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Anaëlle, ou l'histoire d'une domestique – Chapitre 2




Le lendemain matin, Anaëlle constata quHenri était déjà parti. Ça lui arrivait souvent depuis quelques semaines, sachant que son labo travaillait sur une nouvelle gamme de produits. Sur la table, il lui avait laissé un mot qui disait : « Navré de vous avoir fait de la peine, hier. Il est vrai que moi aussi je suis à fleur de peau ; mais il faut me comprendre. Toutefois, cette nuit jai réfléchi et jaurais peut-être une solution à vous soumettre. On en discutera ce soir. ».

Cette dernière phrase avait suffi à lui redonner le sourire. Du coup, lespoir était revenu et cette journée qui aurait pu être mauvaise sen est retrouvée ensoleillée. Cest avec impatience quelle a attendu quHenri revienne de son travail. Elle était curieuse de connaître ce que pouvait bien être cette mystérieuse solution. Afin de lamadouer et mettre toutes les chances de son côté, elle avait préparé un dîner de gala. Ce nest quaprès le repas quHenri consentit à aborder le sujet.

Anaëlle, cétait succulent. Vraiment, vous vous êtes surpassée.

Merci, Monsieur.

Je vous vois trépigner dimpatience sur votre chaise. Vous voulez savoir ce que je vous réserve ?

Oui, tout à fait.

Bien. Avant toute chose, je voudrais savoir ce que vous connaissez de mon travail.

Vous êtes le directeur dun labo pharmaceutique et cosmétique.

Oui, cest presque ça. En fait, nous produisons des pommades, gels et lotions pour un usage un peu particulier. Ce sont plus des produits pour adultes : aphrodisiaques, gels intimes Vous voyez ce que je veux dire ?

Oui. Je suis un peu surprise mais, oui, je vois.

Une fois les tests en labo terminés, on avait lhabitude, avec Ghislaine, de tester certains de nos produits. Parfois en condition réelles.

Et vous voulez que je teste vos nouveaux produits ?

Pas tous, mais ça nous permettrait, pour certains dentre eux, de tester le dosage, la posologie. Rassurez-vous, ils sont garantis sans allergènes. De plus, nous avons lagrément du ministère de la santé.

OK Javoue que je ne mattendais pas à ça.

Bien sûr, vous serez payée pour ces tests, et jen testerai aussi moi-même certains de mon côté. Voilà donc la proposition que je vous fais. Bien sûr, vous resterez toujours ici en tant quemployée de maison, et si vous ne causez pas de catastrophes durant la période de test, je ne vous licencierai pas. Ça vous convient ?

Cest daccord pour moi. De toute façon, je nai pas trop le choix. Jespère juste que vous nallez pas me faire tester des rouges à lèvres préalablement testés sur des anus de singes ?

Henri partit en éclats de rire. Il venait dimaginer la situation.

Hé-hé ! Non, rien de tout ça. Bon, je fais établir le contrat et japporterai le premier échantillon.

Très bien.

Juste une chose : avant de commencer, je vous ferai passer un examen médical avec prise de sang et analyses.

Pourquoi ça ?

Juste au cas où. Nous parlons là dabsorption de substances médicamenteuses. Vous pourriez, sans le savoir, être porteuse de germes en totale contre-indication avec nos produits.

Vous avez raison. Autant rester prudents. Vous pensez à tout.

Nous ferons les examens au laboratoire danalyses à quelques kilomètres dici. Et je superviserai vos tests.

On fait comme ça.

En réalité, les examens médicaux prévus navaient quun seul but : savoir si elle était totalement saine. Quant aux tests des échantillons, ils étaient là pour la mettre en condition, compte tenu de ce quHenri avait prévu pour sa bonne. Quinze jours plus tard, les résultats ne signalaient rien danormal. Du coup, Henri allait arriver avec le premier échantillon. Anaëlle était impatiente de commencer.

