Chapitre 3 :
Après cette déclaration surprenante, Malya remet en place sa nuisette et tourne les talons. Elle ne dit rien de plus avant de disparaître dans le couloir menant à l’étage. De mon coté, je suis sous le choc. Le caleçon à hauteur des genoux et le sexe à moitié ramolli, je ne sais pas trop comment je dois réagir. Je décide donc de me remettre de mes émotions et surtout de remettre mon caleçon au bon endroit. Je range ensuite la cuisine avant de monter les escaliers à mon tour. Bien évidemment, je suis très impatient de m’expliquer avec Malya mais ma morale revient vite à la charge. Mes barrières psychologiques se rétablissent rapidement et je me rend vite compte que l’incident de ce matin ne doit absolument pas se reproduire. Je monte les marches dans l’idée de lui parler et ainsi d’éviter tout autre incident.
Cependant, ma morale nouvellement retrouvée est rapidement confrontée à un problème inattendu : une porte, celle de la salle de bain pour être précis. Je peux entendre l’eau de la douche couler de l’autre coté. Ce n’est pas ça qui va me décourager, je compte bien passer de bonnes vacances et pour cela, il faut que je mette les points sur les « i » avec elle. Je frappe donc à la porte et je parle haut et fort pour que Malya m’entende :
— Malya, est-ce que tu pourrais me rejoindre au salon quand tu auras fini ?
— Pourquoi pas ta chambre ? Me demande-t-elle avec, je suis sûr par le ton de sa voix, son sourire sournois.
— Comme tu voudras.
En disant cela, je sais que j’accède à l’une de ses demandes et que je m’écarte déjà de mon plan. Mais je ne sais pas comment lui résister. A l’intérieur de moi j’ai très envie qu’elle recommence son petit manège et qu’elle profite encore de moi. Je vais donc dans ma chambre et m’assois sur la chaise de mon bureau histoire de garder un semblant d’autorité et de sérieux pour la conversation qui va suivre.Je profite du fait que ma charmante cousine soit sous la douche pour m’habiller d’un jean et d’un T-shirt. J’attends de longues minutes avant que Malya ne pointe le bout de son nez dans ma chambre. Malheureusement pour moi et ma morale, ma cousine a décidé que se rhabiller n’était pas une priorité contrairement à notre conversation. Elle est donc devant moi uniquement vêtue de sa serviette de bain autour de sa poitrine jusqu’au haut de ses cuisses. On se retrouve donc dans la même situation que hier sauf que cette fois-ci il n’y a aucun doute sur le fait que ce n’est pas accidentel. C’est fou ce qu’elle est sexy dans cette « tenue », elle est encore trempée et me regarde droit dans les yeux d’un air faussement interrogateur.
— Tu voulais me parler ? Me demande-t-elle en entrant d’un pas léger alors que des gouttes d’eau se répandent sur le sol de la chambre au fil de ses pas.
— Exactement, à propos de ce qui vient de se passer
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que Malya me coupe la parole. D’un air feignant l’étonnement, elle s’assoit face à moi, sur le bord du lit.
— Oh ! s’exclame-t-elle. Ça ne t’as pas plus c’est ça ?
— Si si, ce n’est pas ça
— Tu me rassures ! Je me suis appliquée pour te faire plaisir tu sais ?
— Je voulais Quoi ? Euh merci.
La conversation prend une tournure totalement différente à celle que j’avais prévue quelques minutes plus tôt. J’essaie malgré tout de reprendre le contrôle de la discussion et me secoue afin de me concentrer.
— Ce que j’essaie de te dire, Malya, c’est que cela ne doit plus arriver.
— Pourquoi ? Me demande-t-elle tout en se levant et en approchant lentement de moi.
— C’est mal. Nous sommes cousins, on ne peut pas se permettre d’avoir de rapports comme ceux de ce matin,lui dis-je le plus sérieusement possible même si je ne peux m’empêcher d’admirer ses cuisses enivrantes.
— Je ne comprends pas ce que l’on a fait de mal, me dit Malya en se penchant sur moi et en posant ses mains sur les épaules. On a fait de mal à personne, au contraire même.
— Je le sais bien, cousine, mais ce n’est pas le genre de choses qui se fait en famille. C’est pour ça qu’il ne faut pas recomm
Je ne peux pas terminer ma phrase. Ma cousine a fait tomber sa serviette et se tient désormais complètement nue devant moi. Déjà bien dur dans mon pantalon, je sens que ma braguette pourrait exploser d’un instant à l’autre. Je suis presque déçu par la suite des événements car, pour une fois, Malya semble raisonnable l’espace d’un instant.
— Dommage, me susurre-t-elle à l’oreille avant de ramasser sa serviette de bain et repartir dans la salle de bain.
