Je suis mariée et comblée.

Âgée de 35 ans, je suis en pleine maturité.

Je dois être la femme idéale.

Je ne me pose pas de questions : je fonce, je vis ma vie et prends le plaisir partout où il est, simplement.

Je ne suis pas une malade de sexe ; j’aime le sexe.

J’aime sentir le mâle qui me repère, qui voit une porte ouverte, qui a faim de moi ; j’aime quand il me possède et me pénètre avec puissance.

Avec mon mari, c’est bien ; mais pas la même chose.

C’est la tendresse, le respect, la recherche mutuelle de se faire plaisir ; c’est gentil, doux.

Avec un petit jeune, c’est puissant, c’est sexe tout plein.

Avec un jeune, on peut faire durer les choses : il éjacule et reprend vite de la vigueur.

Il veut tout découvrir, et je mets mon corps à sa disposition.

Avec moi, il peut tout faire.

Mon dernier petit jeune, c’était un ami de mon fils, Antoine, 19 ans, beau garçon.

Il nous avait accompagnés sur la Côte d’Azur pour les vacances ; nous avions loué une grande villa pour dix personnes, et nous avions amené des amis et des amies de nos enfants.

Il y avait une piscine assez imposante, et nous flânions toute la journée sur des transats.

Je bronzais ; je devais être magnifique.

Grande, bronzée, de longs cheveux qui tombaient, une chute de reins dont je suis fière avec un beau derrière arrondi, des seins magnifiques bien perchés, n’ayant pas besoin de soutien.

Mon mari, après une chute de moto qui lui avait causé une fracture de la jambe, ne pouvait pas s’occuper de mes trésors.

Sea, sex and sun : j’étais en manque. Je voyais ces jeunes évoluer quasi nus devant moi, prendre des poses, et moi je restais sur ma faim. Parfois, je voyais au travers de mes lunettes de soleil, Antoine me mater discrètement, l’après midi, de la piscine.

Il me stimulait ; j’imaginais Mon slip de bain se mouillait là où il ne faut pas !

J’avais un bikini rouge avec un slip sans doublure.

La tache devait être visible Je me mis sur le dos et dégrafai mon soutien pour éviter les marques de bronzage sur le dos, car toute ma garde-robe était principalement constituée de dos nus.

De temps en temps, je me soulevais légèrement pour prendre ceci ou cela. Mes seins devenaient visibles de la piscine, et Antoine ne devait pas en perdre une miette.

Je me surprenais à le faire exprès et largement, pour bien les lui montrer.

Les soupers étaient géniaux ; à plusieurs, des gens pleins de bonne humeur, des jeunes.

Mon mari râlait de son incapacité.

Les jeunes partaient souvent le soir, nous laissant seuls, pour ne rentrer quau petit matin.

Je m’occupais tant bien que mal de mon époux ; je le faisais bander avec ma main, et le terminais avec la bouche, avalant tout son sperme. J’aimais, mais restais toujours sur ma faim, n’étant pas pénétrée.

Je fantasmais sur ces jeunes qui devaient s’amuser et s’envoyer en l’air.

Je me rappelais mon jeune temps plein de sexe.

Je me godais ; mais ce n’était pas la même chose : j’avais faim de pénétrations par un mâle bien monté.

Les jours se suivaient, et j’avais toujours de plus en plus faim.

Un soir, les jeunes m’invitèrent à les suivre en boîte. Sur l’insistance de mon mari, je les ai suivis.

Mon mari se mit au lit avec son somnifère et son anti-douleurs ; je me suis préparée.

J’avais 18 ans, j’étais folle, je ne savais que mettre.

Je voulais épater tous ces jeunes, et surtout Antoine qui avait insisté pour que je sois de la sortie.

J’avais opté pour une robe fourreau avec grande échancrure sur le côté, dos nu jusqu’aux fesses, sans soutien évidemment, et un slip blanc comme j’aime, épousant mes formes comme une seconde peau pour ne pas être perçu sous la robe et donner l’impression d’un non port de slip.

J’avais évité les talons pour pouvoir danser très à l’aise. J’avais laissé pendre mes cheveux. Je m’étais aspergée partout de Diorissimo au muguet ; même mon slip en était imprégné.

J’étais sublime ; j’étais préparée pour tous les excès.

Jétais allée dire au-revoir à mon époux, qui fut subjugué de me voir ainsi, triste de ne pouvoir m’accompagner.

Il me dit de bien m’amuser, et que ce n’était que partie remise.

Nous voilà partis ; je suis dans la voiture, à l’arrière, à côté d’Antoine.

Il est contre moi et me dit discrètement que je suis belle et sens bon.

J’aime plaire aux jeunes, éveiller leur désir de moi.

Je me sens mouiller.

Je suis bien.

Il est minuit ; nous entrons dans la boîte après avoir montré patte blanche.

Nous trouvons péniblement une table avec d’autres clients assez agréables.

Nous prenons une première consommation pour faire connaissance : des cocktails assez alcoolisés, me semble-t-il.

Je commence à prendre des couleurs.

Nous offrons à notre tour un drink à la tablée et nous commençons à danser.

J’ai été invitée par un garçon d’une trentaine d’années qui est à notre table avec sa partenaire ; nous parlons gentiment de tout et rien tout en dansant.

