Mr Lambert: Décidément c’est un vrai repère de salopes ici, moi qui pensait que c’était Florence la plus chaude, je me suis bien trompé. Bon c’est bon, tu peux aller déjeuner, je n’aurai plus besoin de tes services aujourd’hui, tu m’as complètement vidé. Par contre pour lundi, tu me reverras la coupe de ton maillot, je préfère un petit ticket de métro comme Eva, ou tu peux même tout enlever, je te laisse choisir.

Marie: Très bien Monsieur je m’en occuperai ce week-end.

La journée se termina normalement et Marie rentra chez elle. A sa grande surprise, son mari Benoit était déjà rentré, lui aussi fut surpris de la trouver si élégante.

Benoit: Dis donc ma chérie tu en es élégante aujourd’hui, c’est pour moi que tu t’es faite toute belle.

Marie: je te plais habillée comme ça.

Benoit: Un peu oui, ça change…

Elle vint se coller à lui et l’embrasser tendrement, elle commença à se frotter contre la cuisse de son mari. Sentant l’excitation monter, elle lui prit la main et l’entraina dans la chambre. Benoit était complètement déboussolé mais tellement content qu’il suivit bêtement sa femme. Elle jeta son mari sur le lit et vint s’allonger sur lui, elle l’embrassait fiévreusement tout en frottant son entre-jambe contre le sexe de Benoit qu’elle sentit durcir rapidement sous son pantalon. Benoit caressait les cuisses de sa femme et remontait petit à petit. Il fut étonné et agréablement surpris de tomber sur des bas, Marie n’en mettait quasiment jamais. Il passa ensuite sa main sous son boxer et commença à promener sa main entre les fesses pour finalement tomber sur la chatte toute humide de sa femme.

Marie continuait d’embrasser Benoit pendant qu’il caressait tendrement son sexe, elle poussait de petits gémissements encourageant son mari à continuer ses caresses. Au bout d’un moment, Marie se releva et baissa le pantalon le boxer de Benoit, elle alla vers la table de nuit prit un préservatif. Benoit était aux anges, il savait qu’il aurait droit à une petite fellation, à sa grande surprise Marie vint placer sa croupe au dessus de son visage, puis elle dit à son mari : Lèche moi bien pendant que je te suce.

Marie posa le préservatif sur le gland et commença à le faire descendre sur la tige, le sexe de son mari était beaucoup moins long que ceux qu’elle avait côtoyé dernièrement, elle n’eut aucun mal à le descendre totalement. Une fois la fine protection de latex en place, elle se mit à sucer passionnément la queue qu’elle avait entre les mains. Benoit jubilait, jamais sa femme ne l’avait sucé de la sorte, contrairement aux fois précédentes, il sentait qu’elle y prenait du plaisir, il se décidait donc de lui rendre la pareille du mieux possible.

Il avait ôté le boxer et léchait la fente qui était au dessus de son visage, il enfonçait sa langue le plus loin possible dans la chatte de sa femme. Marie poussait maintenant des gémissements réguliers et prononcés: Mfffffff… Mffffffff…

Encouragé par les nouvelles dispositions de sa femme, il commença à masser doucement sa rosette avec son doigt, d’habitude, dès qu’il touchait à cet orifice, Marie le repoussait immédiatement. A son grand étonnement, cette fois elle ne dit rien, cela faisait plusieurs minutes qu’il titillait son illet, il lui semblait que le bassin de Marie ondulait plus nettement depuis qu’il s’intéressait à son petit trou. Il avait une envie folle de l’enculer mais n’osait pas lui demander de peur qu’elle se braque.

Marie se releva, se mit face à son mari et vint s’empaler d’un seul coup sur son sexe, elle se mit à le chevaucher sauvagement, c’est elle qui avait pris les commandes et qui imprimait le rythme. Benoit subissait le rythme effréné auquel il était soumis par son épouse, il se contentait de caresser ses cuisses mises en valeur par les bas. Sa femme était également beaucoup plus expressive que d’habitude: Ah… oui… C’est bon… Continue…

Marie commençait à ressentir un manque au niveau de son cul, elle avait envie de se faire sodomiser mais elle n’osait pas le demander à Benoit, elle avait peur qu’il se doute de quelque chose face à de tels changements au niveau de son comportement. Mais l’envie de se faire enculer fut la plus forte, elle se leva et se mit à quatre pattes sur le lit, puis elle dit à son mari: Viens me prendre par derrière s’il te plait, si tu veux j’ai acheté du lubrifiant, il est dans la table de nuit.

Benoit se demandait s’il ne rêvait pas, même dans ses rêves les plus fous il n’aurait jamais imaginé une soirée pareil, il demanda quand même: Tu es sure, tu n’as jamais voulu avant.

Marie: Oui mais ce soir je suis ta chose, j’ai envie que tu me sodomises.

Benoit appliqua du lubrifiant sur l’anus de Marie et commença à insérer un doigt, à sa grande surprise celui rentra facilement dans le cul de sa femme, il lui dit: Ca va, je ne fais pas mal?

Marie eut envie de lui crier: Vas y, fourre moi ta queue dans le cul tout de suite, avec celles que j’ai prises dernièrement tu peux me le mettre tout de suite.

Elle lui répondit simplement: Non, ça va… Continue.

Il continua donc ses va-et-vient dans le fondement de sa femme, mais celle-ci ne pouvait plus attendre et lui dit: Chéri, je n’en peux plus, mets là tout de suite.

Benoit vint se placer derrière le cul de sa femme et posa son gland sur son petit trou, il poussa un peu et s’enfonça facilement. Il se retrouva très vite avec la totalité de son sexe dans les entrailles de Marie. Même si la sensation était moins extrême qu’avec les sexes qu’elles avaient connus récemment, elle n’en demeurait pas moins très agréable. Pour augmenter son plaisir, Marie passa la main sous son ventre et se caressa le clitoris.

Benoit lui appréciait étroitesse se son conduit, mais fut quand même étonné de la facilité avec lequel son membre coulissait dans le cul de sa femme, il se dit en lui même: Elle doit avoir des pré-dispositions pour la sodomie, pour une première fois cela se passe plutôt bien. C’était bien la peine de me faire attendre si longtemps.

Marie quant à elle encourageait son mari: Hannn vas y… Han… Plus fort…

Il se mit à la pilloner de plus en plus fort, faisant taper ses testicules contre le sexe de sa femme. Elle apprécia ce changement de cadence et lui fit savoir: Hannn… Ouiiiiiii… Hannn… Encore plus fort… Hannn… Défonce moi…

Excité par les paroles crues de sa femme, il fit claquer quelques fois son bassin contre les fesses de sa femme et il envoya sa semence au fond du préservatif. Il s’écroula ensuite sur elle, épuisé et vidé par l’appétit sexuel de sa femme.

Cette dernière restait sur sa faim, mais elle va devoir se contenter de son mari pour ce week-end, et puis elle pensait à Eva qu’elle retrouverait lundi et qu’elle comptait inviter le soir à la maison. Il ya aurait aussi les réunions du midi avec Mr Lambert et surout à Patrice et Michel qui devaient repasser mardi. Bref elle se disait que la semaine allait être bien remplie, et elle aussi dans doute…

Related posts

Une banquière pas si sage… – Chapitre 1

historiesexe

Real Humans – Chapitre 8

historiesexe

Pierre, où l'itinéraire d'un gars pas doué – Chapitre 10

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .