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Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit – Chapitre 18




« Céline, dis-moi tout, n’aie aucune honte ou regret. Tu sais aujourd’hui je peux tout entendre après tout ce que j’ai vu… »

Céline piqua un fard. Elle me déroula tout le scénario par le menu… et je pus constater qu’ainsi que je l’avais subodoré, ce petit chenapan de Damien était un vrai pervers et très bon manipulateur.

Je laissais Céline expliquer son histoire, sans l’interrompre, les explications viendraient après de ma part…

« Tu étais parti aux USA depuis deux jours et je me sentais un peu libre, libérée de la pression continuelle que tu me mets afin d’obtenir des relations sexuelles de ma part.

Ce jour-là, Damien m’avait demandé le matin, d’aller chercher un dossier dans ton bureau et l’alerte mail de l’ordi attira mon attention. Tu m’avais envoyé un mail donnant de tes nouvelles, mais en l’ouvrant, un second attira mon attention, il était assez chargé en mémoire, j’en déduisis qu’il s’agissait d’une vidéo, et provenant de ton entreprise… bizarre. La curiosité me poussa à l’ouvrir et je découvris ta scène de sexe, enfin c’est ce que je pensais alors, vu le montage qu’en avait fait Damien.

Je m’écroulai sur ma chaise, abasourdie. Tu avais une liaison et avec deux lesbiennes en plus. Je passai par toute la gamme des sentiments : tristesse, trahison, colère, ressentiment, désir de vengeance… j’étais là à ruminer des heures durant, le regard fixe sur l’écran, quand une autre idée me vint à l’esprit. Pourquoi avais-tu fait cela, toi qui t’étais toujours montré un mari doux et affectueux, souvent trop à mon goût.

Et je réalisai que c’était ça, la clé du problème : tu m’avais trompée parce que justement je ne parvenais pas à étancher ta soif de sexualité, d’affection, d’amour et de mon corps. Alors une immense tristesse et une culpabilité m’envahirent ; je pouvais toujours te vouer aux Gémonies, il n’en restait pas moins que j’avais plus que ma part de responsabilité dans cette triste affaire.

Oui je devais reconnaitre que je t’avais délaissé durant ces dernières années, je m’amusais même de voir ton dépit lorsque je me refusais à toi.

J’usais et j’abusais de cette « arme « que j’avais entre les cuisses : je me faisais payer des weekends au soleil, des cadeaux divers et variés, rien n’était jamais trop beau pour moi. Tu te pliais toujours en quatre pour moi… et tu n’avais rien en échange. Je m’amusais de cette situation perverse, je te faisais tourner en bourrique, et toi tu restais toujours compréhensif, même si je sentais que mon comportement de garce et ta frustration sexuelle te faisaient atrocement souffrir. J’étais une sale égoïste qui profitait de son pouvoir sur les hommes, sur mon homme.

J’aurais cent fois mérité une claque mais tu n’as jamais levé la main sur moi, juste des petites disputes, qui montraient bien ta tristesse et ton exaspération à mon égard. Alors je te considérais comme un gentil, un faible, un sous homme.

Parfois comme j’aurais aimé que, devant ton attente déçue une fois de plus, tu me foutes une bonne rouste et que tu me baises comme un soudard ; je savais que j’aurais joui comme jamais… mais non rien. Trop gentil, trop bon, trop con.

Tu trouvais refuge sur le net, dans un bouquin et ton ami Jack Daniels.

Quel gâchis je m’en voulais à mort, parce qu’avec mes bêtises, moi aussi je me frustrais d’une sexualité que j’imaginais fantastique avec toi. Alors je trouvai ta bouteille de whisky dans ton tiroir, allai chercher un verre et je m’enivrai pour oublier toutes mes insuffisances et mon inconséquence.

J’étais dans le salon en nuisette et déshabillé blanc, quand Damien me rejoignit, il revenait de son match de rugby. Il sentait la sueur et une chaleur de mâle intense irradiait de son corps, quand il me fit la bise. Le regard brillant ! Le salop savait que j’allais tomber dans ses rets, il me demanda ce que je fêtais ; je lui répondis, et le dialogue s’engagea…

« Ma dépravation future.

— Je ne comprends pas maman, pourquoi dis-tu cela ?

— Parce que je fête, je me suis saoulée parce que je viens de découvrir que ton père me trompait avec deux collègues de bureau… en même temps.

— En même temps ?

— Oui, il y a une vidéo sur l’ordi qu’une des salopes vient de lui envoyer, il n’y a pas d’erreur possible !

— Voyons maman, je comprends que ce soit dur pour toi, mais ce n’est pas une raison pour te mettre dans cet état voyons. Et pourquoi parles-tu de dépravation ? Je ne vois pas le rapport ?

— Moi si. Si je n’avais pas abandonné ton père, si j’avais été un peu plus « sexe », alors peut-être n’aurait-il pas eu besoin d’aller voir ailleurs. Maintenant il va me quitter pour une de ses deux salopes et je vais me retrouver seule, la quarantaine passée… et je n’intéresse plus personne. »

Je me levai et fit glisser mon déshabillé révélant mon corps presque nu, à la vision de mon fils ainé, tant la nuisette était transparente. Damien eut un air un peu sidéré de me découvrir ainsi, il nota d’ailleurs que je ne portais rien en dessous… Son regard devint lubrique :

« Mais non ma petite maman tu es encore très époustouflante pour ton âge, je suis sûr que plein d’hommes seraient encore en voie de te désirer. Ce qui te manque peut-être, c’est un peu de "peps", une vision plus récréative de ta sexualité. Je crois que ce qui a poussé papa à te tromper, c’est ton manque de sensualité, de provoquer un désir érotique chez l’autre.

— Oh mon chéri comme tu peux comprendre les femmes. Tes mots font raisonner plein de choses en moi (elle se mit à pleurer)… aide-moi Damien s’il te plait, apprends-moi…

— Maman je suis ton fils quand même. Ne pourrais-tu pas rechercher quelqu’un d’autre ? »

Toujours complètement saoule, je mes serrais contre mon ainé, en pleurant. Il commença à m’enlacer et me caressa doucement les cheveux. Je sentais son membre viril contre mon pubis. Je me disais qu’il devait être assez gros.

En tout cas, il bandait comme un taureau !

Son odeur de mâle en sueur, sa musculature que je sentais sous le teeshirt détrempé, me mettaient en transe. Une folle envie me traversa l’esprit et me serra le ventre : j’avais envie de lui, je voulais me donner à lui pour oublier mon chagrin, me prouver que j’étais toujours une femme désirable et surtout… me venger de toi.

Alors les choses allèrent très vite ; dans mes vapeurs éthyliques et mon envie insatiable de sexe, là tout de suite, je commençai à lui enlever son teeshirt avec vivacité, et sans que sache comment je me retrouvais nue, enlacée contre son corps, nu lui aussi. Je sentais son sexe bandé contre mon minou humide et son gland venir forcer lentrée de ma grotte. Mon Dieu j’avais une telle envie de baise, je n’avais plus ressenti cela depuis si longtemps… cela aurait pu être n’importe qui, du moment qu’il portât une bite. J’étais complètement désinhibée et ivre de sexe.

Sans que je sache trop comment je me retrouvai dos sur le canapé, les jambes écartées en grand avec la bouche de mon fils ainé sur ma vulve, sa langue caressait mes lèvres et s’enfonçait dans ma chatte brulante de désir, tandis que je sentais un doigt inquisiteur venir branler mon petit bouton.

Bientôt n’en pouvant plus sous le coup de l’orgasme, je hurlais ma jouissance et sans me reconnaitre, je criai :

« Damien baise-moi, prends-moi comme la salope que je suis, je veux ta queue dans tous mes trous ! »

Mais sa réaction m’étonna, il me regarda, piteux, et me dis :

« Non maman j’ai trop honte de ce que je viens de faire, tu te rends compte un fils avec sa mère ?

— Mais je t’en supplie, je te veux, baise- moi, prouve-moi que je suis encore une femme désirable !

— Non maman, désolé, je vais me doucher … », et il se rhabilla.

Alors qu’il montait les escaliers, comme une furie, je me précipitai sur le lui et je commençai à lui heurter le dos de mes bras, en hurlant :

« Damien je te jure que si tu ne me baises pas maintenant, je me fous en l’air, je saute par la fenêtre, ou je prends la voiture et je me jette dans le premier ravin ! »

Arrivée sur le palier, ivre, nue, le frappant sur le dos comme une harpie, il se retourna, un sourire mauvais aux lèvres et un regard sadique que je ne lui connaissais pas. Il me gifla d’un revers de la main qui m’envoya valdinguer sur la moquette. Je fus saisie : mon fils avait osé lever la main sur moi !

Mais au lieu d’être en colère, je sentis une délicieuse chaleur envahir mon bas ventre, j’étais encore à deux doigts de l’orgasme… j’avais aimé cette gifle. Étant légèrement dégrisée par ce geste très violent, je compris alors ma véritable nature : j’étais une soumise et complètement masochiste, j’avais adoré qu’un homme me fasse mal. Je me disais que j’étais folle, mais toutes les réactions de mon corps, ainsi que mon désir inassouvi pour cet homme qui était mon fils me montraient la vérité.

Je comprenais à présent pourquoi je ne t’avais jamais respecté : j’attendais que tu me traites comme une trainée soumise, et chaque geste de gentillesse de ta part n’avait fait que prolonger et augmenter le mépris que j’avais à ton égard. En définitive, je n’avais rien à faire d’un mari gentil, je voulais un Maitre… et un maitre qui me violente. Je n’allais pas être déçu pour la suite.

Damien me retourna du pied pour voir mon visage, je ne pleurais pas, mon regard était de braise :

« Écoute-moi bien petite pute, dès aujourd’hui tu n’es plus ma mère, tu es ma putain. (Se baissant et me relevant en me tirant les cheveux), tu as compris salope ! Ne t’avise jamais plus de me parler sur ce ton, de menacer de te suicider ni de me frapper ! C’est bien clair ?

— Oui Maitre. »

Ce langage ordurier, la façon dont il me traitait… mmhumm… J’adorais cela. L’appellation de « maitre » m’était venue naturellement. Je me voyais dans la même position que les soumises que j’avais vues sur des vidéos de BDSM. Lors de ces visionnages, je me branlais avec vigueur et je criais: « je veux être à la place de ces salopes, je veux me faire dominer, violenter ! ». Et je jouissais alors d’une façon brulante et malsaine.

Toujours me tirant les cheveux, il me fit mettre à genoux et me demanda de le sucer. Je sortis sa queue du short et la dévorai goulument… il ne tarda pas à éjaculer dans ma bouche ; j’avalai tout et ne perdis pas une goutte de son sperme.

Alors il me fit relever, toujours sa main, agrippant mes cheveux, me conduisit dans la salle de bain me plaça à genoux, la tête au-dessus de la baignoire, et saisissant le pommeau de la douche, déclencha un jet d’eau glacée qui me saisit.

Ce coup-là, la chute d’eau froide sur ma tête me fit oublier les effets de l’alcool.

Puis il me demanda de me redresser, de rentrer dans la baignoire, me faisant accouder contre la paroi, les jambes bien écartées et il dirigea le jet d’eau glacée à pleine puissance sur mon sexe entrouvert ; je poussai un cri de surprise. Puis il fit remonter la température jusqu’à une chaleur tout juste supportable, et m’enfonça brutalement deux doigts dans ma chatte ouverte. La pression de l’eau et cette intromission inattendue, me donnèrent un orgasme très puissant. Je jouissais à en perdre haleine. Damien put voir mon visage déformé par la jouissance, mes yeux se révulser et entendit mes gémissements et mes râles de plaisir.

Sans aucune pudeur, j’exhibais mon plaisir secret de femme devant mon fils ainé… ma dépravation avait bien commencé et je ne savais vraiment pas où elle allait s’arrêter.

La salope que j’avais toujours été en secret avait trouvé son Maitre…

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