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Caroline la copine de mon meilleur pote – Chapitre 1




Contient de l’uro s’il y en a que ça gêne. 

Salut tout le monde, je me présente, Roland, brun 1m70 pour 61k. Au moment où s’est passée l’histoire j’étais sur l’année de mes trente ans. 

J’ai un physique banal assez du moins pour avoir une vie sentimentale ou sexuelle assez dosée quand l’envie m’en prend. J’ai toujours été porté sur le cul et n’hésite pas à en parler que ce soit avec mes potes et leurs copines quand elles sont là. Attention, avant les faits qui vont se dérouler je n’avais jamais voulu ou même pensé à détourner ne serait-ce qu’une seule des filles avec lesquelles mes amis sortaient. Les gens qui me connaissaient savaient que je pouvais être trash en plus d’être porté sur la chose, pas au point pour autant que cela fasse de moi un animal en rut constante.

Un week-end sportif mouvementé m’avait laissé avec le bras en écharpe. Une semaine d’arrêt et 10 jours d’anti-inflammatoires. J’étais condamné à errer sans but dans mon appartement, non climatisé, en plein milieu de l’été. La douleur dans l’épaule transformait la moindre action en supplice. D’un naturel énergique, j’étais amorphe. Plongé dans une sorte d’apathie permanente et la cadence qui va avec. J’avais bien réussi à me rouler un joint mais il ne fallait pas me demander grand-chose en plus. L’épisode de la série que je matais venait de se terminer et je ne me sentais pas de regarder la suite. Pour éviter l’ennui je suis allé sur l’ordinateur pour me mater un porno, après un week-end d’absence les divers sites sur lesquels j’allai avaient bien eut le temps de recevoir du nouveau matos. L’acte en lui-même s’était avéré douloureux et pénible mais une fois assouvi m’avait laissé complètement K.O vidé au propre et au figuré.

J’étais encore en train de souffler quand mon téléphone s’est mis à vibrer. C’était mon meilleur pote. Il m’expliqua que le boulot lui avait fait un sale coup et qu’il devait bouger sur Bordeaux pour une semaine. Il était parti dans l’urgence et n’avait pas filé de double à sa copine. Plus jeune que nous, elle vivait encore chez son père, j’avais cru comprendre que de ce côté-là le moral n’était pas au beau fixe. Il voulait savoir si c’était ok qu’elle reste chez moi le temps qu’il revienne. J’ai accepté sans mauvaises intentions et il m’a dit que dans ce cas elle débarquerait d’ici une heure.

J’ai passé quelques secondes avant de me souvenir de son prénom. Mon pote avait toujours aimé ses petites-amies jeunes. Il ne s’était jamais posé longtemps avec la même fille, préférait tirer le maximum du filon Tinder qui avait révolutionné notre vie à tous. J’avais aperçu Caroline à deux ou trois occasions sans jamais lui avoir vraiment parlé, me doutant qu’elle finirait par disparaître bien vite. Physiquement parlant elle n’était pas exceptionnelle, mais mignonne. Brune mutine de vingt-trois ans coupée à la garçonne, mesurait environ 1m60, pas des seins énormes mais assez gros pour un honnête homme. Un petit modèle qui ne se mettait pas en valeur et qui ne s’habillait pas pour plaire. Elle était étudiante de philo mais avait décroché et bossait désormais à droite et à gauche, dépannait des services comme serveuse la plupart du temps.

Aussi vite que j’ai pu j’ai remis ce que je pouvais d’ordre, ouvert les fenêtres pour le courant d’air et me suis douché. Ce qui normalement me prenait trente minutes s’accapara toute l’heure et c’est pendant que je me séchais que mon téléphone se mit à vibrer pour me signaler un message.

« Salut, c’est Caro je sors du métro. »

Je lui répondais en lui indiquant comment venir et lui donnait le digicode, précisant que la porte serait ouverte.

Nu j’allais l’ouvrir et retournais dans ma chambre pour m’habiller, enfilait un short et tant bien que mal une chemisette. Deux minutes plus tard j’entendais la porte d’entrée grincer et sortait de ma chambre. Caroline était là, portait un minishort et un maillot de corps trop large, une paire de converse noires. Elle n’était plus coupée à la garçonne mais avait toujours les cheveux courts voir rasé à certains endroits, avait laissé une grande mèche qui recouvrait une partie de son crane. Je remarquais aussi le piercing à l’arcade, et le petit anneau qu’elle portait la narine, tout en me demandant dans quel délire mon pote devait bien se trouver pour être resté avec cette espèce de punkette des temps modernes.

