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Rencontre espérée – Chapitre 1




C’était un vendredi soir, j’étais au bistro, qui se trouve à quelques mètres de chez moi, dans lequel je me rends à chaque fin de semaine pour prendre un verre ou deux avant de rentrer. Et ce soir là, il y avait deux beaux Blacks qui ne passaient pas inaperçus. Ils attiraient l’attention, surtout la mienne. Ils étaient assis au bar et je me suis approchée pour commander un verre, dans l’espoir d’entamer une discussion avec eux mais au même moment ils s’apprêtaient à partir. Ils finissaient leurs verres, et payaient le serveur au bar. Ainsi donc, j’ai improvisé une discussion:

« Bonsoir messieurs, je vous dérange »

« Bonsoir non pas du tout, à qui nous avons l’honneur? »

« Élodie et vous c’est comment? », je leurs ai tendu la main et me l’ont serré.

« Moi c’est Luc et lui c’est Fabien, nous sommes frères. »

« Enchantée. Ça vous dirait qu’on prenne un verre ensemble? »

« C’est qu’on s’apprêtait à partir, il faut dire que l’atmosphère est assez glaciale ici. »

« Allez faites un petit effort, vous n’allez pas laisser une jeune femme prendre son verre seule? », leur ai je dit. Ils se sont regardés et l’un d’eux m’a répondu:

« C’est d’accord. Mettons nous à cette table là-bas si vous le voulez bien? »

Ainsi nous avons bu quelques verres ensemble, c’était des gens vraiment sympas. Nous avons fait connaissance, ainsi au fil de nos discussions, j’ai appris qu’ils étaient ivoiriens et qu’ils étaient dans la région pour leur travail. Ils sont venus livrer une marchandise et que tôt le lendemain matin, ils s’en iraient. Pendant qu’ils me parlaient, moi je pensais à ce que je pouvais faire pour les retenir où plutôt pour avoir l’un d’eux dans mon lit car c’était ce soir là ou jamais.

Ainsi pendant deux heures nous avons discuté. Ils étaient séduisants et charmeurs, surtout Luc le plus grand qui n’arrêtait pas de plonger son regard dans mon décolleté. Mais voilà, ils voulaient se retirer pour aller se reposer car ils devaient prendre la route très tôt le lendemain matin, et je leurs ai demandé s’ils étaient possible de me déposer chez moi, gentiment ils ont acceptés. Une fois devant ma porte, je leur ai demandé où ils allaient passer la nuit et m’ont dit qu’ils allaient louer une chambre en ville et avec beaucoup d’instance, j’ai pu les convaincre à passer la nuit chez moi.

Je les ai offert ma chambre, et moi j’ai pris la chambre d’ami avec le petit lit et juste d’avant d’aller me coucher, je me suis présentée dans leur chambre, prétextant de voir s’il tout allait bien pour eux. Je portais une ravissante nuisette, sexy et transparente qui laissait deviner mes seins et mon string. Je devais jouer le grand jeu pour les séduire si je voulais que mon fantasme se réalise, j’en étais bien consciente. Ainsi je me suis dirigée vers ma chambre, où ils étaient et sans faire exprès, j’ai ouvert la porte sans frapper et là, je les ai vus en train de se déshabiller. Ils étaient débout, Luc était nu, l’autre frère portait un boxer, ils étaient surpris et tout aussi gênés que moi. Je me suis excusée sans trop savoir quoi dire:

« Punaise!!! Excusez moi, je suis vraiment maladroite, je venais simplement prendre une couverture. »

« Ne vous excusez pas, vous êtes chez vous »

Luc est resté nu pendant cette brève discussion, et moi, je n’ai cessé de regarder son sexe, je voulais voir si vraiment il avait un gros sexe mais comme son sexe était au repos, je ne pouvais avoir qu’un petit aperçu. Je me suis ensuite dirigée vers l’armoire qui se trouvait dans la même pièce pour prendre une couverture. J’ai ouvert la porte, j’ai fait semblant de chercher et je sentais comme un regard sur mes fesses. Ils me déshabillaient du regard. Puis j’ai senti une main sur mes fesses, c’était Luc. Je me suis retournée, le cur battant à mille à l’heure et je me suis mis à caresser son corps. Son frère qui était allongé sur le lit, nous regardait. Puis je me suis mis à l’embrasser et lui à me caresser le dos et les fesses. J’ai saisi d’une main son sexe, il ne bandait pas encore, je me suis mise à le masturber. Il ne lui a pas fallut plus de 10 secondes pour que j’ai en main, un sexe énorme en érection.

