Pas très grande, elle est un petit bout de femme agréable à regarder, la quarantaine proche, les yeux noisette ; sans être ronde elle est potelée, dans la rue le regard des hommes se porte invariablement sur sa poitrine dont le volume indispose leurs épouses. Lucette n’y porte guère attention, son seul centre d’intérêt c’est Yann son fils, elle ne vit que pour lui. Son emploi de cadre dans un ministère lui permet de satisfaire les désirs de son rejeton parfois au-delà du raisonnable.

Depuis longtemps sa vie amoureuse est en hibernation, elle n’a avec son époux que des rapports platoniques cela fait des lustres qu’ils font chambre à part, leur mariage est un échec. Jean son mari, est ingénieur en travaux publics, il passe la majorité de l’année en déplacement dans toute la France, il ne rentre au bercail que toutes les cinq semaines et ce n’est que pour des raisons pratiques, lavage et repassage des effets de Monsieur. Alors Lucette se passerait bien de ces visites intéressées, en plus du surcroît de travail, sa venue vient troublée le rythme et la quiétude de la maison, elle ne peut être aussi attentionnée envers Yann son univers !

Eh ! Oui, au risque de vous déplaire, il est l’heureux élu, le fils chéri, et il pense le mériter, toute modestie mise à part. Pour preuve, lorsqu’elle se trouve avec des amies, la phrase ?il est beau mon fils ? revient immanquablement. Physiquement beau ? Non ! Il est banal, mais Yann n’a jamais été un souci pour sa maman chérie, ses réussites scolaires ont dépassé ses attentes et aujourd’hui, il est étudiant dans une grande école, elle est fière de lui. Yann aussi l’adore, il aimerait que sa future compagne lui ressemble. Pour l’instant la présence de sa maman lui suffit, il est bien dans sa peau.

Depuis quelques temps, Yann se surprend à la regarder en tant que femme et pas seulement comme mère. Lorsque affairée au ménage ses positions lui font deviner son anatomie, il ne peut réfréner certaines réactions physiques, à son âge c’est normal.

Surtout le samedi matin, c’est le jour ou Lucette fait le ménage, elle est partout à la fois, en tenue décontractée elle cire, aspire et époussette. Afin d’être à l’aise elle exécute ces tâches en pyjama, elle en possède toute une collection au moins une douzaine, de toutes les couleurs un véritable arc-en-ciel, dans cette tenue elle a un air ?filou ?, de plus la coupe de la veste laisse entrevoir le sillon de ses seins.

Un de ces samedis, Yann est ?vautré ? sur le canapé et sa mère entreprend de cirer la table basse, il est au première loge, le ballottement de la poitrine le rempli d’émoi, il peut même distinguer ses mamelons. A un moment, elle surprend son regard :

— Dis donc Yann, tu ne serais pas un peu canaille ?

Le sourire de Lucette dissipe un peu la honte du coupable de voyeurisme. Le soir au lit, les pensées de Yann ne sont pas toutes filiales, il est de plus en plus attiré par cette femme, après s’être soulagé manuellement d’une érection il décide d’entreprendre la conquête de sa jolie maman.

Le lendemain au réveil, après sa toilette il retrouve Lucette qui comme d’habitude prépare le petit déjeuner, elle s’affaire vêtue d’un de ces immuables pyjamas, arrivant derrière elle il lui fait la bise quotidienne et poursuit ses attentions en l’embrassant dans la saignée du cou, son regard plonge dans son décolleté, elle a l’air surprise par ses assiduités, il en profite pour dégager légèrement l’épaule du vêtement et y dépose quelques baisers.

— C’est quoi ces nouvelles manières ? Tu es en manque d’affection ? Il faut te trouver une petite copine mon chéri.

— C’est toi ma chérie, je t’aime maman !

— Comme c’est mignon ! Au lieu de dire des bêtises dépêche-toi pour être à l’heure !

Satisfait de ces avancées Yann se promet de poursuivre. De fait tous les matins et soirs de la semaine suivante il ne change rien au cérémonial pour lui dire bonjour, la surprise passée cela fait sourire Lucette et semble l’amuser. Yann pense à pousser plus avant ce premier avantage.