Bien. Anaëlle, voilà ce que je voudrais que vous testiez. Il sagit dune pommade que nous destinons également à lindustrie médicale. Elle contient un principe actif qui, par application locale sur la poitrine, dans un délai de plusieurs semaines, déclenche la lactation des glandes mammaires et entraîne ainsi une augmentation de la poitrine.

Ah et ça marche vraiment ?

En laboratoire, oui. Maintenant, je voudrais voir comment ça se comporte en milieu non aseptisé. Nous voyons cela comme un substitut à limplantation de prothèses. Certes, ça met plus de temps ; il faut régulièrement en remettre, mais ce sera surtout moins cher.

Et pour le côté médical ?

Ça pourra faciliter la lactation pour les femmes souhaitant allaiter mais ayant des difficultés dans ce domaine.

Cest dutilité publique, alors ?

On peut dire ça. Par contre, cest en application locale mais sur peau sèche. Je vous conseille de faire ça après la douche ; vous vous séchez et vous lappliquez. On mesurera le volume de votre poitrine chaque semaine et on consignera dans un registre les effets.

OK.

La manuvre dHenri était grossière, mais Anaëlle était tellement dans loptique de se racheter auprès de lui quelle navait pas envisagé quil faisait ça dans un but bien précis.

Elle se mit à la tâche dès le lendemain. Après sêtre douchée et séchée, elle appliqua la pommade en sattardant bien pour quelle pénètre la peau. Elle ne savait pas doù ça venait, mais elle sentait une sensation de plénitude. Ce quHenri avait omis de préciser, cest quen plus des principes actifs quil avait décrits, la pommade contenait aussi des substances aphrodisiaques ainsi quun autre principe actif permettant la sécrétion dendorphines et docytocine, respectivement hormone du plaisir et de lattachement. Ainsi, en appliquant la pommade, elle se sentirait de plus en plus attirée vers lui, et cette sensation de plénitude la poussera à réitérer lexpérience.

Il fallut bien trois semaines pour voir des changements notables, et au bout dun mois elle était passée de son 90C dorigine à un 95D tout neuf. Chaque soir durant cette période, Henri lui demandait si tout se passait bien ; il était très proche et prévenant. Il ne lui avait rien dit, mais lui aussi testait un autre de ses produits : un déodorant dont la particularité était la libération de phéromones de synthèse. Il comptait sur ses effets combinés à ceux de la pommade pour renforcer lattirance dAnaëlle à son égard. Il lui avait également caché la petite caméra quil avait dissimulée dans la salle de bain, qui lui permettait dadmirer le spectacle dAnaëlle, nue sappliquant la pommade. Il en a bouffé, du Sopalin, à regarder cette scène chaque jour !

Un soir, en revenant chez lui, il avait dans sa mallette un autre produit à essayer mais il ne savait pas si elle était prête. Depuis quelques jours, Anaëlle ne portait plus de soutien-gorge. Il le savait par sa petite caméra mais aussi parce que le chemisier de sa tenue de travail étant devenu trop serré, elle avait ouvert les premiers boutons. Nayant pas forcément le temps pour sen acheter de nouveaux à la bonne taille, elle avait opté pour cette solution. Ce nouveau décolleté laissait bien entrevoir le contour de ses seins, et Henri avait bien vu quelle ne portait effectivement rien en dessous. De son côté, Anaëlle, ne sachant pas pourquoi, se sentait attirée par son patron et logeur. Elle avait également remarqué les multiples érections que sa nouvelle silhouette provoquait chez lui. Ce soir-là, après un petit mot gentil pour sa domestique, Henri sassit dans son fauteuil devant la télé, en attendant quAnaëlle lui porte son bourbon. Henri nessayait même plus de cacher ses érections. Et encore moins lorsquAnaëlle se penchait en avant pour lui tendre son verre. Ce jour-là, au lieu de retourner à sa cuisine, elle resta à côté de lui.

Quy a-t-il, Anaëlle ? Vous voulez me demander quelque chose ?

Oui. Cest un peu gênant

Allez-y, on est entre nous.

Je voulais savoir si cétait moi qui vous faisais autant deffet ?

