Pour notre deuxième anniversaire de mariage, j’avais fait une surprise à ma petite femme. Sans la prévenir, j’avais posé mon après-midi en RTT et j’avais prévu de passer la chercher à l’improviste à la maison pour l’emmener faire ses boutiques favorites (même si je n’aime pas ça), puis on serait allée au restaurant, et à nous la soirée.
Je suis donc rentré le plus discrètement possible dans notre maison et j’ai aussitôt entendu du bruit. Elle me semblait être avec quelqu’un. J’ai pris le couloir et, le son venant de la chambre, j’y suis allé. Je ne croyais pas ce que j’entendais. Mais si, c’était bien ça !
Par la porte entrebâillée, je l’ai vue, à quatre pattes sur le lit. Un mec derrière en train de la troncher. Je suis tellement tombé sur le cul que je suis resté un moment à regarder sans qu’ils me voient. Le type était un gars du quartier, un grand black très sympa que je plaignais car il avait été plaqué deux semaines plus tôt par sa femme; Les commères du quartier disaient que c’était parce qu’elle en avait marre d’être cocufiée à tous bouts de champs ! De là à penser que ma femme était sur sa liste…
Je voyais ses grosses boules aller et venir au rythme rapide de ses mouvements de queue et je restais comme dans un cauchemar.
Et puis la haine m’est venue. J’allais entrer pour interrompre la fête, lui casser la gueule, enfin essayer car il est plus costaud que moi, lorsque ma femme entre deux cris lui dit :
Vas-y vas-y, enfonce-là moi bien à fond… hmmmm. Jamais je n’ai été baisée comme cela.
Ça m’a fait mal, car non seulement j’étais cocu mais en plus ma virilité en prenait pour son grade. J’étais persuadé d’être un bon coup.
Alors, immédiatement, une idée de vengeance s’est présentée à moi comme une évidence.
Je les ai laissé terminer.
Le soir je suis revenu et j’ai fait comme si de rien n’était mais j’avais déjà mon plan.
J’en ai parlé à Michel. Dans la boîte où je suis comptable, Michel est l’un des plus anciens conducteurs d’engin. Il a une cinquantaine bien tassée. Il est très bon camarade même s’il agace tout le monde parfois, tant il ne pense qu’au cul. C’est un obsédé professionnel. Il a toujours une histoire paillarde ou une anecdote salace à raconter. D’après lui, il est resté célibataire pour pouvoir satisfaire ses désirs sexuels. Aucun site internet ne lui est inconnu, il connait tous les coins à rancarts, aires de repos, parkings, pissotières, saunas, boîtes… Il y passe son temps quand il n’a pas trouvé, d’après lui, une bonne fortune sur le web ou quand il ne va pas aux putes. On pense qu’il en fait plus qu’il n’en dit.
Je lui ai demandé.
Michel, je peux te demander un service ?
No problem;
Je le savais, il a le coeur sur la main( enfin quand sa pine n’y est pas)
C’est que c’est assez discret et délicat comme affaire.
Te tracasse pas, je suis une tombe;
Et c’est vrai car s’il raconte à l’envie ses partouzes où autres, il ne dit jamais avec qui.
Il sagit d’un plan cul.
Quoi ? Toi un plan cul , je rêve ! J’y crois pas ! On se dévergonde le petit comptable bien sage ?
Oui.
Alors c’est quoi ?
Tu voudrais pas baiser ma femme ?
Hein ? T’es sérieux là ?
Et je lui racontais toute l’histoire.
Je lui exposais aussi mon plan. Venir avec deux ou trois costauds, surprendre ma femme et son amant, neutraliser celui-ci et faire comprendre à ma femme qu’en matière de bites, elle n’avait encore rien vu.
Michel était d’accord.
— Je vais en parler à Djamel.
Djamel est un autre conducteur d’engin, hyper baraqué qui passe son temps entre sa pelleteuse et la salle de musculation.
Tu crois ?
Pas de problème, il t’ a à la bonne il ne te refusera pas le coup de main et il saura tenir sa langue.
Et ma femme va le sentir passer.
Ça m’étonnerait. Maintenant qu’on est de combine je peux bien te le dire, il est PD comme un phoque. Mais il sera bien utile pour bloquer ton concurrent.
OK. Tu vois quelqu’un d’autre? Deux ou trois autres gars ?
T’occupe. Je cherche et je te redis.
Michel a bien fait les choses. En plus de Djamel, il a trouvé dans ses relations de cul quatre autres types de confiance.
Le traquenard était en marche.
Au jour dit, on s’est pointé chez mon voisin qui me cocufiait.
Salut Charles, je peux entrer ?
Il n’avait aucune raison de se méfier, il a dit
Bien sûr Matthieu, entre.
Et avant qu’il ait fermé sa porte, les six autres types étaient avec moi. Charles s’est trouvé au sol rapidement en demandant ce qu’il me prenait. Je lui ai dit que je savais qu’il sautait ma femme et qu’il avait intérêt à faire ce que je lui ordonnerais s’il ne voulait pas qu’on le tabasse sérieusement, qu’on foute sa baraque en l’air et que j’aille témoigner auprès de son ex pour lui permettre d’en croquer plus à l’occasion de leur divorce.
Il a obéi. Nous sommes donc allés chez moi avant que ma femme ne rentre. On s’est tous foutu à poil, Charles et moi sur le plumard et les six autres, attendant le signal convenu, dans la salle de bain attenante.
Une dizaine de minutes avant que ma femme n’arrive, j’ai fait mettre Charles en levrette et j’ai commencé à l’enculer. C’était la première fois pour lui et pour moi, alors j’ai eu un peu de mal à bander mais l’excitation de ce qui allait se produire après m’a donné de l’ardeur.
J’ai entendu la porte qui s’ouvrait alors je me suis mis à gueuler et ça l’a fait venir. Vous auriez vu sa tronche quand elle m’a vu planté dans le fion de son amant. Et avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit, j’ai dit au mec, de façon à ce qu’elle m’entende :
— Putain, il est super bon ton cul, j’ me suis jamais éclaté autant.
Alors elle s’est mise en colère me disant d’arrêter, que j’étais un salaud etc…
Ah bon , toi tu as le droit de le baiser mais pas moi ? je lui ai dit.
Ça lui a fermé sa gueule. Elle est restée interdite. Je suis sorti du cul de Charles.
Alors tu préfères sa queue ou la mienne ?
Comme elle ne répondait pas :
ou il t’en faut d’autres sale pute ?
Et j’ai sifflé. Les six mecs sont sortis de la salle de bain, avec Michel qui tenait sa gaule à la main avec l’envie visible de s’en servir.
C’est qui ceux-là ? a-telle dit presque affolée. ?
Tu voulais être bien baisée, tu vas l’être salope.
Pendant que Djamel se précipitait sur le cul de Charles que j’avais laissé vacant, Michel et les quatre autres s’étaient précipités sur ma femme Chloé. Je leur avais laissé carte blanche. Déjà ils lui arrachaient ses fringues, commençant à la peloter pendant qu’elle me suppliait de faire cesser ça. Dans un coin je regardais sans rien faire. Michel, Patrick, Valentin, Marc et Kennan s’excitaient déjà. Ils l’avait déjà mise sur le dos, allongée à côté de son amant qui gémissait sous les coups de bite frénétiques de Djamel.
Michel est le type de mec que ma femme n’aime pas. Pas plus d’un mètre soixante cinq, presque pas de coup, gros. Le ventre est rond avec un nombril saillant, rond mais très ferme en même temps. Ses pectoraux poilus ressemblent presque à des seins mais ils sont fermes aussi.Il a des jambes et des bras énormes. Sa petite bite, vachement arquée, se termine par un énorme gland, plus large que le manche et qui luisait déjà. Pendant que Patrick et Kennan écartaient les cuisses, il a introduit son nud dans la chatte. Valentin a pris la place que personne noccupait dans la bouche, faisant taire la garce.
Une fois bien chauffée, il n’y plus eu besoin de la tenir et elle a agrippé deux bites pour les branler. Marc, resté la queue en l’air s’est approche dé la bouche de Charles. Celui -ci n’a pas été très coopératif, allant jusqu’à insulter Marc, en le traitant de tous les noms. Je lui ai fait valoir qu’on ne se comportait pas comme cela avec mes amis qui n’aimaient pas les insultes homophobes. Mais, C’est une solide clef de bras de Djamel qui a eu raison de Charles. La bouche s’est miraculeusement ouverte pour laisser rentrer un chibre de belle proportion. Mais Djamel était mécontent du comportement de notre hôte. Il m’a dit de me mettre sur le dos et a forcé l’autre à s’empaler sur moi. Puis il a fourré sa grosse bite dans le fion, sans ménagement pour l’autre salopard qui commençait à regretter d’être venu. Sentir le chibre de Djamel aller et venir contre le mien dans cet orifice étroit où nous étions serrés me fut très agréable. Là-haut, Marc continuait à initier mon cocufieur au plaisir de la fellation en lui éjaculant dans la bouche.
Nos amis d’à côté, excités par notre scène s’étaient mis plus à l’aise. Kennan, allongé sur le dos, limait la chatte de ma femme pendant que Michel lui explosait l’anus. Valentin et Patrick, à tour de rôle se faisaient lécher la pine. La chienne s’excitait grave et s’en donnait maintenant à coeur joie.
Ensuite on a mis les deux amants côte à côte, le cul en l’air et, chacun notre tour, on est passé d’un trou à l’autre. Marc qui n’avait pas encore récupéré se faisait pomper le dard, encore gluant et mou, par ma femme. Pour me faire la bite plus grande, je me suis mis un cockring et j’ai défoncé les deux trous déjà bien préparés, à fond, comme je ne l’avais jamais fait. Pendant ce temps, Charles décrassait toutes les bites qui sortait de la chatte ou du cul avant de les reprendre à son tour. Même Djamel, chaud comme un puceau, s’est offert un détour par la chatte de Chloé, mais il a définitivement dit qu’il préférait le cul.
