30 ans, une belle situation, je suis cadre dans une multinationale et mon travail me permet de voyager à travers le monde. Je descends dans les meilleurs hôtels et je me fais aussi draguer dans toutes les langues.

Je suis rousse aux cheveux longs et on me trouve plutôt canon. J’aime m’habiller avec élégance, je ne sombre jamais dans la vulgarité, mais j’aime plaire et mes tenues ont toujours une pointe sexy.

Célibataire, j’aime le sexe, mais je ne me jette pas sur le premier homme que je croise. Il faut dire que je peux jouer les difficiles, car je ne connais pas un seul homme qui n’ait envie de faire l’amour avec moi.

Certains sont plus audacieux, d’autres timides, mais le regard, même fuyant, d’un homme ne trompe pas.

Je me fiche qu’un homme soit marié ou non, je me fiche qu’il passe des heures en salle de musculation ou que son sexe soit « TTBM » comme il est dit dans certaines annonces coquines.

Non, pour moi, un homme doit avoir de l’humour, il doit me faire rire. Il doit être intelligent sans être prétentieux il doit enfin avoir du charisme.

Enfin, je dis cela, mais je suis aussi curieuse et j’aime tout essayer.

J’ai eu des hommes « amoureux » d’autres qui ne cherchaient qu’à tirer un coup.

J’ai eu des « très entreprenants » et des « très timides », ils ont tous leur charme et leurs défauts.

J’en ai même dépucelé quelques-uns, et chez les puceaux, il y a de tout aussi; les « trop pressés » et les « trop hésitants ».

Je pourrais faire une cartographie des hommes, les classer en plusieurs catégories, aucune ne m’intéresse, aucune ne m’est indifférente

C’est pour cela que je suis célibataire ; je suis curieuse et j’aime la diversité.

J’ai même déjà fait l’amour avec 2 hommes, avec une autre femme aussi et cela est tout aussi amusant, je n’ai pas de préférence, bien au contraire.

Pourquoi devrait-on se limiter ?

Le dernier en date était autoritaire, il aimait qu’on l’appelle « maitre » et cela m’amusait beaucoup. Il m’appelait « chienne » et cela m’amusait moins enfin au début.

Je n’avais jamais eu de relation D/s à proprement parlé.

Des hommes voulaient me dominer et je jouais souvent le jeu, mais la domination n’était que sexuelle.

Ils voulaient être à l’initiative et voulait simplement que je fasse ce qu’ils désiraient sans les contredire j’acceptais tout, mais ils demandaient souvent la même chose et cela devenait presque lassant.

Lui, c’était un directeur d’une de nos filiales et malgré son titre, il était mon subalterne.

Je venais  superviser un projet pour plusieurs mois. Très vite il me dragua. Son approche était amusante.

Cela faisait 2 semaines que j’étais là quand il m’invita à diner.

–    Mon épouse est partie une semaine chez notre fils, je suis donc célibataire pour ces 5 jours, cela vous dirait que l’on dîne ensemble.

Il avait la cinquantaine bien avancé, n’était pas vraiment beau, mais très compétent au niveau professionnel.

–    Pourquoi pas ?

–    Ok, ce soir au restau de votre hôtel, cela vous va ?

–    Oui.

–    Alors je viens à 20h00 pile.

Le soir, à 20h00 pile, alors que je terminais mon maquillage, mon téléphone m’indiqua que je venais de recevoir un texto.

–    Je suis dans le hall.

–    J’arrive.

A peine étions-nous à table qu’il me tutoya.

–    Stéphanie, ce diner est privé et non professionnel, tu es d’accord ?

–    Oui bien entendu Marc.

–    Cela veut dire aussi que tu n’es pas ma supérieure hiérarchique.

–    Oui bien sûr, nous sommes là d’égal à égal.

–    Pas forcément d’égal à égal

–    Que veux-tu dire ?

–    Dans la vie professionnelle, tu as pu remarquer que mon attitude avec mes collaborateurs est plus celle du compromis et de la complicité que celle d’un supérieur, par contre je suis toujours respectueux avec mes supérieurs hiérarchiques.

–    Oui effectivement, j’ai remarqué que tu étais proche de tes collaborateurs.

–    Dans la vie privée, j’aime qu’on m’obéisse.

Je comprenais ce qu’il voulait dire et cela m’amusa. Je n’étais pas vraiment excité par la situation, mais curieuse, un subalterne qui me commande, cela peut divertir.

–    Peux-tu préciser ?

–    Comme je t’ai dit, je suis célibataire pour une semaine.

–    Oui, tu me l’as dit.

–    Cela ne te gêne pas que je sois marié ?

–    Non, pourquoi ?

Cette question pouvait laisser croire que je n’avais pas compris ce qu’il voulait dire, mais cela était, bien entendu, loin d’être le cas.

–    J’aimerai que nous profitions de cette semaine pour nous « rapprocher » tous les 2.

–    Comment nous « rapprocher » ?

–    Sexuellement parlant je veux dire.

Lui au moins, il ne perd pas de temps, cela n’est pas pour me déplaire

–    C’est bien ce qu’il me semblait avoir compris.

–    Tu es canon et tu le sais.

–    Merci

–    Tu dois rester ici quelques temps, cela te permettrait de penser à autre chose que le boulot.

–    Et toi de me baiser ?

–    Oui.

Dit-il en éclatant de rire. Puis il ajouta.

–    Tu es d’accord ?

–    Oui.

Il avait joué franc-jeu avec moi et je n’avais pas envie de jouer la jeune vierge que je n’étais plus depuis longtemps.

Lors du repas, il m’expliqua ce qu’il attendait de moi. Il voulait que l’on se voit tous les soirs jusqu’à vendredi et que je lui sois totalement soumise.

–    Tu ne devras rien me refuser, obéir sans discuter et tu seras punie si tu le mérite.

–    Cela me va.

Il me donna une feuille et un stylo.

–    Écris tout ce qui est interdit, en fin de repas, si tu es toujours partante pour être mienne, tu me donneras la clé de ta chambre et tu iras au bar, tu t’installeras à une table, je passerai une commande pour toi et j’irai ensuite dans ta chambre pour t’attendre.

–    Et que devrais-je faire dans ce bar ?

–    Simplement remplir cette feuille avec tout ce que tu refuses de faire ou que je te fasse. Je veux que tu y réfléchisses vraiment, car ensuite tu n’auras pas le droit de refuser tout ce qui n’est pas sur cette feuille.

J’ai pris la feuille et le stylo et alors que j’allais commencer à écrire, il prît ma main pour m’interrompre.

–    Non, pas maintenant, tu commenceras quand tu seras au bar et je veux que tu y restes au moins un bon quart d’heure. Je regarderais l’heure et je ne veux pas que tu viennes avant ce quart d’heure.

Le repas continua ensuite avec une conversation plus « conventionnelle », il m’avait dit que mon statut de soumise ne commencerait qu’à partir du moment où il aurait ma clé dans sa poche.

Le repas terminé, je lui ai donné la clé, il m’a conduit au bar, m’a montré un canapé où je pourrais m’installer pour écrire et se dirigea vers le barman. Il lui parla en me montrant.

Le barman m’apporta un whisky sec.

Je n’aime pas le whisky, mais même s’il ne me voyait pas, je lui avais promis de lui obéir et j’ai donc vidé le verre d’une seule traite.

–    Beurk, c’est fort.

Ma toux passé, je commençais sans hésiter à écrire un seul mot.

Puis j’attendais patiemment que le quart d’heure soit passé.

Un homme d’un âge certain me voyant assise seule s’approcha de moi et voyant mon verre vide me dit.

–    Je vous en offre un autre ?

Je l’ai regardé en souriant, il me prenait certainement pour une « Escort » attendant un client.

–    Merci, mais je dois aller rejoindre un ami dans quelques minutes.

–    il en a de la chance.

Il s’approcha du canapé et vint s’asseoir à côté de moi.

–    En tout cas, plus que vous.

Dis-je en le regardant et en souriant.

–    Et je n’ai aucun moyen de faire tourner la chance en ma faveur ?

–    Cela m’étonnerait

Il discuta encore un peu avec moi, cherchant à obtenir mon numéro sans succès. L’heure était arrivée, j’ai pris congé de mon interlocuteur pour me diriger vers l’ascenseur.

En arrivant à mon étage, Marc était dans le couloir à m’attendre.

–    Entre, tu es pile à l’heure, heureusement. Donne-moi la feuille.

Je lui donnais d’abord son stylo.

–    Non, garde le c’est cadeau.

–    Merci

Il regarda ensuite la feuille que je venais de lui donner.

–    « RIEN » tu es sûr de ta réponse ?

–    Oui, je suis curieuse.

–    Mais attention, cela veut dire que tu acceptes tout tu ne pourras RIEN me refuser et devra faire TOUT ce que je te demande ?

–    Oui, je sais, je me livre entièrement à toi.

–    Alors, Chienne, nous allons commencer de suite.

Il avait profité de ce quart d’heure pour aller chercher un grand sac de voyage. Il l’ouvrit et sortit un collier.

–    Approche.

Quand je fus à côté de lui, il me mit le collier autour du cou.

–    Tu es ma chienne, maintenant. Met-toi nue !

Quand je fus complétement déshabillée, il m’ordonna de me mettre à 4 pattes puis m’attacha à une laisse qu’il venait de prendre dans son sac.

–    Au pied.

Il me fit marcher dans le salon de ma chambre. J’aime avoir mes aises et je prends toujours une suite. La chambre est donc assez grande.

Il y avait de la moquette au sol, mais il faut avouer que cela fait quand même mal au genou de marcher à 4 pattes. Cependant je m’exécutais sans rechigner.

Il me dirigea ensuite vers la salle de bain.

–    Assis !

L’ordre était sec, comme celui que l’on donne à un chien. Il ne tenait pas compte de ma qualité de femme, où plutôt de chienne enfin, lorsque l’on commande un chien, on ne fait que rarement la distinction entre le mâle ou la femelle l’ordre est souvent « Assis ! »  Même pour une chienne.

–    Bien, tu es une bonne chienne.

J’avais jusque-là obéi sans lui opposer une quelconque résistance.

–    Pour te récompenser, je vais t’autoriser à vider ta vessie.

Cette permission me soulagea un peu, car effectivement, j’avais de plus en plus envie de faire pipi. Je me levais pour me diriger vers les toilettes.

–    Mais que fais-tu ?

–    Je

–    Je ne t’ai pas autorisé à répondre. C’est bon pour cette première fois, mais la prochaine fois tu devras être punie.

Il m’expliqua ensuite que comme j’étais une chienne, je devais faire mes besoins comme le fait une chienne, à même le sol. Heureusement, la salle de bain était carrelée.

Je fis donc pipi comme une chienne. Il me regardait faire puis s’approcha de moi et me dit.

–    Une chienne bien dressée fait ça dehors !

Il prit ma tête et la posa contre mon urine. Puis me lança une des serviettes.

–    Nettoie maintenant !

Le sol à nouveau sec, il me ramena vers la chambre. Il enleva la laisse et s’installa dans le fauteuil.

–    Apporte-moi mes chaussons.

Je ne l’avais pas vu jusque-là, mais il avait déposé au pied du lit une paire de chausson. Je me suis approché d’eux, toujours en marchant à 4 pattes, puis après une petite hésitation, je mis les chaussons dans ma bouche et me dirigeais à nouveau vers lui.

Arriver à sa hauteur, je restais immobile les chaussons en bouche.

Il m’avait demandé d’apporter ses pantoufles, mais ne m’avais pas dit comment les prendre, j’aurai et mon initiative lui a beaucoup plu.

–    Tu es une vraie petite chienne toi.

–    Et en plus, qu’est-ce-que t’es bandante.

Il dégrafa son pantalon et en sortit son sexe. Il bandait dur.

On ne m’avait pas encore fait jouer les chiennes ainsi, ni forcée à uriner sur le carrelage et à nettoyer ensuite, mais j’imaginais que la suite aller être plus « classique ».  Je m’attendais donc à ce qu’il me demande de le sucer.

Il se leva et se déshabilla. J’étais toujours à 4 pattes à côté du fauteuil et j’avais toujours les chaussons dans la bouche. Tout cela n’était pas très agréable et pourtant, cela m’amusait beaucoup.

Quand il fut nu, il prit ses chaussons et les enfila à ses pieds.

–    Assis.

J’exécutais une nouvelle fois son ordre. Il prit ensuite une petite balle dans son sac et s’installa à nouveau dans son fauteuil. Il lança la balle à quelques pas de lui.

–    Va chercher.

Je me dirigeais vers la balle et comme pour la pantoufle, j’ai pris la balle avec ma main pour la mettre dans la bouche. Puis je la lui rapportais.

–    Tu la prends comme une vraie chienne, sans les pattes

La balle lancée, j’allais à nouveau la chercher, mais cette fois, je l’ai prise directement avec ma bouche.

Il fit encore 3 autres lancés puis rangea sa balle.

Bon, nous allons maintenant passer aux choses sérieuses

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