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Choc culturel…et gynécologique ! – Chapitre 4




Le docteur Al Jezouly attendait son esclave de pied ferme. Il lui avait donné rendez-vous à son cabinet pour 19h00, comme ça, il était certain qu’il ne serait pas embêté.

Céline Garnier entra dans le cabinet, pour la quatrième fois… reçue glacialement par le docteur…

De nouveau, comme il le lui avait demandé, elle portait son manteau d’astrakan, avec pas grand-chose en dessous : une paire de bas et un porte-jarretelles.

Elle jouissait de se sentir nue sous son manteau, et surtout, s’amusait à l’extrême des réactions tellement stéréotypées du pauvre docteur. Il ne s’en rendait pas compte, mais c’était elle qui le dominait… enfin pour être plus exact, son fils par son intermédiaire.

Comme d’habitude, elle suivait aveuglément tous les ordres et directives de son rejeton, âme damnée qui valait bien la sienne. Comme l’on dit, les chiens ne font pas des chats… et Céline devait bien admettre que depuis son divorce difficile et traumatisant, d’avec un mari brutal, sans humanité et sans libido, elle n’avait pas regretté d’avoir cédé à ses propres pulsions.

Son fils lui avait fait subir une période infernale, jusqu’à ce qu’elle cède à ses caprices. Elle avait bien essayé de l’envoyer chez cette jeune psychothérapeute, mais avait bien été étonnée de s’entendre dire qu’après tout, l’inceste entre personnes majeures et consentantes n’était pas si grave ? Et en l’occurrence, ce n’était pas elle, la mère, qui essayait de suborner un fils sans défense psychologique, mais plutôt l’inverse.

Alors, revêtue de cette aura déculpabilisatrice, elle avait cédé ! Au début, il s’agissait de prendre son fils dans son lit, et de s’endormir à ses côtés, sa main sur son sein. Et puis, les demandes de Thomas avaient été plus exigeantes et ciblées. Elle devait dormir avec lui en nuisette assez émoustillante, puis sans culotte, puis nue… lui, dormait toujours dans le plus simple appareil, à côté de sa mère. Et parfois, elle se réveillait au milieu de la nuit, et elle restait sidérée par l’organe monstrueux et plein de sève, qui poussait entre ses cuisses. Elle, la femme sans homme et sans sexe, commençait à en concevoir un certain intérêt, même si elle voulait toujours se cacher la vérité à elle-même ! Elle ne se retenait qu’avec grande peine de ne pas saisir le sexe bouillant, ou d’en approcher sa bouche !

Et puis un jour, le drame ! Ayant refusé de dormir nue à côté d’un fils qui ne se gênait plus pour s’endormir avec une main entre ses cuisses, entrecuisse qu’elle retrouvait souvent poisseux de ses propres fantasmes à elle, elle l’avait retrouvé dans la baignoire, nu, avec les veines tranchées sur le poignet gauche. Hurlant comme une harpie, elle l’avait sorti de l’eau, lui avait fait un garrot improvisé avec une serviette de bain, et avait appelé les pompiers. Aux urgences, on lui avait expliqué que les veines n’avaient pas été tranchées assez profond, pour aller jusqu’à l’issue funeste ! Il s’agissait plutôt d’un appel désespéré… appel qui avait été entendu par la responsable les nuits suivantes !

Alors Céline, consciente de l’impact qu’elle avait sur le "trésor de son existence", mit le paquet ; elle alla s’acheter toute une lingerie fétichiste, dont elle savait que son fils était friand ! Et le lendemain dès sa rentrée d’hôpital, avait agi en professionnelle !

Repas aux chandelles, avec serviteurs homme et femme, caviar, vodka, saumon fumé, vin millésimé, bar de ligne, pâtisseries orientales sorties du meilleur établissement de Paris… et du champagne !

Elle avait choisi tous les mets chez un traiteur, dont son fils était gourmand. Quant à elle… longue robe de soirée noire, avec un décolleté pigeonnant, escarpins noirs à très hauts talons, bas coutures et porte-jarretelles noir… et rien d’autres…à part Chanel N=° 5… et surtout une grosse dose de courage pour la mère aimante, qui allait violer un tabou impérieux de toute société humaine !

Bien sûr, Thomas, en rentrant chez lui, avait été émerveillé par l’atmosphère glamour et chaleureuse, mais surtout, avait compris tout de suite comment finirait la soirée, quand il avait vu la couture des bas… sa mère connaissait bien ses fantasmes, il le savait, et comme elle s’estimait coupable de son suicide manqué !

