Aventure à la piscine. (Ceci est une fiction).

Voici une histoire qui m’est arrivée il y a peu, je m’appelle Estelle, je suis une petite brune de 39 ans, mariée (avec Sam depuis 14 ans), maman et heureuse en ménage. Comme beaucoup de femmes de mon âge, malgré des semaines de travail chargées (boulot, famille et enfants), je pratique un peu de sport quand le temps me le permet. Comme le dirait ma meilleure amie Sarah (avec qui je partage mon sport et d’autres activités) : il est important de prendre soin de soi, si on veut sauver les apparences face aux jeunettes que l’on croise à la plage en été et qui pourrait nous piquer nos maris. Espèces de sales garces… lol

Bref, voici ma petite histoire…

Comme chaque vendredi soir, je me rends à la piscine communale pour faire mon sport détente et quelques longueurs, histoire de me délasser tranquillement après une semaine chargée et fatigante. J’aime particulièrement y aller le vendredi en fin de soirée, car c’est le moment le plus calme de la semaine, après les cours de natation, des enfants finissant à 20h00 et avant la fermeture de 22h30. Nous sommes une poignée d’habitués à cet horaire-là et le bassin est à nous, seuls en toute tranquillité. D’habitude accompagnée par mon amie Sarah, nous profitons de cette pause dans le temps pour prendre soin de nous, parler (doucement) et profiter de l’instant en nageant. Malheureusement, ce soir, Sarah est absente, car son petit garçon de 4 ans est malade, c’est donc seule que je me rends à la piscine, bien que peu motivée à nager et me mouiller par ce soir du mois de novembre pluvieux et froid.

Après une petite heure de nage intensive et d’étirements en tous genres, comme à mon habitude, ce soir, je m’attarde un peu dans le bassin pour me relaxer calmement durant quelques longueurs. Les derniers nageurs restants me saluent avant de quitter le bassin, me laissant seule et isolée au milieu de l’eau…

Il est bon de se laisser bercer par l’eau dans ce grand bain, sans personne autour, sans bruits, sans soucis … mais malheureusement, lheure avançant, je suis bientôt contrainte de devoir sortir à mon tour, m’obligeant à redescendre de ce petit nuage de tranquillité si doux.

Bien qu’ancienne, cette piscine communale est agréable et très propre, son bassin de 25m est idéal pour l’ensemble des activités nautiques et même l’initiation à la plongée. Dans les coursives communes et les vestiaires, il n’y fait jamais froid, mais pas trop chaud non plus depuis qu’ils ont refait les chaudières il y a 3 ans. Bref, ce petit endroit bien sympathique est un lieu que j’apprécie pour la convivialité qui y règne et sa proximité entre mon travail et mon domicile. Seule remarque que l’on pourrait donner pour rendre le lieu parfait serait l’amélioration des douches, qui actuellement sont communes. Mais le budget communal n’étant pas exceptionnel pour la rénovation des locaux, et les derniers investissements dans des cabines de vestiaires et les nouveaux casiers ont vite eu raison du budget alloué pour l’année.

Les minutes s’écoulent doucement, et je sais que le maître-nageur attend sur mon départ pour couper la lumière et fermer. Ce soir, c’est Gérard le maître-nageur qui fait la fermeture, un homme d’une cinquantaine d’années passées, un peu bourru, 1m75 environ avec un ventre un peu rond et un regard assez noir derrière sa moustache grisonnante., il n’est guère avenant, mais reste toujours gentil et courtois avec les clients et les abonnés de la piscine…

Personnellement, je préfère largement son collègue Julien, un jeune sportif de 25/27 ans, un grand homme de 1m90 avec une musculature et des épaules avantageuses et fines comme j’aime l’imaginer sous son t-shirt réglementaire, sans parler de son slip de bain mettant en valeur ses attributs (Sarah et moi-même en plaisantons et fantasmons régulièrement sur ce petit jeune). Bref, je me prélasse encore un instant, rêveuse au milieu du bassin… et Gérard m’observe d’un regard un peu insistant et vicieux tout en faisant les 100 pas de long du bassin impatient que la journée finisse.

Il semble évident que je ne le laisse pas insensible dans mon maillot noir 2 pièces et ma peau blanche qui contraste avec les reflets bleutés de l’eau…

Sortant enfin du bassin, je récupère ma serviette sur le bord, et comme à l’habitude, je salue Gérard de la main en lui souhaitant une bonne soirée. Tout en me dirigeant vers les vestiaires avec mes affaires, celui-ci me répond et me salue à son tour tout en coupant l’éclairage interne du bassin et rangeant les derniers objets traînant sur le bord. Je m’éloigne, insouciante et fatiguée, tout en l’entendant passer la raclette sur le carrelage et mettre les chaînes de protection sur les portes de sécurité derrière moi.

