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elle 20 ans, lui 70 ans… – Chapitre 3




La sonnerie de son téléphone perturba notre intimité.

Ma main arrêta sa caresse Justine ne semblait pas avoir entendu, ou ne voulait pas interrompre cet instant. Je m’étais un peu écarté d’elle ce qui la décida, certainement, à se lever pour prendre son téléphone.

— Flûte ma mère ! Dit-elle en me regardant.

— Répond, sinon elle va s’inquiéter ! Lui ai-je répondu.

Elle parlait au téléphone avec sa mère, enfin parlait, elle répondait plutôt de « oui » ou de « non » et moi je la regardais. Qu’elle était belle !

Elle était debout et marchait d’un bout à l’autre de son studio. Elle était en jupe, la poitrine nue et je me régalais de ses petits seins en forme de poire. Elle jeta un il vers moi tout en continuant sa conversation avec sa mère. Voyant que je la matais avec envie, elle me fit un petit sourire et dodelina la tête, l’air de me dire qu’elle avait envie que cette conversation ne cesse.

Sa mère s’inquiétait et voulait savoir si elle revenait pour le dîner et quand Justine lui appris qu’elle avait décidé de rester dormir à son appartement, la réaction de sa mère a dû être négative.

— Mais Maman j’ai 20 ans maintenant Puis après avoir écouté sa mère, elle ajouta :

— Non, les cours non pas encore repris

J’écoutais cette conversation, je voyais à la tête que Justine faisait que les recommandations de sa mère l’exaspéraient.

— Non

Elle posa la main sur son téléphone, me regarda souffla puis me fit un petit clin d’il en souriant.

— Mais maman non, je veux m’habituer justement à être seule

Je me suis levée pour m’avancer vers elle, ma main caressa sa poitrine, elle écarta un peu son téléphone et posa un baiser sur mes lèvres.

— NON ! Cria-t-elle presque ensuite à sa mère.

Elle semblait agacée par les propos de sa mère, pour la faire sourire un peu, j’ai alors fait volontairement un bond en arrière en faisant semblant de tomber sur le canapé Puis j’ai fait comme si ce « non » s’adressait à moi et mima le geste d’essuyer mes yeux avec mes points. Cela là fit rire. J’ai ensuite pris une feuille de papier pour y écrire : « Bon, c’est toi qui décide ! »

Elle a lu la phase en écoutant toujours sa mère au téléphone et me regarda incrédule. J’ajoutais alors : « tu viens de crier « non ! » Je comprends que tu ne veux pas, alors je m’en vais. »

Elle examina ce nouveau message, me regarda de plus en plus dubitative puis voyant que je la taquinais, elle articula sans laisser sortir de son mais en dodelinant encore de la tête un « idiot ! »

— Ne t’inquiète pas maman Dit-elle ensuite à sa mère.

Elle s’approcha de moi tout en étant toujours au téléphone avec ma mère et posa sa main libre sur ma joue. Ce geste, plus amical qu’érotique m’apporta pourtant une agréable sensation. Ma main se posa sur ses fesses, je l’ai caressais un peu au-dessus de sa jupe, puis alors qu’elle répondait à sa mère, je dégrafais l’attache pour faire glisser son vêtement le long de ses jambes.

Elle discutait toujours au téléphone mais dégagea de ses pieds la jupe. Elle était maintenant habillée de sa seule petite culotte en coton. Ma main se posa à nouveau sur ses fesses puis se dirigea vers son sexe pour reprendre la caresse là où l’avait interrompu l’appel impromptu de sa mère.

Je m’étais assis sur le canapé et lui avait fait signe de se placer debout devant moi. Elle obtempéra. Elle n’arrivait pas à raccrocher et répondait de plus en plus évasivement à sa mère. Ma main se glissa entre ses cuisses et commença à caresser sa vulve par-dessus l’étoffe. Le coton s’humidifié de plus en plus elle devait se retenir pour ne pas gémir au téléphone.

J’imagine la tête de sa mère si elle avait entendu sa fille jouir alors qu’elle était en train de lui faire une leçon de morale.

— Bon je te laisse, il faut que j’aille acheter une salade à l’épicier du coin pour ce soir. Finit-elle par dire.

— Oui, moi aussi je t’embrasse. Dit-elle avant de raccrocher.

— Je croyais que cela n’allait jamais finir

— C’est vrai qu’il est déjà l’heure de dîner ou presque Ai-je rebondi en reprenant surtout ce qu’elle avait dit à sa mère.

— Ne t’inquiète pas, l’épicerie ne ferme pas avant 22h00.

— Je ne m’inquiète pas pour l’épicerie, mais je me suis dit que nous pourrions peut-être dîner ensemble dans un des restaurants du quartier.

Elle se pencha vers moi pour poser un petit baiser sur mes lèvres.

— Tu es trop gentil, mais tu ne préfères pas que l’on mange ici tous les 2, en tête à tête.

— Si ce serait sympa, mais il nous faut quand même sortir pour aller faire quelques courses.

Je me levais.

