(Note de l’auteur : les mots et expressions en italique font référence à des expressions québécoises ou à des emprunts à la langue anglaise.)

  

 Jasmine invita d’abord son enfant à s’approcher et à examiner de proche le gode-pénis qui cherchait tantôt à l’assaillir.

 « Mets-le dans ta bouche, goûte-le. Le lubrifiant est parfumé, tu verras, c’est agréable. »

 La jeune se leva, s’approcha de sa mère sur le bord du lit et s’agenouillant de nouveau, s’exécuta. Sa langue mesura la hauteur de la hampe et ses lèvres l’ampleur du gland. En mordillant ce dernier, elle chercha à jauger son degré de dureté. Certes, c’était toute une pièce mais elle l’introduisit tout de même profondément dans la bouche, jusqu’à ce que la nausée la prenne. Elle voulait vraiment apprivoiser cet agresseur de cul.

 Jasmine reprit la conversation :              

 « Lorsque tu as eu ton accident, tantôt dans la baignoire, en faisant abstraction de ton humiliation, qu’as-tu ressenti à l’intérieur de toi-même?

 – Eh bien c’est je crois, un sentiment de de laisser-aller, oui, de laisser-aller. elle fit une pause tout en continuant de manipuler le gode Et aussi de… d’abandon, oui c’est ça, d’abandon. J’ai tout simplement tout lâché, tout laissé aller car une force que je ne maîtrisais pas m’a m’a vaincue, je dirais. »

 Fière de l’esprit d’analyse de sa fille, Jasmine reprit :

 « Exactement, ma cocotte, abandon, laisser-aller. Tu pourrais aussi ajouter perte de contrôle?

 – Oui, tout à fait. Perte de contrôle, c’est ce que j’ai ressenti.

 – Alors quand tu te fais enculer, cela doit être ainsi. Rappelle-toi ces trois expressions : abandon, laisser-aller, perte de contrôle. Et sous l’emprise de ces trois éléments, qu’as-tu fait? »

 La réponse de la jeune femme allait lui apporter une révélation :

 « J’ai poussé, Maman. J’ai poussé aussi fort que je pouvais. Cette force m’ORDONNAIT de pousser. J’étais complètement vidée et je poussais encore. J’avais l’impression de perdre mes hémorroïdes.

 – Et voilà! reprit Jasmine, tu viens de terminer ton cours de Sodomie 101. On va maintenant pouvoir passer à la pratique. »

 Sur cette note humoristique, les deux partenaires reprirent leurs positions respectives. Jasmine prit soin de fournir des coussins supplémentaires pour les genoux de sa fille, qui lui exprima en retour un timide sourire de reconnaissance.

 La poursuite de l’activité nécessita un tube supplémentaire de lubrifiant, que la mère s’empressa de vider de la même manière que l’autre, à cette exception près que l’application externe du produit fut agrémentée d’un massage péri-anal effectué par des doigts expérimentés et qui fit disparaître toute douleur résiduelle.

 Comme on dirait au football américain, c’était maintenant deuxième essai et les buts. Jasmine fit entrer le gode en contact direct avec l’anus de Sophie, qui ne broncha pas. La poussée s’amorça et on récupéra rapidement le travail déjà effectué, le sphincter étant encore un peu mou.

 C’est à cet instant précis que le match se corsa : Maman poussa plus fermement, et de façon inexorable. C’était maintenant pour la mère une question de non-retour.

 Sophie sentait trop bien la détermination de celle qui avait une vue privilégiée de son joli cul. Elles ne s’en étaient pas encore parlé, mais sûrement la mère avait remarqué le joli petit papillon rouge et vert tatoué sur la partie latérale de sa fesse droite, suffisamment discret pour être caché par la culotte de bikini que portait Sophie à la plage. Pendant cette reprise des ébats, les deux partenaires s’échangèrent de temps à autre de brefs regards, la tête de la belle enculée étant maintenant légèrement tournée vers l’arrière. Une complicité commença à s’installer entre les deux femmes qui partageaient le même objectif.

 Chaque nouvelle poussée dans son petit derrière représentait pour Sophie un nouveau défi. À chaque fois, elle fermait les yeux, pensait très fort à Alicia et répétait dans sa tête : Oh, Ali, Ali, Ali, je t’aime mon minou abandon, laisser-aller, perte de contrôle, abandon, laisser-aller, perte de contrôle. La douleur chercha à revenir en force.

 Sa mère, perspicace comme toujours, savait que sa fille oubliait un élément.

 Jasmine retira complètement le gode du trou de cul de sa fille, à la surprise de cette dernière qui ouvrit soudainement les yeux. Le retrait fut si vif que l’anus, encore béant, laissa pénétrer une bonne quantité d’air avant de se refermer complètement. Sophie luttait maintenant pour maintenir son trou bien fermé.

 En se penchant près de l’oreille de Sophie, Jasmine lui susurra doucement : 

 « Hé poussin, n’oublie pas aussi de pousser contre moi! »

 Ça y était, le mot-clé était lâché. Avant même que Jasmine ait pu recommencer à introduire le pseudo-pénis dans le joli petit trou qui s’offrait de nouveau avec hardiesse à elle, une pétarade se fit entendre alors que déjà la petite salope avait entrepris de pousser de toutes ses forces et de se libérer des démons qui l’inhibaient jusqu’à ce moment. Jasmine reçut quelques gouttelettes sur le bas-ventre. Un liquide glaireux s’écoula hors du sphincter. Ramassant tout ce qui lui restait de force et de courage, Sophie s’était mise à pousser comme pour exprimer son refus de laisser ce pénis artificiel envahir son espace privé. Elle poussa avec toute son énergie, les yeux et le visage crispés, alors que le long gode cheminait lentement de nouveau mais cette fois-ci jusqu’au fond de ses entrailles, alors qu’elle exprimait des sons gutturaux s’apparentant à ceux d’une chatte qui met bas.

 Ayant constaté la disparition de toute résistance chez sa fille, Jasmine allait et venait d’une façon rythmée à l’intérieur du rectum de sa fille. Le travail était achevé. Sophie soupirait de soulagement. Elle faisait ses adieux à sa virginité anale, non sans une certaine joie. L’expérience, somme toute, était bien mais la nouvelle sodomisée connut une certaine déception : elle n’avait pas vraiment connu de plaisir.

 Jasmine répéta quelques mouvements de va-et-vient, pour la forme, car elle aussi croyait que la session tirait à sa fin.

 Le gode fut retiré d’un seul mouvement, laissant une rondelle béante qui tardait à fermer la porte. Sophie se redressa puis, un peu gênée, exprima par l’anus de l’air ainsi qu’une quantité d’un mélange de lubrifiant et de glaire. Aussitôt elle reprit sa position de soumission, la tête au sol, et fit une pause. Sa mère l’observait sans rien dire mais crut deviner ce que sa fille expérimentait à ce moment précis. Le mélange visqueux chemina, par gravité depuis l’espace péri-anal jusqu’à l’entrée du vagin, en continuant en direction des petites lèvres et du clitoris. Visiblement amusée, Sophie fit un effort supplémentaire qui fit surgir par l’anus une nouvelle vague de liquide glaireux ainsi qu’une petite quantité d’air qui éclata en sortant. Elle porta deux doigts à son sexe et commença à frotter doucement son clitoris lubrifié par cette étrange mixture.

 « Maman, ne t’en vas pas. Je crois que j’en veux encore. »

 Jasmine ne put s’empêcher de sourire. Elle obtiendrait probablement plus que les résultats attendus, en fin de compte.

 « Fourre-moi de nouveau, Maman, enfonce-le bien et n’arrête pas de branler ton morceau dans mon cul. »

 La mère obtempéra sans tarder. Nul besoin de lubrifiant supplémentaire. La réintroduction se fit avec une facilité déconcertante. Jasmine poussa et tira le gode dans un mouvement très rythmé de va-et-vient pendant que Sophie accélérait les mouvements sur son bouton d’amour. La nouvelle salope se mit à gémir en poussant au maximum sur l’instrument que sa mère avait de plus en plus de difficulté à garder dans le derrière de sa fille. Les poussées furent si fortes que Jasmine aperçut les hémorroïdes de sa fille autour du pénis qu’elle peinait à garder en place.

 « Ahhhh Ahhhh, c’est bon, c’est bon, c’est bon! » exprimait d’une voix étouffée celle qui allait connaître le premier orgasme anal de sa vie.

 Les mouvements continuèrent encore quelques secondes. Les poussées produites par la jeune enculée étaient soutenues. De petits gaz parvenaient maintenant à s’échapper discrètement entre le gode bien planté et la circonférence anale.

 Arriva le point culminant :

 « Maman!, Maman!, je je vais jouir, je vais jouir, n’arrête pas! »

 Elle se frottait frénétiquement le clitoris, des crampes commencèrent à envahir ses poignets. Jasmine se libéra une main et prit la relève de sa fille sur le bouton d’amour qui était devenu tout rouge et tout gonflé.

 Soudainement la mère observa un changement : tout le corps de sa fille fut couvert de plaques rouges, sa respiration était haletante, ses yeux fermés exprimaient une béatitude nouvelle, une bave abondante inondant le tapis. Sophie fut prise de secousses. Ses gémissements étaient maintenant presque inaudibles. Son sphincter anal se contractait et se relâchait à un rythme qui ne laissa aucune doute : la nouvelle petite cochonne connaissait le premier orgasme anal de sa vie.

 Par expérience, Jasmine retira le gode afin de permettre au muscle anal de fonctionner sans contrainte.

 La jeune n’en pouvait plus : exprimant des bruits bulleux par son anus, elle s’étendit sur le ventre sur le petit tapis de poils et resta un moment immobile. Sa mère voulut la couvrir d’une couette mais la fille fit un geste de rejet : elle avait seulement besoin de fraîcheur.

 Au bout de dix minutes, la jeune adulte se releva doucement, avec l’aide de sa mère. Maman et son petit poussin d’amour s’enlacèrent en éclatant en sanglots de joie. L’initiation était un succès total. 

 « Maman, dit la jeune fille, tu ne sauras jamais à quel point j’ai joui, à quel point je te suis reconnaissante ni à quel point je t’aime!

 – Tout le plaisir, si je peux dire ainsi, fut pour moi, répondit Jasmine, mais je crois que la formule n’est pas vraiment appropriée ce soir. »

 Les deux pouffèrent de rire.

 « Allez, dit Maman, vas te doucher maintenant. Moi, je vais faire le ménage. Pour terminer cette activité, tu dormiras complètement nue cette nuit, comme dans ta nuit de noces. Je reviendrai te border. »

 Elles s’embrassèrent pendant vingt secondes, pendant lesquelles on aurait vu leurs langues valser dans les bouches.

 Sophie revint de la douche, complètement nue, et regagna sa chambre. Elle ne remarqua pas que des yeux masculins postés dans l’entrebâillement de la porte de la chambre parentale l’observaient silencieusement.

 La jeune adulte se coucha. Quinze minutes plus tard sa mère, toujours revêtue de son peignoir rose mais sans sa ceinture-gode, revenait à son chevet. Sophie était calme et semblait sereine.

 « Ça va, mon beau poussin d’amour?

 – Très bien, Maman. Merci encore, Maman.

 – Pas de malaise?

 – J’ai un peu mal à mon petit trou mais je crois bien que c’est normal, n’est-ce pas?

 – Sûr, ma fille. Tourne-toi sur le ventre. »

 Sophie passa de la position latérale à la position ventrale. Tout doucement, Jasmine descendit les couvertures afin d’exposer le dos et les fesses chaudes de sa fille. Sortant un tube de sa poche, elle le décapsula, écarta légèrement les fesses de Sophie et vida 5 ml d’une crème aromatisée sur l’anus de la fille. En écartant à deux mains les petits ballons de sa fille bien-aimée, Jasmine fit pénétrer de sa langue le produit à l’intérieur du petit trou qui venait d’être labouré une demi-heure plus tôt.

 « Cela devrait te soulager rapidement. »

 Sophie exprima un sourire de gratitude et referma les yeux.

 Maman remonta les couvertures sur sa fille.

 « En passant, il est très beau ton petit papillon.

 – Merci Maman. C’est pour Alicia. Tu sais comme elle aime les papillons?

 – Petite coquine! Tu la surprendras jusqu’au dernier moment. Bonne nuit, mon petit poussin, fais de beaux rêves.

 – Je t’aime, Maman.

 – Je t’aime aussi, ma belle cocotte. »

 Jasmine éteignit la lumière, ferma la porte et s’éloigna.

 Cette nuit-là, Sophie dormit comme un bébé.

(À venir: Un père jaloux, une fille délurée)

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