J’avais du mal à croire que c’était son sexe, j’ai arrêté nos embrassades et j’ai penché la tête pour voir. C’était un pénis énorme, loin de ce que j’avais eu l’occasion de voir avec mes anciens amants. Elle devait faire dans les 19 ou 20 cm. Je me suis mise à genoux, j’ai commencé à passer ma langue sur cette longue verge noire tout en regardant Fabien d’un regard vicieux. Il bandait lui aussi et avait sortie sa queue de son boxer et se branlait, puis s’est approché de moi. Sa queue faisait environ la même taille que son frère. Pendant que je suçais Luc, je branlais son frère. J’avais cette odeur de bite dans le nez, qui m’était très agréable. Je mouillais d’envie. Puis je suis mise à sucer Fabien, il avait une queue plus épaisse que Luc. De temps en temps, il voulait m’enfoncer les deux bites dans la bouche mais elles étaient toutes les deux grosses, je ne pouvais recevoir qu’une à la fois dans ma bouche. On aurait dit deux chiens qui se battaient pour avoir le meilleur morceau.

Pendant 10 minutes, j’ai sucé à tour de rôle les bites des deux Blacks que j’avais rencontrés plus tôt dans la soirée. Puis Fabien s’est allongé sur le sol, il s’est mis sous ma chatte, il a enlevé mon string et a commencé à me brouter la chatte. J’avais un peu de mal à me concentrer sur la bite de Luc tant je jouissais à chaque coup de langue que me donnait Fabien. Il dégustait ma chatte, de temps en temps, je le regardais faire sous moi, il avait les joues recouvertes du jus de ma chatte. Luc a voulu qu’on aille au lit et pendant qu’on y allait, il m’enlevait en même temps ma nuisette et une fois qu’on y était, il m’a tout de suite pénétrée avec sa grosse bite. Les deux premières secondes de la pénétration étaient bien mais plus il allait en profondeur dans ma chatte, plus je me surpris à accepter un aussi gros membre. Luc lui prenait son pied, je sentais que mon vagin s’élargissait à chaque coup de son gros dard.

Ensuite Fabien s’est approché, comme je lui donnais le dos, il a soulevé mon cul avec ses mains, puis il a craché dedans. Puis j’ai senti un doigt entrer en moi et tout de suite après un deuxième, et il a commencé à me doigter le cul. Ce n’était pas des petits doigts mais des gros doigts de déménageur. C’était plutôt agréable, en plus ma chatte avait épousé la forme de la grosse bite de Luc et je n’était pas loin de jouir, c’était que du bonheur mais ça n’a pas duré longtemps car Fabien voulait maintenant me labourer le cul avec son gros engin, j’avais le cur qui battait si fort. J’ai eu un peu peur car une double pénétration avec ces deux membres me ferait surement mal (il continuait à doigter mon anus à deux doigts) puis j’ai senti qu’il avait arrêté de me doigter mais il a de nouveau craché dans mon cul et juste après il commença à me pénétrer le cul, et une douleur me transperça. Il n’y arrivait pas, mon anus était bien trop étroit. Je criais et je n’arrêtais pas de gigoter. Les deux frères me prenaient en sandwich. J’étais sur l’un pendant que l’autre était sur moi, je ne pouvais pas aller nulle part, j’étais coincée entre les deux.

J’avais affreusement mal au cul, il me fracassait l’anus et ça ne les gênait pas de m’entendre crier. Je ne sais pas combien de centimètre de sa queue j’avais pris dans mon petit cul mais ça me faisait drôlement mal. De nouveau, c’était le calme, il a retiré sa queue de mon petit cul, j’étais soulagée qu’il ait eu pitié de mon anus. Fabien a alors voulu ensuite prendre la place de son frère, ainsi il a introduit sa bite en moi, le passage était bien dégagé, sa bite a glissé en moi avec facilité. J’avais l’impression que la chatte était entièrement dilatée car je n’ai éprouvé aucune douleur quand Fabien m’a pénétrée, sachant que sa bite était beaucoup plus épaisse que Luc. Ainsi, il a commencé à me limer le fond de ma chatte toute humide (je n’ai pas le souvenir d’avoir autant mouillée que ce soir là).

Mon anus ne souffrant plus le martyre, j’ai profité de ce moment de répits pour me concentrer sur le plaisir vaginal que me procurait les va-et-vient de sa bite. Fabien allait en puissance, il me donnait des coups de bites, en une fraction de seconde, je me suis imaginée dans les films pornos que mon ex passait son temps à regarder. Je jouissais si bien. A un moment donné, j’ai remarqué que Luc n’était plus dans la chambre avec nous. Je l’ai cherché du regard mais comme j’étais au bord de l’orgasme, je n’ai plus prêté attention à son absence.

