[La majorité des dialogues ont réellement lieu en espagnol, mais pour des facilités évidentes de compréhension et d’écriture, je les transcris directement en français. Ho et, l’alcool est dangereux pour la santé ;). ].

Chapitre 1 : L’arrivée.

Depuis toujours, nous nous rendions en vacances en Espagne avec ma famille. Là-bas, j’avais tissé de grands liens d’amitié avec de jeunes ados espagnols, qui avaient tous plus ou moins mon âge. L’histoire dont je vais vous faire part a eu lieu dans l’année de mes dix-sept ans, lors du mois d’Août. Nous étions arrivés en soirée, aux alentours de 18h, lorsqu’une personne que je connaissais bien vint nous accueillir.

— "Nico !"

Je détournais la tête pour voir la personne qui venait de m’appeler, bien que j’avais déjà reconnu cette voix. Jesús,16 ans, avait toujours été un adolescent avec une belle gueule, mais avec un corps d’enfant. Mais, cette année, il avait tellement changé que je faillis ne pas le reconnaître. Un corps joliment dessiné, des muscles plus prononcés, une nouvelle coupe de cheveux, mais toujours ces mêmes yeux bleus.

— "Jesús !", dis-je alors que nous nous faisions une accolade.

C’était un des jeunes du groupe avec lequel je traînais. C’était sûrement le gars avec lequel je m’entendais le mieux, on avait toujours eu de très bons délires, et puis, il m’avait toujours aidé à franchir la barrière de la langue. Après quelques minutes de discussion, il me proposait de les rejoindre autour de la piscine, mais, trop fatigué, je déclinais.

Le soir même, après le dîner, aux alentours de 22h30, j’entendis la sonnerie de notre appartement, c’était Jesús, accompagné d’un autre pote, Javier (je m’attarderais sur son cas dans d’autres chapitres..), que je connaissais tout aussi bien. Ce soir, ils avaient prévu d’aller passer une petite soirée sur la plage, comme on avait l’habitude de le faire. De quoi boire quelques coups et s’amuser loin de l’immeuble et des parents. J’acceptais volontiers.

Après quelques verres, la complicité que j’avais avec le groupe revint rapidement, je reprenais mon aisance en espagnol, et les rires fusaient. Nous étions cinq, les deux potes venus me chercher et deux autres amies. Du fait de l’alcool, certains s’étaient déjà couchés sur la plage, un peu trop éméchés. Seuls restaient moi et Jesús, encore en pleine forme. Malgré qu’il fasse nuit, il régnait une lourde chaleur, et rapidement, Jesús proposa qu’on aille se baigner, pour le délire, et surtout pour se rafraîchir (et, je ne le savais pas encore, pour une raison plus dissimulée..). D’abord sceptique, je me laissais entraîner, laissant mon pantalon et mon t-shirt sur la plage, pour, tout comme lui, se mettre à l’eau en boxer. Malgré la fraîcheur de l’eau, on y rentrai sans soucis.

En se baignant, je remarquais un peu plus les changements que son corps avait connu, et maintenant que je pouvais le voir torse nu, je me disais qu’il avait dû faire pas mal d’efforts pour en arriver là. Rapidement, on se jetait de l’eau, on se poussait un peu, puis on essayait de se couler l’un l’autre. Malgré tous les étés passés avec lui, je n’avais jamais eu d’attirance pour lui, je m’estimais totalement hétéro. Mais, là, dans l’eau, sûrement du fait de l’alcool, je le trouvais plutôt excitant, et j’essayais d’éviter de lui montrer mon excitation "grandissante".

Au bout d’une dizaine de minutes, on sortait de l’eau, et je me perdais à un peu à mater son corps mouillé, les formes sous son caleçon encore plus apparentes. Rapidement, on se rhabillait, et on rentrait à la résidence, laissant nos autres potes, endormis sur la plage. Comme toujours quand on sortait de ce genre de soirées, on dormait chez lui, histoire que je ne réveille pas mes parents. Lui venait en vacances dans l’appart’ de sa grand-mère, soit pas trop de risques de réveiller qui que ce soit. Arrivés à l’intérieur de l’appartement, encore mouillés, il me jeta une serviette et passa dans la salle de bains pour se changer. Alors que j’enlevais mon t-shirt et mon jean afin de sécher mon caleçon encore mouillé, je le vis sortir de la salle de bain, torse nu, une serviette couvrant ses jambes. Je ne pouvais m’empêcher de me comparer à lui, on avait des corps assez semblables, bien que je devais faire une dizaine de centimètres de plus que lui. J’avais dû me perdre pendant quelques secondes, parce qu’il m’interrompit.

— "Nico, ça va ?"

— "Euh ouais ouais, excuse, j’suis un peu fatigué."

Je baissais le regard pour sécher mes jambes avec la serviette. Mais, en me relevant, j’eus une surprise de taille, Jesús avait fait tomber sa serviette, se découvrant, totalement nu. Il passa une main sur ses parties intimes, son sexe grandissant.