Arrivée aux vestiaires, j’accroche ma serviette au crochet et me munis de mes affaires de toilettes de bains tout en allant vers les douches. L’eau est chaude, agréable et douce… Seul son bruit résonne sur le carrelage blanc qui m’entoure, du haut de mes 1m60 (et 52 kilos) je parais toute petite au milieu de ces douches communes gigantesques. Mécaniquement, je me rince et me savonne le corps, sans retirer mon maillot qui me couvre. Je me lave soigneusement les cheveux et profite de la chaleur de la douche qui ruisselle sur moi. Je ferme les yeux et me laisse aller à fantasmer encore sur le beau et jeune maître-nageur… il me rappelle mon mari (15ans en arrière)…

Le gel douche encore en main, je me savonne lascivement. Bien que j’entende des pas derrière moi s’approcher, je reste dans mes pensées et mes rêves délicats sans me retourner. Puis je sens une présence dans mon dos… l’attache de mon haut de maillot s’ouvre dans mon dos puis la ficelle autour de ma nuque se relâche à son tour, libérant mes seins blancs et ronds de leurs carcans de toile…

Je ne réagis pas… pensant être toujours dans mon rêve (avec mon mari Sam réincarné en beau maître-nageur)… l’eau chaude s’écoule sur moi et mon corps à demi nu et savonneux. L’inconnu du rêve saisit mon gel douche et s’en applique sur les mains avant de me masser délicatement le dos et les épaules… sa tendresse est délicieuse, ses mains, bien que fermes, m’effleurent et me massent délicatement, ce qui me porte encore plus dans mon état de torpeur, sans résistance, je me laisse faire et me laisse guider dans cette situation étrange entre contact réel et rêve.

La présence de cet homme inconnu dans mon dos s’accentue, je n’ose me retourner pour ne pas briser mon rêve délicat. Je sens son corps musclé contre le mien, il est bien plus grand que moi, il me serre contre lui, ses mains me caressant le dos et les reins, le ventre puis les seins qu’il prend à pleines mains, son souffle près de mon oreille m’électrise au point que je vacille et dois me tenir au mur pour ne pas m’évanouir. Il s’approche encore, à présent, je sens son ventre dans mon dos… il ne semble pas porter de slip de bain, je sens son sexe glisser et durcir dans mes reins et sur mon fessier…

J’essaie un instant de me tourner pour le voir et embrasser mon inconnu du rêve, mais celui-ci m’impose de rester face au mur… Ses mains sont fortes sur mon corps si frêle… je me tiens à la barre de douche et au mur pour ne pas glisser ou tomber, ses mains devenues plus baladeuses me massent et doucement, il glisse ses doigts sur moi en dessinant doucement mes courbes, passant sur la ligne de mon dos jusqu’au creux des mes reins, sur mon ventre et sur mes seins, j’en frissonne inconsciemment. Puis, progressivement, ses mains font glisser la culotte de mon maillot pour m’en débarrasser… Il me touche, me caresse et me prend telle une poupée offerte et soumise à son plaisir…

Légèrement, il m’écarte une jambe et se glisse à mes pieds, son visage au niveau de mes fesses, il m’embrasse et me goûte délicatement. Doucement, ses mains commencent une remontée le long de mes chevilles, de mes mollets, mes cuisses, puis s’attardent sur mon intimité. Du bout des doigts, il me caresse le ventre et le clitoris, de l’autre, il me tient fermement par la taille tout en m’embrassant encore le dos et la nuque tendrement.

L’eau chaude ruisselante, la caresse et le savon sur moi, m’enivrent, et les yeux clos, je me laisse aller à gémir mon plaisir de l’instant. Mes deux mains plaquées contre le mur, je m’abandonne à ses baisers sur mon dos, sur ma nuque et mes épaules. Totalement vaincue, je le laisse immiscer ses doigts en moi, d’abord un, puis un second… de la paume de sa main couvrant mon sexe et mon clitoris, il poursuit sa caresse tout en accentuant les va-et-vient de ses doigts…

La chaleur de l’eau, la chaleur de son corps contre moi, la situation m’électrise totalement. Je sens monter en moi de douces décharges de plaisir dans le creux de mon ventre, me faisant perdre le sens des réalités et l’image des lieux. Petites puis plus grandes, plusieurs vagues montent en puissance en moi et me font onduler mes reins contre lui, l’invitant à poursuivre ses actes. Son autre main continue ses massages et profite de mon corps ainsi offert, il me prend les seins, les caresse, les pince et les serre sans ménagement…