Environs cinq minutes après il est revenu. Il nous a demandé si on s’amusait bien et comme je ne répondais pas, il m’a mis une fessée, j’ai répondu « ooouii » tout en gémissant de plaisir. Il a tout de suite répondu que la fête ne faisait que commencer mais je n’ai pas fait attention, j’étais dans ma bulle. Il est monté sur le lit, ensuite j’ai senti un liquide glacé coulé entre la raie de mes fesses. C’était très froid, j’ai crié, Fabien pensait que c’était à cause des coups de pine qu’il me mettait et m’a dit « Tu aimes te faire prendre par des blacks salope? ». Et encouragé par mon cri, il a redoublé d’effort pour me limer en puissance. A nouveau, j’ai senti le liquide glacé entre la raie de mes fesses, et ensuite, j’ai ressenti deux doigts entré dans mon anus. Un parfum est arrivé à mon nez, ça sentait l’huile d’olive et là, j’ai su que j’étais arrivé à bout de mes minutes de répits, ils allaient de nouveau me prendre en double pénétration.

Ainsi Luc a fait glisser son énorme gland dans mon petit trou, cette fois ci le passage était plus accessible mais j’avais quand même mal. Lentement, il a poussé sa queue en moi. Chaque centimètre de sa queue qui entrait en moi me faisait affreusement mal, j’hurlais ma souffrance. Quand il a pris assez de profondeur dans mon cul, il a commencé à faire des va-et-vient. J’étais partagée entre le bonheur et la souffrance. Les deux étalons noirs occupaient mes deux orifices, j’avais l’impression qu’ils étaient en compétition tant ça bougeait. Ils jouissaient tous les deux. Luc qui était à l’étroit dans mon anus, hurlait de bonheur, il criait souvent qu’il allait jouir mais ne jouissait jamais. Quant à moi, j’avais perdu la notion du temps. Les bites de mes deux amants black faisaient des va-et-vient synchronisés en moi et à présent, je ne ressentais plus aucune douleur anale, j’appréciais le moment. C’était un bonheur indescriptible ! De temps en temps, Luc sortait sa queue et crachait à l’intérieur de mon anus, il pouvait à présent mettre ses quatre doigts en moi et je n’éprouvais vraiment aucune douleur, et s’est mis à nouveau à me pilonner le cul.

Les deux étalons ivoiriens m’ont labourée ainsi les orifices en double pénétration pendant environs 20 minutes encore. Luc a sorti sa queue en premier, il a ramené sa queue à mon visage et là, il a joui sur mon visage en hurlant son orgasme. Je ne m’étais pas préparée à cela et j’ai reçu plusieurs grosses giclées de sperme sur le visage. J’en avais de partout, sur le nez, sur les lèvres, mes yeux étaient recouverts de sperme et quand j’ai ouvert la bouche pour crier, il a à nouveau giclé mais cette fois-ci dans ma bouche. Fabien a commencé à hurler, il m’a repoussé d’un geste et je me suis retrouvé sur le côté. Il a approché rapidement sa grosse queue près de ma bouche, et cette fois-ci je savais à quoi m’attendre, j’ai ouvert la bouche et il a craché une grosse et puissante giclée de sperme dans ma bouche, ma langue était recouvert de foutre que je recrachais mais Fabien m’a attrapé la tête et m’a embrassé en faisant entrer son sperme dans ma bouche à l’aide de sa langue. On a partagé son sperme dans un baiser dont je me souviendrai toujours. Luc lui, léchait mon visage pour recueillir le sperme que j’avais partout sur le visage qu’il a ensuite craché dans ma bouche, mêlé de sa salive. On a ensuite partagé ce baiser à trois.

Nous étions à bout de souffle, moi j’avais la chatte et le cul en feu. Ils m’ont vraiment fracassé les deux orifices. Finalement, nous avons partagé le même lit, j’ai dormi nu entre mes deux amants blacks, j’étais au chaud et me sentais si bien dans leurs bras. A mon réveil le samedi matin, ils n’étaient plus là et m’avaient laissé un mot, un numéro de téléphone et une adresse sur Paris. Depuis on ne s’est pas revus. Je n’ai jamais osé appeler le numéro mais je compte le faire bientôt car je vais rentrer à Neuilly-sur-Marne au mois de Décembre pour rendre visite à ma sur comme chaque année. Qui sait peut-être qu’il y aura une suite à cette histoire, restez branchés.

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