Le samedi matin suivant en lui faisant la bise rituelle, ses baisers s’attardent plus longtemps sur son épaule. ? Cesse voyons ! Lui dit-elle? En dégageant la deuxième épaule Yann reprend ses bisous ?Il ne faut pas faire de jaloux? dit-il. Le sourire de Lucette lui donne de l’audace, il glisse ses mains sous la veste et lui enserre la taille, la peau est douce comme du velours. Lucette tourne la tête vers son fils et du regard l’interroge, il lui vole un léger baiser du bout des lèvres en s’écartant.

— Alors ce petit déjeuner çà vient, n’oublies pas que le ménage t’attend !

— Oh ! Ce culot, fils indigne !

La reprenant dans ses bras, Yann l’embrasse sur la tempe ses mains repartent à l’assaut de sa taille sous la veste, ils s’observent du coin de l’oeil, ses mains remontent légèrement et ses paumes viennent établir le contact avec le dessous des seins de Lucette. C’est chaud, il sent la lourdeur de ces splendides globes. ? Tu exagères dit-elle en fermant les yeux. ? Ne pouvant plus résister, il ouvre les mains et englobe les seins, les mains de Lucette tentent de repousser les siennes à travers la veste, elle le regarde de nouveau la tête penchée en arrière sur son épaule. ? C’est de la folie, Yann enlèves tes mains. ? Pour la faire taire il lui baise les lèvres sa langue caressant la bouche, après quelques instants la pointe de la langue de sa mère vient rencontrer la mienne, ils se livrent à ce jeu pendant un moment elle a de nouveau fermé les yeux. Yann en profite pour lui triturer les tétons, ses ongles agaçant les pointes. ? Doucement trésor, je suis très sensible, caresses-les doucement ! ? Yann a gagné, ils échangent leur premier vrai baiser les mains jouant toujours avec les seins de Lucette il en a les larmes aux yeux.

— Tu es le diable lui dit-elle en le repoussant.

— Tu es un ange ma chérie.

— Tais-toi, passons à table, j’ai du travail qui m’attend.

Le repas terminé Yann reprend position sur le canapé et Lucette s’affaire au ménage, le spectacle se renouvelle et de tant à autre il a une vue plongeante dans son décolleté. Lorsque leurs regards se croisent ils échangent un sourire complice. Afin d’ôter une tâche sur le sol elle se retrouve accroupie au pied de la table basse, Yann ne résiste pas à la tentation, il la bascule sur le canapé en l’embrassant partout sur le visage et le cou. ? Laisse-moi travailler ! ? Il la fait taire en lui baisant la bouche, les yeux de Lucette l’observent interrogateurs, de nouveau un baiser passionné les réunit, elle a la tête posée sur ses cuisses. Yann repart à la conquête de ses seins en dégrafant deux boutons de sa veste, sa poitrine épanouie apparaît, elle est superbe, il lui titille les mamelons qui deviennent turgescents. Sa main glisse sous l’élastique du pantalon, il englobe entièrement sa motte, la fourrure est abondante et soyeuse un de ses doigts trouve la faille, elle est humide.

— Arrêtes ! Nous sommes fous, ce jeu va vraiment trop loin !

— Chut ! Je t’adore, tu es un amour.

Yann poursuit ses investigations, le ventre de Lucette tremble, il débusque le petit bouton, les autres doigts jouant avec les grandes lèvres, le bassin de Lucette ne touche pratiquement plus le canapé, sa tête sur les genoux de son fils dodeline, elle ferme les yeux pour ce concentrer sur son plaisir. Le doigt de Yann joue avec le clitoris évitant tout contact trop appuyé, elle est obligée de soulever son bassin pour augmenter la pression. ? Méchant, appuie plus fort, plus fort. ? Momentanément il répond à son attente puis revenant à l’effleurement le ventre de Lucette de nouveau se soulève. De sa main libre Yann sort mon membre il est tendu, il entame un branle apaisant, son sexe se trouve proche de la tête de sa mère. Les yeux clos elle n’a rien deviné attentive à son plaisir. Yann savoure l’instant, deux de ses doigts la pénètre légèrement et son pouce masse le bouton, Lucette geint, il lui tapote la joue avec son sexe, elle prend conscience de la situation. ? Oh ! Canaille ? Elle tourne la tête pour le regarder faire, il sent son souffle, elle ouvre la bouche et happe une partie du gland, Yann plonge deux de ses doigts au fond de la grotte. En réponse elle l’engloutit en grande partie, le pouce de Yann comprime le clitoris et se lance dans un branle vertigineux, le bassin de Lucette se soulève sporadiquement, son plaisir éclate brutalement, sa main vient comprimer celle de son fils pour tenter de l’immobiliser, doucement son ventre s’apaise. Seule maintenant sa bouche s’active, Yann ne peut plus se retenir, il essaye de se retirer mais Lucette ne lâche pas prise, c’est l’explosion !