Heureusement pour moi et mon sexe fatigué, Malya me laisse tranquille le reste de la journée et tout se passe normalement comme si rien ne s’était produit. Mes parents rentrent l’un après l’autre et me questionnent sur la journée de Malya et moi. Bien évidemment, je réponds que tout va pour le mieux et que nous nous sommes bien amusés à la maison à discuter et regarder paresseusement la télévision. Malya me fixe du regard en souriant par dessus l’épaule de ma mère en entendant ma réponse. Elle est visiblement ravie que je ne rapporte pas les faits de ce matin. Je me rends compte que le répit qu’elle m’a accordé cette après-midi n’est que temporaire et que j’aurai fort à faire demain si ce n’est ce soir.
C’est donc sans surprise que je constate lors du repas le retour de ma petite joueuse qui me sert de cousine. Cette garce profite de la présence de mes parents, et donc de mon impossibilité à protester, pour recommencer à m’exciter discrètement. Lors du repas, mes parents, Malya et moi sommes assis autour de la table de la salle à manger. Mon père est assis face à ma mère et à coté de moi. Ma cousine se retrouve donc juste en face de moi et est libre de faire ce qu’elle veut sous la table sans risquer d’être vue.
Dès le début du repas, je peux sentir le pied visiblement nu de Malya s’aventurer de plus en plus loin sur mes jambes. D’abord prudente et attentive à mes réactions, elle s’enhardit au fur et à mesure de son avancée. Elle passe donc rapidement son pied entre mes jambes et s’installe au niveau de mes cuisses. Je ne peux m’empêcher de trouver cela excitant. Elle est même surprise de découvrir que mon sexe est déjà dur comme de la pierre au moment où ses petits orteils se posent dessus. Quand elle comprend l’effet qu’elle me fait avec ces caresses osées, Malya sourit de plus belle. Elle semble si heureuse que mes parents lui demandent la cause de son euphorie.
— Je suis juste très heureuse de pouvoir profiter de mon cousin, répond ma cousine en pressant un peu plus fort mon sexe avec son pied.
Mes parents rient et lui souhaitent de superbes vacances avec moi sans se douter du sous entendu terriblement salace que vient de faire Malya.
Je me dépêche de finir de manger pour m’éclipser à la toilette. Bien que j’en ai très envie, je ne me soulage pas car je sais que Malya serait ravie que je le fasse. J’essaie tout de même de me calmer et de me changer les idées sans réel résultat. Nous passons le reste de la soirée à quatre dans le salon à regarder le journal télévisé puis un film familial. Ce moment en famille est une véritable pause car Malya ne peut pas faire grand-chose sans être vue. Cette chipie a quand même réussi à me maintenir dur pendant toute la soirée en se collant à moi et en passant sa main discrètement sur mon sexe. Elle se permet même de le serrer fermement durant plusieurs secondes lorsque mon père va dans la cuisine préparer un café et que ma mère est occupée à lui parler sans nous regarder. J’ai beau essayer de la retenir discrètement, elle ne se préoccupe pas de ma réaction. Cela l’amuse même de me voir tiraillé entre la morale et le désir.
Vers minuit, nous retournons finalement dans ma chambre pour aller dormir. Résister à ma diablesse de cousine m’a épuisé mais elle semble encore en pleine forme. Ses intentions étant claires, je ne suis pas gêné comme la veille et me met en caleçon rapidement. Malya n’est pas gênée non plus, bien au contraire. Elle retire ses vêtements lentement, très lentement. J’ai droit à un véritable show privé offert par ma cousine qui prend plaisir à me torturer depuis des heures. Elle se glisse finalement sous les draps et me tourne le dos. Je me dis qu’elle en a finit avec moi pour aujourd’hui et je m’apprête à dormir.
Malheureusement, je me trompe encore. Malya n’a aucune intention de dormir tout de suite et me le fait savoir. Tout d’abord, elle essaie de reculer afin de se coller à moi. Je fais de même pour garder mes distances mais cela ne plaît pas à ma cousine qui n’hésite pas à m’interpeller :
— Je sais que tu ne dors pas, ne fais pas le timide. Viens près de moi.
— D’accord, mais je t’interdis de recommencer ton petit jeu.
Je ne résiste pas à cet appel car je sais que ce serait inutile. Malya est têtue et si je lui résiste maintenant, elle ne sera que plus acharnée plus tard. Je me rapproche donc de Malya qui me tire le bras et se colle à moi dès que je suis à sa portée. Immédiatement, son dos se colle à mon ventre et son bassin se retrouve aussi collé au mien. Comme la nuit précédente, Malya prit mon bras et le serra contre elle. Sans surprise, ma main se retrouve sur sa poitrine qu’elle me force presque à empoigner. Bien que j’essaie de m’endormir, Malya s’occupe de faire monter la température dans notre lit. Elle se caresse les seins à l’aide de ma main qu’elle déplace à sa guise.
