Cette histoire se passe au Sénégal où je faisais mon service en tant qu’enseignant. A la fin de l’année, je reçus une convocation pour des corrections de bac au Sud, à Ziguinchor. Mon programme était clair :

corriger vite pour baiser beaucoup.

Je prenais le bateau pour la Casamance. Après une nuit agitée (à plusieurs centaines sur un petit bateau), nous nous engagions dans l’embouchure du fleuve. Rien que pour cela, le voyage valait le coup. Nous voyions les dauphins qui sautaient à quelques mètres devant l’étrave.

Aussitôt débarqué, j’allais à l’hôtel pour dormir tout le jour car la nuit avait été difficile. Après un bon repas, je pris un taxi en lui demandant carrément où trouver une fille pour la nuit. J’avais fait abstinence pendant une semaine et mes couilles commençaient à me titiller sérieusement, aussi je devais aller droit au but en allant chercher une pute ! Il n’eut pas l’air choqué et m’emmena dans un bar.

Je m’assis à côté d’un groupe de filles sachant qu’à cette heure, elles ne pouvaient être que des putes. Comme elles ne se décidaient pas à m’aborder, je branchai la serveuse pour qu’elle aille parler à une des filles. Elle choisit celle qui me tournait le dos.

Lorsqu’elle se retourna. OUF ! Quel choc ! Un laideron comme je n’en avais jamais vu. 50 ans, voulant s’habiller ? jeune ?. Des furoncles plein la gueule. J’ouvrai grand les yeux de surprise alors qu’elle essayait de me présenter son plus beau sourire !

Par chance la serveuse repassait à côté. Je l’agrippais fermement en lui expliquant que vraiment, je préférerais sa copine, en face. Aussitôt mon émissaire alla expliquer la situation aux filles. La moche se retourna avec colère et je détournai les yeux pour ne pas éclater de rire. Sa copine vint me rejoindre à ma table, on convint d’un prix et reprîmes le même taxi qui avait eu la gentillesse de m’attendre. Tout cela n’avait pas pris 10 minutes, course comprise !

Arrivé à l’hôtel, nous nous déshabillâmes rapidement. Sans faire de chichis, elle s’allongea et écarta les cuisses. Je la pénétrai sans ménagement parce que ma bite était tendue à bloc. Elle grogna bien un peu devant tant de rudesse, mais je me dis qu’elle avait dû en voir bien d’autres ! Gonflé d’une semaine de sperme, j’éjaculai rapidement.

Un bon coca et j’étais à nouveau d’aplomb. Je lui demandai de se mettre à 4 pattes et l’entrepris donc en levrette, cette fois bien plus longuement. Je payais bien, j’en voulais pour mon argent. Je la prenais aux épaules et d’un coup de rein, je la lui plaçais bien au fond. Pour finir, je la prenais par les cheveux, histoire de l’entendre couiner un peu. J’aime bien ça.

J’écartais ses deux fesses de bonne taille tout en la limant pour bien mater son anus, ce qui déclencha ma deuxième éjaculation.

J’étais jeune en ce temps là et je savais qu’elle aurait droit à un troisième tour. Sans rien lui dire, je la replaçais à quatre pattes, et amenais ma bite à hauteur de son cul. Je commençai à lui forcer l’anus quand elle dit ? Non, pas par là ! ?. Réponse habituelle chez ce genre de fille.

Avec un garage à bites à la place de la chatte, ça veut faire croire qu’il y a encore quelques tabous. J’avais aussi ma réponse toute faite : ? Combien ?

?. Une fois le prix convenu, la pute se remit en position et là, je me sentais à mon affaire. J’aime la sodomie. Par-dessus tout. Les pipes, c’est bien joli, mais rien ne vaut un élargissement de cul. Le sphincter vaincu devient une machine à plaisir pour l’homme.

Voyant comme j’avais du mal à rentrer, je me dis que la salope ne faisait peut-être pas que du cinéma tout à l’heure en refusant. Si elle l’avait déjà fait, ce ne devait pas être très souvent. Inutile de lui poser la question, elles disent toutes ? Non ?. Volonté de faire croire qu’elles sont encore vierges de quelque part ?

J’avais donc toujours la bite à l’entrée de cet anus qui se refusait.

J’entrepris donc de le lui travailler à la main. En bon artisan, je fis un travail soigné, allant lui chatouiller le moindre recoin de ses boyaux, tortillant mes doigts pour élargir le passage. Elle gémissait quand je tournais dedans et ça me plaisait bien. Par jeu, je lui fis passer tous les doigts, un par un, en insistant particulièrement sur le pouce : avoir le pouce dans le cul d’une fille, c’est vraiment la tenir à sa merci : comme elle a mal, elle n’ose pas trop bouger. on peut lui masser les parois des intestins, élargir douloureusement le sphincter et avec les autres doigts, on peut lui chatouiller le clitoris. Coincée entre plaisir et douleur, elle devient un funambule perché sur un fil qui ne sait pas si le maître va le faire tomber du côté de l’orgasme ou de la douleur.

Moi, son plaisir, je m’en foutais pas mal. Je lui élargissais donc l’anneau afin de pouvoir me frayer un passage à coup de pine. Je lui retirai brutalement mon pouce du cul (elles détestent ça !) et me remis en position.

Décidément, cette conne était bien étroite du cul. J’en étais quasiment au même point que tout à l’heure mais cette fois fermement décidé à passer coûte que coûte. Elle avançait sous la douleur, me refusant son cul. Je l’empoignais par les cheveux d’une main et la hanche de l’autre pour en finir. Et alors que j’avançais millimètre par millimètre, en force, je l’entendais crier ? HIIIIIIN HIIII ?. Si nos voisins ne l’avaient pas entendue, c’est qu’ils étaient sourds ! Je voyais son visage grimacer de douleur, mais je ne lâchais rien. Arrivé à ce qu’elle croyait être le bout, je lui lâchais les cheveux et les hanches pour mieux écarter ses fesses et lui en remettre encore un ou deux cm dans les boyaux.

Elle s’affala sur le lit, vaincue. Calé au fond, je lui laissais 10 secondes de répit et entama ma basse besogne. J’allais et venais, d’abord lentement ce qui manifestement la ramena à la vie : elle geignait régulièrement. Je l’entendais même appeler sa mère… Elle avait toujours la tête sur le lit, tournée vers moi, peut-être pour m’inspirer pitié. Raté !

Son anneau ne s’avouait toujours pas vaincu. Je sortis complètement pour la pénétrer à nouveau et ce fut le coup de grâce. Son anus devint docile et me laissa profiter de mon plaisir. Elle ne dit plus rien jusqu’aux dernières secondes où, dans un état second, comme chaque fois que j’encule une femme, je lui pistonnais le cul de plus en plus violemment. Arrivé à l’orgasme, je serrais la peau de son dos dans mes mains, lâchant la purée au fond de son cul.

Mais une bonne sodomie n’est rien sans la touche finale. Si vous laissez la fille à elle-même, épuisée, elle va s’étaler sur le lit. c’est du gâchis.

Pour bien en profiter jusqu’au bout, dîtes-lui de se maintenir en position et reculez de quelques pas pour profiter du spectacle ! Vous verrez un anus béant qui ne se refermera que quelques minutes plus tard. Je pense que cette contemplation de dernière minute est comme un dernier affront pour la.

victime. Si vous avez la chance d’enculer sans capote, vous verrez peut-être votre sperme refluer à cause des contractions de l’intestin maltraité. C’est le moment de prendre une photo souvenir !

Habitué de ce scénario en quatre actes, je savais que pour la conclusion, il faudrait plus de force de conviction que d’argent. Et en l’occurrence plus de force que de conviction.

L’idée de me faire sucer après une sodomie ne m’excite pas particulièrement, ce qui me plaît, c’est la contrainte. D’un coup de coude, je réveillais ma belle qui goûtait un repos qu’elle croyait mérité. Enfin, je croyais la réveiller : rien ! Assis à côté d’elle, contre la tête de lit, je l’empoignai par les cheveux pour la diriger vers ma bite. D’abord un refus, prévisible. J’insistais. Elle ne céda pas. Je lui relevais donc légèrement le visage, juste assez pour lui administrer une torgnole qui claqua bien sur sa joue. Sans prendre le temps de la laisser dire quoi que ce soit, je lui recollais ma courageuse sous le nez puis dans la bouche qu’elle ouvrit de mauvaise grâce, malgré son dégoût. Voyant le peu d’entrain de la demoiselle, je changeai de tactique. Je la repoussai violemment, l’allongeait sans ménagement sur le dos, la tête à mi-hauteur du lit, et la chevauchai à hauteur de la bouche. Je lui recollai ma bite dans la bouche et les mains sur la tête de lit, je baisais tranquillement sa bouche. Mes couilles étaient presque vides mais cette conne avala de travers le peu de sperme qui me restait, manquant de s’étouffer. Après avoir joui, la voir tousser me fit bien marrer !

