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Des vacances entre père et fille – Chapitre 5




Je souriais à Maxime, il avait vraiment l’air gêné par son comportement de la veille. Son ébriété m’avait tout de même permis de retrouver mon père dans sa chambre sans que notre invité ne se doute de rien. Comme pour se rattraper il me servis un verre de jus d’orange fraichement pressée et une tasse de thé:

-" Et sinon que fais-tu dans la vie, car quand je vois ton père on parle rarement de nos vies;

— Oui j’ai crue comprendre que vous étiez bine trop occuper à autre chose.

— Oh ne te formalise pas avec ce que nous avons dit hier, alors qu’est ce qu’une jeune femme comme toi fait?

— Je viens de valider ma licence en droit et en septembre je commence une maitrise pour faire du droit international et je veux me spécialiser dans le droit aux états-unis,le summum pour plus tard serait de travailler pour une grande firme américaine.

— Que d’ambition pour une jeune femme de ton age, tu as quoi? tout juste 20ans?

— 22 ans plus précisément, enfin 23 à la fin de l’année. Et toi, que fais-tu? Ce qui m’intrigue c’est que mon père fréquente quelqu’un d’aussi jeune que toi, a part la famille, ses relations ont toujours plus de 45ans.

— Laisse-moi rire, Je ne l’ai jamais vue avec quelqu’un de plus de 35 ans, du moins quand il est ici. De 20 à 35 ans, voilà ce qu’il fréquente ici, enfin ses conquêtes quoi!

— Vraiment tout ce rapporte au cul chez toi!Avec une mentalité pareil ta vie doit être bien triste.

— Détrompe-toi ma belle. Je travaille dans le monde de la pub, rien de triste ou d’ennuyant. Et le cul, c’est ce qui fait tourner cette planète.

— Voilà une idée bien fermée.

— Bref,ça ne sert à rien de parler de ça, je crois que nous ne serons pas d’accord. Tu es encore jeune et crois probablement encore que le sexe rime forcement avec amour. Laisse-toi quelques année et tu verras.

— Au ne t’inquiète-pas pour moi, si tu savais tu ne parlerais pas.

— Tu serais-donc une cachotière de coquine alors?

— Pour quelqu’un qui voulais se faire pardonner, je trouve que tu redeviens bien impoli.

— C’est toi qui me lance sur se terrain."

Je ne voulais pas en entendre plus et quittais mon transat. Il ménervai au plus au point. Il était là, torse-nu, avec son bronzage doré, ses yeux vert, moqueur, ses muscles parfait, son air arrogant de MONSIEUR JE SAIS TOUT.

Ah il m’excitait, heu ménervait au plus au point. J’avais envie qu’il me possède, qu’il me sert fort dans ses bras.Il me rendait folle. Et lui, il me voyait comme une jeune femme fleur bleu qui ne connait rien au sexe et qui ne rêve que du grand amour. Tout était confus dans ma tête car niveau cul je n’étais pas fleur bleu,en témoigne de ma relation avec mon père.Mais LUI,là, qui m’agaçait, LUI, j’avais envie de lui plaire, j’avais envie qu’il m’aime. Car en effet toute cette haine que je ressentait en sa présence n’était autre que de l’attirance et du désir, mais pas seulement sexuel. Comment en une soirée avait-il peu m’envouter à ce point? Juste en m’ignorant dabord, et en me sous-estimant ensuite.

L’eau tiède de ma douche se mêlait à mes larmes que je n’avait pu retenir. J’étais dans ma salle de bain depuis je ne sais combien de temps, les yeux fermés,l’eau coulant interminablement, quand mon père vint me rejoindre,nu,et se cola à moi. Il aperçut mes yeux rougit par les larmes et me questionna du regard. Ne pouvant lui fournir de réponse,je me blottissait au creux de ses bras, dans le réconfort d’une étreinte paternelle. Puis,petit à petit, ses mains commencèrent à caresser mon corps d’une manière plus insistante. Ses lèvres se posaient dans mon cou et sa chaude respiration me faisait frissonner. Je sentais mes tétons durcirent. L’eau coulant sur nos deux corps était extrêmement aphrodisiaque et éveillait en moi mon appétit sexuel. J’en oubliait Maxime et la confusion de mon esprit disparu. J’étais de nouveau le jeune femme qui voulait se faire prendre par son père et tout mon corps répondait à ses caresses. Dans un mouvement à peine perceptible il appuya sur ma tête afin que je m’accroupisse pour me retrouver avec sa queue dans ma bouche.

-" Tiens ma puce,ça te consolera."

Je commençais alors une pipe phénoménale, je m’appliquai comme peu de fois je l’avais fait; Je répondait à tout ses frissons et soubresauts avec des coups de langue. J’aspirais son gland en lui malaxant les couilles, j’avalai sa queue au plus profond de ma gorge à m’en faire pleurer,je le pompait frénétiquement à m’en donner des crampes à la mâchoire. Il me répondait par des soupirs roques, pressant ses mais de chaque coté de ma tête. Il finit par jouir en moi,et j’avalai tout, affamé par son gout.

Quand nous furent tous les deux secs, Maxime revint à mon esprit. Mon père me rassura qu’il était parti lorsqu’il était revenu du sport. En fait il m’avoua qu’il lui avait proposé de venir passer quelques jours à la maison mais qu’il n’avait pas accepter car il souhaitait que je donne son accord. Maxime avait dit à Lionel qu’il avait peur que je n’accepte pas sa présence et qu’encore ce matin il avait eu l’impression de me déranger.

-" Je voulais m’assurer qu’il n’y avait pas de problème pour toi pour qu’il vienne quelques jours à la maison.Ensuite je veux que tu m’explique pourquoi tu pleurais tout à l’heure."

