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Des cours particuliers – Chapitre 1




"- 6,5/20 ! Tu as 6,5 de moyenne en maths avec le bac à la fin de l’année ! Ha ça, ma petite, tes vacances de Pâques tu vas les passer à réviser avec ton oncle Didier."

C’est à peu près comme ça que mon père s’était adressé à moi quand il a vu mon bulletin du second trimestre. Il est vrai que mes notes avaient fortement baissé, et pour cause, j’étais toujours en pleine découverte du plaisir charnel et mon petit copain de l’époque qui était dans la même classe que moi y était pour beaucoup. C’était la première fois que j’étais amoureuse et que je ne regardais plus ailleurs. Je venais de fêter mes 17 ans, plus qu’une année et j’étais majeure mais pour l’heure, mon père m’ordonnait de passer mes vacances de Pâques à faire des maths chez son frère de 2 ans son aîné, et ce n’était pas la joie. Ceci dit, j’ai toujours entretenu des rapports très complices avec lui. Il était en plus mon parrain, c’est d’ailleurs comme ça que je l’appelais : Parrain. Parrain était professeur de maths dans un lycée de la banlieue bordelaise, alors j’étais sûre de progresser. Mais il n’y a pas que dans cette matière que j’allais apprendre et jamais je n’aurais pu penser l’histoire qui m’est arrivée . Le premier jour où je suis arrivée chez lui et son épouse, tante Charlotte, ma mère qui m’avait accompagnée, s’est installée avec sa belle sur à la cuisine pour discuter. Parrain et moi sommes montés à l’étage, dans son bureau. Il referma la porte à clé et, alors que je m’installai à sa table de travail, il me demanda de m’asseoir sur le petit canapé près de la bibliothèque. Je ne me posai pas de question et laissai mes livres et classeur sur la table basse juste devant. Il me rejoint et commença direct :

"- Je sais que tu as une liaison avec Monsieur Michel (cf l’histoire : l’ami de mes parents), je vous ai vu il y a quelques mois dans le petit bois en train de baiser sur le capot de sa voiture."

Gênée, je balbutiais :

"- Oui mais c’est fini Parrain. Depuis décembre on a fini de se voir. Je sors avec un garçon de mon âge maintenant et c’est du sérieux.

— Saches que cette histoire restera entre nous, à condition que tu sois gentille avec moi. Si tout se passe bien je ne dirais rien à ton père et je te garantis que tes notes en maths remonteront. Mais si tu ne fais pas ce que je veux, tu auras de sérieux problèmes."

Embarrassée, je me suis dit que je n’avais pas le choix. Parrain m’avait mise au pied du mur. En réfléchissant, son chantage n’était pas si terrible que ça pour une fille qui aime le sexe comme moi. Et puis un homme mûre supplémentaire à mon tableau de chasse, pourquoi pas ? Je me souviens que j’ai souri et me suis enfoncée dans le fond du canapé, et l’invitais, les cuisses écartées, dévoilant ma culotte sous ma jupe en jean. Parrain ne se fit pas prier pour glisser sa main sous la jupe et me caresser la cuisse. Il approcha sa bouche de la mienne tandis que je déboutonnais mon chemisier. Très vite sa bouche glissa vers ma poitrine. Je le sentais très excité. Dire qu’à l’étage en dessous, sa femme et ma mère rigolaient ensemble, si elles savaient, elles auraient une autre tête. Une fois déshabillés, j’ai sucé mon cher parrain. J’ai mis en pratique l’expérience acquise avec Monsieur Michel, laissant traîner ma langue tout le long de sa tige, le regardant droit dans les yeux et lui malaxant délicatement les couilles. Les compliments salaces ne se firent pas attendre :

"- Tu fais ça très bien ma chérie, mieux que ta tante."

Avant de me pénétrer il attrapa une boîte de capotes cachée derrière des livres sur une étagère. Il en ouvrit une et la déroula sur sa bite. Je me suis assise sur lui. Il me tenait par les hanches, me laissant onduler du bassin. Je le sentais en moi et m’abandonnais toute à lui. Je poussais de petits gémissements mais il me demanda de me taire pour ne pas être entendue.

"- C’est bon la façon dont tu me prends Parrain.

— Oui mais il faut éviter ma chérie, on est censés faire des maths."

Je me faisais baiser dans le silence le plus profond, en me mordant les lèvres pour ne pas crier. Parrain, lui-même, dû enfouir son visage dans ma poitrine pour retenir son râle au moment où il jouit. Après nous être rhabillés, nous nous sommes finalement mis à la table de travail pour faires des maths comme si rien ne s’était passé. 2 heures plus tard, nous avons rejoints ma mère et ma tante qui dit :

"- Alors les matheux, ça c’est bien passé ?

— Oui, Julie est très assidue.

— Tu vas voir, avec ton oncle tu es sûre de progresser."

J’ai souri en regardant Tante Charlotte et pensais : "ça, c’est certain, si tu savais les cours qu’il m’a donné tu pèterais une durite Tatie". Ce fut comme ça 5 jours sur 7 pendant la durée des vacances de Pâques. Nous alternions plaisirs interdits et devoirs studieux. Il nous est même arrivé une fois ou deux de ne faire que des maths, histoire d’attiser le plaisir de se retrouver le lendemain comme disait mon pervers de parrain ; mais le summum fut l’après-midi où Tante Charlotte et mon cousin Martial partirent faire les magasins à Bordeaux. Nous avons pu sortir du bureau et nous envoyer en l’air dans la chambre de mon oncle et ma tante. Inutile de préciser que nous n’avons pas fait de maths ce jour-là et que j’ai pu exprimer mon plaisir à pleine voix prenant un malin plaisir à sortir les pires cochonneries, histoire de pimenter les choses telles que :

"- Ca t’excite de me baiser dans le lit de ta femme ?!"

Ou bien :

"- La chatte de Tante Charlotte n’et plus aussi chaude que la mienne, Parrain ?"

Parrain était encore plus excité que les jours précédents. Il me jouit au visage pour mon grand plaisir. J’ai passé ma langue sur mes lèvres pour me nettoyer et me suis mise à quatre pattes :

"- Je suis encore vierge du cul. Je veux que tu sois le premier à m’enculer, Parrain."

Il se branla un peu pour rebander et poussa dans mon anus. Je découvris une nouvelle sensation, me procurant un nouveau plaisir. J’avais un peu mal, mais Parrain me baisait le cul sans forcer et j’ai adoré. Il explosa en moi. On s’est allongés enlacés comme un couple d’amoureux, heureux et fatigués.

A la fin des vacances je repris le chemin du collège. De temps en temps nous nous voyions Parrain et moi. Officiellement il contrôlaient mes devoirs et mes progrès, officieusement on s’envoyait en l’air dans bureau, sans faire de bruit. Ceci dit mes notes en maths ont redécollé au 3ème trimestre et j’ai décroché mon bac. Pour l’occasion, je suis allée au lycée où enseignait Parrain pour lui annoncer la nouvelle. Comme l’établissement était désert, j’ai pu le remercier à ma façon dans une salle de classe. Puis nous avons mis fin à notre liaison d’un commun accord. Notre complicité s’était renforcée et jusqu’à sa mort il y a peu, nous n’avons jamais reparlé de notre liaison.

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