Sur ce coup-là, Thomas avait bien joué et surjoué son rôle de jeune homme suicidaire. Il savait exactement comment se couper, pour ne pas aller trop loin, et s’était tailladé juste avant que sa mère ne rentre dans l’appartement. Le reste du sang, une grosse flaque, était du sang récupéré chez un boucher !

Après le dîner voluptueux très arrosé, Céline avait besoin de se sentir vraiment à l’aise, pour ce qu’elle allait faire, elle invita son fils à danser tandis que la servante rousse, Élodie, mettait un slow sur la chaîne HI-FI, et que Max, le sommelier, leur donnait des coupes de champagne. Puis Céline leur demanda de s’esquiver et de rester dans la cuisine, le temps qu’il faudrait… et faisant asseoir Thomas dans le canapé du grand salon, une coupe de champagne à la main, les luminaires au minimum, fit un striptease devant son fils. Elle laissa tomber la longue robe sur le sol, et dansant sur une musique lascive, se caressa le corps, les hanches, les seins, le sexe, avec ses longs gants de femme du monde, puis nue devant son fils, elle lui demanda de venir l’embrasser.

Thomas, qui avait le regard fixé sur le pubis décoré d’un triangle de poils châtain, vint directement sur elle, et en propriétaire, caressa le doux duvet, pour enfin faire pénétrer assez brutalement trois doigts dans la fente maternelle ! Céline fut un peu étonnée de la brutalité avec laquelle son fils la caressait… elle s’était attendue à un peu plus de sentiments et de douceur, de ce fils à qui elle s’offrait totalement…

Il lui fit alors une demande étonnante :

Maman, rappelle les deux serviteurs et dis-leur de s’asseoir dans le canapé en face…

Mais… mais Thomas, tu ne comprends pas que je désire me donner à toi, faire l’amour avec toi, mon fils ?

Bien sûr, maman, mais je veux qu’ils soient là aussi !

Voyons Thomas, ce n’est pas possible, tu ne peux pas me demander cela ?

Céline avait les larmes aux yeux, une main sur son pubis et l’autre sur ses seins, elle se cachait du monstre qui était en face d’elle. Il fit alors ce qu’elle redouta. Remontant la manche de sa chemise, il passa un doigt sur la fine cicatrice de son poignet en la fixant droit dans les yeux… Céline comprit alors qu’elle avait le diable devant elle, qu’elle avait engendré un démon, et qu’elle serait dès cet instant, sa créature perdue et damnée. Une partie d’elle-même, qu’elle avait réussi à retirer du plus profond de son être, surgit alors dans sa psyché. Sa part d’ombre, qu’elle avait toujours réussi à juguler, refaisait surface avec délice et excitation, elle se dit :

Mon Dieu, enfin, si je puis dire, nous allons parcourir les sentiers de la perdition tous les deux… jusqu’en Enfer !

Alors d’un pas décidé, elle se déplaça nue, en porte-jarretelles, sans aucune honte, jusqu’au couloir, ouvrit la porte et réclama la présence des deux serviteurs d’une voix peu amène. Ceux-ci apparurent, sidérés de voir leur patronne dun soir dans le plus simple appareil. Elle leur dit :

Vous deux, amenez les dernières bouteilles de champagne, vous avez le droit de vous saouler, et de faire la fête avec nous… vous prendrez des photos de nous deux avec mon portable, et vous nous regarderez ! Mais interdiction rigoureuse de parler, à qui que ce soit, de ce qui se passera ici, sinon, je fais de votre vie un enfer, et vous pourrez quitter la ville, en chômeurs. Par contre si vous me servez bien, vous reviendrez animer mes soirées et je suis très généreuse… cela, dit sur un ton et un regard très troublant, qui pouvaient donner plusieurs sens au terme généreux !

Alors le sommelier, debout près des deux futurs amants, commença à mitrailler la scène, tandis que la servante, surprise tout d’abord, mais qui commençait à se prendre au jeu du voyeurisme, leur servait du champagne qu’elle buvait aussi, tout en matant sa patronne avec son fils. Céline commença à déshabiller son fils, tandis que celui-ci caressait les seins de sa mère. Puis, se mettant à genoux devant lui, et lui ayant baissé son boxer, elle prit la hampe gorgée de sève, et se la passa sur les lèvres… Max saisit l’instant de la première fellation de la mère sur le fils. Puis Céline, libérée de toutes ses inhibitions, commença à le sucer comme une forcenée, jusqu’à ce qu’il se libère dans sa bouche vorace.

