Mamie Geneviève – Chapitre 24
Suite à la proposition de ma fille Agnès, nous convenons toutes les trois, de vite rejoindre la chambre et surtout le lit. Encore sous l’effet de la surprise, Mélanie, sa jeune amante se déshabille avant de serrer les lanières de son gode ceinture. J’en fais autant alors qu’Agnès, bien vite nue, nous expose son corps lardé de traces rouges.
Je regrette un peu de l’avoir frappée si fort avec la ceinture ! Mais en même temps, j’ai éprouvé un tel plaisir à le faire !
Il faudra que je recommence ce genre d’expérience une autre fois pour vérifier si cet instinct sadique se révèle, ou non, en moi.
Totalement soumise à nos caprices, ma fille gobe le sein que je lui propose, alors que la belle rousse lui caresse l’intérieur des cuisses, avant de poser sa bouche sur la vulve trempée.
Agnès se tortille sous les coups de langue experts de sa chérie, mais s’applique quand même à bien téter mes mamelons. C’est vrai qu’elle est habile la coquine et que je comprends mieux maintenant, l’intérêt qu’elle peut porter aux femmes.
Je ne plains pas son mari, car Gilles lui aussi, à besoin de se retrouver, même si c’est en compagnie de ce couple de voisins si étranges.
Quand j’offre mon faux pénis à la bouche de ma fille et qu’elle se met à le sucer avec avidité, j’ai l’impression d’être métamorphosée en homme. J’en ai même la sensation de sentir sa langue rouler sur mon gland en caoutchouc.
Agnès arrête de me sucer et, presque hystérique, nous hurle:
« Baisez- moi, enculez-moi, vite !!! Je ne tiens plus !»
Elle prend alors l’initiative de la suite et me fait m’allonger sur le dos, la bite en l’air. Bite qui disparaît d’un coup dans son vagin quand elle me chevauche.
Mélanie, comprenant l’impatience de sa chérie, mouille préalablement de sa salive l’anus qui frétille, puis pointe son gode sur le petit trou. Elle force, sans ménagement, l’illet d’Agnès avant de s’allonger sur le corps de ma fille prise en sandwich entre nous.
Je donne des coups de reins comme le ferait un homme, alors que la jolie rouquine se déchaîne maintenant dans le fondement de la coquine qui roucoule de bonheur.
L’une comme l’autre avons compris que ma fille à besoin de cette violence pour se libérer.
Peu nous importe qu’elle se révèle masochiste, nous ne voulons qu’une chose : C’est lui donner le plaisir qu’elle attend.
Agnès est comblée d’être sous le joug des femmes qu’elle aime et son plaisir monte quasi instantanément, alors que Mélanie et moi labourons son ventre à grands coups de nos pieux.
La pauvre victime se penche et m’embrasse à pleine bouche, puis cherche les lèvres de son amante, soupire, geint et nous implore pour encore plus de sauvagerie.
Mélanie lui attrape les cheveux et lui tire la tête en arrière. Ma fille redresse le buste et ses tétons sont trop tentants pour ne pas être maltraités par mes mains. Je pince mes doigts si fort qu’elle se met à hurler, non de douleur, mais du plaisir intense de sa jouissance.
Après avoir soufflé un peu, elle ne cherche pas à se dégager, au contraire ! Elle nous demande de recommencer, plus fort encore. Nous sommes toutes les trois trempées de sueur et passablement essoufflées, mais reprenons ce trio d’amour avec plus de conviction, si c’est possible !
Je ne sais comment nous roulons sur le lit, mais, sans jamais sortir de la chatte de ma fille, je me retrouve au-dessus d’elle et Mélanie supporte le poids de nos corps en continuant de lui pistonner le derrière avec sa fausse bite.
J’ai pris appui sur mes bras tendu et Agnès me ne me quitte plus du regard, alors que je vais et viens en elle.
A ce moment, j’ai vraiment le sentiment d’être un homme et reproduis le plus fidèlement possible les mouvements que fait David quand il me baise, mon cher petit fils qui m’a fait découvrir le plaisir du sexe, il y a si peu de temps.
Mélanie s’est saisie des hanches de sa partenaire et donne des coups secs pour limer l’anus de ma fille alors que cette dernière m’implore un baiser durant lequel un nouvel orgasme la submerge.
Je me sens vidée après un tel effort, je comprends mieux pourquoi les hommes peuvent être abattus à l’issue d’un rapport.
Surtout qu’à mon âge, c’est encore moins évident.
Je demande à ma fille :
— Alors Agnès? Ça t’a plu ?
— Putain ! C’était génial ! Ou presque
— Pourquoi dis-tu « presque » ?
— J’aimerais que, Mélanie et toi, vous vous embrassiez !
Je pensais qu’Agnès ne voulait pas que je m’approche de sa chérie et voilà qu’elle me demande de l’embrasser. Je ne pense pas que cela soit pour se torturer l’esprit, mais plutôt pour le désir de communion entre nous.
La jeune et belle rousse me regarde avec un sourire complice. Toutes deux avons plus que sympathisé dans l’avion, après cette rencontre fortuite lors du vol aller. Nous avions échangé des confidences sans nous connaître, mais quelque chose de fort nous reliait, jusqu’à comprendre peu de temps plus tard, que c’est ma fille Agnès, son amante, qui nous unissait.
Mélanie ne fait aucune difficulté pour s’approcher de mon visage et quand ses lèvres touchent les miennes, je m’abandonne totalement à son baiser. Je ressens alors comme un tourbillon dans le ventre et me mets à mouiller, tant je me laisse glisser dans un délicieux océan de passion.
Je reprends mes esprits et m’écarte délicatement de cette fille si parfaite. Je ne souhaite pas créer un dommage collatéral en détruisant leur si beau couple.
Mais, il ne semble pas que nos effusions aient bouleversé Agnès. Ma fille nous regarde avec beaucoup de tendresse et semble au contraire ravie du baiser passionné que j’ai échangé avec son amante.
Après cette partie de jambes en l’air et compte tenu que la soirée est déjà bien avancée, nous décidons d’aller dîner toutes les trois dans une brasserie proche de chez Mélanie.
Lors du repas, les deux femmes me semblent encore plus proches l’une de l’autre.
Je mets les pieds dans le plat (au sens figuré) en suggérant à ma fille d’éclaircir rapidement la situation avec son mari. Je force même le destin en lui proposant que cela se fasse durant ma présence chez eux.
Il reste moins d’un jour pour cela !
Mélanie n’intervient pas dans la discussion, mais me lance des regards chargés de reconnaissance.
Je suis sûre qu’elle aussi en a assez de se cacher, qu’elle aussi voudrait officialiser leur couple. Mais il faut d’abord régler la situation avec Gilles, le mari, et savoir expliquer aux filles que leur mère va se mettre en couple avec une femme qui a presque le même âge qu’elles.
Curieusement, Agnès ne regimbe pas, tout au contraire, elle se rallie à mon point de vue.
Elle décide que dès ce soir, Mélanie dormira dans le lit conjugal et qu’importe Gilles, qu’il fasse ce qu’il veut, qu’il aille coucher où il veut et avec qui il le veut !
Je suis un peu surprise de constater sa soudaine détermination, mais je comprends qu’elle aussi, souhaite vivre libre afin de s’épanouir, enfin.
Quand je pense que j’ai dû attendre soixante-sept ans pour me rendre compte de cela, quel temps perdu !
Nous repassons vite fait chez la belle rousse, afin qu’elle prenne quelques affaires et nous voilà en route vers a maison de ma fille.
J’ai envoyé plusieurs SMS à Gilles, pendant et après le repas, en lui signifiant d’être là, à notre arrivée, que nous avons besoin de prendre un peu de temps pour discuter
Mais sans obtenir de réponses de sa part.
C’est quand Agnès se gare devant chez elle que mon téléphone bipe, mon gendre se dit prêt à tout pour moi et qu’il fait au plus vite.
Quel privilège, j’en suis flattée !
Gilles nous rejoint quelques minutes après notre arrivée.
Ses yeux brillent encore d’excitation. Le séjour chez ses voisins semble en être la cause
Il salue Agnès, puis Mélanie comme si elle faisait partie de la famille puis s’assied près de moi, m’enlace d’un bras autour de la taille, pour écouter la plaidoirie de son épouse.
Ma fille est décontenancée par l’attitude de son mari, qui sourit béatement en approuvant chaleureusement tous les arguments qu’Agnès lui débite.
Il va même jusqu’à faire un câlin très sincère à son épouse, puis même à sa rivale de cur.
J’avoue que moi aussi je suis surprise que leur future séparation se passe aussi bien. Tant mieux !
Gilles ajoute même :
« D’accord pour tout ! Mais ce soir, je coucherai avec ta mère ! »
Il ne manque pas de culot le coquin de s’imposer ainsi à moi.
Il ajoute, en me regardant :
« Je vais retourner chez les voisins, tu viens avec moi Geneviève ? »
Après quelques secondes d’hésitation, je lui réponds :
« Je te suis »
Il est vrai que j’ai passé beaucoup de temps à m’occuper de ma fille aujourd’hui et que maintenant, j’ai envie et surtout grand besoin de jouir, moi aussi !
J’espère ne pas être déçue.