Cambrée face au mur, il m’écarte un peu plus les jambes avec ses pieds, et je sens à présent son sexe massif et dur se glisser dans mon scion fessier… je le sens se positionner et se presser contre moi pour prendre mon corps… son mat épais, m’écartant les fesses tente de prendre place sur mon illet fragile… Dans un soupir, ou un soupçon de lucidité, je refuse sa caresse d’intromission et lui demande de ne pas passer par là…

Me penchant légèrement en avant, et me cambrant davantage, je le sens présenter alors son gland rond et large entre les lèvres de mon vagin. Puis toujours en équilibre contre le mur, je m’incline encore pour l’accueillir en moi… enfin, dans un mouvement lent et intense, il me pénètre et je le sens me remplir pleinement et profondément, me coupant le souffle de sa présence si volumineuse. Il me tient fermement les hanches, poussant au plus loin son chibre en moi, et venant coller son ventre à mes fesses tendues. Durant un court instant, il s’immobilise afin que je m’habitue à son intrusion, puis commence un va-et-vient lent puis plus rapide, me crispant et me faisant frémir à chaque mouvement.

Son emprise sur moi est totale, d’une main, il me maintient contre lui, de l’autre, il parcourt mon corps de caresses, l’eau chaude coulant sur mon dos et entre nous renforçant encore le claquement de son ventre contre mes fesses à chaque pénétration, mes seins se balançant en cadence… le bruit de l’eau, nos gémissements, nos soufflent résonnent dans les douches vides…

Je suis au bord de la jouissance…

La situation de mon corps nu et frêle dans cet espace blanc et immense, mon inconnu en moi, la vision du carrelage devant moi, troublé par l’eau coulant sur mon visage et mon corps. Je m’abandonne à cet homme qui prend mon corps dans ce moment hors du temps…

Je le sens en moi, de toute sa longueur, de toute sa puissance…

Actif et intense… me poussant contre le mur de carrelage, me soulevant et me mettant sur la pointe des pieds à chaque pénétration, puis soudainement, il m’attrape les deux seins à pleine paume et s’enfonce violemment au plus profond de mon intimité, la surprise et la douleur de l’instant me coupent le souffle, et mon plaisir explose dans un long gémissement impossible à contenir…

Les vagues douces et chaudes dans mon ventre sont intenses et affluent à chacun de ses coups de reins… je me crispe encore sur lui… je le sens grossir en moi puis dans un dernier élan, je le sens déverser son sperme à l’intérieur de moi, par vagues brûlantes et successives, il se vide dans le fond de mon intimité dans un râle bestial et animal…

Nos corps se séparent rapidement, je reste pantelante sous l’eau chaude, le trop-plein de sa semence s’écoulant de mon vagin, je m’écroule au sol, anéantie par le plaisir ressenti, le temps de me retourner, mon inconnu a disparu… Dans un dernier effort, je termine ma douche, toute nue, nettoyant mon intimité souillée, encore rêveuse de ce moment d’extase, qui n’aura en réalité que duré que quelques minutes…

La tête encore embrumée, je ramasse mon maillot au sol et je sors de l’espace douche, nue et un peu désorientée. A cet instant, je croise Gérard dans les vestiaires, finissant sa tournée de nettoyage, me voyant ainsi nue et chancelante, il se précipite vers moi pour me porter secours, pensant que je faisais un malaise… contre lui, trempée et nue dans ses bras, nos regards se croisent… je lui dis que tout va bien, mais que la douche était juste un peu trop chaude ce soir… Gérard, très gentleman, m’aide à gagner un vestiaire, non sans profiter de mes charmes que je lui expose sans pudeur.

Je quitte la piscine juste sur l’heure de fermeture, totalement épuisée, rêveuse et délassée…

En voiture, le rêve s’estompe peu à peu et la réalité réapparaît … Je m’interroge… Si cela n’était pas un rêve ? … (Mon entrejambe me prouve que non…) Si nous étions que 2 dans cette piscine ce soir ? Et si Gérard faisait le ménage dans les coursives. ??? Qui ??? Qui a pris mon corps sous la douche … ???? Mais qui est-ce ????… Je pense à mon mari, à cette aventure… (J’ai peur que cela ce découvre… tout en cherchant qui cela aurait-il pu être ?)

Related posts

Mes premiers congés payés – Chapitre 1

historiesexe

Visite – Chapitre 1

historiesexe

De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 19

historiesexe

1 Commentaire

stl67 2022-07-26 at 16h46

Merci pour la publication de mon texte…. quel honneur…
bonne lecture

Répondre

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .