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Justine – Baby-sitting de rêve – Chapitre 12




Et dire que demain jai rendez-vous avec Chrystelle et Xavier, et quils doivent me présenter leurs amis

La nuit fut courte, mais en me levant à midi javais largement rechargées mes batteries.

Javais dormi nue seule dans mon grand lit, déjà le soleil percé entre les volets clos de ma chambre. Telle une chatte je métirai sur mes draps de satin ivoire. Le contact de se tissus sur ma peau mélectrisait, mais il fallait que je me lève. Je passais un haut de kimono en satin rouge et ouvrait les volets. Ebloui par le soleil, le temps de laisser mes yeux shabituer à la luminosité extérieure, je découvrais Benji sur la terrasse devant un petit déjeuner copieux.

— Tu me fais une place je descends ?

— Bien sur ma puce, je te sers un café.

Je me chaussais dune paire de mules en plexi totalement transparentes avec des talons aiguilles de 10 cm, et je descendais rejoindre Benji.

Alors que je sortais sur la terrasse, il me matait avec un regard coquin.

— Bonjour beauté

— Oh mais tu es totalement nu ! Il était assis sur une chaise du salon en teck, totalement nu, exhibant son corps sublime avec lequel javais joué une partie de la nuit.

— Ne me dis pas que cela te choque ? pas toi.

— Heu non mais tout de même

— Quoi personne ne peut nous voir, les voisins sont trop loin et les haies sont assez hautes. Viens approche toi, profites du soleil ma belle.

Debout a ses cotés, perchée sur mes talons hauts, je lui souris.

— Charmeur va

— Tu es si belle, Justine.

Il pose ses mains sur mes hanches et en quelques secondes, celles-ci sattaquent à la petite ceinture de mon haut de kimono rouge. Celui-ci souvre me dévoilant totalement nue. Très content de lui il fait glisser le kimono sur mes épaules et me le retire lentement.

— Voila la tenue dans laquelle je te préfère Justine.

— Tu exagères

— Non tu es la plus belle et la plus désirable de toutes les filles de la soirée dhier, et je peux tassurer que tu nas pas laissé Sam indifférent.

— Oui ca je lai bien vu sourire, alors que je massois à coté de Xavier pour boire un verre de lait froid.

— Il ma déjà laissé un texto, il veut te revoir. Je crois quil est accro.

— Ah bon pas toi ? En prenant un malin plaisir à le fixer dans les yeux alors que ma langue parcours mes lèvres entrouvertes pour essuyer une goutte de lait qui séchappait !

— Arrêtes Justine, ne commence pas où je ne réponds de rien.

— Oh excuse-moi, ça va. Alors comme cela le beau Sam a craqué ? Et la belle Océane ?

— Tu sais cette fille est loin davoir ta classe, et puis hier soir tu as vraiment fait fort, tu étais si que je crois que tous les hommes présent étaient prêts à tépouser.

— Ne dis pas de bêtise et puis tu sais je nai pas du tout envie de me marier, en tous les cas pas si tôt.

— Tu as raison profites ma belle.

— sourires

— Quel est ton programme aujourdhui Justine ?

— Je dois passer la soirée avec des amis, dailleurs Chrystelle doit venir me chercher en début daprès-midi. Le temps de me doucher et de me préparer, il ne faut pas que je traine. Et toi ?

— Rien de spécial, peut être vais-je rester là seul, toute la soirée et la nuit.

— Fais moi rire, un beau mal comme toi, seul, je suis sure que tu vas te trouver une ou deux conquêtes pour passer la soirée.

— Pas si facile que cela surette. Pour vous cest simple, une tenue un peu sexy, un rien allumeuse et voila vous êtes sures de conclure mais nous pauvres hommes, que nous sommes,

— Arrêtes je connais la chanson, si tu veux je peux téléphoner à mon amie Laëtitia, je lui dois un service (elle ma aidé à choisir mon esthéticienne rappelez-vous), je sais quelle est seule et quelle te plaira.

— Elle est seule mais comment est-elle ? Cest la brunette que javais rencontré avec toi lautre jour ?

— Oui cest elle. Elle est seule mais très belle, et cest un choix, elle profite comme tu dirais. Elle mavait proposé une soirée mais je suis déjà prise comme je te lai dis.

— Humm pourquoi pas.

— Ok je vais chercher mon portable.

Je me lève toujours totalement nue et perchée sur mes talons hauts, je regagne la maison. Le portable à la main jappelle Laëtitia. Lui indique mon plan elle apprécie surtout lorsque je lui donne tous les détails sur la journée et la soirée dhier, en précisant bien que Ben est un garçon adorable, superbe, attentionné. Et qui plus est un super coup, comme jai pu le constater hier.

