Mamie Geneviève 12

Rappel :

Sabine s’intéresse à mon sein droit et détaille une petite tache de naissance qui s’y trouve en forme, grossièrement, de papillon.

–  Geneviève, je savais que l’on s’était rencontrées auparavant, mais ce que je vais te raconter ne va pas te plaire  

.

Je lui prends alors la main et lui murmure à l’oreille :

— Si c’est vraiment le cas, il va falloir que tu atténues la douleur causée par tes propos. Occupe-toi de moi

Elle s’empourpre et bafouille un peu :

— Si si tu veux. Mais d’abord, laisse moi éteindre la lumière, je ne veux pas que tu me voies.

Je la laisse faire à contre cur.

Ses doigts quittent mon sein et parcourent mon ventre. Elle dépose un baiser ça et là, puis converge entre mes cuisses. Une vague de désir m’emporte. Pour une novice, elle s’y prend sacrément bien.

Elle pose sa tête sur ma cuisse, je sens son souffle sur ma chatte. Je suis déjà trempée. Son doigt se révèle extrêmement agile sur mon clitoris et une bouffée de chaleur m’envahit instantanément. Tout en me caressant, elle souffle :

—  On s’est rencontrées, il y a une vingtaine d’années  

Je l’écoute, mais j’ai de plus en plus de mal à suivre.

— Ah bon ? À quelle occasion ? Elle accentue la pression, je me cambre.

Elle remonte alors vers ma poitrine et me suçote le téton droit, avant d’ajouter: 

— Comme ça ! 

— Continue Chérie, je ne comprends pas de quoi tu parles. Oh bon sang, comme c’est bon !

Elle tapote mon bouton du bout du majeur et chaque pulsion m’envoie une décharge dans le bas des reins. Je ferme les yeux et caresse ses cheveux soyeux. J’arrive à haleter :

— Ne t’arrête pas, je t’en prie, continue!

Sans jamais cesser de me caresser, elle reprend son récit. Mon souffle devient trop court pour l’interrompre.

— Voilà, je devais passer mon épreuve de philo et en y allant, j’ai dérapé sur la chaussée et je suis tombée de mon cyclomoteur, juste devant chez toi.

— Ça me dit quelque Mets moi un doigt!

Doucement son majeur quitte mon bouton et glisse sur mes lèvres gonflées et humides d’excitation. Je sens ma liqueur couler entre mes fesses. Elle décrit de petits cercles autour de ma fente, l’entrouvre puis y plonge son doigt. Je laisse échapper un gémissement et soulève les fesses pour lui permettre d’aller plus loin.

Tout en commençant un lent va et vient, elle poursuit :

— Je m’en souviens comme si c’était hier ! Beaucoup de voitures sont passées, sans que personne ne m’aide. Toi, tu allais partir au travail et tu es venue à moi, tu m’as relevée, tu as déplacé mon engin et ensuite, tu m’as conduite chez toi pour soigner mes égratignures.

J’avais tellement peur d’être en retard à l’épreuve, avec pour conséquence immédiate de rater mon bac. Je pleurais tant que tu m’as prise dans tes bras, comme maintenant. Moi je bisais ton papillon, comme maintenant.

Tu t’en souviens ?

Si je me souviens ? Comment l’oublier ? Je tente de reprendre mon souffle et mes esprits pour lui répondre :

— Oui bien sûr. Après, je t’ai accompagnée au lieu d’examen et suis allée te rechercher après l’épreuve. Hum, mets-moi un autre doigt ! Surtout ne t’arrête pas.

Elle s’exécute immédiatement. Tout en me pénétrant avec délicatesse, son pouce taquine mon bourgeon, c’est absolument délicieux comme caresse.

— Et une semaine plus tard, je suis revenue chez toi.

— Alors là, par contre, je ne m’en souviens pas ! Plus fort, va plus fort!

— C’est à partir de maintenant, que tu ne vas pas aimer la suite.

Elle se déplace et dépose sa tête sur mon ventre pour avoir une meilleure prise de mon vagin.

J’écarte un peu plus les jambes et elle me pénètre davantage. Elle me prend, m’envahit. Ses doigts vont et viennent, s’agitent dans ma chatte, glissent sur chaque centimètre carré de mon vagin. Elle exerce certaines pressions dans mon intimité qui sont absolument délicieuses !

Elle enchaîne :

— Quand je suis arrivée, j’ai sonné et après de longues minutes, une fille d’à peu près mon âge, m’a ouvert la porte et m’a invitée à t’attendre à l’intérieur. Tu n’étais pas encore rentrée du travail.

Elle m’a ensuite accompagnée au salon. Ton mari était assis sur le canapé et tenait un gros coussin sur ses genoux. J’ai trouvé cela curieux, mais sans plus. Il ne s’est pas levé, il s’est contenté de me saluer froidement en désignant le fauteuil en face de lui.

Il a également précisé que tu ne devrais plus tarder. Un silence gênant s’est alors imposé. La jeune fille fuyait mon regard, elle semblait mal à l’aise.

