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Xantos – Chapitre 2




Les problèmes arrivent.

Mais pendant ce temps-là, à la chambre d’à côté, il y a quelqu’un qui n’en perd pas une miette et la main dans la culotte, remplace tant bien que mal, le mâle qui se donne de l’autre côté. Elle entend les grognements refrénés des deux amants en pleine débauche sexuelle. Elle a mal à son petit conin qui manque de soin de la part d’un mâle affamé de son bon jus de pucelle. Dans son orgasme, elle crie sa frustration de ne pas avoir une bonne queue qui lui perce son isthme de Corinthe, elle en a marre de traîner son pucelage à longueur d’année. Elle en veut à ces maudits Allemands qui lui ont enlevé son père qui n’était pas loin de céder.

Elle en veut à sa mère qui lui a pris le seul mâle acceptable dans l’environnement.

Elle en veut à ce mâle de ne pas avoir su répondre à son envie.

Dans la chambre conjugale, les deux amants ont fait silence et tendent l’oreille, ils entendent ce long gémissement triste. Se rhabillant en vitesse, ils vont dans la chambre de l’adolescente, inquiets.

— Qu’est-ce qu’il y a ma chérie, tu as eu un mauvais rêve ?

— Non, je vous ai entendu à travers la paroi et cela m’a fait mal. 

La mère, ne voulant pas perdre ce nouveau soutien ne comprend pas.

— Qu’est-ce qui t’a fait donc si mal ?

— Père n’est pas mort depuis si longtemps pour que tu l’oublies déjà ! Vous êtes répugnants tous les deux.

Là-dessus elle se met à pleurer éperdument.

Xantos, lui a compris le drame, l’odeur qui imprègne la chambre est symptomatique, cela sent la chatoune malmenée. Finalement, il veut bien lui rendre ce petit service et d’avoir deux femmes à combler ne serait pas pour lui déplaire, mais comment y arriver sans les braquer. Cheikh Spear l’aurait dit : ça c’est la question.

Le lendemain, au déjeuner qui n’est pas petit, Élisa est toujours renfrognée et fait clairement la tête. Sa mère est un peu alarmée, mais Xantos qui sait à quoi s’en tenir temporise.

    Élisa, tu dois comprendre que ton père est mort depuis un moment et je lui ai promis de le remplacer complètement. Je ne fais que suivre ses désirs.

— Cela ne le remplace pas, tu ne pourras jamais le remplacer dans mon cur.

— C’est normal, un père reste toujours un père, mais ta mère avait besoin de réconfort et moi aussi.

— Parce que moi j’en aurai pas aussi besoin de réconfort.

— Mais ce n’est pas la même chose. Tu es jeune. Ta mère et moi sommes déjà une génération de différence.

— Ce qui n’arrange pas mes affaires. Avec père, on avait l’habitude de se chamailler, de se câliner, j’aimai sentir ses bras forts autour de moi, tout cela c’est perdu.

— Je peux bien essayer de le remplacer dans les chamailleries, un peu dans les câlins et te prendre dans mes bras, si je ne l’ai pas fait, c’est que j’avais peur de te fâcher.

— Tu le ferais ? Tu sais j’aimais sentir la grosse bosse qu’il avait dans son pantalon quand je venais sur ses genoux.

Myriam suffoquée :

— C’est pas vrai, tu excitais ton père en jouant avec lui ?

— Non Maman, cela venait tout seul, mais après, il devenait encore plus tendre et gentil, je pouvais lui demander n’importe quoi.

— Mon Dieu, qu’est-ce que j’apprends. Ma fille et mon mari qui fricotaient.

— Pas vrai, on ne fricotait pas comme tu dis, juste qu’on jouait les deux et il n’y a pas qu’à toi que père manque.

— Tu ne vas quand même pas faire la même chose avec Xantos.

— Toi tu l’as bien fait, non ?

Myriam, à bout d’arguments, veut frapper sa fille, mais elle est plus leste que sa mère et évite la claque qui lui était destinée.

— Cela ne va pas, si vous vous battez, je ne vais pas rester à la maison, déclare Xantos, bien décidé en voyant comment les choses se passent de tirer son épingle du jeu.

… Soit vous vous mettez d’accord entre vous, soit je pars.

— Non, surtout pas crient ces deux furies affamées.

— Alors comment fait-on ?

— Dis-moi Élisa, tu envisages sérieusement de coucher avec Xantos ?

— Dis-moi chère mère, que dois-je te répondre, as-tu eu beaucoup de retenue ? Ton minou criait aussi famine que tu t’es laissée aller ? À entendre les cris de plaisir que tu as poussés, n’aurai-je pas le droit à aussi y goûter

— Sur le fonds, tu as raison, mais c’est toujours difficile pour une mère de partager le même homme.

Xantos, qui connaît un peu plus la vie que ces deux femmes, se dit qu’il n’est pas loin de réussir, mais cerise sur le gâteau, il pourrait les pousser dans les bras l’une de l’autre, elles ont l’air d’être chaudes toutes les deux.

— Mes chéries, vous me flatter, si vous ne vous disputez plus, je vais rester et j’essayerai de faire plaisir à l’une comme à l’autre, mais j’aimerai que vous vous aimiez plus ou même que l’on joue ensemble.

— Oups, tu y vas fort, remarque Myriam, mais je suis partante pour faire un essai.

— Moi aussi dit Élisa.

Ce soir, on se retrouve les trois dans le lit conjugal pour voir si c’est possible. Ce jour-là, Xantos n’a pas mis les bouchées doubles avec le travail, il a temporisé au max pour garder son plus grand potentiel. Avec deux tigresses, cela ne va pas être de la tarte, il va falloir assurer.

En arrivant à la maison, c’est une ambiance de fête qui l’attend, les deux femmes se sont finalement données le mot pour qu’il reste à la maison, c’est lui le nerf de la guerre. Elles se sont faites belles pour elles, fraîchement baignées, elles ont déjà pris un petit apéritif sur la nuit qui va venir et elles ne se sont pas épargnés les caresses,  bref, elles sont à point pour une nuit mémorable. Elles ont préparé un dîner-souper en apportant tout le soin dont elles sont capables, une entrée en tzatziki léger, suivie de Peppers with Kajmak, Burek, Raznici, Pljeskavica, Cevabi, le tout arrosé d’un vin de Samos. Un vrai oinos à l’ancienne, d’un blond crémeux et doux comme l’amour. 

— Bien après cela, je sens que la soirée va être tout aussi pimentée. Déclare Xantos. Je me rafraîchis de la journée et je vous rejoins.

Les deux gazelles, excitées comme des puces sur un pubis appétissant se précipitent dans la chambre pour se préparer à …

cette nuit mémorable.

Myriam a cependant un petit soucis :

— Dis-moi, tu es encore pucelle ?

— Bien oui, qui veux-tu qui m’ait débarrassé de ce label de garantie

— Il faudra bien qu’on te prépare si tu veux que le plaisir soit présent. Il faut qu’on le dise à Xantos pour qu’il te prépare bien. Avec ton père, je n’avais pas du tout apprécié la première fois, je n’étais pas préparée et ce fut très douloureux et sans plaisir, après, il s’est bien rattrapé.

Sur ces entre-faits, Xantos entre dans la chambre, nu comme un vers la tige en avant. 

— Xantos, il faut qu’on te dise quelque chose, Élisa est vierge, il va falloir la préparer.

— Cela me va, tu t’occupes du haut et moi du bas.

— Comment cela ?

— Bien oui, tu l’embrasses et lui pelotes les seins et moi je m’occupe à lui chauffer le minou, quand elle ne tiendra plus et qu’elle appellera ma pine de toutes ses forces, je lui prendrais alors seulement son bijou.

— Mais je ne l’ai jamais fait avec une femme et encore plus avec ma fille, dis cette menteuse.

— Il y a un début à tout. Montre-moi comment tu vas lui rouler une pelle avant que j’embrasse ses petites lèvres.

— Tu es un cochon et un pervers, rouspète-t-elle

— Tu ne vas pas te plaindre maintenant ! Mais si tu veux, on peut inverser les rôles, tu t’occupes de son minou pendant que je lui conte fleurette. Cela me va aussi.

— Tu vas de pire en pire. Élisa, on va faire comme il a dit en premier, car il faut que tu sois excitée très fort pour que tout se passe bien.

— Mais maman, je suis très excitée par la situation, mais donne-moi tes lèvres pour que je goûte mon premier baiser d’amour.

— Tu ne veux pas que je te caresse tes seins en même temps.

— oui, mais j’aimerais aussi caresser les tiens et même plus en me rappelant mes premières années, j’aimerai les téter aussi.

Sur ce, elle se met sur le dos et ouvre grand ses jambes à la concupiscence de Xantos qui n’hésite pas une demi seconde avant de plonger la tête entre les jambes, la langue en avant pour recueillir  ce nectar de pucelle, effectivement la place est bien prête, le minou dégouline de ce bon jus et le pistil est prêt à recevoir la caresse linguale. Élisa se trémousse de plus en plus fort sous l’effet des bacchantes qui lui rabotent le minou. 

— Viens mon oncle, prends-moi ma pastille, je n’en peux plus d’attendre.

On se retrouve avec l’inverse d’une bonne situation, bien chrétienne, ce n’est ni le père, ni le fils, ni le Saint-Esprit, mais la mère, la fille et l’oncle qui occupent l’attention maintenant. Xantos a embroché sa nièce sans autre forme de procès, passant outre la grimace qu’elle faisait quand il a passé l’obstacle de sa virginité massacrée. Son piston, tel celui d’un train à vapeur au démarrage, commence lentement à faire sa course et tranquillement augmente le rythme, causant dans la matrice réceptrice des ondes de bonheur et de plaisir qui se traduisent par certaines onomatopées simulant parfaitement le bruit du sifflet du train. Pfuit pfuit pfuit.

Elle couine, maintenant qu’elle sent cette bielle lui labourer la boite à marmots. C’est vraiment bon, elle sent qu’elle a bien fait d’exiger sa part de plaisir, surtout que sa mère, lui suçant les tétons en rajoute une couche et augmente son délire.

Lui étant au deuxième service, se sent à l’aise et sa crème de couille n’est pas encore prête à s’éjecter, il peut bien tranquillement pilonner la place sans crainte de représailles, lui obligeant de capituler.

Mais  par contre, Élisa grimpe de plus en plus aux rideaux et doucement elle explose dans un orgasme délicieux, voyant mille étoiles orner le ciel de ses plaisirs. 

Mais la locomotive en route ne s’arrête pas elle continue son bonhomme de chemin et le piston n’arrête pas de pistonner, continuant avec persévérance à labourer son champ, si bien qu’à force d’aller à l’eau, la cruche se casse et elle repart dans un nouvel orgasme, encore plus violent que le précédent.

— Oh ! Que j’aime ta tartine parrain !

— Que veux-tu dire par-là ?

— Excuse-moi, ma langue m’a fourché, je voulais dire que j’aime ta pine Tartarin.

— Fais attention avec les contrepets, je risquerais de faire rentrer tes pets, même si ils sont contre, dans ton antre du diable. J’ai l’outil qui est prêt à l’usage.

— Non continue comme cela, c’est trop bon.

— Je vais continuer, mais tu sais que chez nous les Grecs, le bourrage de cul est le sport national, mais je ne vais pas te prendre tes deux pucelages le même jour, il faut savoir garder un peu pour le lendemain.

Sur ce, sa mère se remémorant les délicieux ramonages de sa turbine à caca que lui faisait son mari, avec son suppose histoire calibre 8/2 pouces anglais, (anglais parce que c’est quand les anglais envahissent sa péninsule que le ramonage du boyau rectal avait lieu principalement.) exige de Xantos qu’il s’occupe aussi de l’arrière pays. Son lac de Joux, situé entre le mont Risoud et le mont Tendre a besoin qu’on visite et cure parfois ses entonnoirs sous peine de débordement.  ( vous allez me dire qu’une grecque n’en a rien à foutre, détrompez vous. Elle réclame vraiment la purge de ses fondements, même si actuellement, les anglais ne sont pas les touristes prédominants dans cette magnifique contrée.)

— Attends donc un peu, Myriam, j’ai qu’un fusil à un coup, même s’il recharge vite, je n’ai pas fini avec Élisa et je ne voudrais pas gâcher l’ouvrage.

— Fais mon chéri, mais n’engrosse pas ma fille, quand tu seras prêt, viens libérer ta livraison de liqueur de pruneau dans ma cave, là, elle ne fera pas de dégât dommageable, la porte est ouverte et j’attends avec impatience ta livraison.

 – D’accord, prépare-toi car je sens que la pression de la vapeur se rapproche de la ligne rouge marquant le risque d’explosion de la chaudière.

— C’est moi qui vais finir ma fille pendant que tu m’arroses mes hémorroïdes. Élysa, vient devant moi et écarte les cuisses que je puisse goûter le fruit de ton dépucelage et te faire partir dans les délices de Lesbos. 

— Mais mère, ce n’est pas convenable !

— Mais ma fille, tu es grecque, cela fait partie de notre patrimoine, la fête de la poétesse Saphos

— Si tu le dis, je sens que je vais améliorer ma culture nationale, c’est un chapitre que l’école orthodoxe du père Bitalos n’a pas traité. (NDR Bitalos est le frère jumeau du père Dupanlou qui dans son cercueil bandait comme un chevreuil, la bite en arc de cercle, il essayait de soulever le couvercle)

— Déjà quand tu essayais d’étancher ta soif en me tirant un lait inexistant de mes seins, tu faisais couler ma grotte, jusqu’à inonder le parvis de Xantos. Finalement, c’est là que tu trouveras de quoi étancher ta soif, mais c’est pas du lait que tu vas trouver, mais le fruit de mon plaisir.

— T’inquiète Mistinguet, quand je te dévorerai ton petit bouton, tu constateras que mes connaissances ne sont pas surfaites. Tu vas décoller comme un Hornet, verticalement.

— Si, je m’inquiète un peu, avec Xantos qui va défoncer ta tuyère en arrosant ta tuyauterie embrasée de désirs et moi qui vais inonder ta bouche de mes humeurs. Si ton porte-avions ne coule pas avec cette avalanche de jus que tu vas recevoir, c’est que….

— Discutes pas tellement et viens que je te broute le minou, Cela fait longtemps que je n’ai plus goûté au plaisirs saphiques

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