Je me sentais prisonnière, mon père ne comprendrai pas que je refuse la présence de son ami, je ne pouvais ne pas lui dire non plus que Maxime me plaisait beaucoup, et si Maxime venait, voudrais-je continuer ma relation avec mon père? Nous avions attend un stade de non retour, auquel je n’avais pas réfléchis. Quand serait-il entre nous deux au retour de nos vacances? Mon père redeviendrait-il mon père et moi sa fille, comme avant,sans aucun changement? Et si je tombais amoureuse de Maxime, que se passerait-il? Dans un tourbillon de questionnement et la chaleur de la salle de bain étant étouffante, je perdis pied et tomba dans les bras de mon père.

Mon père me porta jusque dans la fraicheur du salon, où tout les volets étaient restés fermés depuis le matin. Le cuir froid du canapé me fit frémir car je n’étais pas habillée. Mon père commença par me masser les épaules,comme quand j’étais stressée par les examens,et ça me détendis immédiatement. Malheureusement mon questionnement intérieur continuai. Ses mains glissèrent alors sur ma poitrine et je le stoppai aussitôt, lui faisant ainsi comprendre que ce don j’avais besoin c’était un père un non un amant. Pourtant il continua ses caresses.

-" Qu’avons-nous fait, papa? Je t’ai pousser à devenir mon amant le temps de ses vacances mais que se passera-t-il après? Et puis maintenant nous ne sommes plus 2, nous sommes 3. Comment dois-je me positionner?

-Comment ça 3?

— Enfin pas vraiment 3, mais Maxime, s’il vient, que va-t-il se passer? Tu continuera à être mon amant en se présence,où tu redeviendra mon père? Et si je tombe amoureuse?

— De qui?

— Ben, de Maxime, il me plait beaucoup, beaucoup plus que toi.

— Alors heureusement qu’il te plait beaucoup plus que moi, ça me rassure.

— Papa, qu’est-ce qu’on va faire,prend cette décision pour nous,moi je ne sais pas quoi décider."

Mon père continuai à me malaxer les seins en restant distrait et pensif. Mes tétons durcir légèrement, j’aimais sentir ses chaudes et douces mains sur ma peau nue,mais j’aurai aussi aimé que Maxime face pareil, de manière mon paternel, plus brutal en quelque sorte. Mon père fini pas prendre une décision pour nous, de manière autoritaire mais satisfaisante pour nous 2:

-" Voilà ce qui va se passer, je vais dire à Maxime de venir car j’ai envie qu’il soit là, s’il doit se passer quelque chose entre vous tant mieux,mais tu resteras quand même à ma disposition quand je le souhaiterais. Et si tu tombes amoureuse, que veux-tu que j’y fasse? Je te laisserais partir car il doit en être ainsi.Quand on va rentrer à la maison on reprendra notre vie comme avant, je recevrai encore des femmes et se sera comme ça. Par contre si un jour on à envie de ce faire du bien ensemble alors on se fera du bien, comme ce qu’on fait ici, car tu m’as fait comprendre que se faire du bien ce n’était pas mal. Et si un jour tu fréquentes et ben on continuera quand même à se faire du bien car se n’est pas tromper que de passer du temps avec son père. Et de toute manière je ne te laisserai pas vraiment le choix car c’est toi et ton impertinence qui mon fait tomber dans ça, donc tu es adultes, tu assumes les conséquences de tes actes. Écarte les jambes maintenant."

Et c’était là sa conclusion.Je me retrouvais allongée, nue sur le canapé froid,les tétons en feux. Mon père se leva, disparu,me laissant dans cette position et ré-apparus avec un objet ressemblant à un uf vibrant et une télécommande. Il introduisit luf dans ma chatte légèrement humide et m’expliqua qu’il déclencherai les vibrations quand bon lui semblera, il activa l’appareil pour me donner un aperçu puis léteignis aussitôt. Il me demanda de ne toujours pas bouger,je restais ainsi,les jambes écartées. Il s’installa à côté de moi,son téléphone à l’oreille, et avec sa main libre, me caressant mon clitoris qui enflait sous chacune de ses caresses:

-" Ouai Max, c’est Lionel…Bah écoutes,tu peux venir sans problème à la villa…oui, oui Alex n’est pas contre, hein ma chérie?…. oui elle est à côté de moi, je ne dirais pas qu’elle est ravis mais ça n’a pas l’air de lui déplaire, hein ma chérie?….Ouai,au fait tu pourras ramener ton escabeau?….bah je voudrais commencer à refaire la peinture dans la chambre d’Alex…Mais non pas de soucis,on fera comme hier,tu dormira dans ma chambre…Oh tu sais elle peux dormir avec son vieux père quelques jours quand même…ouai en plus ça va prendre quoi 2-3 jours grand max, hein ma chérie? tu n’y vois pas dinconvénient? Bon bah tu nous rejoins cet aprèm’ alors?….a plus,ciao."

J’étais au bord de l’orgasme,pendant toute la conversation mon père avec continué de jouer avec mon clitoris et allumant par intermittence luf vibrant.Mon corps était en feux,mais tétons dur comme le marbre,ma chatte dégoulinante de mouille, et c’est à coup de langue sur mon petit bouton que Lionel vint me délivrer de cet orgasme.

J’avais finis par vêtir une petite robe légère, en mousseline,qui enveloppait mes courbes,et nous sortions de table quand Max arriva à la villa, avec son sac sur l’épaule.Il portait un polo blanc et un bermuda blanc, qui permettait de voir les muscles saillant de ses bras et de ses mollets. Ses cheveux furent légèrement décoiffés par la brise et sa démarche nonchalante était irrésistible. C’est à ce moment là que mon père décida de ré-activer luf vibrant que javais été obliger de garder en moi.Le SALOP.

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