Thomas, qui avait maintenu la tête de sa mère rivée à son sexe, la fit se relever en la manipulant par les cheveux, et la poussa sur le canapé. Celle-ci s’y laissa choir, les cuisses bien écartées, présentant son sexe à la fente rose déjà brillante. Alors jetant un regard vers la servante, Lucile, qui assise sur le canapé, buvait une nouvelle coupe de champagne, une main entre ses cuisses sous la jupe noire, et le sommelier qui, une grosse bosse dans le pantalon, prenait toujours des photos au plus près des deux protagonistes, il se précipita sur sa mère, la prenant par les seins, et rivant son sexe entre ses cuisses. D’un coup de reins brutal, il la pénétra et commença un va-et-vient endiablé, ponctué des râles de jouissance de sa génitrice. Là encore, le plaisir vint rapidement.

Céline n’avait que des flashs épars de cette folle soirée lubrique, durant laquelle elle s’offrit sexuellement à son fils, mais retint qu’il lui fit l’amour toute la nuit, toujours sous le regard des deux domestiques… depuis ce jour, les caprices de Thomas se firent toujours plus excentriques, et de plus en plus vils et violents. Thomas avait intégré les deux domestiques dans leurs jeux érotiques… Max faisait l’amour à sa mère, tandis que celui-ci matait.

Puis vint le moment où Thomas imposa une relation lesbienne à sa mère avec Lucile, cette dernière étant bi, et d’un naturel peu farouche, s’en accommoda fort bien. Ce fut un peu plus dur pour Céline, qui s’exécuta néanmoins, n’ayant aucune volonté pour faire barrage aux demandes les plus incongrues de son damné rejeton.

Puis vint le moment où ils firent l’amour à quatre, ou deux par deux, en variant les partenaires, mais Thomas restait toujours le grand ordonnateur des Agapes !

Puis vint le temps de la soumission et des jeux sadomasochistes, bizarrement Thomas préférait profiter de son esclave de mère tout seul… il se cherchait néanmoins une nouvelle victime expiatoire, il la trouva dans un quartier défavorisé en la personne du docteur Al Jezouly !

Le suborner, en faire l’esclave inconscient du corps sublime de sa mère, avait été d’une facilité… il en riait chaque matin en prenant sa douche ! Sa mère était parfaite comme d’habitude… mais le meilleur allait arriver sous peu !

C’est en repensant à son histoire passée et en riant sous cape que Céline se débarrassa de son manteau très chaud, pour faire apparaître sa poitrine magnifique et son petit triangle d’amour. Devant son sourire aguicheur et moqueur, Saddam éclata dans une violente colère ! Il gifla la femme, puis la tirant par les cheveux, la fit entrer nue, dans son cabinet, reconverti en donjon SM pour la soirée ; là il fit placer Céline sur le ventre sur sa table de gynécologie, et lui liant les pieds à une corde reliée à un palan, il la monta la tête à l’envers, jusqu’à environ 1 mètre du sol. Là, il présenta son sexe bien bandé devant la bouche de la femme, attachée par les pieds, et lui prenant le menton, se servit de sa bouche comme d’un vagin. Il jouit prématurément dans sa bouche, ce qui l’énerva encore plus. Il faut dire que Céline s’était divinement servie de sa langue pour faire jouir le type !

Alors petit docteur, qu’est-ce que tu vas bien pouvoir me faire, maintenant que tu as joui dans ma bouche, sans avoir pu te retenir ! Me frapper, me lacérer, me fouetter… amuse-toi… , pensa avec défi la femme martyre !

Effectivement, Saddam se servit d’une cravache, dont il fit rougir les fesses de Céline. Celle-ci exagéra ses cris de douleur bien au-delà du raisonnable… Saddam s’en aperçut et s’armant d’un martinet, commença à la cingler sur son sexe et ses seins. Cette fois-ci, Céline se mit à gémir de plaisir et eut un orgasme non dissimulé. Ici encore, Saddam ne comprenait plus comment fonctionnait cette femme ! Alors il se pencha vers son visage, et lui dit :

Tu te fous de moi, petite "karba", mais regarde ce que je vais te faire maintenant !

Et il produisit un spéculum, qu’il inséra sans douceur dans le vagin de Céline, pour en ouvrir les parois. Céline avait son vagin distendu au maximum, Saddam aurait pu y mettre le poing, mais ce n’était pas son intention. Il fouilla dans une armoire et en sortit un sac plastique, contenant un kilo de matière indéfinissable ? Qu’il mit directement sous le nez de Céline :

" Regarde salope, ce que c’est !