Oui, je lavoue. Vous êtes une très jolie femme, plus particulièrement depuis un mois. Et moi, je reste malgré tout un homme.

Si vous voulez, je peux moccuper de cette bosse. Si elle vous gêne, bien sûr.

En entendant ces mots, Henri faillit sétouffer en buvant son verre. Elle venait ouvertement de lui proposer une petite gâterie. Du coup, il était temps pour lui de sortir la petite bouteille quil gardait dans sa mallette.

Eh bien, écoutez Je suis troublé par votre proposition ; mais si vous me proposez ça, je vois un moyen de lier lutile à lagréable.

Comment ça ?

Voyez-vous, jai un autre produit que jaimerais essayer et pour lequel jaurais besoin de vous.

Quest ce que cest ?

Cest ceci. Une lotion. En lappliquant sur la verge, elle parfume la peau et elle possède également, en plus faible proportion, les mêmes principes actifs que le Viagra, assurant un minimum de soutien à lérection, améliorant la circulation du sang dans les corps caverneux.

Daccord. Donc, cest une lotion pour une fellation parfumée, en fait ?

Exactement. Etant donné ce que vous venez de me proposer, jai pensé que cétait loccasion.

Parfait. Laissez-moi la bouteille ; je men charge.

Anaëlle prit alors la bouteille, versa quelques gouttes sur la verge dHenri quelle avait au préalable sortie de son pantalon et commença à étaler le liquide qui sentait bon les fruits rouges. Le sexe dHenri commençait à prendre du volume et de la vigueur sous les mains dAnaëlle. Henri, lui, se demandait sil ne rêvait pas. Une fellation de cette jolie jeune femme, il en rêvait depuis des semaines. Visiblement, les effets étaient au-delà de ses espérances à moins quelle nait doublé la dose, mais quimporte. Elle était disponible pour lui, et il nallait pas la laisser sen aller comme ça.

Après avoir fini détaler les quelques gouttes, Anaëlle se positionna, à genoux entre les cuisses dHenri et commença à sucer. Henri était aux anges. Les bras ballants, la tête en arrière, les yeux fermés, la bouche légèrement entrouverte, il savourait ce moment avec délectation. Anaëlle quant à elle ne ménageait pas ses efforts ; elle y allait de bon cur, sentant ce gros mandrin prendre du volume entre ses lèvres au fur et à mesure de ses coups de langue. Au bout dun moment, reprenant ses esprits, Henri la regarda à luvre tout en lui caressant les cheveux jusquau moment fatidique où il lui remplit la bouche de sa semence en poussant un soupir de satisfaction.

Anaëlle sempressa de se rincer la bouche pendant quHenri remettait son pantalon.

Ah, bravo, Anaëlle ! Je dois admettre que, de mon côté, cétait très bon.

Jai moi aussi apprécié.

Javoue que je ne mattendais pas à ce que vous me proposiez ça. Cétait quoi ? Une pulsion soudaine ?

Je ne sais pas. Peut-être. Depuis que je teste cette pommade, je me sens bien, légère et un peu à létroit dans mon chemisier.

Ça doit être le même sentiment de plénitude que ressentent certaines femmes enceintes qui ont les seins qui gonflent. Ça doit être lié.

Cest possible. De plus, je ne sais pas pourquoi, mais je me sens bien avec vous. Javais envie de vous remercier pour mavoir laissé une dernière chance. Et comme jai vu que je vous faisais de leffet, je me suis dit

Ah, mais je suis partant pour être remercié aussi souvent que vous le voudrez ! Bon, je vous laisse finir de préparer le dîner ; moi, je vais me changer.

À peine était-il entré dans sa chambre quil sécria « YESSS » en entonnant une danse de la victoire à la manière de Chandler Bing dans la série « Friends ». Elle venait de lui avouer être attirée par lui sans savoir pourquoi. Lui le savait, pourquoi, et il était parvenu à savamment noyer le poisson par des explications logiques mais totalement fantasques. Maintenant restait à voir si elle allait vouloir réitérer lexpérience. Il ne fallait pas brusquer les choses. De toute façon, la dernière étape de son plan nétait pas encore prête. Il fallait attendre. Il est ressorti de sa chambre après avoir changé de pantalon et de chemise, quelques gouttes de sperme ayant taché ses vêtements tout à lheure. Il est revenu avec un pantalon à bretelles et une chemise décontractée dont il avait laissé les premiers boutons ouverts, laissant apparaitre le tee-shirt Marcel quil portait dessous.