C’est un bon danseur. Je vois Antoine qui me surveille : serait-il jaloux ?

Nous revenons vers la table quand une série de slows succède aux rocks endiablés.

Je suis happée par Antoine, qui m’entraîne sur la piste vers un endroit assez éloigné et discret par rapport à notre table.

Les lumières sont assez tamisées ; nous sommes dans les bras l’un de l’autre.

La musique est belle, l’ambiance est parfaite, mon cavalier est beau et semble amoureux de moi. Les femmes de 35 ans sentent cela tout de suite.

J’ai envie de m’amuser, j’ai envie de le provoquer, je veux lui montrer que je suis accessible ce soir.

Je danse, c’est gai, je passe mes bras autour de son cou, j’écrase mes seins sur sa poitrine, vu sa chemise ouverte au trois quarts.

Il joue le jeu et nous sommes collés l’un à l’autre, à la limite de la décence.

Je sens qu’il apprécie : son corps ne peut le cacher, il commence à bander.

Je le sens contre moi.

J’aime qu’on bande pour moi.

Je recherche le contact.

Nous sommes tous les deux conscients de l’envie de chacun.

Les slows se succèdent, il est en pleine érection pour moi.

Il n’y a que moi qui le sais ; cette étreinte est cachée aux autres.

Je suis aux anges ; ma culotte est toute mouillée.

J’ai envie de baiser.

J’ai 35 ans ; où baiser, et comment l’amener à m’honorer ?

Nous revenons bras dessus, bras dessous à notre table où un troisième cocktail nous attend.

Je vais être pompette, Antoine a les yeux qui brillent.

Je dois faire attention aux enfants qui sont là.

Je suis leur mère.

À table, je sens la main d’Antoine qui caresse ma cuisse par l’ouverture de la robe portefeuille.

Il touche ma peau nue ; ça m’excite, et ne fais rien pour l’en dissuader. Il atteint la bordure du slip : je me laisse faire, j’écarte les jambes. C’est une invitation à investir la zone. Il doit sentir que tout mon fond de culotte est mouillé. Il me demande à l’oreille si c’est à cause de lui, cet état de chose.

Je lui réponds que depuis 3 semaines, je suis à la diète, et que mes envies sont au top.

Il s’amuse à caresser du bout des doigts toute cette zone interdite.

Sous la nappe, je ne reste pas inactive, et moi aussi je suis à la recherche de son excitation.

J’ai discrètement descendu le zip de la braguette de son pantalon et y ai engagé ma main.

Je le sens tout dur et prisonnier.

Du bout de l’index, je gratte, je gratte. Je sens qu’il aime.

De son côté, il prend possession, avec un doigt passé sous mon slip sans couture, de mes lèvres et de mon clitoris.

Je suis mouillée ; il est en érection totale : il faut trouver une solution.

Personne ne bouge pour que les sensations durent éternellement.

Il m’en faut plus : je veux le sentir en moi, je veux ce soir qu’un homme me prenne et éjacule au plus profond de moi.

Si on allait fumer une cigarette dehors ?

Nous voilà sortis.

Nous faisons une petite promenade au bord de l’eau.

On recherche un endroit discret où faire évoluer notre relation.

Nous trouvons un petit coin protégé par un bateau où nous nous attardons.

Personne en vue.

Nous nous asseyons ; on s’embrasse, on s’aime.

Il me dit que depuis le début des vacances, il ne pense qu’à moi. Il mavoue m’avoir matée partout pour découvrir mon corps.

Il me dit qu’il m’a vu faire une fellation à mon mari, la chatte dénudée livrée aux caresses indiscrètes de mon époux. Il me dit s’être masturbé tous les soirs en criant, en hurlant en lui-même mon nom.

Je fonds ; je veux me donner à lui. Je descends son jeans avec le slip à mi-cuisses et gobe son sexe.

Je veux qu’il explose dans ma bouche ; je veux boire son sperme, je veux qu’il soit à moi. Fougueux, il éjacule avec force au fond de ma gorge.

Il m’embrasse, et part à la découverte de mes trésors en glissant ses mains sous ma robe. J’aime qu’on titille mes seins doucement. Ils sont en érection totale ; il en stimule les pointes. Je mouille à nouveau. Il descend, relève ma robe, se penche et vient humer avec son nez mon fond de culotte trempé de jus de femme excitée. Il épouse toutes les formes de ma vulve avec son index ; il fait monter la pression

Il baisse mon slip à mi-cuisses, et commence la découverte en direct.

Il écarte de sa langue toutes les structures, les grandes lèvres, les petites lèvres, en lapant à plusieurs reprises tout le jus qui coule. Il enfonce sa langue dans mon vagin, il me baise avec sa langue. Ça monte. Il découvre de sa cachette mon clitoris qui pointe hors de sa gangue.

Je n’en peux plus, je dois être baisée !

Je prends son gland et l’amène près de ma grotte.

Il entre, il va jusqu’au bout, il me lime.

Déjà vidé, il tient la cadence.

Ah, ces jeunes !

J’aime.

Ça monte, ça monte

Je vais exploser. Je le lui dis ; je le sens devenir plus gros.

J’ai un orgasme en même temps qu’il explose en moi.

Ce fut formidable.

On a recommencé jusquà la fin des vacances.

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