On s’est fait la bise et je lui ai montré sa chambre qui me servait aussi un peu de remise. Elle a jeté un il, m’a remercié et a posé son sac.

Dans le salon elle m’a demandé pour mon bras, à défaut d’avoir quelque chose à lui raconter je lui ai parlé de l’épisode pénible de la douche, elle a rigolé et m’a dit que j’aurais peut-être bien fait d’embaucher une aide. J’ai joué la surprise, mon pote ne lui avait pas expliqué qu’elle était aussi là pour ça ?

L’ambiance c’est un peu détendue et j’ai commencé à rouler un joint non sans lui avoir demandé si ça la dérangeait. Au bout de quelques secondes de galère elle a pris la relève. Elle savait rouler et mon pote ne fumait pas, il était plutôt contre d’ailleurs. Elle avait arrêté quand elle avait commencé à sortir avec lui. Est-ce que ça la dérangeait que je fume ? Non pas du tout. 

J’ai allumé la télé et lancé Netflix comme fond sonore avant de partir chercher des bières. On a parlé pas mal, fait ce qu’il fallait de connaissance. Vers 21h on a commandé des pizzas, et j’étais plutôt content à l’idée de l’avoir dans les pattes quelques jours.

Les bières s’enchainaient et j’enquillais les joints grâce à ma nouvelle rouleuse attitrée. Au bout d’un moment Caroline a pris le spliff que j’avais laissé en pause dans le cendrier.

— Oh putain ! Ca m’avait manqué !

— C’est ça qu’est bon avec les addictions, s’y remettre après une pause.

— Tu m’étonnes.

Elle tire une latte en regardant le plafond, et je prends le temps de la détailler un peu. Commence à comprendre ce que mon pote lui trouve, mais me reprends assez vite pour ne pas qu’elle me remarque en prenant une gorgée de bière. 

— Toi aussi en parlant de ça, tu vas bien kiffer quand tu vas retrouver ton bras.

— C’est clair. Surtout qu’en fait ça te bloque pour mal de choses. J’ai dû annuler mes deux rencards de la semaine. Ça sert à rien de se pointer à un date avec un bras en écharpe.

— Bah disons que la meuf se dit que ça sera pas ce soir quoi.

— Ouais.

— Romain (mon pote) m’a raconté tes aventures en la matière, c’est sûr que ça doit te manquer.

— Ahah, le bâtard. Non ça va il me reste internet.

— Je suis surprise que t’ai pas de plan cul.

— Plus maintenant, l’offre et la demande, avec tout ce qu’il y a sur Tinder plus besoin de fidéliser. J’ai pas été assez prévoyant.

— Ahah, bien fait ! Ca t’apprendra à spéculer !

Je me suis retenu de faire une blague sur la bourse ou plutôt les miennes et nous avons commencé à manger. Les épisodes s’enchainaient et Caro fumait et buvait à son rythme de croisière. C’est quand je suis revenu des toilettes qu’elle est revenue sur le sujet.

— Puis tu vas pas t’en sortir avec internet. T’es gaucher non ?

— Je trouverais bien un moyen. Quand il est question de ça je suis capable d’utiliser 100% des capacités de mon corps ahah !

— A ce point là ? Mais t’es vraiment accro, on dirait un adolescent.

— Tu sais pas toi ! Là normalement j’avais rien prévu d’autre pour les semaines à venir que de me balader dans l’appart des bouts de mouchoirs collés aux doigts !

— Mon dieu ! T’es de plus en plus charmant !

— Ahah, merci ! Mais en même temps c’est pas le but !

— Oui bien sûr ! Mais quand même !

— T’es choquée ?

— Pas du tout c’est juste que je voyais pas comme ça le meilleur pote de Romain. Vous êtes vraiment différents.

— Disons que j’en parle plus quoi, mais au fond je pense qu’on est les mêmes. Enfin tu dois le savoir mieux que moi non ?

— C’est mort ! Je ne te donnerais pas de détails ! Ahah.

Il était aux alentours d’une heure du mat. Sans m’en rendre compte j’étais passé en mode chacal, je flirtais dès que je le pouvais, ne ratait aucune occasion de gagner des points. C’était mal je le savais mais Caro était cool, pétillante. A la fin d’un énième épisode de Friends elle s’est levée.

— Bon je vais aller me coucher. Je vais te laisser faire tes « trucs ».