Des asticots, répondit passivement Céline…

Oui des asticots, conasse, tu riras moins quand je vais te les mettre dans la chatte !

Céline soupira, et pensa : " Si tu savais tout ce qu’on m’a déjà mis dans la chatte, pauvre con !

Avec un ricanement diabolique, Saddam versa le contenu grouillant et gesticulant dans le vagin de Céline, grâce au spéculum, s’attendant aux cris d’horreur et de répulsion de la femme, suspendue par les pieds… il se régalait déjà d’entendre des hurlements, ses suppliques pour faire cesser les sévices. Au lieu de cela, Céline bougea un peu le bassin et dit :

Humm, mais c’est pas désagréable ton truc, ça chatouille un peu… mais… mais… oui… ouiii… OUI ! Je vais JOUIR !

Et Céline se crispa, tout son corps se tendit, tandis qu’un orgasme fulgurant la prenait des pieds à la tête !

Saddam anéanti, détacha la femme et la laissa se retirer elle-même les petits "passagers clandestins". Céline, nonchalante, les expulsait, assise, les cuisses écartées sur la table gynécologique… elle avait pris soin d’avoir placé une coupelle pour les recueillir… Céline avait une vraie passion pour le bio, et se situait clairement contre la maltraitance animale !

Quand enfin elle les eut tous expulsés, elle se doucha dans le petit cabinet prévu à cet effet. Sidéré, Saddam avait assisté à la scène !

Pendant sa douche, il sassit dans son bureau, sortit du tabac, se roula une cigarette, et but du whisky directement au goulot. Il était anéanti. Il fermait les yeux de douleur, avec un mal au crâne éblouissant, qui naissait derrière ses yeux ! Céline se rhabilla, revêtit la classe due à son rang, et doucement lui posa la main sur l’épaule et lui roula un palot. Saddam fit un grand bond en arrière, et tétanisé par la peur, se recula contre le mur une main en avant, comme pour s’en protéger :

Ne m’approche plus, ne me touche pas démone de l’Enfer ! Tu es le démon ! Le diable ! le Shaitan !

Céline s’approcha doucement de lui, et riva son regard dans le sien :

Alors pourquoi faire toute cette mascarade, petit docteur…"pour manger avec lui il faut une longue cuillère", tu devrais le savoir, toi qui as étudié le Saint Coran ! Écoute les oiseaux de ténèbres, les djinns qui vont venir vous emporter, toi et ta jeune épouse !

Il avait l’impression de regarder le diable dans les yeux…

Et Saddam, stupidement, tendant l’oreille, eut vraiment l’impression que des volatiles se répandaient dans son cabinet avec des cris effrayants, et stridents… cela pendant… pendant un temps qu’il ne put déterminer. Il se prit la tête entre les mains, et ferma les yeux longuement… il voulait que tout cela s’arrête, que cette femme parte !

Quand il les rouvrit, elle était toujours là, lui ayant préparé une Aspirine. Un sourire aux lèvres, elle lui tendit le verre :

Vous ne devriez pas boire ainsi de l’alcool, docteur, cela ne vous convient pas !

Et elle s’en alla.

Tard dans la nuit, se repassant en esprit, cette séance satanique avec cette démone, il avait un sentiment de peur et de honte par rapport à son épouse, qu’il avait trahie pour la troisième fois … celle-ci dormait paisiblement à côté de lui. Puis un appel subliminal. Il se leva discrètement et se dirigea vers son bureau, et en sortit son smartphone. Dessus un SMS de Mme Garnier :

Tu veux me voir baiser avec mon fils, petit docteur… tu pourras me baiser comme tu voudras… laisse tomber le SM, cela ne te réussit pas. Mon fils te montrera comment il faut faire ! Suivi d’une adresse dans les beaux quartiers.

Saddam sortit sa bouteille de Jack Daniel’s, et se prit la tête entre les mains. Il était dans un état de surexcitation sexuelle, il savait que la femme avait gagné… il ne pourrait s’empêcher de participer à la débauche du Couple ! Il était dominé par ses pulsions malsaines, et addict à leur avilissement !

Alors, il va mordre tu crois ?

Oh oui, j’en fais ce que je veux !

Très bien, je veux l’autre à présent !

Chaque chose en son temps mon chéri !

Au cur de la nuit, Céline reprit sa fellation, avec la langue de Lucile qui lui fouillait la chatte, tandis que la queue de Max lui déformait le rectum…

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