoi faire du shopping ce week-end.
Finalement j’ai apprécié cette expérience. Je pense que j’aime être un peu soumise pour me laisser aller à de nouvelles sensations. Cet homme était certes repoussant mais aucun garçon ne m’avait donné autant de plaisir avant.
Il m’a rapidement recontacté en me promettant de vivre de nouvelles aventures, de me payer grassement comme la petite pute que je suis devenue. Entendre sa voix m’a émoustillé et je pense que je vais accepter. Je vous raconterai la suite si cette aventure vous a plu.