J’ai rigolé et l’ai remercié, en précisant que j’étais en confiance pour la suite des événements. J’ai attendu que le petit manège des allez retours entre toilettes, chambre et salle de bain (qui passent par le salon) se termine et que la lumière de sa chambre s’éteigne avant d’aller vers le PC. 

Ça faisait assez longtemps pour que l’excitation soit telle qu’elle ne demande pas de nouveauté, j’ai lancé une de mes vidéos sans le son. J’étais dur et tendu mais mon épaule m’envoyait des électrochocs. Les roues de la chaise de bureau grinçaient plus qu’elle ne glissaient sur le parquet. C’était pénible, j’étais en sueur et pour la première fois de ma vie j’envisageais d’aller au lit sans. J’étais en train de récupérer à bout de souffle quand la porte de la chambre s’est ouverte.

— Bah alors Monsieur 100%, on fait moins le malin.

Sans aucun remords, parce qu’il était maintenant clair pour ce qui était des intentions, j’ai pivoté sur ma chaise sans rien ranger. Caro était en face de moi, ne portait rien d’autre qu’un t-shirt de mon pote et un shorty. Elle souriait.

— Ahah, espèce de bâtarde ! T’es là pour marquer le point ?

Caro s’est approché et a jeté un il plus bas.

— Non pas vraiment Disons que je suis là pour te filer un coup de main.

Ce qui me restait de conscience à tiré la sonnette d’alarme, mais l’opportunité de me faire soulager au calme était trop forte. Je n’ai rien ajouté et je l’ai regardée avec l’il du tigre. Sentant la surprise que j’avais provoqué en ne rentrant pas dans son petit jeu de parole. Si elle voulait vraiment il n’y avait rien à ajouter, c’était à son tour d’assumer. Après quelques secondes d’évaluation de la nouvelle situation, elle s’est avancée en se mordillant la lèvre, s’est réchauffée les mains et s’est saisie de mon sexe. 

Les premières secondes, assez maladroites, se sont arrêtées quand elle a compris qu’elle serait mieux à genoux pour me branler. 

De ma chaise et dans cette position j’avais un aperçu des rondeurs et du sillon de son cul, le shorty pas vraiment moulant accentuai quand même l’excitation. Caro ne me lâchait pas du regard, me branlait lentement sans me tendre au maximum, je sentais son souffle sur mes couilles et m’avançait un peu sur le siège pour lui faciliter la tâche.

— Ca va comme ça ?

— Ouais carrément putain. Normalement je suis difficile en la matière.

— Ahah, si ça te rassure j’ai toujours su branler mes partenaires à bon port.

J’écartais un peu plus les jambes l’air de rien et elle capta tout de suite, son autre main commença à jouer avec mes couilles, tandis que l’index suivait la grosse veine jusqu’à mon cul juste pour marquer l’intention. Les choses se présentaient de mieux en mieux.

— T’es un de ces mecs là ?

— Un de ces mecs là ?

— Un de ceux là.

Son index s’avance un peu.

— Ah ! Un de ceux là.

— Oui.

— J’en suis !

Son sourire s’accentua et son index prenant confiance commença à me masser le trou du cul. J’étais aux anges et j’avais vraiment envie de me laisser happer par le mouvement de ses mains et jouir. Le sentant elle s’approcha un peu et décéléra.

— Tu veux jouir ?

— Ouais. Ou il y a une autre option ?

J’étais au bord de la jouissance et me retenait, profitait de ses quelques secondes d’accalmie pour retrouver un peu de calme.

— Je peux vraiment m’occuper de toi.

— Ca sonne pas mal. 

Elle s’approcha un peu plus jusqu’à arriver au dessus de mon gland tendu vers elle et déposa un crachat qu’elle laissa couler à ses doigts qui enserraient encore ma queue. Elle étala un peu, avant de me prendre en bouche jusqu’à la garde et de maintenir le position quelques secondes. Ma queue était recouverte de salive et le rythme de sa main était de plus lent. La bave me coulait sur les couilles à mesure que sa langue descendait ma hampe pour les rejoindre. Elles aussi eurent droit à un petit traitement, mais Caro savait exactement où elle voulait aller. 