— Allez, habilles-toi

Elle a pris ses vêtements qui étaient éparpillés un peu partout dans la pièce et se dirigea vers la salle de bain.

— J’en ai pour 2 minutes. Dit-elle en s’éclipsant.

20 ans elle a 20 ans.

Jamais je n’aurais imaginé séduire une femme de 50 ans ma cadette. Il est vrai que les choses agréable, ou non d’ailleurs, vous arrivent souvent au moment où vous n’y pensez pas.

Quand j’ai eu cette relation avec Simone, je n’avais rien prémédité. La routine s’était certainement installée dans son couple, elle devait aussi être amusée par ce puceau qui la matait en cachette.

Elle aimait son mari, elle n’avait d’ailleurs connu que lui avant moi. Enfin de ce qu’elle m’avait dit. Je me souviens d’un soir, bien après notre aventure en vacances. Ses enfants étaient chez leur grand parent, mes parents étaient partis quelques jours et j’étais seul à la maison. Son mari était en déplacement pour le boulot fait rare mais c’était, je crois une formation qu’il devait faire.

J’étais seul à la maison, donc, et je feuilletais un magazine qu’un copain m’avait filé en me masturbant quand on sonna à la porte. J’ajustais au mieux mes vêtements, glissait le magazine sous mon lit et descendait ouvrir. C’était Simone.

Elle m’expliqua l’absence de son mari, puis sachant que j’étais seul aussi, elle s’était dit qu’elle pourrait me faire une surprise.

— Cela fait bien 3 mois que l’on ne s’est pas vu. Me dit-elle, après m’avoir salué et fait la bise.

Je l’ai fait rentrer. Elle me demanda comment j’allais, des nouvelles de mes parents et se comportait comme si rien ne s’était passé entre nous lors des vacances.

Le manteau enlevé, elle portait une magnifique robe avec un décolleté discret. Parfumée, soigneusement maquillée et habillée avec élégance, j’avais du mal à croire qu’elle venait simplement pour discuter avec moi.

Dans la conversation, elle ne m’a pas caché qu’elle savait que j’étais seul. Elle n’a pas joué celle qui venait voir mes parents. Mais elle se comportait comme elle le faisait quand son mari ou mes parents étaient présents.

Je lui avais demandé ce qu’elle voulait boire :

— Ton père a un excellent vin blanc.

— Lequel ?

— Je ne sais pas Dit-elle en éclatant de rire. Elle était très séduisante et son rire était charmant. J’ai répondu à son rire par un petit sourire.

— Mais je suis certain que tu sauras en trouver un dans la cave de ton père il n’a que des bon vins.

La bouteille ouverte, elle avança mon verre et pris le sien.

— A nous et nos souvenirs ! Dit-elle en me regardant droit dans les yeux.

Puis, elle reprit sa conversation sur un ton mondain. Elle parla de mes parents, puis de son mari qui était donc parti pour quelques jours en formation je ne sais plus où. C’est ainsi qu’elle est venu à parler de leur couple.

Elle n’avait jamais connu d’autre homme avant lui, même pour un simple flirt. Il avait attendu le jour de leur noce pour lui faire l’amour et la dépucelée. Elle s’était mariée vierge, aujourd’hui, cela peut paraître étrange ou du moins inhabituel mais cela était beaucoup plus fréquent, et même la norme à l’époque.

Son verre terminé, je lui en ai rempli un autre et complétait le mien que j’avais à peine touché pour ne pas la gêner. Elle but une gorgée et continua ses confidences.

— Jamais avant cet été, je n’avais fait ce que j’ai fait Me dit-elle en rougissant un peu.

— Enfin, tu as compris ce que je veux dire !

— Oui j’avais très bien compris Et je comprenais aussi la nature de sa visite. Elle avait attendu que je sois seule et sans risque de voir arriver son mari ou mes parents pour me dire qu’elle avait fait une folie, qu’elle regrettait et certainement dire que cela devait s’arrêter là et rester notre secret.

Mais j’étais devenu écarlate et je ne savais pas quoi répondre. Devant mon mutisme et ma gêne, elle posa sa main sur la mienne. Son geste n’était nullement sexuel mais tendre. Celui d’une amie, voire d’une mère pour son enfant.

— Tu as dû me trouver très « salope » Finit-elle par dire

— Non, non, je vous assure J’employais le « vous » comme je le faisais en présence de mes parents. Elle me regarda affectueusement avec un petit sourire triste.

— Au contraire, j’ai beaucoup d’estime pour vous, je vous apprécie

Son sourire s’illumina un peu et ses doigts caressèrent machinalement le dos de ma main.

— Oui je vous apprécie et aussi ce que vous avez fait.

J’étais rouge de honte, mais je ne voulais pas qu’elle culpabilise à ma place

— Et c’est moi le fautif.

Elle me regarda un peu étonnée.

— Oui, je n’arrêtais pas de vous regarder en cachette et quand je vous ai vu

Je me suis arrêté un peu, j’ai tourné la tête, un peu honteux.

— Enfin je veux dire quand vous étiez à la piscine en vous voyant ainsi vêtu

Elle écoutait sans rien dire.