Durant le repas, Anaëlle, réalisant ce qui sétait passé, fuyait le regard dHenri. Cest au moment du dessert quelle brisa le silence.

Dites-moi, Henri, vous avez dautres parfums pour la lotion ?

Oui : on en a une bonne quinzaine de prêts. Et dautres sont en préparation. Pourquoi ?

Parce que jai bien aimé le parfum fruits rouges. Donc, si vous voulez quon en teste dautres, je suis partante.

Eh bien oui, ça peut se faire.

Chouette !

Visiblement, elle avait apprécié et elle en redemandait, ce qui nétait pas pour déplaire à Henri. Il avait déjà prévu de tous les tester et den profiter au maximum.

Le lendemain matin, Henri sétait levé avant Anaëlle ; il était en train de prendre son petit déjeuner quand il la vit arriver dans le salon, seins nus. Cette vision était surréaliste. Cest vrai quil les avait déjà vus grâce à sa caméra, mais les voir en vrai aussi tôt, il ne lespérait pas.

Et alors, Anaëlle, cest quoi cette tenue ?

Désolée, mais comme mes soutiens-gorge sont devenus trop petits, je nen mets plus. Du coup, mes tétons sont en contact direct avec le chemisier. Seulement, ça fait quelques jours quils ont durci et me font un peu mal au toucher. Alors, compte tenu de ce quil sest passé hier, je me suis dit que ça ne vous dérangerait pas, et que même ça vous plairait.

Je dois dire que cest un joli spectacle. Mais vous ne comptez pas sortir comme ça, tout de même ?

Bien sûr que non : jai des tenues amples pour sortir.

Vous me rassurez. Vous dites que ça vous fait mal ? Vous avez essayé de relâcher la pression dans vos seins ?

Comment ça ?

Extraire un peu de lait chaque jour ?

Non, et je dois dire que je ne sais pas comment faire.

Soudain une idée vint germer dans la tête dHenri. Une idée tellement folle quil se demandait si elle serait acceptée.

Je crois que jai une idée. Venez vous asseoir sur mes genoux, je vais vous montrer.

Elle sassit alors sur les genoux dHenri face à lui, qui se retrouva du coup avec la poitrine gonflée dAnaëlle à quelques centimètres de son visage. Il la contemplait avec un plaisir non dissimulé et fit même un bisou sur chaque sein avant de les empoigner, un dans chaque main, et de porter les mamelons à sa bouche pour une petite tétée. Daprès les soupirs de soulagement quil entendait, elle semblait apprécier. Il sarrêta après avoir bu léquivalent dune gorgée sur chaque sein pour recueillir son ressenti.

Alors ? Que pensez-vous de ma méthode ?

Cest vrai que ça fait du bien. Je sens moins de pression. Jai adoré. Si ça ne vous dérange pas, jaimerais rester comme ça désormais. Visiblement, ça vous plaît. Et puis jaime le souffle de lair sur ma peau. Cest très agréable.

Ce que je veux, cest que vous soyez à laise. Faites comme bon vous semble.

Parfait.

Le soir dans son lit, Henri sest mis à simaginer en maître de maison avec sa domestique totalement soumise à sa volonté et à ses désirs sexuels. Il la voyait exécuter tous ses ordres sans protester. Ainsi, durant les prochaines semaines, il aurait la chance de pouvoir se faire sucer tous les soirs par elle, autant de fois et comme il le voudrait. Il bénéficierait également en plus du délicieux spectacle dune femme nue dévouée à son plaisir ; et de la possibilité dagrémenter ses repas dune rasade de lait, entièrement naturel, rien que pour samuser.

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