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Défaillance – Chapitre 2




Trois mois se sont écoulés depuis la révélation de mes problèmes dérection. Trois mois que je ne suis plus capable de faire lamour à ma femme de 20 ans plus jeune alors que jai dépassé lâge de la retraite. Nous avons appris à compenser, les caresses que nous échangeons le soir dans le lit comblent mes faibles exigences, mais à sa nervosité croissante, je constate quil nen est pas de même pour Francine. La pénétration lui manque, cest un fait même si elle ne se lavoue pas. Je dois trouver une solution. Vers qui me tourner ? Lautoriser à prendre un amant ? Mon subconscient matchiste y répugne. Daccord pour la laisser disposer dune queue en état de marche puisque cest nécessaire à son équilibre -à notre équilibre- mais je ne veux pas être écarté. Jaccepte lidée quelle prenne du plaisir entre les bras, non pas entre les bras, par la verge dun autre homme à condition dêtre présent et participer à sa jouissance. Ouais, cest bien joli, mais comment faire ? Rechercher sur Internet ? Pas question ! Jai trop peur de tomber sur des arnaqueurs. Plus le temps passe plus il est urgent de trouver une issue. Jen arrive à me convaincre quun amant serait la moins mauvaise solution quand je tombe au cours de mes promenades en ville sur un ancien collaborateur.

Autour dun verre, nous échangeons nos souvenirs. Je linterroge sur la vie dans la société dont jétais un des principaux dirigeants. La discussion dévie sur les déboires conjugaux de tel ou tel collègue et il me confie sous le sceau du secret quil a résolu ses difficultés de couple en sinscrivant avec son épouse dans un club échangiste. Linformation fait « tilt » dans mon cerveau. Ne serait-ce pas là la solution à mon problème ? Sans avoir lair dinsister jobtiens ladresse du club. Il se propose même de me parrainer. Lors de la rencontre suivante il me confie un carton dinvitation, sésame indispensable pour entrer dans la place. Cest ainsi quaprès avoir bataillé deux longues semaines pour arracher le consentement de Francine, nous nous présentons un vendredi soir à la porte du club.

Je contrôle sur le carton dinvitation ladresse de limmeuble devant lequel nous nous trouvons ma femme et moi. Au moment où je vais sonner à la porte, Francine retient mon bras.

— Tu crois quon fait bien ?

— Nous en avons discuté. Tu étais daccord pour admettre que cest la meilleure solution pour pallier ma déficience.

Francine soupire.

— Je men veux de timposer cette épreuve.

— Je ne désire que ton bonheur.

Jappuie sur la sonnette En réponse à mon coup, un guichet souvre. Je tends le carton. Au bout de quelques secondes, le battant pivote et le cerbère nous invite à entrer. Il nous guide vers les vestiaires, un par sexe. Jy retrouve mon collègue qui me souhaite la bienvenue. Il me demande dinscrire sur un badge le nom sous lequel je veux me présenter. Mon prénom, Michel, fera laffaire. Francine nous rejoint. Au moment de faire les présentations, je souris en découvrant « Laurette » sur son badge. Mon ami nous entraîne vers le bar et nous abandonne quelques instants. Je ne résiste pas au plaisir de taquiner ma femme.

— Oh ! Bonsoir Laurette, quelle surprise de vous rencontrer ici !

Francine rougit.

— Euh Jai pas osé donner mon prénom comme toi.

— Ce nest pas grave, je ne crois pas notre amie soit là.

— Tu sais, jai honte.

— De quoi ma chérie ? Davoir emprunté son prénom ? Il ny a pas de raison.

— Euh Cest pas ça On ma demandé dôter ma culotte Paraît que cest la coutume ici.

— Tiens, tiens, cest intéressant ça, dis-je en flattant ses fesses.

En effet je devine la peau nue sous le fin tissu de sa robe.

— Dis Tu me quitteras pas nest-ce pas ?

Ce nétait pas mon intention, mais que ce soit elle qui le demande memplit dorgueil.

— Je reste à coté de toi, promis.

Mon ami nous rejoint au bras dune toute jeune fille. Avec un sourire égrillard, il me fait comprendre que mon épouse nest pas le type de femme dont il recherche la compagnie en ce lieu. Je préfère. Pendant que nous discutons, un homme de lâge de Francine, peut-être un peu plus jeune, sapproche delle. Son badge annonce « Joseph ». Je réponds à son sourire. Ma femme après un rapide coup dil, lui tourne le dos. Elle ne dit rien mais je la sens frémir. Jalimente la conversation avec mon ami et sa compagne en mefforçant de ne pas perdre lhomme de vue. Est-ce un bon numéro ? Acceptera-t-il ma présence ? Saura-t-il satisfaire mon épouse ? Où cela se passera-t-il ? Toutes questions sans réponses.

Tout à coup Francine sursaute et retire brutalement sa main.

— Oh !

Je regarde mieux. Un sexe long et raide pointe par la braguette ouverte. Lhomme nous regarde un peu surpris de la réaction de ma femme. Notre ami intervient.

— Veuillez excuser mada Mademoiselle Laurette. Cest sa première visite. Il faut lui laisser le temps de simprégner de lambiance.

— Cest moi qui mexcuse de mon audace, jattendrai que mademoiselle me fasse signe, dit-il en se retirant dun pas et en remballant son attirail.

Mest avis quil risque de patienter longtemps car je doute que Francine le relance. Nous terminons notre verre. Je devine que mon ami est impatient demmener sa conquête dans un coin plus calme. Je lassure que tout va bien et que nous saurons nous débrouiller. Il nous abandonne soulagé.

Par contre son départ panique Francine. Le verre tremble dans sa main. Je le retire craignant un accident, elle se love contre moi.

— Embrasse-moi !

Sa langue vient au devant de la mienne et entame un ballet voluptueux dans ma bouche. Du coin de lil, je remarque que Joseph se rapproche. Il est tout contre Francine, elle doit le sentir dans son dos Oui ! Elle stoppe tout mouvement ne sachant que faire.

— Mademoiselle est-elle rassurée maintenant ?

Pas de réponse. Francine cache son visage dans mon cou, son oreille contre ma bouche. Le jeune homme remue derrière elle. Elle pousse un petit cri et se serre contre moi. Je suis dévoré de curiosité.

— Quest-ce quil fait ?

— Il Il soulève ma robe Embrasse-moi !

Je prends ses lèvres. Cest à mon tour dexplorer sa bouche. Francine accepte le jeu. Joseph la bien compris qui remonte le tissu. Je ne vois pas bien mais je suis certain que ses mains sont posées sur le postérieur de ma femme.

— Quest-ce quil te fait ? Dis-moi ce quil te fait Sil te plaît.

— Il Il caresse mes fesses.

— Tu aimes ça ?

— Ou Ou-oui Tu men veux pas ?

— Je tadore.

Je lembrasse dans le cou. Elle sursaute.

— Oh !

— Cest moi qui te fais cet effet ?

— Non, cest sa main Entre mes cuisses Aah !

— Il caresse le sexe ?

— Oui Mmmh !

Ma décision est prise en un instant. Je me dégage juste le temps de dé zipper ma braguette, prendre sa main et la glisser dans mon pantalon.

— Caresse-moi ma chérie.

Ses doigts se battent avec mon slip, parviennent à la tige quils enserrent.

— Raconte Quest-ce quil fait ? Il te caresse ?

— Oui Oh ! Ses doigts

— Que font-ils ses doigts ?

— Ils Ils entrent Mmmh !

Les siens décalottent mon sexe et le martyrisent. Je nen ai cure, je suis trop excité.

— Oh ! Ils sen vont Non, ils reviennent Mais Ooh !

— Quest-ce quil y a ?