Ils restent là à se regarder en silence, une complicité les unit, Yann lui caresse les cheveux. Heureux, d’être amoureux.

— Il faut que je termine le ménage, ton père va bientôt arriver, il m’a dit qu’il serait là vers midi

— Qu’est-ce qu’il vient nous emmerder celui-là, il ne peut pas s’adresser à ses putes pour ses fringues !

— Yann ne parle pas de ton père de cette façon !

— Quoi, Ce n’est pas la vérité ?

Afin d’éviter une réponse embarrassante Lucette l’embrasse puis retourne à son ménage. Jean est arrivé peu après midi aucune marque d’effusion de sa part, après avoir déposé sa valise et son sac dans le salon il se sert une large dose de whisky et s’installe sur le canapé. Le canapé de Yann qui ne peut s’empêcher de pester contre cet intrus, pour lui ce n’est pas son père, juste un géniteur doublé d’un gêneur. Il perturbe la tendre complicité qui c’est créé entre Lucette et lui.

Après un léger repas, Jean retourne sur le canapé, Yann aide sa mère à débarrasser la table et à faire la vaisselle, cela lui permet de s’isoler avec elle dans la cuisine. Lucette lave pendant que Yann essuie, les mains prises elle ne peut guère se défendre contre les assiduités de son fils, ses mains virevoltent des seins aux fesses.

— Arrêtes donc, tu vas me faire faire des bêtises !

— ? Laisse, j’ai envie de te caresser ? et sa main se faufile sous sa jupe.

— Non! Tu exagères, et l’autre qui est coté, tu es complètement fou !

— Avec ce qu’il a bu à table, il ne pense qu’à sa sieste !

La maison est de nouveau en ordre, Jean somnole, il cuve l’excès de boisson du repas, Yann propose à sa mère de l’accompagner pour faire les courses.

— Je ne savais pas que tu aimais faire les magasins !

— C’est pour le plaisir d’être avec toi.

— ? Tu es un amour ! ? lui dit-elle en l’embrasant du bout des lèvres. ? Jean je vais en ville avec Yann pour faire le ravitaillement ? !

Ce dernier n’ouvre même pas les yeux et se contente de leur demander de lui prendre une bouteille de ? Cardhu ? pour l’apéritif de ce soir.

C’est avec fierté que Yann marche sur le trottoir de la rue principale, les hommes admirent avec envie la compagne qu’il tient par les épaules, ils ont l’air de deux amoureux. En passant devant un magasin de lingeries fines un ensemble affriolant attire l’attention de Yann, de couleur rouge avec de la dentelle blanche, il est superbe.

— ?Il est fait pour toi ? dit-il à Lucette.

— Tu es fou, j’aurais l’air de quoi ?

— D’une femme super bandante, et je serais seul à en profiter.

— Petit vicieux, est-ce une façon de parler à sa mère.

— Tu es mon trésor, tu es à moi.

Malgré les réticences de Lucette, Yann l’entraîne dans le magasin, une femme frisant la cinquantaine les accueille, elle a une certaine prestance et des charmes avantageux, sur son tailleur un badge indique que cette dame se prénomme ? Laure ?.

— Ma compagne voudrait essayer l’ensemble exposé dans votre vitrine !

— La parure rouge ? Je suis persuadée qu’il vous ira à ravir dit-elle à Lucette.