AAAH Quelle nuit ! Je pense qu’elle se souvient encore de moi et qu’elle doit se dire qu’elle n’aurait pas dû prendre la place de sa copine, la moche.

Je sortis mon fric et le jetai sur le lit avec un petit supplément, lui demandant de déguerpir pour pouvoir passer enfin une vraie nuit de repos.

Le lendemain, boulot ! Au lycée de Ziguinchor, on me confia une cinquantaine de copies. Je sautai dans un ? Sept places ? (une 504 break avec une banquette dans le coffre) direction ? Cap-Skiring ?, la station balnéaire locale. Trois jours pour corriger. Pas le feu.

Quelle beauté. L’océan à mes pieds. Je descendis rapidement à la plage, magnifique. Toujours aux aguets, je remarqua à 50 m de moi, une jeunette de 15-20 ans qui parlait avec une blanche. Je la regardais du coin de l’oil.

Pas mal. Un long moment après, la jeunette vint enfin s’asseoir à côté de moi. Je jubilais !

 Salut, tu vas bien ?

 Oui, et toi ?

 Oui. Comment tu t’appelles ?

 Eric. Et toi, c’est comment ?

 Oumy. Excuse-moi, j’ai besoin de 2.000 F (à diviser par 100 pour avoir des FRF) pour aller à Ziguinchor, tu peux me les donner ?

 Et pourquoi je ferais ça ?

 Parce que j’en ai besoin !

 Ah oui, mais ça ne marche pas comme ça ! Il faut que tu me donnes quelque chose en échange.

 Mais quoi ? Je n’ai rien !

 Mais si, tu as sûrement quelque chose !

S’en suivirent de longues minutes où nous tournions autour du pot.

 Tu as ce que toutes les femmes ont !

 Quoi ?

 Tu sais bien !!

 Mon kolokolo ?

Je savais qu’on touchait enfin au but mais ce mot me surprit tant que j’éclatai de rire !

 Ton quoi ?

 Mon kolokolo !

 C’est quoi ça ?

 Mon sec’ !

A nouveau, je ne pus réprimer un fou rire.

 Ah ! Ton sec’ ! D’accord ! T’as quel âge ?

 21 !

 C’est parti !

En route pour ma chambre. Au campement, les chambres sont plutôt spartiates (sommier en béton sur lequel est jeté un matelas mousse). On entend tout ce qui se dit dans les chambres voisines. Mais j’étais seul dans toute la case.

Nue, Oumy était mignonne comme tout. Une petite fille d’1,50m, au teint de caramel à croquer, un sourire qui ne s’éteint jamais, des fesses trop rebondies, des tout petits seins rigolards et 40 kilos toute mouillée !

Encore une fois, elle était à croquer ! Je ne voulais pas lui faire de mal comme à l’autre grosse pute. Grand bien m’en a pris.

Je découvris une gamine aussi gaie qu’adorable. Ce n’était pas une oie blanche : à peine déshabillés, elle se pencha sur mon sexe pour me sucer. Je la repoussai. Je voulais juste la baiser. Elle se mit en position pour se faire prendre en levrette. Je la baisais lentement, au rythme des vagues.

Les épaules sur le lit, elle souriait. Féline, elle se frottait sur moi, les yeux clos pour mieux se concentrer sur son plaisir. Elle ondulait comme un champ de blé traversé par une brise.

Je ne me lassais pas décidément pas de ma petite panthère. Je l’ai baisée de longues minutes où son dos ondoyait pris entre le plaisir et la force de l’étreinte. Ce fut doux et charmant. Oumy eut sa part de plaisir et je lui fis un gros câlin après notre étreinte.

