Le samedi matin, je me suis réveillé vers 10h. Après avoir fait un tour dans la salle de bain, je me dirigeais vers la cuisine. Cécile et Julien étaient déjà là. Ils discutaient, assis l’un en face de l’autre, totalement nus. Je me joignais à la discussion tout en prenant le petit-déjeuner. Nous nous sommes ensuite installés dans le salon pour regarder un peu la télé. Cécile s’est assise en tailleur entre notre amant et moi, laissant ainsi voir son minou totalement épilé. Je regardais à ma droite ces deux sexes avec envie.
Après quelques minutes, ma belle s’est mise contre moi, dos à moi. Je lui caressais aussitôt le ventre et les seins. Ma queue dure était tout contre son dos. Elle a posé ses pieds sur la cuisse de Julien qui commença à lui masser. Je trouvais la situation très sensuelle et érotique. Nous étions à l’écoute de nos envies. Cette scène a duré environ 30 minutes, sans qu’il ne se passe rien d’autre. Ma belle se releva et partit dans la cuisine faire à manger. Je lui proposais de l’aide, qu’elle accepta. Nous avons préparé le déjeuner assez rapidement et nous sommes retournés au salon prendre l’apéritif pendant que le repas était au four. Nous avons parlé un petit moment, notamment du programme de l’après-midi. Cécile et moi n’avions pas très envie de sortir. Nous resterons donc chez nous, et il ne devrait pas être très difficile de trouver des occupations…
Une fois que le repas était prêt, nous sommes passés à table, toujours nus. Nous avons ensuite pris un verre au salon. Là, la discussion s’est rapidement axée sur le sexe. J’ai avoué à ma femme que j’avais trouvé très excitant que la veille elle garde nos spermes à Julien et moi sur ses seins. La voir comme ça m’excitait énormément. Elle a répondu qu’elle fantasmait de plus en plus sur le fait de s’exhiber devant plusieurs hommes, les regarder se branler et qu’ils jouissent sur elle. Ce fantasme revenait de plus en plus souvent dans son esprit. Je ne savais pas trop quoi répondre, étonné de cet aveu, mais heureux qu’elle soit si honnête et que nous puissions parler sans retenue. J’ai finalement dit que je ne voyais aucun inconvénient à ce qu’elle s’exhibe, tant que je suis là. Par contre, je lui faisais part de ma crainte que ça dégénère s’il y a cinq ou six hommes. Nous échangions aussi sur la difficulté de trouver des hommes respectueux. Je lui ai promis que l’on en reparlerait plus concrètement plus tard.
Ensuite, puisque nous discutions sans tabou, j’ai dit que lorsque ma belle me sodomisait avec le gode pendant que je suçais Julien, j’aurais aimé que ce soit une vraie queue en moi et pas simplement un jouet. J’étais un peu gêné de dire ça. Cécile se doutait que je voulais le faire avec un deuxième homme et dit qu’elle n’y voyait pas d’inconvénient, du moment qu’elle serait là au moins pour regarder. Elle m’a embrassé, comme pour me rassurer.
Ma femme a regardé Julien et lui a demandé si lui aussi avait envie de quelque chose de plus. Il hésitait, disant que nos rapports lui convenaient très bien, qu’il était heureux que nous acceptions le fait qu’il ait une attirance prononcée pour les pieds. Il a rajouté qu’il avait apprécié embrasser Cécile qui avait mon sperme dans sa bouche et qu’il aimerait le refaire. La seule chose qui lui ferait envie, ce serait d’essayer la sodomie avec ma femme. Cependant, notre amant savait bien que c’était l’une des seules limites que nous avions imposées. Qui sait, peut-être un jour…
Nous avons continué à discuter de nos fantasmes et de ce qui nous plaisait, quand ma femme a empoigné nos deux queues et nous branlait lentement. Je me suis penché pour lui lécher les tétons pendant que Julien lui roulait une pelle. Nous avons changé, et c’était maintenant notre amant qui s’occupait de cette superbe poitrine. Je demandais à ma belle dans son oreille si elle voulait bien que Julien lui lèche le petit trou. Elle me répondit qu’elle était d’accord et m’embrassa de plus belle. Elle s’est mise à quatre pattes sur le canapé, Julien derrière elle pour s’occuper de son minou et de son anus, et moi devant en train de me faire sucer. Nous avons décidé d’aller dans la chambre pour plus de confort.