Enfin, quand elle a été bien rassasiée de sexe, on lui a tous juté sur la gueule, alors qu’elle avait toujours refusé que je le lui fasse. Valentin à ce jeu est une vraie fontaine . Elle était couverte de semence sur la tronche et ça ruisselait jusque sur ses petits seins (petits mais très ronds, très fermes, le téton très raide en se moment précis). On s’est bien sûr rincé dans la bouche de Charles. Mais ce n’était pas fini pour lui. Transporté dans la salle de bain, il s’est retrouvé sur le carrelage de la douche, entouré de nos sept bites et on lui a pissé dessus.
Puis je lui ai dit de remettre ses fringues, sans se laver, et de se casser sans jamais remettre les pieds chez moi. En traversant la piaule qui sentait l’odeur du rut et du foutre à plein nez, il n’a même pas eu un regard pour la pauvre salope étendue sur le lit, bras et jambes en croix. Elle avait sa touffe blonde humide encore de la sueur des mâles et sa chatte rouge et gonflée d’avoir été tant pilonnée. Je lui ai dit :
Toi pouffiasse, tu bouges pas !
On s’est installé dans le salon et on a pris un whisky en rigolant de la mine dépitée de Charles. Valentin a demandé une bière.
ça fait pisser, on peut toujours en avoir besoin… a-t-il déclaré en faisant rire tout le monde.
Au bout de trois quart d’’heure à peu près, j’ai dit :
on y retourne ?
Puis regardant, Djamel :
Mon pauvre vieux, tu ne vas pas être à la fête.
Mais si. Marc et moi on va lui prêter notre cul, on a l’habitude, pas vrai Marc ?
T’as raison Michel, mais je vais d’abord faire le cul de madame si on veut bien.
Sur quoi Djamel m’a dit :
mais toi, tu ne veux pas essayer ?
C’est vrai, tu lui dois bien ça.
-Tu n’as pas tort Michel, mais je n’ai jamais fait ça.
T’inquiète, me dit Djamel, je vais y aller doucement.
On s’est donc tous levé pour aller vers la chambre. Les sexes durcissaient déjà.
Ma femme était restée sur le lit mais elle avait sa chatte face à la porte, jambes écartées, accueillante. Marc y est allé le premier pendant que Djamel me mettait à quatre pattes au dessus de la tête de la salope pour me sodomiser, aptès m’avoir bien préparé l’anus avec sa langue, chaude et longue. Il y est allé aussi doucement avec moi qu’il y était allé franchement avec l’autre. Bien excité, décontracté par la forte dose d’alcool, j’ai laissé mon petit trou s’ouvrir tout seul. Bon, c’était un peu douloureux au départ mais je m’y suis vite mis. Je me suis bien fait doser pendant que ma femme se prenait successivement toutes les bites, parfois en double et dans toutes les positions. Quand ils ont tous terminé, sa chatte dégoulinait de jus. Je lui ai fait bouffer celui de Djamel qui s’échappait de mon fion.
Par la suite, j’avais organisé un planning. Chaque soir, un des mecs est venu tenir compagnie à ma femme, en commençant par Michel. Il l’a baisée une bonne partie de la nuit. Dans la chambre à côté, je m’étais installé avec Djamel qui continuait à m’initier aux plaisirs masculins. Le lendemain, ça a été Valentin, qui a tenu à ce que j’assiste aux ébats. Pendant six jours, il y a eu un de ces mecs dans mon lit en train de la sauter. Kennan a même remis cela au petit matin avant de partir au boulot.
Quand le dernier a été passé, j’ai dit à ma femme de foutre le camp. On a divorcé peu après.
Charles a disparu et on n’a plus jamais entendu parler de lui. Il faut dire qu’à chacune de ses visites, Djamel prenait soin d’aller frapper à sa porte avant de venir chez moi. Le mec en avait eu assez et n’a pas demandé son reste.
Quelques temps après, Michel est venu me voir un peu embêté. Il ne savait pas comment m’annoncer la nouvelle.
Tu sais ta femme…
Mon ex !
Tu vas pas le prendre mal ?
Je m’en fous de cette garce !
Elle… elle vit chez moi.
La salope avait appréciée la soirée. Elle s’est découvert une véritable passion pour le sexe et travaille désormais pour un sex-shop en ligne. Depuis Michel la baise tous les soirs. Parfois, quand il sort, mon ex l’accompagne à moins qu’elle ne se montre très accueillante avec des invités qui sont nombreux à répondre à l’appel de Michel. Pour fêter le premier anniversaire de mon divorce il m’a même invité à venir la sauter. J’y suis allé, accompagné de Djamel avec qui je suis ouvert. Nous y avons retrouvé les potes de l’expédition punitive et d’autres joyeux compères des deux sexes pour une partouze endiablée dont j’ai donné le signal, en montant ma femme devant tout le monde pendant quelques minutes avant que les autres ne s’y mettent aussi… mais pour elle, désormais, ce n’est plus une punition.