Aussitôt fini, ne voulant pas imposer quoi que ce soit, je me levai pour aller chercher l’argent. A peine debout, elle se jeta sur moi pour me sucer à nouveau. Ma bite dans la bouche, elle souriait encore. Un ange. Je me dégageais tout doucement. Je ne sais pas pourquoi, mais je voulais en rester là avec cette petite. Elle était tellement mignonne !

Elle voulait prendre une douche avant de partir. Moi, je n’aime pas sentir ma peau coller de transpiration et donc nous y partîmes à deux. Aussitôt dans la douche, rebelote ! Elle se pencha à nouveau vers moi pour me sucer !

 Mais t’es pas possible, toi !

 J’ai envie !

 Non, c’est fini, calme toi.

Je ne résistais pas à l’envie de lui faire un gros câlin avant de nous laver. Je ne saurais pas vraiment dire pourquoi je n’ai pas voulu abuser de la situation. J’aurais eu l’impression de la salir. Dans la douche, elle m’a lavé de la tête aux pieds (un ange, je vous dis) puis ce fut son tour. Je la regardais se laver plein de regrets de la quitter mais ravi d’avoir connu cette petite perle de caramel.

A nouveau dans la chambre, je lui tendais ses 2.000 F et profitai d’une minute d’inattention pour lui glisser un billet de 10.000 dans la poche.

Je me souviens qu’après m’être retiré, je lui avais mordu les fesses. Leur couleur me plaisait trop. Elle avait poussé un petit cri de biche. Je l’entends encore.

Le lendemain, travail. 50 copies et pas de la merde. Du touffu bien rédigé avec solutions originales à vérifier en détail avant de valider.

Mais bon quand on corrige face à la mer, à l’abri d’une paillote avec la brise marine qui calme les ardeurs du soleil, un coca glacé à la main, on ferme sa gueule parce qu’on n’est pas loin du Paradis.

Le surlendemain, c’était fini. J’étais dans les temps. Je quittais le Cap à regret, sans nouvelle d’Oumy à qui j’avais pourtant laissé tous mes numéros de téléphone. Je ne devais jamais la revoir. Je ramenais donc mes copies au secrétariat. A nouveau le ? 7 places ?. Dans l’autre sens.

A mi-chemin, les militaires stoppèrent la voiture. Les indépendantistes rôdaient toujours, mais le soldat n’avait quand même pas l’air trop nerveux.

Un jeune troufion me demanda quelque chose, sans que je comprenne quoi que ce soit. Une jeune femme, assise derrière moi, eut la gentillesse de me traduire. Tellement déçu qu’Oumy ne m’ait pas donné de ses nouvelles, je ne l’avais même pas remarquée. Quel con ! C’était un modèle de beauté Ouest Africaine. Grande, altière. Elle avait des locks, ce qui dérogeait à la tradition, mais lui donnait un air moderne, pas déplaisant du tout.

L’autre con tenait à fouiller mes bagages. Il n’avait pas l’air bien lumineux celui-là ! Je descendis et il fouilla mon sac devant moi.

Enfin, il nous libéra et nous reprîmes la route. Ce con m’aurait quand même servi à quelque chose : grâce à lui j’avais pu remarquer Fatou. La conversation s’engagea naturellement. Les autres passagers étaient indifférents. Peut-être ne comprenaient-ils pas le français ?

Elle me conseilla un campement dans Ziguinchor qui justement se trouvait sur la route de la gare routière. Je descendis donc avant tout le monde et la remercie vivement pour cette bonne adresse. En effet, les chambres étaient sympas. Un peu chaudes mais propres. On y mangeait bien.

Une petite sieste et qui frappa à ma porte ? Fatou. Eh ben ! Elle n’avait pas froid aux yeux celle-là ! La chambre était encore plus spartiate qu’au Cap : deux lits, une douche. Pas de chaise, pas de table.

Nous nous allongeâmes chacun sur un lit pour parler. longtemps, de tas de choses : la Casamance, le boulot. Et puis un silence. Je pris l’initiative de quitter mon lit pour aller m’allonger à côté d’elle. Je l’embrassai quand je sentis que je venais de mettre le feu à un bidon d’essence. On se caressa fougueusement, on se déshabilla mutuellement avec rage, je dévorai son corps de baisers. Elle était quasiment nue sous son grand boubou. Mes mains exploraient son corps qui avait la finesse d’une lance. Je mordais sa bouche comme le meilleur fruit.