Cécile s’est allongée sur le dos et notre amant a rapidement repris son travail. J’étais à genoux à côté de ma belle qui me branlait. Elle a joui sous les coups de langue, puis s’est mise en levrette pour sucer Julien. Je l’ai pénétré et lui mettais en même temps un doigt dans son petit trou. Je me suis retiré et lui ai éjaculé sur les fesses. Notre amant a demandé à ma femme s’il pouvait lui lécher les fesses, ce qu’elle accepta bien sûr. Il récoltait mon sperme avec sa langue et l’avala. Il en profitait pour lui lécher ses deux orifices. Je trouvais ce spectacle grandiose. Je lui ai donné un préservatif qu’il enfila rapidement, et il a pénétré ma femme. J’étais assis à côté d’eux et je les regardais. Il prenait son temps pour ne pas jouir trop vite. Je me suis approché de Julien pour l’embrasser et le toucher. Sa langue avait encore le goût de ma jouissance. Ma belle tournait la tête pour nous regarder et me souriait. J’ai décroché ma bouche de celle de notre amant et touchais l’anus de Cécile, puis lui mettais un doigt.
J’ai enlevé mon doigt, le porta à ma bouche et le suça. Julien me regardait avec envie. J’ai remis un doigt dans le petit trou de ma belle, et cette fois-ci, je le mis dans la bouche de notre amant. Il semblait vraiment aimer ça. Je lui ai dit "à toi" tout bas, pour que ma belle n’entende pas. Il me regarda d’un air interrogateur. Je lui fis signe de le faire. Il a mis son index sur l’anus de ma femme, le titilla quelques secondes, puis le fis entrer. Il a éjaculé presque aussitôt. Cécile s’est allongée avec un homme de chaque côté. Elle a elle-même retiré la capote de Julien et en a vidé le contenu sur ses seins.
Nous sommes ensuite partis nous laver et revenions au salon pour discuter un peu. Ma belle s’est assise en face de Julien et moi. Nous reprenions la discussion de tout à l’heure sur nos fantasmes et sur nos envies. J’ai dit que je prenais de plus en plus de plaisir à voir Cécile se libérer totalement. J’aime la voir s’exhiber et la partager, mais surtout j’aime la voir prendre du plaisir. Ma femme me remercia d’être ouvert d’esprit et me dit qu’elle aussi aimait me voir avec Julien. Après quelques minutes de bavardages, elle avait envie de nous voir à l’uvre, notre amant et moi, sans qu’elle participe. Aussitôt dit, je me suis mis à quatre pattes sur le canapé et me mis à sucer cette belle queue. Il me caressait les fesses et l’anus, et me mit même un doigt. Je me suis ensuite retourné, toujours en levrette, pour qu’il me lèche le petit trou. Il me faisait beaucoup de bien. J’ai tourné la tête pour regarder Cécile, qui me regardait tendrement. Elle me souriait et j’ai pu lire sur ses lèvres un "je t’aime".
Julien faisait maintenant coulisser deux doigts en moi. Je n’en pouvais plus, je voulais sa queue. Il a mis une capote et m’a pénétré doucement. Une fois le gland en moi, je l’ai senti pousser pour entrer entièrement. J’avais un peu mal, mais la douleur n’était rien comparée à mon excitation. Julien a commencé les va-et-vient lentement, puis plus rapidement ensuite. J’accompagnais ses mouvements et gémissais. Je regardais à nouveau ma femme pendant que je me faisais sodomiser. Elle ne perdait pas une miette du spectacle. J’ai demandé à notre amant d’y aller plus fort. Ce n’étaient plus des gémissements mais de petits cris que je laissais échapper. Julien faisait même sortir complètement son sexe pour le rentrer entièrement. Je me le faisais parfois seul avec mon gode, mais avec une vraie queue, la sensation est nettement meilleure. J’ai senti des spasmes dans mon anus. Il venait de jouir. Quand il s’est retiré, je me suis senti vide, j’aurais aimé que ça continue pendant des heures.