— Malya
— Hmm ?
— Je t’avais dit non.
— Tu n’as qu’à m’arrêter, me nargue-t-elle en riant doucement alors qu’elle fait maintenant passer ma main de sa douce poitrine à son entre-jambe torride en passant par son petit ventre plat.
Je ne suis pas encore arrivé au comble de mes surprises car la coquine m’en réserve encore une et pas des moindres. Alors qu’elle presse ma main entre ses cuisses, je remarque avec étonnement que je ne sens aucun tissu aux alentours. Malya sent dans mon bras une légère résistance l’espace d’un instant ce qui la fait réagir.
— Surprise. Je l’ai enlevée il y a quelques minutes
Cette chipie a vraiment envie qu’il se passe quelque chose entre elle et moi et je dois bien avouer qu’à ce moment là j’en ai très envie aussi. Je suis actuellement en caleçon en compagnie d’une bombe sexuelle a la poitrine a moitié dénudée et au sexe à l’air libre. Bien que je n’ai aucun mal à trouver l’un ou l’autre plan cul à l’université, il faut se rendre à l’évidence : ça ne m’arrive pas tous les jours.
Comme ce matin, mes barrières morales s’effondrent à une vitesse folle. Malya guide mes doigts à l’entrée de son sexe et m’indique sensuellement les endroits précis dont elle veut que je m’occupe pour lui donner du plaisir. Quelques instants plus tard, je m’occupe seul de lui offrir le plaisir qu’elle me réclame. Ma chaude cousine en profite donc pour passer sa main derrière son dos et venir chercher mon sexe tendu qu’elle doit sentir sur ses fesses depuis plusieurs minutes. Elle sort ainsi ma verge de sa prison de tissu et la prend en main avec grâce. Je n’ose pas me l’avouer mais je suis heureux de retrouver la douceur et la chaleur de la main experte de ma cousine. Pendant un long moment, les doigts de ma cousine se sont activés sur mon sexe et les miens sur le sien. Je l’ai sentie se détendre lentement sous mes caresses et la voir prendre du plaisir et soupirer d’envie m’excitais énormément. Malya n’est pas dupe, elle sens que je suis proche de la jouissance. Elle prend donc les devants et se retourne si brusquement que je crains qu’elle ne s’arrête.
Mais elle n’en fait rien, elle est bien décidée à me faire jouir et à me faire apprécier ce moment du mieux possible. Elle m’embrasse rapidement avant de se jeter sous la couette. Je comprends immédiatement ce qu’elle a l’intention de faire mais je n’en reviens pas.
— Tu ne vas quand même pas Oh !
Si, elle l’a fait et sans hésiter. Malya a englouti mon sexe dans sa bouche et elle semble s’en délecter. Ses chaudes lèvres montent et descendent sur ma hampe avec assurance. C’est tout simplement incroyable, ma cousine est douée et elle aime ce qu’elle fait. Je peux sentir sa langue passer partout autour de ma verge et titiller mon gland avec insistance. En quelques minutes, je sens que je vais jouir.
— Malya, je vais
— Mmmh !
Bien que Malya n’ait rien dit, j’ai bien compris ce qu’elle dit. Ce gémissement incompréhensible n’est pas le seul indice de ses intentions. Elle accélère de plus en plus son mouvement de va-et-vient sur mon sexe au bord de l’explosion. Au moment de ma jouissance, je la vois s’arrêter net, ma verge enfoncée dans sa bouche. Elle encaisse le choc de mon orgasme qui dure très longtemps. Je me vide lentement mais avec force dans sa gorge qui ne relâche pas une seule goutte de mon sperme. Une fois ma jouissance passée, Malya se retire quelques instants et me regarde en souriant. Son regard provocateur me nargue alors qu’elle avale mon jus qu’elle a gardé dans sa bouche le plus longtemps possible. C’est incroyable ce qu’elle est excitante quand elle fait ça.
Une fois l’excitation redescendue, Malya se recouche, dos à moi mais toujours très proche et ne dit plus un mot. On s’endort alors en cuillère comme si rien ne s’était passé. Je ne sais pas combien de temps ce jeu va encore durer mais je comprends bien qu’elle se rapproche de la victoire d’heure en heure.
Note de l’auteur : Voilà le chapitre 3 qui s’est fait un peu attendre et j’en suis désolé ! Pour satisfaire le plus grand nombre d’entre vous, j’ai été obligé de réécrire la seconde partie de ce chapitre ! Notre cher Antoine essaie donc de résister encore et toujours à sa cousine diabolique et avide de sexe ! La suite est en cours d’écriture, n’hésitez pas à donner vos avis car je les lis et les prends en compte pour les futurs chapitres !