— "Euh, j’crois que t’es pété mec… "

Avant même que je puisse m’interposer un peu plus, il me poussa contre le canapé, situé derrière moi. Puis, il se posa à côté de moi, en me faisant signe de se taire. Je me soulevais un peu afin d’abaisser mon caleçon. Mon sexe était encore en repos, mais le seul fait qu’il le touche de ses mains froides me provoqua un énorme frisson. Méticuleusement, il faisait des va et vient avec sa main, tout en me caressant les testicules. J’essayais de faire la même chose, en le branlant en même temps de la main droite. Je m’étais déjà branlé avec des potes, mais là, je ressentais quelque chose de plus, il m’excitait vraiment.

D’ailleurs, cela se fit sentir rapidement, puisque mon sexe atteint son apogée rapidement, soit environ dix-sept centimètres. Son sexe aussi était bien dur, de ce que je voyais, il devait faire environ la même taille que le mien, mais était un peu moins large. J’étais encore un peu gêné de la situation, et je me demandais s’il faisait ça à cause de son état ou juste par envie. Mais, peu importe, mes questions disparurent quand il se leva du canapé. A ce moment précis, je m’étalais un peu plus sur le canapé, la queue totalement raide. De là, il s’agenouilla en face de moi, et reprit de me branler. Puis, maladroitement, il essaya de commencer une fellation, réalisant quelques va et vient avec sa bouche. Il était visiblement débutant, mais il faisait énormément d’efforts. Pendant toute la fellation, il me fixait de ses yeux bleus, rendant l’acte encore plus excitant.

Jesús agissait comme si il m’appartenait, il se livrait totalement à moi, accélérant sa fellation, et l’accompagnant d’une masturbation. Au fil de l’acte, il essayait d’avaler une plus grande partie de mon sexe, jusqu’à le sucer entièrement, du gland jusqu’à la base de celui-ci. Au bout d’un moment, avec un espagnol hésitant, je lui demandais, en murmurant :

— "Ça te dirait pas de.. enfin tu vois, tu m’excites franchement.."

Il ne me répondit même pas, et lâcha mon sexe. Nous étions encore dans le salon, sur son canapé, et on ne se souciait même plus vraiment que notre plaisir puisse réveiller quiconque. Je me couchais sur le canapé, le laissant s’occuper du reste. Il enfila le préservatif sur mon sexe, encore totalement raide. A son visage, légèrement stressé, je pouvais voir qu’il n’était jamais allé aussi loin avec un mec, à vrai dire, moi non plus. Je prenais mon sexe en main pour le pointer vers le haut, le plus droit possible. Puis, il passa au dessus de moi, essayant de s’asseoir sur mon sexe, face à moi. Je voyais son visage se crisper alors qu’il essayait de rentrer mon gland dans son anus. J’essayais de l’accompagner avec quelques mouvements pour avancer un peu plus le chemin de mon sexe. Il faisait pas mal d’efforts, et au bout d’une ou deux minutes, les va et vient qu’il faisait sur moi atteignaient la moitié de mon sexe. En accélérant de plus en plus les mouvements, il arrivait à passer sur presque l’ensemble de mon attribut. Son souffle, tout comme le mien s’accéléraient, malgré la douleur apparente, il semblait vraiment profiter du moment.

En plein acte, je décidais de reprendre un peu plus de contrôle sur la situation, l’entraînant à se relever. Puis, je le guidais jusqu’à la table du salon, où il se coucha directement, sur le dos, écartant les deux trois affaires qui s’y trouvaient. Il écarta les jambes de manière à ce que je m’installe, et je continuai mon acte, le pénétrant directement, d’un coup de rein. Je vis son visage se crisper directement, avec un gémissement étouffé. Ma cadence augmentait de plus en plus, mes testicules frappant ses fesses à chaque entrée. Tout en le pénétrant, je laissais mes mains passer le long de son corps, de son torse qui se contractait à chaque coup jusqu’à son sexe, que j’entrepris de branler. Ses magnifiques yeux bleus me fixaient encore, tandis qu’il se mordait la lèvre, éprouvant visiblement un réel plaisir, et tentant d’éviter de gémir trop lourdement. Cela m’étonna d’abord, qu’il apprécie autant l’acte alors qu’il n’avait visiblement jamais fait cela.

Assénant des coups de plus en plus violents, je sentais l’acte arriver à sa fin. Mais, avant que je n’ai fini, la masturbation que je lui offrais le fit éjaculer d’un jet violent sur son torse. Alors, rapidement, je retirais mon sexe de son anus, enleva la capote et me masturba devant lui, encore couché sur la table. Au bout de quelques derniers allers-retours le long de ma verge, et dans un dernier râle de plaisir, plusieurs jets violents partirent de mon sexe, inondant son torse, dont certains allaient atteindre son visage.

Comme pour conclure l’acte, je me baissais vers lui pour lui laisser un baiser dans le cou, j’avais décidé que dès à présent, il m’appartenait. Puis, il lava rapidement les flots de sperme qu’il avait reçu, avant de me rejoindre dans sa chambre, dans laquelle nous nous endormions, nus, encore transpirants de ce que nous venions de faire.

Ce jour-là avait commencé un été auquel je ne pouvais même pas penser quelques jours auparavant..

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