Je me suis assis contre Julien qui m’embrassa langoureusement. Ma belle est venue près de nous, s’est mise à genoux, a enlevé la capote remplie de sperme et en déversa le contenu sur ses seins. Elle m’a demandé de me mettre debout et invita Julien à se mettre à genoux à côté d’elle. Ils m’ont sucé à deux. Hélas, je n’ai pas tenu très longtemps et joui dans la bouche de ma femme. Notre amant lui roula une belle, mêlant leur salive et mon sperme. C’était génial ! Je me suis mis à genoux et passais d’une bouche à l’autre presque indifféremment. Nous nous caressions tous les trois.
Nous sommes allés nous laver, puis nous installions devant la télé histoire de retrouver nos esprits. Nous nous caressions assez sagement tous les trois. L’heure avait passé très vite : il était déjà 18h30. Cécile s’est levée disant qu’elle allait préparer le dîner. Je l’ai attrapé par le bras, lui disant que ce soir on allait commander des pizzas. Elle m’a regardé avec un grand sourire (et Julien aussi d’ailleurs), s’est rassise et m’a embrassé. Ma belle a demandé ce que je voulais qu’elle porte, ce à quoi je répondis "ce que tu veux". Elle me ferait la surprise. Nous avons choisi et passé la commande. Le livreur devait arriver vers 20h. Nous décidions de prendre l’apéritif en attendant. Je me demandais ce qu’allait porter Cécile, mais elle ne voulait rien me dire. L’heure approchant, Julien et moi remettions nos jeans et nos chemises. Vers 20h, le livreur sonna. Un bref coup d’il par la fenêtre et je constatais que c’était le même que les deux fois précédentes (un hasard ?…). Cécile lui dit de monter et attendait devant la porte, entièrement nue.
Il a frappé à la porte et elle lui ouvrit, lui disant bonjour d’un air coquin. Elle l’invita à entrer et ferma la porte. Le livreur, rouge écarlate, regardait le corps de ma femme. Il lui a tendu les pizzas que Cécile a prises et qu’elle me donna pour que je vérifie (en réalité pour s’exhiber plus longtemps). Elle est revenue vers le jeune homme, qui lui dit timidement "ça fera 20 euros s’il vous plaît". Elle a pris son temps pour finalement lui tendre un billet. Le livreur est parti et ma femme est venue nous rejoindre. Je devinais l’excitation dans son regard. Nous sommes passés à table et avons mangé en parlant de ce qu’il venait de se passer.
Une fois les pizzas avalées, nous revenions au salon. Cécile nous embrassait et nous enlaçait. Elle avait envie de faire l’amour. Je donnais un préservatif à Julien et me mis entre les cuisses de ma femme pour lui lécher le minou. Elle s’est ensuite assise sur la queue de notre amant. Je me suis assis à côté d’eux pour les embrasser et les caresser. Julien me branlait. Ma belle a changé de partenaires plusieurs fois. Elle a joui en nous chevauchant. Cette scène que je trouvais très sensuelle a duré plus d’une demi-heure. J’ai demandé à Cécile si elle voulait bien que l’on jouisse sur son visage. Elle a accepté (dans l’état où elle était, je pense que j’aurais pu lui demander n’importe quoi, elle m’aurait dit oui). Elle s’est agenouillée et nous a sucés jusqu’à ce qu’on vienne sur elle. Ma femme avait du sperme sur le front, le nez et même le menton. Elle était magnifique. Je lui ai demandé de rester comme ça quelques instants. Nous avons bu un verre et j’étais ravi de voir le visage de ma belle ainsi.