Elle disparaît dans l’arrière boutique les laissant seuls, Lucette veut quitter le magasin, le retour de Laure évite cette éventualité.

— Voilà mais je vous ai mis deux soutiens-gorge, un avec des bonnets ? D ? et l’autre c’est un ? E ?.

— Du 95 ? Précisa faiblement Lucette.

— Oui. Malgré qu’il semble que vous vouliez la masquer je l’avais deviné, quand on a une poitrine comme la votre il faut la mettre en valeur.

Cette charmante dame les accompagne jusqu’à une cabine d’essayage et tire le rideau derrière eux, Lucette pose son pull et Yann l’aide à dégrafer le soutien-gorge, ses deux seins apparaissent, beaux, magnifiques, après un premier essai le ?bonnets D ? s’avère trop petit, le ? E ? est impeccable, lors de la mise en place Yann en profite pour lui lutiner les tétons, rapidement les bouts deviennent raides, placé dans son dos il plonge ses deux mains dans les bonnets, à ce moment le rideau de la cabine se soulève pour laisser entrer Laure la patronne du magasin.

— ?Il y a un problème ? ? Lance-t-elle à Yann d’un sourire goguenard.

— ? Euh ! Non, je voulais juste mettre les seins bien en place ?. Lui répond-t-il comme pour s’excuser.

— Laissez, je vais le faire, rien ne vaut les mains d’une professionnelle.

Face à Lucette elle plonge ses mains dans les bonnets et entreprend de les remonter pour les placer, Lucette ne dit rien mais sa gêne se devine, la patronne regarde Yann avec un sourire malicieux pendant cette opération. Placés de cette façon, les aréoles sont visibles, il aurait fallut peu de choses pour que les tétons apparaissent.

— ? Je ne peux porter çà, c’est trop dénudé ? Dit Lucette.

— ? Vous êtes superbe ? Répond Laure en continuant à lui palper la poitrine.

— Méfiez-vous, elle a les tétons hyper sensibles !

Comme pour contrôler les dires de Yann, avec les deux pouces elle appuie sous les bonnets et les deus tétons surgissent. ? Cessez voyons ? fit Lucette.

Laure les prend entre ses doigts et les roulent. ? Non s’il vous plait ? redit Lucette les yeux à demi clos. Laure ne tient aucun compte des plaintes de Lucette, elle continue à agacer les bouts en regardant Yann. ? Vous êtes un homme heureux avec une compagne aussi réceptive ? Tenant toujours Lucette par les épaules Yann lui répond par un sourire cela donne un peu plus d’audace à Laure, se penchant elle prend un téton en bouche, Lucette a désormais les yeux fermés Yann lui baise la saignée du cou, une de ses mains vient rejoindre celle de Laure sur un sein. Pendant un moment ils jouent à agace téton à deux mains. Puis Laure la bouche sur l’autre sein envoie sa main s’infiltrer sous le slip de dentelle.

? Vous êtes folle ? s’insurge Lucette ? Je veux pas ! Pas avec une femme ! ? Yann la fait taire en lui baisant les lèvres. Dans le miroir de la cabine il voit la main de Laure s’agiter entre les cuisses de Lucette. Les baisers de son fils plus le branle que Laure lui inflige ont raison de sa volonté, en geignant elle referme les yeux et ses cuisses s’écartent légèrement pour laisser libre cours aux désirs de cette femme. Voyant cela Laure baisse la culotte à mi-cuisses et reprend plus passionnément ses caresses, de part les tremblements de Lucette Yann se doute qu’elle a débusqué le clitoris.

Désormais Lucette maintient la tête de Laure contre son sein et son ventre va au-devant de la main qui la fouille. Yann se contente de soutenir sa bien aimée pour mieux l’offrir à la fringale de leur nouvelle compagne, délaissant le sein de Lucette, Laure se met à genoux, elle fait glisser le slip sur le sol, sa bouche va à la rencontre du sexe de Lucette et se lance dans un broutage de gazon en règle, Lucette lui prend la tête de ses deux mains pour la plaquer entre ses cuisses largement ouvertes.