Sans un mot, il l’a saisie fermement par le poignet pour la faire asseoir près de lui. Sans la regarder, mais en ne me quittant pas des yeux, il lui a demandé de « continuer ». Elle semblait apeurée, perdue. Elle a bafouillé :

— « Tu tu es sûr papa ? »

C’est à ce moment là que j’ai eu la confirmation qu’il s’agissait bien de ta fille.

J’entends les mots de Sabine, mais je ne réalise pas vraiment la teneur de ses propos. Ses paroles glissent dans mon oreille, mais mon esprit est ailleurs. Ses caresses sont d’une telle précision que je me pâme lentement.

— « Continue s’il te plaît ! J’aime tant ce que tu me fais ! Lèche-moi un peu.»

Sans que je le lui demande, elle rajoute un troisième doigt, qui coulisse facilement tant je suis mouillée. Je la sens remuer en moi avec de plus en plus d’ardeur. Elle se prend au jeu.

Après une brève hésitation, elle bouge un peu et place son visage brûlant entre mes cuisses.

Je lui caresse la joue pour l’encourager. Elle hésite encore, effleure ma toison avec son nez, me respire, puis me donne quelques coups de langue timides qui m’électrisent.

Je laisse échapper un gémissement non feint. Je frissonne, ma chatte se contracte sur ses doigts. Une onde de plaisir naît sous sa caresse voluptueuse, mais elle interrompt de nouveau son exploration, me laissant pantelante de désir.

Je tente d’être attentive quand elle bredouille :

— J’ai vraiment horriblement honte de te dire ça ! C’est la première fois que j’en parle à quiconque! Voilà ce qui s’est passé :

Ta fille a glissé sa main sous le coussin qui s’est mis à bouger au rythme sans équivoque du mouvement de son bras. J’étais totalement paralysée de surprise de la voir faire. Au bout de quelques minutes, ton mari a rejeté l’obstacle et à ce moment, j’ai vu un sexe d’homme pour la première fois.

Tu sais, on en parlait au lycée entre copines, mais je n’en avais jamais approché réellement, j’étais pucelle ! D’une main elle masturbait le membre de son père, de l’autre, elle lui pressait les testicules. Elle faisait cela, visiblement, avec beaucoup d’habitude.

Horrifiée, je me suis relevée pour partir, mais, ton mari, qui avait décelé mon trouble quand je regardais son sexe, m’a demandé d’approcher et d’en profiter si je le voulais. Ta fille a relâché le membre gonflé. Cette chose semblait vivante et s’agitait seule sous les contractions qu’il devait provoquer volontairement.

Ta fille m’a tendu le bras, en souriant, pour m’inviter à m’approcher. J’ai agi telle une marionnette. Je me suis assise entre eux et rapidement j’avais ce membre en main. C’était doux et chaud, je ne m’imaginais pas ça ainsi. J’étais également fascinée par cette raideur qu’un grand trouble s’est emparé de moi.

En fait, je ne m’intéressais pas à son propriétaire, mais juste à la chose, tu comprends ? 

— Ne t’inquiète pas Sabine, je comprends ! Sois gentille, lèche moi encore un peu avant de me dire la suite

De nouveau sa tête plonge entre mes cuisses. Sa langue enveloppe ma vulve, son autre main presse le gland de mon clitoris, le pinçote puis elle y enroule sa langue pendant de longues minutes avant de le délaisser et de reprendre :

— Ta fille m’a montré comment faire pour bien le saisir, ainsi que de bouger ma main convenablement, puis elle m’a laissée faire pour me prodiguer des caresses. Ses mains courraient dans mon dos, sur ma nuque et même sur le galbe de mes seins. C’était décontractant, déconcertant, mais aussi palpitant. Au point que je me suis abandonnée quand elle m’a invitée à m’allonger sur le canapé et Tu veux vraiment que je continue ?

En guise de réponse, je lui saisi énergiquement le poignet pour qu’elle me prenne plus fort, plus loin. Je meurs de désir et fonds de frustration, je suis au bord de l’extase.

Elle sanglote la suite, tout en continuant à me doigter avec agilité :

— J’étais vierge tu sais. Ton mari m’a faite allonger, m’a écarté les jambes, s’est couché sur moi, a positionné sa verge, puis m’a déflorée en s’enfonçant en moi d’un seul coup. Il me déchirait sans vergogne, je pleurais de douleur.

Il s’est ensuite mis à s’agiter en moi avec rudesse. J’avais mal, mais ta fille me rassurait, me chuchotait que tout allait bien se passer. Elle me couvrait de bises, y compris sur les lèvres. Lui allait de plus en plus vite et de plus en plus fort, je ne savais pas quoi faire, j’étais comme pétrifiée. Est-ce que je devais le repousser ? Il était si sûr de lui !

C’était donc ça faire l’amour ? 

Les doigts de mon amante me rendent folle. Je n’en peux plus. Sans réfléchir, je m’entends lui ordonner :

— « Montre-moi ce qu’il t’a fait ce salaud ! Baise-moi comme lui !»