Elle est finalement allée dans la salle de bain se nettoyer.
Nous avons ensuite parlé pendant un petit moment. Cécile voulait s’allonger et nous a proposé de continuer à discuter dans la chambre. Julien nous a massé les pieds, ce qui l’a remis en forme. Je lui ai demandé de s’allonger et je l’ai sucé pendant qu’il léchait les pieds de ma femme. J’ai pris mon temps, savourant cette pipe que je lui prodiguais. Quand il a senti le plaisir l’envahir, il a voulu jouir sur les pieds de ma belle. Il les a ensuite nettoyés avec sa langue. Notre amant était comblé.
Nous allions nous laver, puis revenions dans la chambre. Julien nous remerciait encore une fois. Nous lui avons dit qu’il n’avait pas à nous remercier : s’il prenait du plaisir, alors nous aussi. Nous nous caressions, nous massions mutuellement pendant plus d’une heure, jusqu’à ce que, l’heure avançant, nous ayons envie de dormir. Julien se leva et, après nous avoir embrassés pour nous souhaiter bonne nuit, se dirigea vers la chambre d’ami. J’aurais aimé qu’il reste avec nous et me décidais à en faire part à ma femme. Elle m’a répondu qu’elle aussi. Je suis allé voir notre amant et lui proposais de venir passer la nuit dans notre lit. Il n’a pas hésité et m’a embrassé comme pour me remercier. Il s’est installé au milieu du lit pour que Cécile et moi profitions de cette nuit en sa compagnie. Ma belle s’est vite endormie, collée à Julien. Quant à moi, mes mains parcouraient le corps de notre amant, ce qui m’a fait bander. Il en faisait de même et m’empoigna le sexe. Il m’a murmuré qu’il avait envie de me sucer.
Je me suis mis à genoux, la queue au niveau de son visage. La lampe de chevet nous éclairait d’une lumière tamisée. Il a tourné la tête après s’être redressé doucement pour ne pas réveiller ma femme, et a pris mon sexe en bouche. Il jouait beaucoup avec sa langue sur mon frein et autour de mon gland. C’était divin. L’orgasme arrivant, je l’en ai averti, mais il voulait visiblement aller jusqu’au bout. Il a tout avalé et continua même à me sucer pendant quelques minutes. Je me suis rallongé et éteignais la lumière.
Le lendemain matin, nous nous sommes réveillés à peu près en même temps vers 10 heures. Nous restions au lit pour nous câliner. Nous nous sommes levés pour petit-déjeuner après un tour rapide dans la salle de bain. Vers 11h30, nous avons pris un petit apéritif assis tous les trois l’un contre l’autre sur le canapé. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai eu envie de les regarder faire l’amour tous les deux devant moi. Je leur en ai fait part et me suis assis sur le fauteuil en face d’eux. Julien s’est allongé sur le dos et ma chérie s’est allongée sur lui et l’a embrassé. Cécile a demandé à Julien de s’asseoir et elle s’est empalée sur sa queue dos à lui. Elle m’a regardé dans les yeux tout le long. Elle me dira plus tard que se faire prendre devant moi sans que je ne participe l’avait énormément excité. Elle a eu un orgasme assez bruyant et presque aussitôt, Julien a joui à son tour. Elle lui a roulé une pelle et a une nouvelle fois vidé la capote sur ses seins. Elle est venue s’asseoir sur moi, ou plutôt sur mon sexe. Je n’ai pas résisté longtemps, trop excité par la vue de la poitrine de ma femme couverte de sperme. Nous sommes partis nous laver.
Nous avons mangé et notre amant est parti vers 15 heures (les parents de Cécile devaient passer vers 16 heures). Nous l’avons embrassé assez longuement et avions hâte qu’il revienne. Nous étions tous d’accord pour dire que l’on a passé un très bon week-end.
Nous nous sommes bien sûr revus.