Je descendais boire à sa fontaine et manifestement, elle aimait ça. Sa petite chatte avait un goût très bizarre, que je ne savais définir. Pas désagréable. Pendant que je lui léchais le sexe, elle se tendait comme un arc et c’est à grand peine que je l’empêchai de tomber à droite du lit.

Enfin, elle jouit et retomba brutalement. Voulant profiter des dernières secondes de son plaisir, des dernières gouttes de sa mouille, je la suivis continuant à lui téter le clitoris. Là, elle remit un coup de rein (elle m’expliqua plus tard qu’après avoir joui, son clitoris était devenu trop sensible) et m’éclata le nez !

Ah putain ça m’avait calmé ! Heureusement, je ne saignais pas mais il était quand même gonflé comme une patate ! On rigolait tous les deux de cette mésaventure peu ordinaire !

Après avoir repris mes esprits, je lui fis comprendre que j’attendais ma part ! Je m’avançais vers elle, bite en avant, essayant de lui écarter les jambes et. non. Elle ne voulait pas que je la baise. J’étais furieux ! Je manifestais ma mauvaise humeur en retournant sur mon lit. Elle vint se faire pardonner en me taillant une petite pipe mais c’était vraiment un lot de consolation. J’aime sentir la femme jouir dans mes bras. J’aime la sentir vibrer des épaules aux orteils ! Avec Fatou, j’étais parti pour ne rien avoir de tout cela.

C’était ? niet ?. Elle se refusait à toute explication !

On se quittait, un peu fâchés mais j’avais son numéro de téléphone au Cap.

J’entrais dans la douche et je compris en me regardant dans le miroir. Ce petit goût bizarre. C’était bien ça ! La demoiselle avait ses règles. Pas très abondantes, mais les marques autour de ma bouche ne laissaient pas de doute. Quelle salope !

Sous la douche, je me calmais et constatais que je n’étais pas dégoûté de ce que je venais de faire. Finalement, ce n’est pas si dégueulasse qu’on le dit.

Le lendemain, je remettais mes copies. Surpriiise : on m’annonça que j’étais convoqué aussi pour l’oral. Ca, je ne l’avais pas prévu avant de partir et je n’avais presque plus de fric, alors que je devais rester deux jours supplémentaires. Je conclus un accord avec la propriétaire du campement et bouffais chawarma midi et soir ! Je fis passer mes oraux, décernai un 20 et un 0 ! J’avais tout fait pour essayer de coincer le type du 20 mais rien à faire. Le salopiaud ! Rien de méchant, juste un défi mathématique !

Quant au zéro, même pas foutue de me dire quelle probabilité j’ai de faire face à ? pile ou face ? ! Faut pas exagérer, non plus !

Il était 11h et j’avais définitivement fini. Plus de surprise. Sauf que j’avais envie de baiser et plus de sous pour une pute. Je me décidai à aller taxer un copain pharmacien pour me payer de quoi retourner au Cap voir Fatou. Je n’aime pas le travail à moitié fait.

En route ! Au téléphone, on me dit que Fatou va venir. Je bandais comme un turc ! Elle arriva, toujours aussi classe. Elle marche comme une reine. Ce sont toutes des reines, de toute façon.

Elle me conduisit dans sa chambre. Elle la louait à une amie de sa mère. Pas un mot, on s’embrassait avec la même fougue que la dernière fois. J’entrais enfin dans ses chairs ; elle m’accueillait les yeux fermés, tendue comme une corde que je faisais vibrer de mon archet. Je la baisais pendant ? d’heures.

Je ne me lassais pas de ses yeux révulsés, des bruits de succion de son sexe, de ses cris étouffés pour ne pas que les voisins nous entendent. Je bus sa sueur et gravai son sourire dans ma mémoire.

C’était la dernière fois que je la voyais.

Quand je voulu la revoir, on me répondit qu’elle était morte en détention après 6 mois dans une prison du Nord. Elle était accusée d’être une porteuse de valise du MFDC, le mouvement indépendantiste casamançais.

Related posts

La mauvaise pente – Chapitre 3

historiesexe

J'aime tant çà ! – Chapitre 1

historiesexe

LA VENGEANCE D'AMINA – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .