Fortement engourdie par l’alcool, Sophie s’étendit sur le dos, dans le lit parental. Levant les jambes, elle les abandonna à sa mère qui, se tenant à sa tête, les saisit en les écartant légèrement pour les ramener vers les épaules de sa fille, présentant à Jérôme la partie la plus intime et la plus tentatrice de l’anatomie de sa fille, une vulve béante et dégoulinante de cyprine surmontant un anus relâché et toujours assoiffé de sensations extrêmes.
Lui-même obnubilé par l’alcool et l’intense excitation que lui procurait la vue du corps de sa fille qui demeurait, silencieusement et les yeux clos, dans l’expectative, Jérôme approcha lentement son visage du sexe de Sophie. L’enivrante odeur mêlant transpiration, cyprine et alcool envahit ses narines alors qu’elles commençaient à effleurer les petites lèvres de la jeune femme. Son nez se fraya un chemin entre les muqueuses chaudes et glissantes de Sophie dont il crut même apercevoir l’hymen défendant sa virginité vaginale. Ayant perdu tout contrôle sur ses actes, il remonta doucement le nez en direction du clitoris de sa fille et y déposa sa langue charnue et humide.
Toujours dans sa torpeur, Sophie se mouvait lentement comme elle sentait l’excitation suprême causée par le passage de l’organe lingual sur son bouton d’amour, alors qu’un frisson lui parcourait l’échine de bas en haut :
« Oooooh, Papa, c’est c’est sublime! dit-elle tout bas comme pour elle-même »
Stimulé par les gémissements approbateurs de sa fille, Jérôme poursuivit ses lents mouvements de caresses linguales à l’égard du renflement charnu qui prenait de plus en plus d’expansion. Le père semblait complètement déconnecté de la réalité, ne se souciant plus des conséquences que pourraient entraîner ses gestes sur les relations entre sa fille et Alicia.
Dans sa confusion d’esprit, Sophie voyait devant elle un ours en train de lui lécher le conin. La vision fugace du regard amoureux d’Alicia apparut à ses yeux clos, pour disparaître comme s’estompe un reflet dans une eau qu’on agite. Dans son cur, un cri de désespoir qu’elle n’exprima jamais agitait les barreaux dressés par son état d’ébriété avancée.
Très bientôt, les gémissements de Sophie laissèrent la place à des sons qui n’étaient plus que de faibles chuchotements prononcées par celle qui sombra peu à peu dans un orgasme qui semblait ne plus vouloir prendre fin.
Consciente du drame qui se déroulait devant elle, éprouvant à la fois compassion et tristesse pour sa fille, Jasmine ne put trouver d’autres mots :
« Laisse tout tomber. Abandonne-toi au moment présent. »
Elle apposa délicatement sa bouche sur celle de sa fille.
Les langues s’entremêlant, Sophie abandonna son corps à ses parents, alors que son clitoris en érection batifolait avec l’organe lingual de son père, brisant ainsi une promesse de chasteté prononcée il y avait déjà plusieurs années entre elle et Alicia.
Toujours dans un état second, Jérôme avança son imposant sexe solidement bandé en direction de la zone interdite. Son gland rouge et congestionné entra en contact direct avec cette fleur qui ne demandait qu’à recevoir sa semence. L’homme imprima à son sexe des mouvements de va-et-vient de bas en haut, caressant ainsi les petites lèvres depuis le périnée jusqu’au clitoris de Sophie qui vibrait toujours de plaisir, perdue dans le baiser langoureux que lui offrait Jasmine.
La verge bandée s’arrêta sur le clitoris qu’elle se mit à frotter doucement. Les deux organes en érection solide se trouvant l’un contre l’autre, ventre à ventre, ceux-ci s’embrassèrent ainsi pendant de longues secondes que Sophie ne pouvait plus compter, le temps semblant s’être arrêté pour elle. Jamais dans sa vie ses séances de masturbation ne lui avaient fait atteindre un tel niveau de jouissance. Probablement pour la seule fois de sa vie, elle sentait sur son sexe assoiffé la présence du pénis d’un homme. Du liquide pré-séminal s’échappa en giclant vers le haut hors du méat urinaire de Jérôme. De grosses gouttes crémeuses en retombèrent sur le mont de Vénus, imbibant la toison rousse de Sophie.
Finalement, Jérôme replaça son organe viril dont l’extrémité était maintenant dangereusement glissante, dans l’axe du vagin de sa fille qui exhibait, les jambes relevées et écartées, un hymen mettant l’homme au défi de la déflorer. Ayant perdu tout contrôle de lui-même, il apposa son gland luisant et enduit de la mouille de sa fille sur la membrane rosée qui se tendit légèrement. Jérôme se trouvait à un coup de bassin de faire basculer la vie de sa puce d’amour.
Il y eut un moment d’hésitation pendant lequel rien ne se produisit.
Semblant retrouver quelque force intérieure, Jérôme saisit son pénis de sa main gauche, il le fit glisser en-deçà du périnée de Sophie et entreprit de pousser sur son anus. Jasmine, de son côté, se trouvait maintenant sur le clitoris de sa fille qu’elle se mit à lécher goulûment après avoir, au passage, essuyé de sa langue le doux et précieux liquide émis par son mari. Sophie gardait la pose, les yeux toujours fermés, ses cuisses accrochées à ses bras.
Complètement possédée par ses parents, la jeune femme haletait sans arrêt, agitant la tête à gauche puis à droite, se cambrant à l’occasion sur ses fesses, perdant une partie de ses urines, les mains posées sous le nombril, en proie à une excitation sans cesse croissante qui la faisait monter au septième ciel. Gémissant de plaisir, elle ne savait plus où elle était ni même avec qui elle se trouvait, ne focusant que sur les sensations extrêmement poignantes dont elle faisait l’expérience. Elle se rendit à peine compte qu’un pénis de la taille de celui d’un cheval frayait, centimètre par centimètre, son chemin dans les parties les plus intimes et les plus interdites de son corps.
Réalisant la pourtant peu douloureuse tension de son muscle anal fortement dilaté ainsi qu’une agréable sensation de plénitude qui occupait tout son rectum, elle sentit au travers de son abdomen la dureté de l’organe de son père qui avait commencé des mouvements de va-et-vient de plus en plus rythmés. Ces derniers, dans leur lenteur du début, permirent à Sophie d’accueillir cette invasion avec détente et volupté. Le clitoris de la fille demeurait en pleine ébullition, soigneusement stimulé par la bouche de Jasmine.
Des secousses fortes et rythmées firent soudain vibrer tout l’abdomen de la fille, alors que Jérôme se déchargeait dans ses intestins d’une abondante quantité d’un liquide spermatique épais et crémeux. L’éjaculation semblait interminable et s’éterniser dans le temps. À chaque coup d’éjaculation ressenti par la fille, la sensation de plénitude augmentait au point où elle éprouva presque l’agréable et impérieux besoin de pousser. Dans son extase, Sophie avait tout oublié : sa mère qui baisait son bouton d’amour, son père qui la fourrait de son liquide séminal crémeux, Alicia à qui elle avait fait une promesse de chasteté.
Jérôme attendit de sentir son organe diminuer un peu de volume avant d’amorcer son retrait. Ce dernier complété, un peu de substance blanche et épaisse s’échappa du trou de cul de Sophie qui resserra aussitôt son muscle anal. Jasmine s’était allongée à côté de sa fille. Sophie n’haletait plus, prenant maintenant de longues inspirations. Épuisée, elle déposa ses jambes sur le matelas et garda les yeux fermés. Un vent de tempête commençait à se lever à l’horizon de son esprit.
Elle sentit son père s’approcher d’elle, debout à côté du lit. Elle n’ouvrit pas les yeux. Jérôme s’approcha de sa fille, lui apposa un baiser sur le front et :
« Je suis désolé, ma fille, vraiment, je suis désolé. »
Il remit son peignoir et sortit de la pièce.
« Qu’est-ce que j’ai fait? se demanda Sophie tout haut. Dis-moi que c’est pas vrai?
« Maman, dis-moi que tout ça n’est pas vrai!? »
(À venir : Les malheurs de Sophie)