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été 2017, les vacances qui ont bouleversé ma vie – Chapitre 4




Le film est terminé, il n’était vraiment pas très intéressant. Mais avec ma marraine quasi nue sur le canapé à côté de moi, qui vient qui plus est, de me dire qu’elle va m’apprendre tout ce qu’elle sait sur le plaisir féminin, ça aurait pu être le dernier Star Wars pas encore sorti au ciné, que je n’y aurais pas plus prêté attention. Ça tourne dans ma tête, que va t’elle m’apprendre ? Ira t’elle jusqu’à me laisser lui faire l’amour ?

Tous mes tabous tombent à cet instant. J’aime Brandi d’un vrai amour, comme ma deuxième maman. Mais là, plus aucunes barrières ne m’empêcheront de la toucher, la caresser partout, lui faire tout ce qu’elle me demandera, et tout ce qu’un homme peut faire à une femme pour lui donner du plaisir.

— Tu bandes ?

Ces mots me sortent brutalement de mes pensées. Je suis en effet tout dur à nouveau sans m’en être rendu compte.

— Oui, désolé, je me demandais ce que tu allais m’apprendre et

— Oh, I see. Tu veux commencer les leçons maintenant ?

— Euh, j’aimerais beaucoup si tu es d’accord.

— Ok. Alors la première chose que tu dois savoir, c’est que si tu te concentres sur le plaisir d’une femme, tu en seras toujours récompensé.

— Ah oui ?

— Yes, une femme qui atteint l’orgasme grâce à toi te rendra la pareille au-delà de tes espérances.

— D’accord.

— Commençons par le commencement : Le baiser. Embrasse-moi comme si j’étais ton amoureuse, embrasse-moi comme si ta vie en dépendait. Fais-moi sentir à quel point tu me désires à travers ce baiser. Si tu y arrives, tu seras récompensé.

N’ajoutant aucun mot à ça, nous restons dans la même position et je dépose un premier baiser sur les lèvres de ma marraine. Ma main vient délicatement se poser sur sa joue. De tendre, ce baiser devient de plus en plus fiévreux. Elle me le rend avec fougue. Mon autre main s’amuse à caresser ses seins alors que nos lèvres sont toujours jointes.

Le baiser devient bestial : Brandi et moi respirons fort et nos lèvres ne se séparent que lorsque nous avons besoin de reprendre notre souffle. Brandi a sa main sur mon cou, elle s’en sert pour maintenir mon visage collé au sien. Instinctivement, sans vraiment m’en rendre compte, durant notre étreinte j’imprime un léger mouvement de va et vient, et je sens ses seins bouger contre moi.

Puis, je commence à donner des petits coups de bassin pour faire frotter la bosse dans mon caleçon contre sa culotte. Je me rappelle que sous la douche, c’est elle qui avait fait ce geste quand mon excitation avait atteint son paroxysme. Je décide de prendre un peu d’initiative et l’allonge complètement sur le dos. Ensuite je m’allonge par-dessus elle.

Elle est comme ça, sur le dos, avec son shorty en dentelle. Elle a les jambes ouvertes. Moi je suis allongé sur elle, entre ses jambes, mon caleçon contre sa fine dentelle, ma bouche contre sa bouche. Nous continuons de nous embrasser et nous donnons chacun des petits coups de bassin qui font se frotter ces fines barrières de vêtements l’une contre l’autre. La bosse de mon caleçon tape en cadence contre le shorty de Brandi et je donnerai cher pour que le tissu qui nous sépare disparaisse.

Nous mimons l’acte dans cette position pendant un long moment qui me parait bien trop court. Puis elle se redresse et c’est moi qui me retrouve sur le dos. Elle s’assied sur mon sexe et mime une position d’Andromaque. Elle se penche en avant ce qui fait pointer ses seins nus vers le bas. Elle approche sa bouche de mon visage. Je crois qu’elle veut m’embrasser mais à la place, elle me dit à l’oreille :

— Comment tu te sens, Dam ?

— Je crois que j’ai envie de toi Et Et toi ? murmuré-je sans assurance.

— Vois par toi-même, retire mon shorty.

Mon cur bat la chamade. Je me lève du canapé tandis que Brandi se remet sur le dos et oriente ses jambes vers moi. J’attrape le shorty du bout des doigts et je le fais glisser le long des belles jambes de ma marraine. Mes yeux aperçoivent à présent la petite chatte de Brandi. Je l’ai déjà vue de nombreuses fois mais je me rends compte que je tremble, mais est-ce d’excitation ou de peur ? Je m’assieds à côté des hanches de ma marraine et j’approche ma main de son entrejambe. Je la regarde et demande :

— Je peux ?

— Bien sûr. Répond-elle avec un sourire gourmand.

Je pose alors un doigt sur sa fente et je me rends compte que ma marraine mouille beaucoup. Ça m’encourage à aller plus loin. Je sais maintenant, grâce à elle, comment procéder. Je rentre un doigt dans le vagin de Brandi. J’imprime un mouvement de petits allers-retours avec mon doigt puis remonte et caresse son petit clitoris. Je lance un regard à ma marraine qui me fait signe de continuer. Quelques temps après, elle se redresse et libère mon sexe de sa prison de tissu. Ma queue est bien droite et dressée presque au maximum. Brandi la prend dans sa main et me branle doucement. Puis elle décalotte mon sexe et me regarde.

— Tu as réussi, tu as mérité ta récompense. Tu peux la mettre dedans si tu te sens prêt.

Je ne suis pas prêt, la preuve, je tremble comme une feuille. En revanche, j’en ai tellement envie

— Attends, tu mérites mieux que le canapé pour ta première fois. Viens !

Je l’aurais fait n’importe où, mais je la suis jusqu’à sa chambre. Elle s’installe sur son lit, s’allonge sur le dos, relève et écarte ses jambes, plante son regard dans le mien et me dit :

— Viens !

Je me repositionne entre les cuisses de Brandi et j’approche mon sexe de l’ouverture. Avec ma main, j’oriente mon gland que je fais frotter contre les lèvres de sa petite chatte. Puis je le rentre dans sa fente. Je donne des petits coups de bassin pour faire pénétrer mon pénis de plus en plus profondément. Finalement, je rentre ma verge complétement. Je n’avais jamais rien ressenti de tel, le vagin de ma marraine est chaud et humide à la fois. Il est aussi plus large que ce à quoi je m’attendais et mon sexe n’est pas trop à l’étroit. Je réalise alors que je suis sur le point de perdre ma virginité. Dans peu de temps j’aurai franchi un cap. Mais cette pensée, loin de m’arrêter, me motive et m’excite.

— Tu te débrouilles bien. Me dit Brandi. Vas-y, fais de ton mieux !

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