— Ce sont pas des doigts cest

Joseph se baisse derrière Francine. Je devine quil positionne sa queue.

— Oooh ! Il entre Aaah !

Le tremblement qui secoue Francine lors de lintroduction se transmet par sa main à mon sexe. Jen suis tout retourné. Joseph entame la danse damour.

— Il baise bien ?

— Tais Tais-toi !

Elle me masturbe à la cadence imposée par Joseph. Je regarde autour de moi. Personne ne semble remarquer notre manège, une telle situation est peut-être courante en ces lieux. Jaide Francine à se maintenir sur ses jambes. Sa main me procure un bien immense. Quelle joie de redécouvrir la sensation dune verge durcie et de résister à la montée de la jouissance. Des mois que cela ne métait pas arrivé ! Et ce nest rien en comparaison du plaisir de sentir Francine vibrer comme aux premiers temps de notre mariage.

— Aaah ! Je Je tai-ai-ai-aime, balbutie-t-elle.

Elle prend son pied entre mes bras, mon épouse. Lhomme qui sagite derrière elle ne compte pas. Nous sommes tous les deux seuls au monde enfermés dans notre bulle de plaisir

Mais tout a une fin. Joseph ahane de plus en plus. Il accélère, soupire plus fort puis lâche sa pression dans un long gémissement que Francine accompagne. Au même moment je décharge dans les doigts qui me caressent.

Nous mettons près dune minute à retomber sur terre. Joseph se retire, jette le préservatif dans une poubelle proche et remballe son attirail après avoir essuyé sa queue luisante. Francine rabat sa robe et nous abandonne pour de rapides ablutions après avoir déposé un léger baiser sur mes lèvres. Elle a réussi à contenir mon sperme dans sa paume et je peux sans risque refermer ma braguette.

Je suis soulagé. Cette première expérience est un succès. Jimagine déjà la reproduire. La prochaine fois nous nous déshabillerons, pour ajouter le contact des épidermes à notre plaisir, mais ça Francine nacceptera pas de le faire en public, même si dans la salle, des couples dénudés évoluent sans gêne. Il lui faudra plus dintimité. Y-a-t-il dans ce club des endroits discrets ? Il faudra que je minforme auprès de mon ami.

Ma femme nous rejoint, radieuse. Je me félicite encore une fois de la réussite de mon plan. Je sens que nous avons trouvé la solution à notre problème. Joseph accepte le verre que je lui offre. Il nous propose de faire plus ample connaissance chez lui où ma compagne serait plus à laise quen public.

— Il ma semblé comprendre que mademoiselle aurait préféré ne pas se donner en spectacle.

Cela correspond si bien à mes pensées que je ny vois pas dobjection au contraire.

— Quen dis-tu ma chérie ?

Francine est plus dubitative. Je dois insister pour quelle accepte. Joseph nous abandonne un instant.

— Je reviens dans quelques secondes. Commandez une dernière boisson sur mon compte, nous quitterons le club quand nous laurons terminée.

Francine refuse que nous montions dans lauto de Joseph. Cela maurait arrangé car jai pas mal bu et je suis fatigué. Néanmoins jarrive à le suivre sans problème et gare ma voiture devant son immeuble. Nous le suivons dans le garage et montons dans lappartement.

Je suis surpris de le voir verrouiller derrière nous. Une exclamation de Francine me fait retourner. Deux individus hilares nous font face. Je réalise mon imprudence. Il faut partir dici et en vitesse !

— Cest ça que vous appelez de lintimité ? Ouvrez-moi la porte immédiatement !

— Tes pas en mesure de dicter tes conditions mon gros, réplique Joseph qui lève la main sur moi.

Mal lui en prend. Jai quelques notions de combat rapproché. Jattrape son bras et le tords violemment.

— Aooouh !

