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Son anniversaire – Chapitre 1




Pour son anniversaire, j ’ai offert un week-end "surprise" à ma femme dans une ville du Sud de notre beau pays. Je comptais bien profiter de ce séjour pour lui faire subir quelques outrages, et de ce point de vue ce fut une parfaite réussite.

Nous sommes donc arrivés à l’hôtel vers 10h le matin, la chambre n’était pas prête bien évidement. Nous avons tout de même déposé les bagages, puis nous sommes parties nous promener et visiter la ville. Comme nous détestons les circuits touristiques nous sommes partis à l’aventure. Après tout, la meilleur façon de découvrir une ville c’est de s’y perdre non ?

Ma femme était déjà bien excitée. Il faut dire que je la chauffais depuis le matin, ne loupant aucune occasion de lui faire une allusion grivoise, et nous avions hâte de récupérer notre chambre et de faire grincer le lit. Bref, toujours est-il qu’au bout d’un moment, nous nous sommes retrouvés en face d’un sex-shop. Elle m’a demandé si j’avais tout prévu pour le W-E. Bien sur que j’avais tout prévu! Pardi ! Mais bon, comme j’étais d’humeur joueuse je lui ai proposé d’entrer faire un tour, dès fois qu’elle trouve un "jouet" intéressant. Elle a rougit mais n’a pas dit non la coquine !

L’endroit était propre, bien éclairé, ce qui m’a étonné, un homme dans la quarantaine à la caisse (le patron?) en train de discuter avec un Noir. Ma femme fouilla un peu les articles de "lingerie", puis passa devant le rayon des godes. De toutes les tailles et de toutes les couleurs. Elle s’arréta net devant un gode monstrueux

— non, mais c est pas possible ça existe pas dans la nature des trucs de cette taille ! Et puis ça ne peut pas rentrer !

Le Noir l’entendit et lui répondit hilare en forçant l’accent "petit Noir" :

— Mais si madame ça existe ! C’est connu que tout les Noirs en ont une grosse !

Tout le monde éclata de rire, et on en resta là. Néanmoins je la sentais de plus en plus excitée, aussi mon attention fut attiré par la panneau "Cabines" indiquant les tarifs et surtout la mention "Gratuit pour les couples". Je vais voir le caissier et lui demande comment ça passe pour les cabines, il me confirme que c est gratuit pour les couples et m’indiqua un petit escalier descendant en précisant "La 2 c’est la cabine à trous". La cabine à trous ??? Ni une ni deux, je pris ma femme par la main et l’entrainait au sous-sol dans la cabine 2. Elle me traita de cinglé mais n’opposa aucune résistance.

La cabine était propre, faiblement éclairée, avec une grande banquette en cuir rouge au fond. Sur le coté en guise de "trous" se trouvaient en fait des sortes de trappes coulissantes, qui étaient déjà ouvertes. Ma femme jeta un oeil par la trappe mais ne vit personne, pendant ce temps j’actionnait la télécommande et tombait sur une scène de double-pénétration. J’installait ma femme sur mes genoux, face a l’écran et je passais mes main sous son pull à la recherche de ses merveilleux seins. Elle se tournât pour m’embrasser à pleine bouche apparemment plus intéressée par la banquette et ce qu on allait y faire que par le film. Je continuais à la caresser et sortit complètement ses seins, pensant passer la vitesse supérieure. Mais un bruit provenant de l’autre cabine attira son attention. Comme bien entendu notre ami de couleur était venu se rincer l’oeil. Il avait déjà dégrafé son pantalon et sorti son engin. Ma femme s’exclama "la vache, il est énorme !" Je sais que ça fait très cliché "le Noir avec la grosse bite", mais il vrai que bien qu’étant loin du gode vu quelques minutes auparavant il était extrêmement bien monté. Pas tellement au niveau de la longueur (quoique même là je m avouait vaincu) mais surtout au niveau du diamètre. Elle était comme hypnotisée. L’homme s en aperçu et s approcha de la trappe et y passa son membre "ça vous tente ?"

Elle ne demanda pas mon avis et l’attrapa à pleine main, le branla un peu et posa sa bouche sur le gland. Elle ouvrit aussi grand que possible mais avait du mal à la faire rentrer, aussi continua de le branler en lui suçant le gland et en poussa des gémissement de plaisir. Elle profita au maximum de ce membre inconnu le branlant, caressant les testicules, passant sa langue sur toute la longueur avant de revenir déguster le bout. Pendant ce temps je lui avait complètement enlevé le haut et je lui caressais les seins en bandant comme un taureau. Cela dura un bon moment puis le type se raidi et lui éjacula au visage et cria un long "ah la saloooope". Elle le lécha encore un peu puis le relâcha. C’était maintenant mon tour ! Je l’obligeais a s’agenouiller devant moi et lui mis mon organe dans la bouche, la lui baisant comme elle aime. Je fini par jouir dans sa bouche et elle avala le tout.

Elle s’essuya le visage et les seins avec un mouchoir, remit son pull _ sans son soutient-gorge en jetant un dernier coup d oeil à la cabine adjacente et la surprise l’occupant avait changé ! C ’était le caissier qui s astiquait en nous regardant. "Vous partez déjà ?" Elle m’intérrogeat du regard …

— C est ton anniversaire ma chérie !" C est toi qui vois "

Elle se tourna alors vers le caissier et retira le pull :

— Approchez!

Le type ne se vit pas prier et passa à son tour sa queue au travers de la trappe. Elle l’emboucha direct et lui fit une pipe magistrale, bien baveuse en tirant la langue. D’une main elle caressait les bourses de l’autre elle lui astiquait le manche, et l’aspirait à fond. Le type ne résista pas 2 minutes à ce traitement, elle se dégageât au moment crucial et le fit jouir de quelques coups de poignet experts en direction de sa poitrine.

Elle s’essuya, encore, remis son pull, encore…

— C’est bon ? il n y a plus personne a soulager ?

Effectivement il n’y avait plus personne, le caissier se rajustait et sorti de la cabine en même temps que nous.

Il nous raccompagna vers la caisse sans cesser de la mater.

Arrivés en haut, le Noir tenait la caisse en l’absence de son ami, il lui demanda :

— Alors ?

— T’as raison une sacré suceuse la salope !

Ils ne semblaient pas du tout gênés par notre présence et continuaient leurs commentaires graveleux.

Un gamin était rentré dans le magasin entre temps et regardait les dvd d’un air gêné surtout lorsqu’il vit ma femme. Mais lorsqu’il entendit les 2 compères comparer leurs expériences, il ne pu s’empêcher d approcher pour mieux entendre et la regarder de plus près. Le Noir lui lança "hé gamin c est dommage un quart d heure plus tôt tu avais droit à la pipe de l année !" Le pauvre ne savait plus ou se mettre. Ma femme lui fit un grand sourire et lui mit carrément la main au paquet "oui, c est dommage … une autre fois peut-être …" et m’entraina vers la sortie.

Alors que nous passions la porte, le patron nous lança un joyeux "Revenez quand vous voulez!" Tu m’étonne …

Une fois dans rue elle dit " Bon j’espère que la chambre est prête parce qu’après les amuse-gueule j’aimerais bien gouter le plat de résistance !".

Et heureusement, elle était prête …

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