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Une éducation un peu spéciale – Chapitre 2




CHAPITRE II : Une jolie surprise pour les vingt ans de Stéphane.

Une année entière s’était écoulée depuis les dix neuf ans de Stéphane. Ce dernier avait continué à se développer et à laube de ses vingt ans il affichait une barbe de trois jours. Il était maintenant rentré à la faculté. Il s’était dirigé vers une licence de lettres  pour une double raison. D’abord il avait toujours voulu enseigner le français, la lecture et l’écriture ayant toujours été une échappatoire dans ses moments difficiles. Deuxième raison, les classes étaient bourrées de filles. Malgré cela, il était resté très timide et maladroit avec la gente féminine.

Malgré tous ces désagréments, Stéphane était heureux aujourd’hui. Sa mère l’avait invité à diner au restaurant pour fêter ses vingt ans et il pourrait ainsi profiter de la présence de la seule femme qu’il aimait et l’aimait en retour. Nathalie avait choisit un restaurant très chic ce qui toucha la corde sensible de son fils. Comme tous les ans, la conversation tourna autour de ses relations ou plutôt son manque de relation avec des filles. Que pense ma mère, s’interrogea l’intéressé, se demande-t-elle si je suis gay ? Est-elle si pressée d’avoir des petits enfants ? Ou est-ce  tout simplement les inquiétudes d’une mère qui voyait son fils grandir de jours en jours ? Oui se devait être la dernière solution, après tout quelle mère ne se soucierait pas pour la vie sentimentale de son fils. Stéphane décida alors de la rassurer rapidement :

« – Je n’ai toujours pas de petite amie maman lui dit-il. Tu sais bien que j’ai toujours eu du mal à leur parler. Mais je te rassure encore une fois je ne suis pas gay. C’est juste que je manque encore un peu de confiance en moi.

— Ca peut peut-être s’arranger, lui répondit-elle. Je connais un excellent moyen pour y parvenir. Mais il faudra que tu me fasses confiance et surtout que tu m’obéisses.

— Très bien je suis prêt.

— Pas maintenant, en rentrant, de toute manière je pensais t’en parler une fois rentrer. »

Le reste du repas se passa très bien. Nathalie rit aux blagues graveleuses que son fils lui rapportait. Les filles de son école devaient être de sacrées perverses pour lui raconter de telles choses se dit-elle. De vraies petites salopes je suppose.

Après un bon repas, ils rentrèrent à la maison et s’installèrent tous les  deux sur le divan. Stéphane fut le premier à  rompre le silence :

« – Si tu me parlais de ce moyen de me faire gagner en confiance maintenant que nous sommes rentrés.

— D’accord mais saches qu’une fois le processus entamé, il n’y aura pas de retour possible.

— Ok.

-Et tu devras m’obéir aveuglément.

¬- N’est-ce pas ce que je fais chaque jour ?

— Si répondit Nathalie en souriant. Tu as toujours été un enfant très sage et très obéissant. »

Sur ces paroles elle posa sa main sur la cuisse de Stéphane. Celui-ci fut décontenancé par le geste mais ne réagit pas. Après tout elle savait ce qu’elle faisait. La main remonta lentement vers son entre-jambe et malgré son mal être, la situation ne pouvait empêcher le jeune homme de bander.

« – Maman que fais-tu ? lui demanda-t-il.

— Je t’éduque.