— Allez ! Ouvre-moi cette porte ou je te casse le bras ! Reste à coté de moi ma chérie, nous nous en

Une brutale douleur dans le crâne puis plus rien

Jouvre les paupières. Joseph, penché sur moi me réveille par plusieurs gifles.

— Aïe !

— Tu vois Laurette, fallait pas ten faire, Il a la tête dure ton homme.

Je veux me redresser, impossible. Mes mains sont menottées aux montants du lit où je suis allongé nu comme un ver. Un gémissement, je tourne le visage. Sur le lit voisin, Francine gît, menottée et nue elle aussi, avec en plus un bâillon sur la bouche. La terreur se lit dans ses yeux. Quel idiot ai-je été de nous entraîner dans ce traquenard ! Je suis furieux !

— Espèce de

— Ta gueule !

Vlan ! Une maîtresse gifle me secoue.

— Encore un mot et je te bâillonne comme ta charmante compagne qui na pas compris quil ne servait à rien de crier. Nest-ce pas ma cocotte ? Tu veux que jenlève ton bâillon ? Tu ne gueuleras plus ?

Francine secoue la tête en signe de dénégation. Joseph sapproche et retire le plastique collant.

— Aïe !

Joseph délivre ses mains, elle sempresse de masser ses lèvres endolories.

— Bon, je crois que nos invités se calment. Nous pouvons commencer les festivités. Tout dabord laissez-moi vous présenter Bill

Un grand blond sincline.

— et Jules.

Celui-ci, châtain aux cheveux ras ricane bêtement.

— Et voici Laurette qui va singénier à nous faire plaisir, poursuit Joseph fier de son rôle de maître de cérémonie, et Excuse-moi mon coco jai oublié le nom inscrit sur ton badge. Peux-tu maider ? Rien nest plus décevant que de sinterpeller par des périphrases comme : « hé là viens ici du con » ou « bouge tes fesses, connard ». Alors ton blase ?

— Euh On mappelle Michel.

— Très bien Michel. Figurez-vous les copains, que Michel, ici présent, a emmené mademoiselle dans un club sélect dont par discrétion je tairai le nom, dans le seul but de la voir senvoyer en lair Quest-ce quil y a Michel ?

Son ironie me fait dautant plus mal quelle tape juste.

— On peut dire que tu as de la chance car je te promets que tu vas en recevoir plein les mirettes Tes pas daccord ? Je te comprends pas. Nous sommes trois qui allons prendre soin de mademoiselle et tes pas content ? Que te faut-il de plus ? Hé ! Reste là toi !

Il agrippe Francine qui se levait.

— Euh Je vais aux toilettes.

— Bon, jadmets. Accompagne-la Bill et ne mettez pas des heures.

Malgré la situation désastreuse, je ne peux mempêcher dadmirer la parfaite silhouette de Francine qui ferait envie à de nombreuses jeunes femmes de moins de 30 ans. Mes geôliers sont de mon avis à voir leur il égrillard quand mon épouse disparaît de leur vue. Je soupire, ce nest pas pour me rassurer !

— Dis, Joseph ? interroge Jules. Quest-ce quon fait avec celui-là ?

— Je te lai dit, il va nous admirer à luvre.

— Tu crois pas quil pourrait se rendre utile ?

— Que veux-tu dire ?

— Ben, il a une bouche et un cul lui aussi.

— Ah ! Ma foi pourquoi pas. Attends que je te délivre, tu vas avoir le plaisir de participer.

Il libère une menotte mais sarrête au moment douvrir lautre.

— Non, ce nest pas prudent. Cest quil ma fait drôlement mal tout à lheure. Tu resteras attaché par un bras, mais je te promets que cela ne tempêcheras pas prendre ton pied Hi ! Hi ! Hi !

Il ricane bêtement, fier de sa douteuse plaisanterie.

— Ah vous voilà ! sinterrompt-il quand Francine et son geôlier reviennent. Prends place ma jolie, on a assez perdu de temps. Tu te mets à quatre pattes sur le lit Quoi ? On refuse dobéir ?

Vlan ! Une maîtresse gifle ébranle mon épouse qui serre les lèvres. De rage je tire sur la menotte sans parvenir à me libérer. Joseph empoigne le bras de Francine et la jette sur le lit et lui menotte un membre.

— A quatre pattes ! Plus vite que ça ! Non ? A ton aise ! Jules, va me chercher le martinet !

Celui-ci revient avec lengin. Je nen avais pas vu depuis mon enfance. Me reviennent en esprit les fessées administrées par ma mère. Que ça faisait mal !

— Aooouh ! gémit Francine sous la morsure des lanières.

Je la regarde, désolé de mon impuissance. Elle soupire et grimpe sur les couvertures.

— Ah ! Je vois quon devient raisonnable, ricane Joseph. Rien de tel quune petite fessée pour détendre latmosphère Oui Lève le cul Encore plus Bon, reste comme ça. Et toi Michel place-toi comme elle Plus vite que ça Tu veux goûter toi aussi du martinet ? Cest bon, on peut commencer.

Joseph descend pantalon et slip sur les chevilles. Il sempêtre dans ses vêtements en montant sur le lit, et les enlève.

— De toute façon, jen ai pas besoin, grommèle-t-il en se plaçant derrière Francine.

Jules limite en rigolant. Je frémis de sentir sa main écarter mes cuisses et semparer par dessous de mon sexe. En dautres circonstances je crois que japprécierais. Sur le lit voisin Francine gémit.

— Non, je veux pas.

— Quest-ce que tu ne veux pas ? Il ne ta pas fait jouir tout à lheure le Popaul de Joseph ? Tas pas envie de recommencer ? Moi si !

Joseph écarte les cuisses de Francine et cherche de la main lemplacement du vagin.

— Hé ! Elle est prête ! On va bien rigoler ensemble.

Il affûte sa pine de quelques coups de poignet et senfonce dun seul coup jusquà venir buter contre les fesses. Francine gémit et sarque boute sur les coudes pour résister à la poussée. Jules introduit un doigt dans mon cul.

— Aah ! Ne me faites pas mal.

— Détends-toi mon gros.

Il fait tourner le doigt. Ooh ! Cette sensation. Tout à coup, il se retire.

— Je ne suis pas un sadique, je vais te lubrifier.

Sur le lit dà coté Joseph, avec force gémissements, pilonne ma femme qui cache sa figure dans la couverture. Jule revient. Quelque chose de glacial sintroduit entre mes fesses.

— Hii ! Cest froid ! Quest-ce que cest ?

— Toccupes ! Tu me remercieras.

La chose (de la margarine congelée ?) est remplacée par une grosseur tiède. Une forte pression, le manchon pénètre dilatant lanus. Ssssh ! Que ça fait mal ! Je nose penser à la douleur que jaurais éprouvée si mon bourreau mavait perforé sans préparation. Je serre les dents pour ne pas leur donner la satisfaction de ma souffrance. « Je suis enculé Je suis enculé un salaud mencule Je suis enculé», ces mots orduriers résonnent dans mon cerveau au rythme des coups de queue qui martyrisent mon fondement. Pourquoi est-ce que je pense en cet instant à de jeunes délinquants jetés en pâture à des malfaiteurs confirmés dans une cellule surpeuplée ? Sont-ils submergés comme moi par la rage de limpuissance aussi forte, plus même, que la douleur ?

— Et moi quest-ce que je deviens ?

Tient Bill, le troisième larron se manifeste. Que vont-ils encore inventer pour notre malheur ?

— Tas quà Han ! Te faire sucer Han ! En attendant Han ! Ton tour, ahane Joseph.

— Par qui ?

— A toi Han ! De choisir.

Bill ôte son pantalon comme ses collègues, grimpe sur le lit de Francine. Il veut présenter son sexe à sa bouche mais doit y renoncer car la pauvrette est trop bousculée par les coups de rein de Joseph. Il se rabat sur moi. Je panique. Comment éviter cette humiliation supplémentaire ?

— Je Je lai jamais fait.

— Raison de plus pour commencer, ouvre bien la bouche et pas de blague sinon il ten cuira Arrête un peu Jules le temps que je mintroduise Là Tu peux y aller.

Je peux à peine respirer tant la queue emplit mon palais. Mes mâchoires tirent dêtre grandes ouvertes mais je nose pas me relâcher de peur de blesser le gland et déclencher une colère dont je redoute les effets sur moi et mon épouse.

Peu à peu je prends la mesure des deux introductions, dans mon cul et entre mes lèvres. A la longue cest moins désagréable que je le craignais. De la langue je titille le bout.

— Ouii ! Continue, tu suces comme un champion !

Cest bête mais je suis fier de la remarque. Le frottement dans mon sphincter sadoucit et menvoie quelques ondes bienfaisantes vers mon sexe. Ce serait parfait si Jules me caressait en même temps Parfait ? Quest-ce que je raconte ! Francine et moi nous faisons violer par trois énergumènes et je parle de perfection ! A cause de la bite de Bill je ne peux voir comment cela se passe sur lautre lit. Ma femme gémit mais cela ne ressemble pas à des plaintes ce que me confirme Joseph.

— Soit content Han ! Michel, regarde Han ! Comme Laurette jouit Han ! Pareil à tout Han ! A lheure au club Han ! Tu peux pas voir Han ! Cest dommage mais Han ! Tu peux me croire Han ! Sur parole.

Dans mon dos Jules accélère.

— Cest trop bon ! Aaah ! je viens ! Arrrgh !

Il me bouscule de violents coups de rein. Bill par précaution retire son sexe et je peux enfin fermer la bouche. Encore deux va et viens et Jules saffale sur mon dos. Je tourne la figure. Francine madresse un sourire qui se transforme en rictus sous leffet de lorgasme qui sempare delle. Elle lance son cul au devant de la queue de Joseph, gémissant de plaisir à chaque introduction. Joseph avait raison quand il disait que javais de la chance. Oui, je suis heureux pour elle de sa jouissance. Au moins pour elle tout nest pas négatif.

Ouch ! Une queue senfonce brutalement entre mes fesses. Ce doit être Bill qui a pris la place Jules. Je serre les dents sur ma douleur. Et encore je mestime heureux car le foutre dans mon sphincter a facilité lintroduction. Bill mencule à une cadence denfer. Je me cale sur les coudes pour mieux résister. Il ne va pas tenir longtemps à ce rythme. A coté Joseph et Francine amplifient leurs gémissements. Eux non plus ne vont pas tarder.

— Hé Michel ! On dirait que ça te fait pas plaisir ce quon fait à toi et à ta femme, minterpelle Jules. Pourtant on y met du notre !

— Euh Si, si.

Inutile de les provoquer, jai suffisamment mal comme ça.

— Alors, pourquoi tu bandes pas ?

Il samuse à triturer ma verge souple au moment où Bill se libère dans mon intestin. Cen est trop. Je ne peux pas me retenir. La sève monte et sécoule sur les doigts de Jules.

— Le salaud ! Il ma juté dessus. Tas vu Joseph ? Il décharge sans bander !

Il sessuie sur mes fesses.

— Je comprends, ahane Joseph. Il venait faire Han ! Tringler sa femme au club Han ! Hein que ça Han ! Te manquait ma Han ! Ma belle.

— Heureusement quon est là pour compenser, nest-ce pas Jules, déclare Bill qui descend du lit.

— Ouiiiii ! Cest Boooooon ! Aarrgghh !

Joseph hurle sa jouissance et saffaisse sur ma femme hors dhaleine.

— Cest une baiseuse de première ta Laurette me félicite-t-il. Dommage que tu ne puisses en profiter, mais tas de la veine, mes copains vont se charger de la satisfaire.

— Oh oui ! Jai hâte de goûter à cette merveille, déclare Jules.

Il sapproche de Francine couchée sur le coté en position ftale.

— Tiens ! dit-il en présentant sa queue, rends-lui sa vigueur, puis je te montrerai ce que je sais faire.

Cela me fait mal de voir ma femme prendre lengin et le porter à ses lèvres.

— Toi aussi suce-moi, ordonne Joseph. Cest mon tour de goûter ton cul.

Il me cache lautre lit. Dommage, jaurais aimé que Francine me voie faire comme elle. Je mactive sur la queue recouverte des sécrétions de ma femme

Cela a duré toute la nuit. Dès que nos sucettes atteignaient leur but, nos tortionnaires pénétraient dans le sexe de Francine ou dans mon cul. Ils étaient inépuisables. Chacun a du tirer cinq ou six fois son coup. Mon anus est en feu, la chatte de Francine sûrement au même point. Jai des crampes dans la mâchoire à force décarter les dents. A la fin repus de sexe ils nous ont abandonnés.

— On vous laisse vous reposer une heure ou deux, annonce Joseph, mais rassurez-vous on reviendra avec des croissants et des copains. Nous tenons à ce que vous soyez satisfaits de votre week-end.

— Oh non ! Pas ça ! se plaint Francine lorsque la porte se referme. Je ne le supporterai pas.

Nous sommes toujours sur le lit, un bras menotté.

— Je te retiens toi et ton idée du club échangiste.

— Pardonne-moi ma chérie, je sais, cest ma faute, je naurais jamais du accepter de suivre ce Joseph.

— Tu te rends pas compte de ce que jai du subir.

— Euh Si, je suis logé à la même enseigne.

— Excuse-moi chéri, joubliais.

— Tu verras bientôt ce ne sera plus quun mauvais souvenir.

— Ouais, mais si nous devons subir le même traitement tout le week-end je ny survivrai pas.

— Il nen est pas question. Nous allons sortir tout de suite.

— Comment ? Tes magicien ? Abracadabra et les menottes souvrent ?

— Non mais passe-moi la soucoupe qui est sur la table de nuit Oui, celle-là.

Javais noté que Joseph y rangeait les clés des menottes après les avoir refermées sur nos poignets. Que de fois jai tremblé au cours de la nuit craignant que notre bourreau ne trouve un emplacement plus sûr. Francine tend le bras. Trop cours.

— Attends, je déplace ton lit.

En poussant avec les pieds jarrive à faire glisser la couche. Francine saisit la soucoupe et tente dintroduire une clé.

— Jy arrive pas.

— Donne-moi les clés.

Elle me les tend. Trop loin Je parviens à attirer son lit du pied. Du bout des doigts je touche les clés Elles vont méchapper Non ! Je les saisis et parviens à me délivrer puis je libère Francine. Nous découvrons nos vêtements qui nont pas trop souffert. Mon portefeuille est intact ainsi que mon trousseau. Nos tortionnaires étaient de sales bonhommes mais pas des voleurs. Par chance les verrous souvrent de lintérieur. Nous navons pas à forcer la porte pour nous enfuir. Nous retrouvons notre voiture intacte au pied de limmeuble. Je rends grâce mentalement à Francine qui na pas voulu que jemprunte celle de notre bourreau. Une demi-heure plus tard, nous nous délassons dans un bain chaud. En la serrant très fort contre moi, je calme mon épouse qui narrête pas de trembler, contre coup de lémotion de la délivrance.

Je suis furieux contre moi. Comment ai-je pu être aussi imprudent ? Il était évident que nous ne devions pas quitter le club, que je ne devais pas accepter la sinistre invitation de Joseph. Francine sétait montré plus perspicace, jaurais du lécouter. Jespère quelle ne men voudra pas trop et me pardonnera.

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