La bouche de Lucette n’émet plus que des ? Oui ! Encore ! Plus loin ! Plus fort ! ?

Doucement le plaisir monte, puis brutalement explose, le corps de Lucette s’affaisse, Yann est obligé de la soutenir le temps que les sensations s’atténuent. Laure refait surface en s’essuyant les lèvres du revers de la main, elle est satisfaite ? Alors ! Ma belle ! On a pris son pied ! ? En guise de réponse Lucette lui viole la bouche d’un profond baiser. ? Eh bien ! Toi tu es sacré numéro ? Fit Laure en s’écartant ? Excusez-moi, mais il faut que je retourne au magasin ? ajoute-t-elle en se réajustant, et elle quitte la cabine.

Lucette remet ses vêtements sous l’oeil amusé de son fils, il n’en revient pas. Il découvre Lucette sous un nouveau jour.

— Alors là ! Je n’en reviens pas, ma mère est une jouisseuse et de plus elle aime les femmes !!!

— Tais-toi, j’ai trop honte, cette femme est une sale lubrique.

— Tu n’avais pas l’air de t’en plaindre tout à l’heure ?

Quittant la cabine d’essayage, ils se dirigent vers la caisse, Laure est derrière le comptoir elle les accueillent avec un large sourire. ? Avez-vous trouvé votre bonheur ? ? leur dit-elle. Lucette ne répond pas et regarde ailleurs. ? C’est parfait, votre aide a été digne d’une vraie professionnelle, ma compagne vous remercie ! ? Répondit Yann avec un large sourire. Après avoir réglé leur achat ils quittent le magasin Laure les accompagne jusqu’à la porte.

— ? J’espère vous revoir bientôt ? ? leur dit-elle

— ? Nous reviendrons avec plaisir ? Répond Yann en prenant Lucette par le bras.

Pendant la durée des courses, Lucette fait la tête, elle en veut à Yann de n’avoir rien tenté pour la tirer des griffes de cette commerçante trop entreprenante. Malgré tout, elle accepte de prendre un thé à la terrasse d’une brasserie.

— Allez ! Avoue que tu as apprécié les faveurs de cette femme.

— Oui ! T’es content ! Laure m’a fait jouir et j’en suis encore toute retournée.

— Je ne savais pas que tu aimais les femmes ?

— Moi non plus, mais tes caresses de ce matin m’ont mis les nerfs à fleur de peau, elle en a profité.

De retour à la maison ils retrouvent Jean qui n’a pas quitté le canapé, plusieurs bières traînent sur la table basse. Lucette prépare le dîner du soir, Yann va dans sa chambre surfer sur le ? Net ?

— ? Puisque vous avez pensé à prendre du ? Cardhu ? je prépare l’apéro.

Le dîner terminé, tout ce petit monde s’installe devant la télévision, rapidement Jean somnole, l’alcool de la journée a eu raison de lui. Brutalement, il sursaute : ? Ma semaine a été éreintante, je dors debout, je vais me coucher ? Lucette et Yann se regardent amusés.

— Tu vois l’alcool à du bon, elle nous débarrasse d’un con !

— Tais-toi, je t’en prie. D’ailleurs moi aussi, je vais me coucher, les émotions de cette journée m’ont épuisée.

— ? Tu m’as toujours dit qu’il ne fallait pas abuser des bonnes choses ? Répondit Yann.

Yann lui aussi quitte le salon il se dirige vers le petit cabinet de toilette attenant à sa chambre, il passe devant la chambre de Jean ou résonne un ronflement éthylique, il prend rapidement une douche et se dirige vers la chambre maternelle, Lucette elle aussi est en train de se doucher. Nu, il se glisse dans les draps et attend le retour de sa maman chérie, il entend la porte de la salle de bain se refermer puis celle de la chambre qui s’ouvre, Lucette est devant lui en pyjama, la stupeur se lit sur son visage.

— Tu es fou, qu’est-ce que tu fais là, et ton père qui dort dans la pièce à coté, allez ! File dans ta chambre.

— Lui, il ronfle, désormais j’ai décidé de coucher avec toi dans notre lit, tu es à moi !

— Notre lit !!! Allez cesses ces enfantillages, tu vas réveiller ton père, sors d’ici !

— Hors de question ! J’y suis, j’y reste ! Viens ! Je veux t’avoir dans mes bras.

— Tu es infernal, bon d’accord ! Mais juste un petit câlin et tu déguerpis, je suis folle de te céder.

Lucette défait le lit de son coté et s’apprête à se glisser dans les draps.

— Ah non ! Tu ne vas pas te coucher avec ton pyjama, allez enlèves moi tout çà !

— Non mais tu rêves, tu crois que je vais coucher toute nue à coté de toi !

— S’il te plaît, ôtes ce truc ! Je t’ai déjà vue à poil dans la cabine d’essayage.

— Non et non !

— S’il te plaît, enlèves au moins le haut, sois gentille !

Lucette cède une fois de plus, elle retire la veste et vient se blottir dans les bras de Yann, il se jette la bouche en avant sur les seins, il lèche, tête, mordille. Lucette le tien dans ses bras, telle une chatte elle ronronne de plaisir, leurs jambes s’entremêlent. Yann vient prendre la main de sa mère et la dirige vers son sexe tendu à mort. ? On a dit juste un petit câlin, tu exagères ! ? Mais Lucette ne retire pas sa main, au contraire elle parcours le membre avec lenteur, elle caresse les bourses gonflées puis entame une masturbation. Yann nage dans le bonheur et en profite lui aussi pour s’insinuer dans la culotte de pyjama, l’ouverture des cuisses lui permet de caresser cette chatte maternelle comme bon lui semble, elle est trempée, il branle le bouton et pénètre profondément le sexe de ses doigts. Lucette tout en continuant de branler son fils tend son ventre en avant, elle qui ne voulait pas, maintenant quémande. ? Oui ! Vas-y ! Branle plus fort, plus loin ! ?.

Yann repousse les draps et se couche sur Lucette :

— Ah non! Pas çà ! Jamais !

— Laisses moi faire, je veux te boire ! Boire à ta source !

Yann retire le pantalon de pyjama de Lucette, il lui écarte les cuisses et admire le paysage, le sexe de sa mère est bombé, des poils soyeux couvrent le mont de vénus, une odeur sublime s’en dégage, Yann approche sa langue et de deux doigts repousse le capuchon qui protége le clitoris, il le titille de la langue. Les fesses de Lucette ne touchent plus le matelas elle tend tout son corps vers cette bouche, Yann en profite pour glisser ses deus mains et prend appuie sur ses coudes, ainsi le bassin de Lucette est dans l’espace à la disposition de cette bouche qui se goinfre du liquide maternel. Lucette n’en peut plus, ses jambes se sont croisées dans le dos de Yann comme si elle avait peur qu’il s’échappe. Pour étouffer ses gémissements elle a pris la veste du pyjama qu’elle mord à pleines dents.

Lucette sent le plaisir monter, il arrive, puissant tel un raz de marée qui submerge tout sur son passage. Yann quitte l’entre cuisses et s’allonge sur Lucette, elle est radieuse, le plaisir qu’elle a pris est encore visible sur son visage, le sexe de Yann vient se loger contre celui de sa mère. Le gland met peut de temps à trouver l’ouverture, il s’y faufile, il marque un temps d’arrêt à l’entrée puis d’une lente progression pénètre à fond le vagin qui l’a vu naître.

— ? Non !!! Je ne veux pas ! ? crie Lucette.

— Je te baise ma maman chérie ! Tu l’as bien au fond de toi ! Ton fils te baise !

— ? Merde ! Yann baisse la télé, tu nous emmerdes avec tes films de cul. Tu vas réveiller ta mère. ? Marronne Jean, le cri de Lucette a du le sortir momentanément de son sommeil.

— ? Connard, il est cocu ce con. Cocu ! ?. Commenta Yann, tout en continuant à pourfendre Lucette.

— C’est monstrueux ! Tu forniques ta mère ! J’ai honte mais c’est tellement bon ! Doucement mon trésor, baise moi doucement, bien à fond, oui comme çà, on va jouir ensemble mon amour!

Bustylove.

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