— Mais à quoi ? »

Nathalie se leva et se mit à chevaucher son fils. Les fesses sur les genoux de celui-ci, son bas-ventre contre son sexe et son visage devant celui de l’adolescent. Malgré les couches de vêtements, Nathalie sentait le corps de cet Adonis transpiré et électrisé. Il semblait hésiter entre l’envie de fuir et celle de la laisser continuer. Elle lui répondit alors : « A faire de toi un homme. »

 Ne voulant pas le laisser réfléchir davantage, Nathalie colla ses lèvres aux siennes. Surpris par ce baiser incestueux, Stéphane ne pu que fermer ses lèvres pour ne pas lui rendre ce baiser. Mais sa mère savait comment le faire céder. Elle plongea sa main dans le pantalon de son fils et s’empara de son sexe déjà bien dur qu’elle caressa. Soumis à un plaisir qu’il ne pouvait contrôler, il ouvrit légèrement sa bouche et laissa la langue de Nathalie rentrer, toucher la sienne et s’enrouler autour. Puis comme mu par une force qui le dépassait, il rendit ce baiser, enlaça sa mère et laissa ses mains descendre jusqu’à ses fesses.

Devant cette réaction, Nathalie ne put être qu’enchantée et après un long baiser, elle observa celui qu’elle aimait plus que tout au monde. Il semblait déjà plus confiant. Quant à elle, un feu semblait brûler en elle à l’idée de ce qui allait suivre. Elle retira le pantalon du jeune garçon qui l’empêchait de le caresser comme elle le voulait. Le bas de son corps nu, Stéphane était complètement à la merci de sa mère qui en profita pour le branler. Excitée par la situation et les petits gémissements de son partenaire, elle approcha sa bouche de son oreille et lui chuchota :

« – Je vais enfin pouvoir te sucer alors que tu es éveillé. »

Stéphane blêmit. Ces rêves étaient donc réels et sa mère venait régulièrement le soir pomper sa semence.

« Tu ne pensais tout de même pas que tes couilles pouvaient se vider tout de seule aussi rapidement lui demanda-t-elle. »

Voyant sa question sans réponse, Nathalie se dit que son éducation serait longue. Mais cela ne la dérangeait pas. Stéphane était un gentil garçon et ferait un excellent amant. Il était juste un peu naïf.

Elle se mit alors à genoux par terre et prit la bite de son fils toute raide dans la bouche. Elle commença par la lécher avec avidité avant de la pomper par des mouvements de succion et de va et vient. Elle accompagna ces mouvements en lui caressant les testicules. Son impatience était grande. Nathalie avait en effet imaginé cent fois cette soirée dans sa tête et elle n’avait qu’une hâte : goûter une nouvelle fois au jus de son fils puis passer à l’étape supérieure. Ceci ne devait plus tarder.

« Je vais venir maman haleta le garçon. Retire-toi. »

Mais Nathalie ne l’entendait pas de cette oreille et ne fit qu’augmenter la cadence de ses lèvres sur l’engin de son enfant. Celui-ci ne pu se retenir très longtemps et déjà son corps se contractait et ses gémissements s’intensifiaient. Nathalie pu après quelques secondes avaler ce liquide qu’elle affectionnait tant. Après cette activité, Stéphane semblait comme dans un rêve. Malgré sa raison qui lui disait que ce n’était pas bien, qu’il ne devait pas avoir de telles relations avec sa mère, il ne pouvait s’empêcher d’avoir envie d’aller plus loin. Il lui semblait qu’il ne pouvait plus faire  demi-tour. Il devait écouter ses passions et tant pis si celles-ci étaient perverses ou immorales. Après tout ce n’est pas comme si cette idée me répugnait se dit-il. Bien au contraire, cette pensée, ces rêves qui ne l’étaient pas avaient bien souvent accompagnés ses masturbations. Et bien souvent il avait jouit en visualisant sa mère le suçant. Sûr de sa décision, Stéphane s’exprima mais cette fois-ci avec plus d’assurance :

« – Je veux que tu fasses de moi ton homme maman. »

Nathalie sourit.

« – D’accord mon amour, monte à l’étage je te rejoins bientôt. »

Stéphane monta les escaliers et se dirigea vers la chambre de sa mère.

— « Non mon chéri, vas dans ta chambre. Ce soir je suis seulement la femme qui prendra ta virginité. Je veux que ça se fasse dans ton lit comme si j’étais une copine que tu ramènes dans ton lit. »

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