Voilà des heures que nous roulons en direction de notre maison, les paysages défilent et déjà la nostalgie de ces vacances m’envahit. Affalée sur la banquette arrière, les écouteur de mon mp3 dans les oreilles, les yeux mi clos, mes pensés vagabondent entre la mer et les montagnes de corse où notre séjour était à couper le souffle, à tel point point que ma playlist est terminée depuis bien 20 minutes mais je m’en fou, je savoure. J’entend mon père demander à ma mère si elle souhaite s’arrêter pour la nuit dans un hôtel car il reste pas mal de route à faire. Elle acquiesce, il me le demande également mais je suis tellement bien que je ne répond pas, je ne bouge pas d’un pouce d’ailleurs.
— Je crois que Sabine est au pays des merveilles ma chérie.
— Avec ces heures de routes plus la traversée je la comprend la pauvre.
— Tu sais à quoi je pense d’un coup?
— Non dit moi.
— Les vacances étaient formidables, cependant la promiscuité de notre petite location ne nous a pas permis de moments intimes.
— Oui tu as raison c’est vrai, quinze jours d’abstinence ça fait long. Il faudra qu’on se rattrape en rentrent!
— J’aimerai bien une petite pipe pour patienter jusque-là ma chérie tu en dit quoi?
J’hallucine, mon père veut se faire sucer alors que je suis à l’arrière. Ma curiosité aidant, je ne bouge toujours pas, je souhaite savoir si ma mère va accepter et peu être pourquoi pas me rincer l’il. Il est vrai qu’avec mes copines on parlent souvent de sexe, mais mon expérience du haut de mes seize ans se limite à un petit copain que j’ai masturbée une fois. Rien de bien folichon mais en ce moment j’ai envie d’en savoir plus.
— J’en ai très envie mais Sabine est à l’arrière mon lapin.
— Elle dort et ça ne sera pas la première fois qu’on le fait, aller ma chérie il nous reste une trentaine de minutes avant d’arriver à l’hôtel.
— Vite fait alors, ne te retiend pas.
J’étais choquée d’entendre tout ça, de savoir en plus qu’ils l’avaient déjà fait en ma présence. Je me promis à cet instant de ne plus dormir en voiture. Enfin, j’allai pouvoir regarder une fellation pour de vrai. Mon père dégrafa son pantalon d’une main et le fit glisser à mi cuisse, ma mère se pencha dessus et le pris directement en bouche. Je ne voyais rien pour l’instant mais le devinais à ses mouvements de tête. J’entendais des bruits de sucions et de petits gémissements de plaisir, ma mère s’activait d’avantage et allait de plus en plus vite dans son action. Je sentais ma culotte s’humidifier devant cette scène terriblement érotique à mes yeux mais n’osais pas bouger d’un pouce et encore moins me caresser. Quelques minutes plus tard j’entendis mon père pousser un bruit de soulagement et je le vis maintenir la tête de ma mère vers son entrejambe. Elle se releva et l’embrassa sur la joue, mon père se réajusta et dans un grand sourire la remercia.
J’étais dans un drôle d’état, à la fois excitée par la situation mais aussi frustrée de n’avoir rien vu alors que j’étais si proche. J’avais envie d’en voir plus, de voir le sexe de mon père bandé et je me questionnais en même temps sur cette attirance peu banal.
Nous avons continué de rouler une dizaine de minutes avant de nous arrêter dans un petit hôtel en bord de route, je faisais toujours semblant de dormir quand mon père me caressa l’épaule pour me réveiller me disant que nous passeront la nuit à l’hôtel, chose que je savais déjà …