— Vous êtes telle belle ! J’avais envie de vous. Ai-je fini par lâcher.

— Tu me trouves belle ?

— Oh que oui

Elle m’obligea à tourner ma tête et à la regarder.

— Merci. Me dit-elle ensuite en posant un petit baiser chaste sur mes lèvres.

Je ne sais pourquoi mes pensées me dirigeaient vers Simone alors que Justine était sous la douche ?

Peut-être parce que qu’elles étaient les 2 seules femmes qui avaient un si grand écart d’âge avec moi. 18 ans de plus que moi pour Simone, 50 de moins pour Justine.

Je n’entendais plus l’eau couler Ma verge libérée de toute contrainte était bien moins rigide que lorsque j’avais Justine dans mes bras, mais mon sexe n’était pas pour autant redevenu un petit bout de chair flasque, l’érection était moins forte, mais bien présente.

Simone n’était pas étrangère à cette situation. En effet, les souvenirs de cette soirée, de ce petit baiser chaste

A l’époque, le contact de ses lèvres sur les miennes me fit frissonner. Aujourd’hui encore, la simple évocation de ce geste anodin, plus amicale qu’érotique, me livre d’agréables sensations.

Je ne savais pas ce que je devais faire. Je ne voulais pas que cela se termine et j’avais peur que cela continue. Après ce baiser, elle me parla de choses et d’autres, mais je n’entendais que sa douce voix sans comprendre les mots qui en sortaient. Je n’osais la regarder et elle ne pouvait ignorer mon trouble.

Son verre terminé, elle s’est levée.

— Bon, je ne vais pas t’ennuyer plus longtemps.

— Non ! Je n’avais pas crié, mais presque…

Elle était debout, face à moi. Elle a pris ma main sans rien dire. Me regarda avec un petit sourire affectueux. Je levais finalement les yeux vers elle.

— Il reste un peu de vin dans la bouteille, si nous ne la terminons pas Lui ai-je dit d’une petite voix timide. Je n’avais trouvé que ce prétexte pour la retenir.

— Oui, ce serait dommage A-t-elle répondu avant que je termine ma phrase. Puis, ses mains m’invitèrent à me lever.

Je ne voulais pas qu’elle parte. J’ai hésité à suivre son invitation, craignant qu’elle ne m’attire vers elle que pour me faire la bise afin de me signifier son départ.

Mais, me résignant à me lever, je me suis retrouvé face à elle. Elle m’a fixé, cherchant mon regard, mais la tête baissée, je regardais mes pieds. Sans dire un mot, elle prit ma tête dans ses mains pour me forcer à la regarder. Là encore je cédais à sa requête. Elle approcha ses lèvres des miennes et cette fois, elle me fit un véritable baiser. Sa langue força sans mal le passage pour inviter ma langue dans une frénétique danse. Nous nous sommes enlacés avec passion.

Son corps contre mon corps, mes mains devenaient de plus en plus audacieuses et Simone s’abandonnait sous mes caresses. J’étais bien plus entreprenant, mais encore bien maladroit.

Simone me laissa découvrir son corps, sa poitrine que je pelotais par-dessus sa robe, ses fesses que mes mains pétrissaient un peu trop brutalement et enfin son sexe que mes doigts visitèrent sans ménagement. J’étais impatient et brutal. Pas de cette brutalité sadique qui offre le plaisir de faire mal, mais celle d’un gamin inexpérimenté qui se veut trop pressé.

Elle aimait l’amour et le sexe. Son mari la connaissait par cur et savait comment lui offrir le plaisir. Il était à l’écoute de chaque frisson de son corps et savait ce qu’elle voulait, ce qu’elle attendait. Quand ils faisaient l’amour, elle avait pratiquement à chaque fois un orgasme. Il était doux et tendre et ses gestes étaient délicats.

Moi, j’étais ignorant, je ne connaissais pas son corps, je ne savais pas comment lire ses gestes, écouter ses désirs et je pensais que faire l’amour était frénésie de 2 corps qui s’unissent dans un

violent combat dont nul ne sort vainqueur, dont nul ne sort vaincu. J’étais brutal et gauche.

Simone s’amusa un peu de mon empressement.

— Ne serait-on mieux pas tant ton lit ? Finit-elle par me glisser à l’oreille.

Dans la chambre, elle se déshabilla devant moi et se glissa sous les couvertures. Je la regardais et ne savais pas trop ce que je devais faire.

— Qu’attends-tu ? Viens !

Je m’approchais pour la rejoindre.

— Mais tu ne vas pas te coucher habiller ? Dit-elle en prenant un petit air moqueur.

J’ai commencé à me déshabiller. Elle me regardait un peu amusé de me voir me retourner en enlevant mon caleçon pour ne pas lui exposer mes attributs. Pudeur bien mal placée, mais j’étais encore timide et niais à cette époque.

Nu, je me suis glissé rapidement sous les couvertures, elle est venue se blottir contre moi et nous avons fait l’amour une bonne partie de la nuit.

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