2- surprise forestière
Hier, un événement particulier s’est produit dans ma vie de jeune homme. Ma voisine Béatrice est venue me voir pour se refaire une condition physique suite à la naissance de son dernier enfant. Elle m’a demandé de l’accompagner dans cette démarche, bien entendu, je lui ai donné son premier cours de sport. Tout s’est passé à merveille. Je dois avouer malgré tout que depuis quelque temps, les courbes de son corps me procuraient de nombreux fantasmes, je me masturbais régulièrement en pensant à elle. La chance a frappé à ma porte et ce qui devait arriver, arriva. Nous avons pratiqué quelques exercices sportifs et à la suite des étirements nos corps se sont mélangés. J’ai alors connu le plaisir de l’amour avec cette femme magnifique et visiblement, ça ne risque pas s’arrêter de si tôt vu que nous allons nous voir régulièrement. Aujourd’hui, il est aux alentours de dix heures, mes parents sont partis travailler et moi, je me lève tranquillement. Habillé seulement d’un boxer, je descends dans la cuisine pour me préparer un petit-déjeuner, j’allume la chaîne hi fi et me voilà à table avec un bol de thé et mon jus d’orange. Une fois le tout terminé, je me prépare à aller me prendre une douche quand tout à-coup la sonnerie de la maison retentit. Je vais regarder par l’il-de-buf, et je vois ma chère et tendre Béatrice. Je lui ouvre la porte, tout en me cachant derrière pour ne pas être vu par les autres voisins. Son regard se pose directement sur mon corps à peine habillé. De son côté, elle porte un short et un débardeur bleu clair, elle est toujours aussi belle. Je lui propose de boire un thé ou un café, en attendant que j’enfile des vêtements pour aller courir. Elle s’installe dans le canapé, je lui apporte une tasse de thé, et je vais dans ma chambre pour me changer. Ma tenue de sport est classique. Je descends, et j’invite Béatrice à aller dans le bois. Nous voici au point de départ de la veille, cette fois-ci, nous allons courir cinq kilomètres autour de l’étang, ce que nous faisons avec sérieux. Malgré tous les efforts possibles, mes yeux ont du mal à quitter ce fessier qui bouge de droite à gauche. Rapidement, une légère érection commence à se former dans mon short. À la suite de notre course, nous entreprenons de faire une marche afin de reprendre notre souffle. Petite particularité, nous nous tenons la main pendant cet exercice. Signe que les événements de la veille ne sont pas qu’un lointain souvenir, mais peut être le début d’une belle aventure. Après dix bonnes minutes de marche, il est l’heure de faire les étirements et nous choisissons un petit coin discret. Comme la veille, la rosée du matin mouille nos shorts au niveau des parties intimes, ce qui ne manque pas de nous procurer des sourires enjôleurs. Je me rapproche de ma partenaire, j’ai envie de retrouver le goût de ses douces lèvres. Nous voilà bouche contre bouche, je joue avec sa langue et le sien fait de même avec la mienne. Je décide de la prendre dans mes bras, de la câliner, de lui caresser le dos puis elle s’allonge sur le dos malgré l’humidité du sol. J’en profite pour passer une main sous son vêtement, je lui touche les seins à travers le soutien-gorge. Ses tétons pointent, je veux jouer avec. Je prends la décision de lui enlever son débardeur et son sous-vêtement. Je joue alors avec sa poitrine, je la lèche, la titille, la mordille, puis une de mes mains descend lentement entre nos deux corps. Je me mets de côté, nous continuons à nous embrasser avec passion. Béatrice m’enlève le tee-shirt, et nous voilà tous les deux torses nus. Ma main continue de descendre sur le bas de son ventre, je soulève l’élastique de son short, puis caresse sa vulve à travers un tissu en dentelle. Elle ne peut s’empêcher de fermer les yeux de plaisir. En même temps que je touche sa petite fente, je lui embrasse les seins qui pointent haut vers le ciel. Je prends la décision de lui enlever ses derniers vêtements, et je fais de même avec les miens. Nous sommes complètement nus, dans la nature à l’abri des regards indiscrets. Je lui écarte les jambes, tête baissée et langue pendue, je me dirige vers sa vulve afin d’y déguster le jus de l’amour. Je lui lèche la fente, lui titille et mordille son clitoris qui sort de sa cachette comme un mini pénis, puis je pénètre son puits avec ma langue. Dans le même temps, son bassin se tortille dans tous les sens et j’entends même des soupirs puis des gémissements de plaisir. Je relève la tête pour reprendre mon souffle et je vois ses yeux s’ouvrir. Elle veut que je me positionne sur le dos, je la soupçonne de vouloir se mettre en position du chandelier sur moi, mais erreur, à genou, elle descend lentement sa tête vers ma verge et commence à me lécher le bout du gland. Je suis agréablement surpris, cette sensation est divine. Puis elle avale entièrement mon sexe dans sa bouche. Après quelques vas et vient, elle se redresse, se met en position du chandelier et je vois mon membre disparaître dans son petit abricot juteux. Les allers-retours sont de plus en plus intenses, ses fesses claquent contre mes cuisses, puis dans un énorme de gémissement elle finit par jouir. Béatrice se positionne dos à moi en position de la cuillère. Moi qui ne suis pas insensible au charme de ses fesses, je ne me fais pas prier et la pilonne comme un sauvage. C’est alors que je décide de la mettre à quatre pattes et la levrette qui suit est d’un délice indescriptible. Un délice que je savoure avec un mélange de délicatesses et de fougue. Au bout d’un quart d’heure d’exercice, mon gland grossit de plus en plus, mes jambes flageolent, et dans un cri puissant, je me lâche dans le puits d’amour de ma partenaire. Épuisés, nous nous allongeons sur le dos un instant. Nous discutons de tout et de rien. Le temps passe, il est presque midi à ma montre. Il est l’heure de rentrer chez nous. Béatrice, le regard remplit d’émotion, m’invite à déjeuner. Son mari est à un colloque dans le Sud de la France donc il rentrera que demain. J’accepte cette invitation. Et personnellement, je pense que je vais passer une superbe après-midi. À suivre…