Son nez passa sous mes bourses. J’écartais et soulevait mes jambes pour lui faciliter l’accès. Caro commença doucement, me lécha jusqu’à la cible avant de la dépasser, me donnant la sensation de me faire bouffer le cul. Son visage était recouvert de bave et ça n’avait pas l’air de la déranger. Complètement offert je ne voyais que ses yeux qui encore une fois guettaient mes réactions. Sa bouche ne décollait plus ma rondelle, je sentais le souffle de ses narines me glisser sur les couilles. Sa langue de plus en plus précise me rentrant sans difficulté dans le cul. Pas encore décidé à jouir je la laissais faire, appréciant le spectacle. Elle se retira en reprenant une vraie respiration.

— Maintenant, c’est sûr qu’on va aller plus loin, mais après. Là je vais juste te vider les couilles ok ?

— Ok.

J’étais trop en transe pour penser à autre chose, je voulais qu’elle reprenne ce qu’elle était en train de faire et lui agrippais la tête pour me la remettre dans le cul. Frotta son visage pour me masser avec son nez et ses lèvres. Sa langue marquait des allés retours, m’élargissait le cul, le mouvement de sa main s’accélérait à mesure que ma jouissance approchait. L’occasion était trop belle, au bord du gouffre je me redressais et lui sortais la tête pour qu’elle me suce. Dictant le rythme grâce à sa tête quasi rasée que je tenais fermement. Caro ne se dégonflait pas, assumait les gorges profondes la bouche grande ouverte et la langue pendante, me laissait faire jusqu’à destination. 

Je l’embrochais à fond pour la première giclée, lui jouissant au fond de la gorge avant de commencer à me retirer jusqu’à sa bouche pour la seconde. Balançant les trois dernières sur son visage et dans sa bouche grande ouverte. Caro le visage plein de foutre et l’il gauche fermé à cause du sperme, me regardait les lèvres encore entrouvertes, haletante. Mon sexe mollissant était encore posé contre sa joue quand elle le reprit en bouche jusqu’à ce que je débande. Je m’asseyais donc sa tête collée contre mon pubis. Remarquais qu’elle avalait tout en me nettoyant.

Caro me laissa profiter un peu de son visage souillé avant de s’essuyer grâce à un mouchoir. J’étais encore dans le ciel et elle se redressa pour marcher jusqu’à la cuisine pour revenir avec deux bières, j’attrapais les clopes et en allumait une que je lui tendais tout en éclatant la mienne. Il faisait chaud à l’intérieur et nuit dehors, j’ouvrais la fenêtre observait la rue profitant du coup de vent.

— Alors t’as trouvé ça comment ?

— Je me dis que Romain se met très bien.

— Ecoute, on continue comme ça le temps que je suis là. En échange de quoi si je me retrouve en galère d’appartement un jour je peux venir chez toi. Ok ?

— En gros tu me proposes d’être un plan cul ?

— Non mieux, c’est important que je puisse venir chez toi si j’en ai besoin et qu’éventuellement tu m’héberges si ça se passe mal. Romain à du te dire pour ma situation.

— Ouais, enfin il a pas été super clair.

— Je suis un peu à la rue en ce moment en fait. Normalement je vis chez lui sur le même accord et j’y suis bien. Mais, sii ça se passe mal plus tard je veux pouvoir venir ici.

— Ok, de là où je suis c’est parfait. Je vais aller me doucher.

— Je t’accompagne.

Après m’avoir aidé à me déshabiller Caro m’a rejoint dans la douche, collant son corps contre le mien.

— Ahah non, J’aime pas le faire sous la douche !

— J’ai juste envie de te gouter, je crois bien que j’aime vraiment bien le gout de ta queue.

Sans autre forme de procès Caro descendit à nouveau sur ses genoux et s’approcha.

— Déconne pas ! J’ai envie de pisser en plus.

Elle se retira et l’air de rien ajouta.

— Bah vas-y, qu’est-ce que tu attends ?

L’occasion était trop belle, oubliant toute limite je me reculai à mon tour et la regardant bien me laissa aller. 

La bouche grande ouverte et son visage pour cible je lui pissais dessus sans qu’elle ne se dérobe. Me vidais et appréciais de la voir en avaler un peu. La vessie pleine à cause des bières, je pissais longuement, sur tout son corps. Me sentant bientôt vide elle avala ma bite pour que je termine. 

Je la regardais d’un il nouveau bien décidé à connaitre ses limites. M’imaginait déjà réaliser bon nombre de fantasmes. Caro me savonna, me rinça et me sécha avant de m’allonger et de disparaitre pour retourner à sa chambre. 5 minuttes plus tard elle revenait juste vêtue d’un porte-jarretelles et des bas.

— On commence par quoi ?

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