Ce récit se situe dans la continuité de « Randonnée avec ma grande cousine infirmière ». Mais Cécile la cousine est coincée à Paris, et la rando est bel et bien finie. Alors c’est une autre histoire, qui peut se lire presque indépendamment de la première.
Résumé des épisodes précédents : en attendant les résultats du bac, Jean, tout juste 18 ans, a fait une randonnée de 4 jours dans les Pyrénées avec sa cousine Cécile qui, malgré ses états d’âme face à l’inceste, l’a initié aux joies du sexe. A la fin de la rando, elle l’a jeté dans les bras de Solène, étudiante, Parisienne comme Jean et âgée de quelques mois de plus que lui, qui est saisonnière dans un hôtel à Cauterets. Pour continuer son aventure avec Solène, Cécile a incité Jean à revenir y passer l’été après les résultats de son bac, en se trouvant un job d’été. Ce qu’il a fait. Il travaille en appoint dans un bar.
CHAPITRE 1. Nature humaine.
Cauterets. 17 juillet. Il fait chaud. Je regarde Solène. Elle est nue dans la petite baignoire naturelle du torrent. Elle est belle tellement fine, élancée, gracieuse, légère. Sa peau blanche commence à peine à dorer légèrement. Elle resplendit dans la lumière.
Je me souviens du lac Cécile.
C’est notre premier jour de repos commun avec Solène. Nous avons fait l’amour deux fois depuis ce matin, la dernière fois il y a à peine une heure, dans l’herbe de ce vallon merveilleux, en contrebas de la maison de sa grand-mère. C’était fabuleux mais bien que nous n’osions pas nous l’avouer, nous n’avons pas encore su retrouver le plaisir cette folle soirée de juin.
Solène me regarde en souriant.
– Allez Jeannot, arrête de rêvasser, viens !
– D’accord, j’arrive
Je la rejoins dans l’eau, nu. Elle est vraiment très fraîche, mais par cette chaleur ça fait du bien.
Bac en poche, je suis arrivé le 8 juillet. Et finalement le patron du bar m’a appelé tous les jours depuis, il a l’air d’apprécier ma motivation. De temps en temps il me prête à son voisin du restaurant, je ne sais pas comment ils s’arrangent, c’est leur problème. Il vient de me payer la première semaine. En espèces. En fait, je crois que j’ai compris !
– Dis, tu es sûre que personne ne peut nous voir ?
– Mais non, le terrain est complètement privé, pas de sentier. Je te dis, c’est le paradis cette maison !
– Et ta grand-mère ?
– Ah çà je ne peux rien te garantir enfin, je suis même sûre du contraire.
– Hein !?? Tu déconnes ???
– Non, regarde, la voilà qui arrive
Sa grand-mère descend doucement vers nous à travers la prairie en portant un plateau et nous salue de loin :
– Hello les jeunes ! Je vous apporte des rafraîchissements, ça vous dit ?
– Super, Mamie, t’es vraiment chou !
Alors que je tente de me relever pour me rhabiller en catastrophe, Solène me retient et me glisse à l’oreille :
– Laisse tomber, Jeannot. Ma grand-mère s’en fout, et moi aussi. Elle est hyper cool. C’est la plus grande baroudeuse que je connaisse. Je crois qu’elle a été plus ou moins hippie dans sa jeunesse Elle sait parfaitement ce qu’on fait et elle s’en balance. Et des mecs à poil elle en a sûrement déjà vu quelques milliers ! Tu ne vas pas lui faire peur ! Et tu n’es certainement pas non plus le plus moche !
– Gloups c’est quand même un peu gênant
– Détends-toi ! Elle est cool je te dis
Je me rassois dans l’eau en cachant tant bien que mal mon entrejambe. Sa grand-mère arrive. Elle est encore très belle pour son âge. Grande, fine, longs cheveux blancs. Solène lui ressemble.
– C’est sympa, non, cette petite baignoire naturelle, hein ?
– Ouais Mamie. C’est le paradis ton terrain. C’est génial de pouvoir se baigner comme ça à l’abri des regards. C’était déjà comme ça quand tu étais petite ?
– Oui oui ma chérie. Je me suis baignée ici plus d’une fois. Aaah se baigner dans le soleil un délice.
– Tu veux nous rejoindre ?
*********
Ma petite-fille chérie est avec son amant. Nus tous les deux, dans l’eau du torrent. Ils sont beaux ! Tellement beaux ! La jeunesse Etre nus, insouciants, faire l’amour, dans la nature
Voilà qu’elle me propose de les rejoindre Petite coquine ! Comme j’aimerais Mais quand-même, son copain, ce petit Jean qui a l’air si sage
– Euh. Ce serait agréable, c’est sûr Mais Jean ça ne vous gêne pas ?
– Euh ben. c’est-à-direun peu mais si Solène vous le propose, madame
Ah ! Cette Solène ! Elle me ressemble trop ! Elle le mène déjà par le bout du nez son homme ! Faut dire, elle est tellement belle elle doit tous les rendre dingues. C’est étrange, qu’elle se soit arrêtée sur ce petit mec, si jeune, avec son visage enfantin. Sans doute pas celui que j’aurais choisi, à son âge Mais en même temps, ça prouve qu’elle a du caractère. Il doit quand-même avoir un truc pour l’avoir accrochée comme ça, ma beauté !
– Alors, si tu es d’accord Et au fait, Jean, ne m’appelle pas madame s’il te plaît, et on peut se tutoyer. Je m’appelle Judith.
– D’accord madame euh, Judith.
*********
La grand-mère de Solène s’apprête à nous rejoindre dans la rivière. Debout sur un rocher, elle nous tourne le dos. Je la vois faire glisser son ample robe orange et la poser sur la rive. Mais, elle ne porte rien en dessous ! Ses fesses se dévoilent. Elle est vraiment belle pour une femme de 70 ans passés, d’après ce que m’a dit Solène. Elle est restée mince, ses fesses sont encore fermes Elle entre dans l’eau à reculons. Quand elle se baisse pour glisser sa jambe dans l’eau, j’entraperçois sa fente ! Elle se retourne. Son pubis n’est pas rasé mais ses poils ne sont plus très fournis Ses seins sont encore jolis bien ronds comme ceux de Solène, mais plus petits, presque effacés… Elle s’assoit face à nous.
Solène éclate de rire.
– Eh ben Jeannot, fais pas cette tête-là ! Elle est belle ma grand-mère, non ?
– Euh, oui, oui très très belle. Vous vous ressemblez
– Merci du compliment Jean. Mais toi arrête de l’embêter Solène ! Je comprends qu’il soit un peu gêné, le pauvre ! Détends-toi Jean. Tu sais, j’ai été naturiste presque toute ma vie alors ça ne me gêne pas de montrer mon corps ni de voir des hommes nus. Laisse-toi aller, n’y pense pas, profite juste du soleil, de l’eau, sens la nature tout autour de toi comme c’est agréable de faire corps avec elle
– Allez, Jeannot ! Pas la peine de te cacher le zizi comme ça ! On va pas te violer ! Et tu verras Mamie, il est très joliment équipé !
Oh la la ! La honte. Mais elle est folle cette Solène ! Où est-ce que je suis tombé ?
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Solène exagère ! Elle va le faire fuir son bel éphèbe ! Il m’a l’air encore un peu coincé, laisse-lui un peu de temps ma petite ! Mais c’est vrai qu’il est bien foutu Si j’avais 20 ans…
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Jean, Mamie et moi sommes tous les trois dans l’eau depuis presque une demi-heure maintenant. Je me ballade dans le ruisseau, j’éclabousse Jean de temps en temps, qui me le rend mais il n’ose pas vraiment bouger !
Même s’il fait très chaud, l’eau est tellement fraîche, je commence à avoir froid.
– Bon, moi je crois que je vais sortir.
– Oui, moi aussi, dit Jeannot.
– Moi je reste encore un peu sur les rochers les enfants.
Nous sortons de l’eau. Jean a quand même l’air un peu moins gêné maintenant, il ne cherche pas trop à se cacher de Judith.
– Je resterais bien bronzer encore un peu au soleil mon Jeannot.
– D’accord ma belle
– Tu veux bien m’aider à mettre de la crème ?
Je m’allonge sur ma serviette dans l’herbe. Jean dépose un tendre baiser entre mes omoplates, et commence à me passer de la crème sur le dos.
– Vas-y descends encore s’il te plaît.
Ses mains sont à présent sur mes hanches, mes fesses hmmm il me caresse presque j’écarte un peu les jambes
– Arrête Solène, s’il te plaît je n’arrive plus à me contrôler et il y a Judith
– C’est pas grave Jeannot ! On s’en fout complètement je te dis ! Moi je veux qu’elle la voie ta jolie bite tendue ! Qu’elle puisse imaginer à quel point tu es chaud et tu me fais jouir !
– Mais tu es complètement folle je crois ! C’est ta grand-mère !
– Dis-donc, tu étais moins pudique quand tu me baisais devant ta chère Cécile !
– Arrête tes conneries ! Ca n’a rien à voir ! Si c’est comme ça, je m’en vais.
Il se lève. Je me retourne et j’attrape sa queue, encore bien dressée. Il essaie de se retirer mais je le tiens fermement. Je saisis ses couilles de mon autre main. J’essaie d’approcher mon visage de son entrejambe mais il me repousse.
– Reste Jeannot !
– Aie ! Tu me fais mal Solène !
Je le lâche.
– Reste s’il te plaît Je ne veux pas que tu partes. Allez, allonge toi près de moi, mon Jeannot, s’il te plaît
– D’accord mais arrête ce petit jeu ! Je suis désolé mais je ne suis pas aussi à l’aise que toi.
– Non non, c’est moi qui suis désolée mon Jeannot. Excuse-moi. J’exagère. Tu m’excites tellement
– Eh, calmez-vous les jeunes ! Faites l’amour, pas la guerre !
– Euh, c’est gentil Mamie, mais pour l’amour on va attendre encore un peu finalement ! Mais promis, on arrête la guerre !
*********
Quelle coquine cette Solène ! Elle va le rendre dingue son Jeannot ! Elle pousse vraiment trop le bouchon Fais attention ma fille !
En tout cas qu’est-ce qu’il est mignon son petit mec ! J’avais une vue superbe sur son petit cul lorsqu’il lui passait de la crème. Ses petites fesses blanches, lisses, bien fermes Et sa bite, quand il s’est levé, à-demi bandée Fine, longue bel instrument ! Sait-il déjà s’en servir comme il faut ? Probablement sinon Solène ne serait pas aussi excitée ! Quelle petite friponne ! Quand je pense que c’est ma petite-fille Si sa mère savait ce que je la laisse faire sous mes yeux ! Celle-là quelle coincée du cul en comparaison ! Faut croire que certains gènes sautent une génération !
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L’après-midi touche à sa fin. Nous décidons de remonter tous les trois vers la maison. Judith m’a invité à rester manger. Solène n’est pas décidée à se rhabiller. Elle se lève et se promène nue dans le pré, elle danse, virevolte. Sa grand-mère aussi reste nue ! Mon dieu, quelle famille ! Bon, ben puisque tout le monde reste à poil
Solène avance devant nous. Judith me rejoint.
– Ah, voilà Jean ! Tu vois qu’on y prend goût à la nudité C’est formidable, non, de sentir le soleil et le vent partout sur son corps, sans aucune entrave On se sent libre, léger
A mon avis, elle le pratique toujours régulièrement le naturisme. Son corps n’a presque pas de marques de bronzage. Et dans un endroit pareil, elle aurait tort de s’en priver si elle aime ça.
– Vous avez raison Judith c’est très agréable finalement il faut juste passer le cap et ne pas trop y penser !
– Oh tu sais, pour les garçons c’est normal de réagir à la beauté des femmes ! Surtout à ton âge. Il ne faut pas te formaliser. Les femmes aussi réagissent, mais ça se voit moins !
– Vous avez raison
– Mais ne recommence pas à me vouvoyer !
– Ah oui ça m’a échappé Mon éducation, vous savez c’est pas vraiment très « libre »
– Oui, j’avais un peu deviné
– Mes parents, mes grand-parents, c’est plutôt une famille assez traditionnelle. Ils sont gentils, mais un peu étouffants, pas très cools Pour eux, le boulot c’est LA valeur. S’amuser c’est une perte de temps. Alors le naturisme ! A mille lieues de leur mode de vie et de pensée. Jusqu’à présent j’étais même leur fils modèle par rapport à mon frère et ma sur ! S’ils imaginaient ce que je fais ici
– Je vois… Tu sais, quand j’étais jeune la plupart des gens de ma génération avaient des parents très stricts. A commencer par moi. On y survit !
– Bien sûr. Je ne les rejette pas du tout. C’est juste très différent.
Solène, qui s’était un peu avancée, accourt vers nous, saute dans mes bras et m’embrasse sauvagement.
– Oh la la ! Si je comprends bien je vais devoir ramer, moi, pour te décoincer ! On m’avait pas vendu le truc comme ça !
Elle me donne une tape sur les fesses.
– Heureusement il y a quand même Cécile dans ta famille mon chou ! Elle a un peu avancé le boulot. Je l’aime bien finalement !
– C’est qui cette Cécile ?
– Euh ma cousine de 27 ans. Elle est très sympa, très indépendante. Elle a réussi à vraiment prendre du recul par rapport à cette éducation.
– C’est ça elle s’en est même beaucoup beaucoup éloigné cette coquine !
Nous arrivons à la maison. Nous ne nous habillons toujours pas. Toute gêne a disparu. Judith commence à préparer le repas, nous lui venons en aide pour éplucher les légumes, poser la table. Puis nous nous installons sur la terrasse pour un petit apéritif. Solène s’est lovée dans mes bras, sur le canapé de jardin. Je la serre contre moi, la caresse doucement, tandis que nous sirotons le cocktail que nous a servi Judith. Un délice. Elle refuse de nous dévoiler la recette, à nous de deviner ! Il y a un peu d’alcool c’est sûr, peut-être du rhum ? Je ne suis pas un spécialiste. De la fraise, c’est sûr aussi. Et c’est assez épicé. Mais quelles épices ? Et il y a un autre fruit j’ai l’impression. Solène me dit qu’elle n’en sait rien non plus. On verra bien ! Elle nous donnera peut-être le secret plus tard.
Je regarde Judith qui continue à aller et venir de temps en temps entre la cuisine et la terrasse. Quelle femme sublime elle a dû être ! Peut-être encore plus que Solène. Elle est encore si belle, si fine, élancée, elle se déplace de manière si légère, quelle grâce dans le moindre de ses gestes Quel calme et quelle sérénité elle dégage ! Elle transmet une telle confiance, un tel bien-être Quelle vie a-t-elle eu ?