Je donne tous les détails en masseyant sur les genoux de Benjamin. Aussitôt ses mains sur mes hanches et mes cuisses commencent à me parcourir marrachant des frissons de plaisir.

Elle accepte enfin lorsque je lui avoue avoir sous les yeux un sexe de 22cm au garde à vous, que je lui garde au chaud

— Voila bellâtre, votre hôtesse pour la soirée va nous rejoindre dici moins dune heure. Vas vite te faire beau, mais tu me laisses la salle de bain dans 15 minutes maxi, Chrystelle sera la dans 2 heures à peine.

— Merci Justine je ne sais comment te remercier.

— Moi je sais mais je te le dirais plus tard. Je me lève en lui déposant un bisou chaste sur les lèvres. Allez vite il ne reste plus que 14 minutes

Je le suis du regard, alors quil séloigne, il est beau ce look de baroudeur lui va à merveille. Et puis ce cul musclé mes amies, jen suis toute Bon il entre dans la maison, je lentends monter lescalier. Toujours totalement nue je lève la table pose tout sur le petit plateau de teck et entre à mon tour dans la maison. Un frisson me parcours lair est frais par rapport à la chaleur du soleil sur la terrasse. Tout mon corps sélectrise mes seins se dardent. Dans la cuisine je range le jus dorange dans le réfrigérateur ce qui narrange pas mon état, puis face à lévier de la cuisine, toujours perchée sur mes plateformes aux talons hauts je fais notre petite vaisselle. Voila tout est net. Je ressors sur la terrasse pour ramasser mon kimono et en le tenant à la main, je monte à mon tour lescalier. Jaime être nue et depuis quelques temps jaime mexhiber dans ma nudité accentuée par mon épilation totale et le port de talons hauts.

En me dirigeant vers ma chambre, je passe devant la salle de bain où bien évidemment le beau Ben a laissé la porte ouverte. Douché, il est face au grand miroir en train de se passer un gel à raser sur le visage. Je marrête en le matant.

— Eh file dans ta chambre coquine

— Oh arrêtes tu es si beau comme cela. Je me mords la lèvre inférieure en le fixant dans le miroir.

— Je vais être encore plus beau, pour ta copine puisque tu ne veux pas de moi aujourdhui Ce saisissant dun rasoir à main il commence à se raser la barbe.

— Mais je nai pas dis cela.

Je mapproche de lui il est si beau. Je pose mes mains sur ses épaules elles sont si massives. Mes doigts fins aux longs aux ongles manucurés les parcourent, il me sourit dans le miroir en continuant de sa raser. Je me colle à son dos jaime le contact de son corps. Je dépose dans son cou des petits bisous. Il frissonne il est adorable. La mousse blanche a presque totalement disparue, ma tête posée sur son épaule je lui souris. Toujours avec le rasoir à la main il me fixe et me dit :

— Tu veux que je te rase aussi.

— Je ne crois pas en avoir besoin je me suis faite épiler hier, je lui souris de nouveau

— Dommage jadore raser les minous des petites coquines.

— Oh vraiment, et tu as beaucoup pratiqué ? mes doigts passent sur ses pectoraux saillants, en dessinent les contours, du bout des ongles jexcite ses mamelons, il frissonne, se cambre. Jaime jouer avec les hommes

— Pas mal je les fais sassoir sur le rebord de la baignoire, les jambes bien écartées

— Oh comme cela ?

Je viens de le lâcher, masseyant sur le rebord froid de la baignoire blanche. Je le fixe alors quil se tourne face à moi, le sexe déjà en semi érection. Je me saisis de la bombe de mousse à raser et commence en étaler sur mon pubis qui pourtant est déjà totalement lisse. Cest froid et cela méveille encore plus les sens. Je recouvre totalement mon pubis, puis le tour de mes lèvres. Bouche entrouverte je le fixe dans lattente

— Je croyais que tu étais pressée Justine ?

— Mais je ne peux quen même pas y aller ainsi ?

— Alors tu veux jouer ma belle ?

— Comment cela jouer, Oh non Monsieur je veux simplement être la plus belle pour vous plaire.

