Enfin les grandes vacances ! Je viens de décrocher mon bac et je vais pouvoir passer à autre chose !
Ma mère m’incite à me trouver un job pour l’été :
— Tu auras un peu plus d’argent comme ça ! et puis, la fac ne commence que fin septembre, tu auras le temps de te reposer.
Ma mère, Sylvie, m’élève seul depuis ma naissance. Elle m’a eu très jeune, à peine 18 ans. A 36 ans, elle est toujours une belle femme, aux mensurations avantageuses et je me demande bien pourquoi elle est toujours seule. Pour ma part, je n’ai pas de copines attitréesni de copains. Cette année de terminale m’a permis de découvrir ma bi sexualité. Antoine, mon binôme de classe m’a initié aux plaisirs masculins alors que nous travaillions chez lui pour un exposé. Je me suis retrouvé dans son lit en train de le sucer après avoir regardé un porno gay sur son ordi. Excités tous les deux, on se caressait, puis on s’est caresséspuis je l’ai sucé. Il m’a pris doucement ensuite, me faisant découvrir les plaisirs de la sodomie. Par la suite, on s’est retrouvé plusieurs fois mais il m’a bien fait comprendre que je n’étais pas ’son’’ copain.
Dans les petites annonces, je trouve celle d’un particulier cherchant un ’homme à tout faire’’ pour l’entretien du jardin et autres travaux. Pourquoi pas ! Je m’occupe du nôtre régulièrement avec ma mère.
L’homme qui me reçoit dans sa grande maison doit avoir dans les 40 ans, bien foutu et bien sympathique. On discute un moment dans son immense salon, discutant du travail attendu et comme cela semble convenir il me montre sa propriété. Il est très avenant, tactile. Il me prend par l’épaule un court instant, me touche le bras. Je me surprends à le regarder différemment. Il porte une chemisette ouverte et un bermuda assez large. Il me semble alors qu’il ne porte pas de sous-vêtements. La forme qui se dessine au niveau de la braguette me le confirme quand je vois son gland se dessiner plus nettement. En plus, il commence à bander. Le souvenir de la queue d’Antoine ressurgit. C’est qu’une bonne bite.
— Alors, on est d’accord ? me lance-t-il alors que je fixe sous entre jambe.
– Euhoui
– Et puis, si en plus tu fais quelques extra ajoute-t-il en posant sa main au niveau de son sexe, ce sera encore mieux !
Je me sens rougir je me mets à bander moi aussi.
— Tu me sembles bien disposer on dirait, dit-il en posant sa main sur ma braguette pour m’attraper la queue au travers de mon short.
Je laisse échapper un soupir en le regardant avec envie. Il s’approche encore et pose ses lèvres sur les miennes. Je ne bouge pas. Sa langue force le passage. J’entre-ouvre mes lèvres. Sa langue investit ma bouche alors qu’il me prend les fesses à pleines mains. Je sens son membre durci contre mon ventre. Il passe sa main sous mon teeshirt, me caresse le dos, puis, sans s’arrêter de m’embrasser, passe la main sur mon ventre et remonte vers ma poitrine. Il attrape mon téton, le pince légèrement. Je gémis dans sa bouche tout en collant plus fort mon bas ventre sur le sien en le tenant par les hanches. Il m’enlève mon teeshirt et me suce un téton. Mes tétons sont tout dur, sensibles. Sa main glisse dans mon short et se saisit de ma queue. Il s’écarte un instant, tout sourire. Il se déshabille rapidement. Je l’imite. Il mallonge sur une large banquette près de la piscine et m’embrasse à nouveau. Je tiens sa bite d’une main. Elle est toute lisse, comme ses couilles, et me semble énorme. Je ne fais pas tout à fait le tour avec mes doigts.
— Tu la veux me dit-il doucement tout en me branlant
Je me penche et la prend en bouche. Le gland est bien gonflé et me remplit bien. Je passe ma langue partout. C’est agréable ! Allongé sur le dos, il me fait passer au-dessus de lui, en 69. Il avale ma queue, me masse les couilles, caresse mon périnée, touche mon anus. C’est divin ! Je le suce avec avidité, essayant de l’avaler le plus possible mais je mets à peine la moitié en bouche. Il me lèche maintenant la rondelle, me doigte doucement. Me sentant réceptif, il me bascule pour se retrouver au-dessus de moi. Il prend mes chevilles et écarte mes jambes. Il est entre mes jambes, je sens son gland sur ma rondelle. Je suis sur un petit nuage. Je bande comme un fou. Il presse doucement sur mon anus qui s’ouvre doucement. Je pousse pour faciliter son entrée. L’expérience avec Antoine m’est bien utile ! Une fois le gland passé, il arrête un instant. Il pose mes mollets sur ses épaules et ses mains me caressent les couilles et ma tige qui durcit encore. Il remonte à mes tétons et les pince tous les deux.
Il reprend sa progression, doucement, fermement. Il ressort un peu avant de revenir encore plus loin. En quelques coups de reins, je sens son ventre contre mes fesses. Je suis totalement possédé. Son pieu est en moi. Il sourit et se couche sur moi pour m’embrasser. Il se recule, puis revient, et recommence. A nouveau redressé, il me tient le haut des cuisses et me pilonne plus vite, plus fort. Je me caresse la poitrine tout en gémissant. Quand il butte au fond de mes entrailles, je lâche un cri de plaisirs. Quelle pute je fais ! Je couine comme une chienne. Il m’encourage à me lâcher.
— Tu aimes te faire défoncer ! vas-y, tu peux crier ici !
– Ouiouuiiic’est trop bon !! défonces moi ! Haaaaa
Il se raidit, grossit encore et se plaque contre moi. Il râle son plaisir, grimaçant de satisfaction alors que je ne retiens plus mes gémissements. Je m’attrape la queue et me branle et je jouis à mon tour. Il reste planté en moi un moment en me caressant le ventre, collectant mon sperme avec ses doigts. Il me tend la main et j’ouvre la bouche en le fixant du regard.
— Tu es une sacrée cochonne, toi ! tu es embauché !
– Merci monsieur
Il se retire de mes reins. Je regarde sa queue encore à demi bandée s’extraire de mon puit d’amour. Il se lève pour me laisser me redresser. Son sexe gluant est devant mes yeuxje m’avancepose ma langue sur son gland tout en le regardant encore dans les yeux. Je me sens trèssalopeil sourit
— Eh bien, tu es une sacrée coquine ! dit-il approchant son bassin.
J’ouvre la bouche et gobe son gland pour le sucer.
Nous nous rhabillons et retournons vers la maison. Il me tient par la taille.
— On va signer ton contrat ! tu es d’accord je pense.
– Tout à fait monsieur !