Ce même soir, mon mari voulut un rapport et, malgré la fatigue (je venais de jouir 3 fois) je le laissais faire. Comme à son habitude, après s’être donné 3-4 aller retour sur sa queue pour la faire durcir, il me pénétra. Il dut être surpris de l’onctuosité de ma chatte (il faut dire que ce que j’avais fait dans l’après-midi restait présent dans mes pensées). Contrairement aux autres jours, ses va-et-vient me faisaient un certain effet et je me surprenais à ressentir un certain plaisir mais, comme d’habitude, il éjacula presqu’aussitôt, me donna un bref bisou, se retourna et s’endormit.
Je ne trouvais pas le sommeil. Il faut dire que ce court intermède m’avait excité et c’est tout naturellement que mon doigt caressa mon clito. J’aurai voulu que mon mari me voit en train de rechercher l’orgasme, peut-être aurait-il l’idée de remplacer mon index par le sien, ou bien se servirait-il de sa langue, peut-être que sa queue banderait-elle à nouveau. Rien de cela n’arriva et c’est dans un long soupir que ma jouissance survint sous les caresses de ma propre main.
Le lendemain lorsqu’Anne arriva, Chloé l’accompagna jusqu’au salon où je me trouvais. Anne me salua avec un immense sourire et moi je me mis à rougir comme une collégienne prise en faute. Ma fille, voyant mon embarras, voulut immédiatement détendre l’atmosphère.
– Ce matin, au téléphone, dit-elle, nous avons eu une longue discutions Anne et moi et, tu t’en doutes, nous avons surtout parlé de toi. Elle est donc au courant pour nous deux.
Je rougis de plus belle.
– Mon récit lui a beaucoup plu, reprit-elle, à tel point que je l’ai entendue gémir au bout du fil. Tu dois te douter de ce qu’elle était en train de faire en écoutant mon récit.
A ce moment je n’étais plus la seule à rougir, le visage d’Anne vira à l’écarlate.
– Chloé, sermonna Anne, tu n’étais pas obligée de lui dire…
– Que tu te branlais, coupa Chloé et pourquoi n’avouerai-je pas que de mon côté, je faisais la même chose. N’est-ce pas maman que tu aimes savoir que ta gouine de fille aime se branler. Peut-être même m’as-tu espionné et que de voir ta petite Chloé se faire jouir t’a donné des idées et que tu t’aies octroyé une petite branlette en douce.
– Chloé arrête!
– Pourquoi, tu as changé d’avis? Hier tu étais prête à assister à mes ébats avec Anne. As-tu changé d’avis?
– Non mais je…
– Taratata, reprit Chloé, je suis certaine que ta chatoune est trempée comme la mienne d’ailleurs et celle d’Anne aussi. N’est-ce pas Anne que tu mouilles?
Et, pour prouver ses dires, elle souleva la robe de sa copine dont la culotte s’ornait d’une large tâche de cyprine. Sans perdre un instant, elle passa un doigt sous la culotte ce qui arracha un gémissement à Anne.
– Anne est très sensible commenta Chloé, regardes quelques aller-retour et hop!
En effet, les jambes d’Anne se mirent à trembler. Elle dut se raccrocher à une chaise pour ne pas tomber. Encore un ou deux caresses et Anne se mit à jouir. Chloé retira son doigt plein de sécrétions et le donna à sucer à son amie.
– Maintenant, dit Chloé qui, me semble-t-il, avait pris la direction des opérations, nous allons nous branler ma copine et moi, là, devant toi.
Simultanément, les deux jeunes filles se troussèrent bien haut, baissèrent leurs culottes et, face à moi, m’exposèrent leurs minous. Celui de ma fille je le connaissais depuis hier mais là, je pus mieux le détailler. Toison clairsemée sur un mont de vénus peu rebondi, des petites lèvres saillantes et un clitoris énorme comme je l’avais déjà constaté la veille. Celui D’Anne était très poilu, des grandes lèvres très charnues, les petites plus discrètes et un clito invisible du moins pour le moment.
Toutes deux entamèrent une lente masturbation, le ventre en avant comme pour mieux me montrer leur technique. Chloé faisait glisser un doigt de bas en haut, s’attardant en tournant autour de son bouton bandé tandis qu’Anne investissait le plus souvent l’intérieur de son vagin avec deux doigts qu’elle remontait en ouvrant ainsi sa chatte et glissait un doigt de l’autre main dans l’ouverture. Dans un silence quasi monacal, on n’entendait que le bruit des clapotis de leur mouille. Mais bien vite le silence se rompit, laissant place à des gémissements qui allaient crescendo. Mon dieu qu’elles étaient belles et quand elles échangèrent leurs mains, une jouissance simultanée les secoua.
Elles mirent quelques minutes pour reprendre leur souffle. Ma fille la première parla.
– Je suis déçue maman, j’avais espéré que le spectacle que nous t’avions offert aurait eu plus d’effet sur toi. Durant tout ce temps tu est restée les cuisses serrées et les mains sur les genoux. Les sens que tu croyais avoir réveillés seraient-ils déjà rendormis?
– Comment oses-tu dire une telle sottise, répondis-je, on ne peut pas tout faire en même temps. C’était la première fois que j’assistais à un si joli spectacle. Maintenant je vais vous offrir mon show.
Et du spectacle je leur en ai donné et bien qu’n fut gratuit, elles en eurent pour leur argent. Je me suis déshabillée entièrement, je me suis allongée par terre et leur ai demandé de s’accroupir de chaque côté et là, je me suis mise à me branler. Leurs regards m’excitaient. A un certain moment, ma main partit à la découverte du sexe d’Anne qui n’en demandait pas tant et celle-ci me rendit la pareille. je voyais bien que ma fille se sentait frustrée mais c’était ma fille et je ne me sentais pas encore prête à avoir avec elle des gestes lesbiens.
C’est Anne qui m’a fait jouir avant que mes caresses ne l’envoient au septième ciel. Chloé, elle, dut se contenter de jouir de sa propre main.
Je voulus me rhabiller mais les filles m’en empêchèrent et se mirent nues à leur tour. Elles s’allongèrent tête-bêche et entamèrent un 69 endiablé. Je les enviais. Elles jouirent puis me sourirent en me montrant leurs bouches barbouillées de mouille. J’avais envie, moi aussi, d’avoir un corps féminin à aimer. Bien-sûr j’aurais pu me servir d’Anne mais j’avais peur de rendre ma fille jalouse aussi, je décidais que nos relations n’iraient pas plus loin que les séances de masturbation telles celles que nous venions de vivre.
Heureusement le hasard vint à mon secours le jour où je reçus la visite de Claudine, la mère d’Anne.