Il me fixe se yeux brillent. Il me fait écarter encore plus les jambes, je suis totalement exhibée, une violente décharge électrique me parcours lorsque sagenouillant devant moi sa main se pose sur ma cuisse. Il pose le rasoir sur mon pubis couvert de mousse. Je me mords les lèvres en creusant le ventre. La lame glisse elle laisse derrière elle une bande de peau à nue, contrastant avec la mousse blanche. Très vite tout mon pubis est ainsi dévoilé. Le feu règne dans mon vagin, je me sens fondre au fur et à mesure que la lame approche de mes lèvres. Je mouille il va sen rendre compte là juste devant ses yeux. Il sapplique, il est si attentionné. Il tend ma peau avec son autre main alors que dun geste vif le rasoir laisse place nette.

Tout dun coup il prend mon clito entre son pouce et lindex marrachant un râle de plaisir. Jessaye de refermer mes cuisses, mais il est agenouillé entre elles.

— Oh sois sage non laisse moi

— Comment çà laisse-moi ? Mademoiselle joue la petite salope et je devrais rester de marbre ?

Je lui tends un gant de toilette humidifié deau tiède. Il le passe sur mon sexe marrachant de nouveaux plaisirs.

— Et voila je suis de nouveau une petite fille sage. Je me lève dun bon. Une bonne douche et je vais pouvoir aller mhabiller Chrystelle ne vas tarder.

— Mais tu ne peux pas me laisser comme cela ? Et puis comme jeune fille sage avec tes chaussures de porno star cela ne le fait pas.

— Oh le pauvre chéri il bande, mais vous êtes vraiment trop émotif vous les hommes. Il ne te reste plus quas te branler mon chou

— Comment çà ?

Je le remets face au lavabo me colle à lui dans son dos. Je joue avec mes seins mon ventre mon sexe contre ses fesses. Il se cambre mes doigts glissent sur son corps je le fixe dans le miroir. Ma main droite parcourt son ventre, ses abdos, ils sont si durs. Il se contracte mes doigts glissent encore plus bas ses poils blonds drus, enfin son sexe bandé. Je le flatte il réagit dans ma main. De légers soubresauts je passe ma main sans serrer. Le parcourant sur toute sa longueur. Mes lèvres sont tout prés de son oreille droite. Mes yeux sont plongés dans les siens par le reflet du miroir. Je lui susurre à loreille.

— Tu penseras à moi ce soir, cette nuit dans les bras de Laëtitia. Lorsque sa bouche se posera sur ton sexe dressé, tu imagineras la mienne. Lorsque ses doigts te branleront, tu te rappelleras des miens.

— Oh Justine

— Tu la prendras comme tu aimerais me prendre, lentement, sensuellement, délicatement. Pour lamener au nirvana du plaisir comme je le fais là maintenant avec toi.

Je le branle au dessus du lavabo de ma main droite en le fixant dans le miroir, jouant avec mon corps qui ondule contre son dos. Son sexe grossit encore il est prêt à exploser je le sens frémir sous mes doigts, il se retient, essaye de retarder le moment. Mais je sais comment lachever.

— Oh bébé tu vas jouir, laisse toi faire tu veux le faire dans ma bouche ? Je le fixe en ouvrant mes lèvres ma langue à demi sortie.

— Oh oui cest trop bon oh oui branle moi

Je le fais se tourner face à moi, toujours en le branlant dune main agile, je maccroupie sur mules aux talons aiguilles, jambes écartées de part et dautre de ses jambes qui chancellent. Je relève la tête, bouche ouverte langue sortie je le fixe dans les yeux. Il est rouge, couvert de sueur, totalement à ma merci. Je le domine dans son plaisir.

Oh il jouit. Un premier jet surpuissant sabat sur ma figure, la striant dune belle trainée de ma langue à mon front puis une autre sabat sur ma langue. Je le dirige vers ma bouche le gland posé sur ma langue 3, 4 5 les jets se tarissent mais sa ligueur mabreuve. Je le garde dans ma bouche sest chaud un peu visqueux mais il a bon gout. Jaspire son gland entre mes lèvres pour en tirer tout sa semence. Enfin il se libère, me laissant son sperme sur ma langue. Jouvre la bouche pour lui montrer ma langue baignant dans celui-ci. Puis je referme mes lèvres avant de déglutir lentement. Une puis deux gorgées. Je ressors ma langue tendue pour lui donner la preuve de ma soumission à son plaisir.

Il est bouleversé le baroudeur. Touchant

Je me relève lui tends les lèvres, nous échangeons un baiser chargé des senteurs de son plaisir. Puis toujours aussi coquine et ingénue :

— Oh je vais finir par être en retard, je vais prendre ma douche, si Chrystelle arrive tu lui ouvre mon chéri.

Et jentre dans la grande cabine après mêtre débarrassée de mes talons hauts.

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