Ses larmes inondent mon pubis tandis qu’elle s’exécute. Sa main s’agite avec force et me défonce littéralement. Ce n’est pas à mon mari que je pense. D’ailleurs, je ne pense plus à rien. J’explose d’un orgasme surpuissant, tout mon corps se tend, je laisse échapper un long râle. Plus rien n’existe, mes jambes tremblent, ma chatte palpite et j’ai du mal à reprendre mon souffle. Elle est en pleurs quand je redescends sur terre. Je l’attire à moi pour la réconforter. Je devrais être outrée par ses paroles, mais paradoxalement, je viens de jouir sous ses doigts alors que ses mots étaient des plus blessants.

Cela dit, j’ai découvert récemment toutes les perversités de mon défunt mari. Il a du se faire plaisir à sauter une petite vierge toute mignonne. Quelle pourriture ce type !

J’aurais quand même deux mots à dire à Virginie demain ! Elle me doit des explications sur ce qui l’a amenée à être complice d’un tel acte !

Entre deux sanglots, elle poursuit :

— Tu ne m’en veux pas, Geneviève ? J’ai tellement honte de te dire ça ! Surtout à toi, qui as été si bonne avec moi le jour de mon accident ! Je t’ai trahie, j’en ai conscience ! 

— Je ne peux pas t’en vouloir Sabine, c’était un salaud, je le sais depuis peu ! Tu as bien fait de libérer ta conscience. Arrête donc de pleurer, tout va bien maintenant.

Mes mots n’ont pas l’effet escompté, elle redouble de sanglots. Je suis perplexe. A moins que

-Tu as autre chose à confesser ? Je vois bien que tu ne m’as pas tout dit. Raconte-moi.

— Je Je ne peux pas ! »

— Écoute, ta vie va s’améliorer à partir de ce soir, tu m’as confié des choses qui te pesaient sur le cur, alors libères-toi pour de bon !

Dans un énorme sanglot, elle crie presque :

— Peux pas !

— Je suis prête à tout entendre, vas-y, n’aie pas peur, après je te ferai un gros câlin pour te faire oublier tout ça

— Je Je ne suis jamais revenue pour te rencontrer, pour te dire ce qui s’était passé avec ton mari en ton absence. J’avais trop honte. J’évitais ton quartier et faisait même de grands détours pour ça ! 

— Je ne t’en veux pas, continue !

— Peux pas  

Nouveaux sanglots.

— Libère ton esprit ma chérie !

Je la serre fort contre moi et elle lâche dans un souffle :

— Après Je n’ai pas eu mes règles, je Je suis tombée enceinte !

— Et qu’as-tu fait alors?

Cette fois, c’est moi qui suis émue, je redoute la suite.

— J’ai voulu garder l’enfant, mon père m’a traitée de tous les noms et m’a fichue dehors. Heureusement, ma mère m’a aidée en cachette de papa. J’ai dû renoncer à la fac pour aller travailler et élever Bastien !

— Aie ! Ça se complique, mais tu n’es pas responsable! Je ne t’en veux pas ! Mon pervers de mari a gâché ta vie ! Mais, encore une fois, ce n’est pas ta faute. Ton fils est bien élevé et puis, dorénavant, tu vas pouvoir rattraper beaucoup de choses avec lui ! Et peut-être même, faire la paix avec les hommes

Je me veux rassurante alors que je suis prise d’angoisse. Je réalise que mes filles ont un demi-frère beaucoup plus jeune qu’elles. Que mon petit blondinet d’amant, amoureux de sa mère est l’oncle de mes petits enfants, bien qu’il ait leur âge. Comment vais-je gérer ça maintenant ?

Bon ! Pour le moment, je compte garder ça pour moi !

Sabine et moi pactisons pour conserver le secret de ces révélations.

Ma compagne de lit se détend et exprime combien elle se sent libérée de cette chape de plomb. Elle est enjouée quand elle se love au creux de mon épaule. Sa main flatte mon minou et caresse ma toison.

— Tu es sacrément poilue !

— Ça plait beaucoup à David ! 

— Tu Tu veux dire que ton petit-fils et toi ?.. 

— Oui, bien sûr ! C’est un excellent amant. Sa sur et sa mère aussi d’ailleurs, mais différemment ! Quant à ton Bastien, il se débrouille plutôt bien maintenant !

— Avec mon fils aussi, tu as ?..

— Avec lui, c’était surtout pour l’initier. Désormais, il n’a plus besoin de cours particuliers, tu es là ! C’est ton rôle de mère !

— Non ! Ce n’est pas raisonnable ! 

— Mais si ma chérie ! Tu sais, moi, j’ai beaucoup aimé quand il m’a sodomisée ! Tu devrais essayer un jour Mais une chose à la fois. Je suis sûre qu’il va souvent t’emmener au septième ciel À moins que tu ne préfères les femmes ? Tu es sacrément douée pour ça, tu sais »

Ma bouche clôt la sienne et la fièvre qui s’empare de nous, lors de notre baiser, confirme qu’elle apprécie les femmes autant que moi !

Note : Ce récit a été coécrit avec la complicité d’une lectrice qui a su enrichir le texte original.

Un grand merci à Charlotte83, dont les récites sont  à retrouver sur ce site.

Yphos

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