La nuit tombe ; jaime cet instant. Je peux faire ce que je veux de moi, surtout en été. Et si, en plus, la lune est pleine, cest le nirvana. Je ne suis pas un loup-garou, quoique… Je cherche bonne fortune : une jolie fille bien sensuelle me plairait bien.

Jerre dans la ville à la recherche de mon idéal. Je crois lavoir trouvé chez moi, simplement chez moi. Ce nétait pas la peine de chercher bien loin. Ma jeune sur de 25 ans habite encore à la maison, comme moi. Nos parents nous ont un peu oubliés en partant vers je ne sais quel horizon.

Nous nous débrouillons aussi bien sans eux. Les tâches ménagères sont assurées par la bonne de la maison ; nous avons assez dargent pour la payer et pour nous distraire. Nous en avons même trop.

La bonne est une fille très particulière qui sexcite dun rien. Je lai surprise je ne sais combien de fois avec sa jupe remontée et une main dans sa chatte. À chaque fois je lui ai fait lamour à ma façon : elle était penchée en avant, les cuisses assez écartées pour que jentre facilement dans son puits.

Lavantage est quelle jouit vite, trop vite pour moi, qui ne jouis quun bon moment après elle. Quand je sors de son abricot, elle trouve le moyen dessuyer ma bite avec sa langue. Il nous arrive souvent de baiser normalement dans la journée quand nous sommes seuls. Là, elle me demande ce quelle appelle des choses interdites : elle veut ma queue dans son cul. Jaime bien lenculer : son cul est très agréable à limer.

Nous sommes sur son lit, elle en levrette, le cul bien mouillé par sa cyprine. Elle a pris lhabitude de guider ma queue vers son petit trou : elle prend ma bite à pleines mains, la passe dans la raie de ses fesses avant de la positionner juste à lentrée de son anus. Alors commence la ronde des mots orduriers :

Salop, mets-la-moi profond ; encule-moi bien Je suis ta truie, ta traînée : jadore me faire mettre dans le cul. Lime-moi profond, encore plus profond. Remplis-moi le cul de ton jus. Fous-moi la profond comme jaime. Je suis une vraie pute qui aime ça. Enferme-moi dans un bordel, que je jouisse sans cesse.

Ce régime allié au vocabulaire me fait immanquablement jouir. Elle trouve le moyen dessuyer ma queue avec sa langue, ajoutant encore du plaisir au plaisir.

La brave bonne a des bontés pour ma sur. Elle la caresse souvent. La première fois que jai vu ma sur Amélie avec la bonne, elles étaient dans le salon, sur le divan. Ma sur avait les jambes écartées et la tête de la bonne était entre les cuisses. La tête rejetée en arrière, elle était en train de jouir. En guise de remerciement, ma sur la faite venir près delle pour échanger un long baiser sur la bouche.

Jai gardé le silence sur ce que javais vu jusquau jour où jai vu ma sur se masturber, toujours au salon, cette fois sur un fauteuil, les jambes bien écartées. Je voyais sa main sur sa chatte qui caressait largement la moule baveuse. Sans faire de bruit, je me suis approché delle. Javais la bite dehors ; je me masturbais lentement. Je ne faisais que regarder sa chatte.

Elle me voyait bien, mais ce nest pas ça qui pouvait larrêter. Ce nest que quand jai joui quelle a joui aussi. Je me retrouvai comme un immonde imbécile devant ma sur qui en riait.

Naies pas peur ; je ne vais pas te bouffer la queue, même si elle vient dans ma bouche.

Je naurais pas dû faire ça.

Quoi, te branler ? Tu as eu raison : je le faisais bien. Jattendais depuis longtemps que te me voies pour que nous baisions ensemble.

Tu veux quon baise tous les deux ?

Même à trois, si tu veux : la bonne aime bien quand tu la baises. Elle nest pas la seule femme dans la maison ; jai droit, moi aussi, à ta queue bien dure, même dans le cul. Je sais que tu aimes enculer la bonne : tu aimeras me le faire aussi.

Je tombe des nues… Ma sur me propose de coucher avec elle. Nempêche que ce que je vois du corps de mon Amélie me donne envie. Pour sceller notre accord, je lembrasse sur la bouche. Ses bras entourent mon cou avant de venir sur mes hanches et ma bite. Elle est rapide, quand même…

Sans dire un mot, nous allons dans sa chambre après quelle ait prévenu la bonne de son déménagement. Ainsi, même la bonne sera au courant. Dici que nous fassions lamour en trio, il ny a quun pas.

Elle nattend même pas dêtre dans la chambre : elle perd ses vêtements en route. Quand nous sommes enfin dans ses lieux, elle ne porte plus quun string et le soutien-gorge. Je suis plus soigneux quelle : jai ramassé toutes ses pertes. Jarrive chez elle en ayant la jupe, le chemisier et le léger pull. Je porte le tout contre mon entrejambe. Je bande assez fort ; je ne veux pas quelle me voie dans cet état, alors quelle ma vu me masturber devant elle.

Amélie se couche, me tend les bras :

Viens me baiser.

Je voudrais avant tembrasser encore.

Crétin ! Tu le feras mieux en étant couché sur moi.

Elle est nue maintenant. Ce nest quà cet instant que je remarque quelle a une jolie fourrure sur le pubis. Je suis juste contre elle ; sa main agile sempare de ma bite bien dure. Je me penche sur sa bouche : nos langues commencent la danse de lamour. Je descends ma main sur sa chatte. Ce nest pas la première que je touche, mais cest la plus douce ; plus douce que celle de la bonne.

Je nai pas besoin quelle maide pour la branler. Jy réussis chaque fois avec les filles, qui ne sen plaignent pas. Ce qui métonne, cest sa façon de faire : son bas-ventre suit mes va-et-vient. Je sais quelle va jouir quand elle me mordille la langue.

Merci, tu me caresses bien. Je ne pensais pas que tu sois si habile.

Moi non plus, je ne savais pas que tu aimais te faire branler.

Tais-toi ; mets-la-moi.

Demandé ainsi, je ne peux refuser. Je suis sur elle, prêt à entrer dans son vase. Cest elle qui me conduit : cest normal, nous baisons pour la première fois ensemble. Elle fait passer le gland tout le long de sa fente. Je touche ainsi son clitoris, son entrée privée, surtout son cul. Enfin, je suis dans son ventre. Quelle chaleur elle dégage ! Quel cur elle met à louvrage ! Jentre tout au fond de son vagin. Quel sentiment de plénitude je ressens Je reste immobile un instant : elle en profite pour se tourner et pour passer sur moi, afin de devenir le maître du jeu. Avant de commencer les allers et retours, elle me demande de lui branler le cul. Je pose un doigt sur lanus. Je caresse ce petit trou avec la pulpe de mon doigt qui, en appuyant un peu, entre tout seul. Elle gémit avant de commencer la baise.

Elle est serrée, plus que bonne à baiser. Mon doigt ne quitte pas son anus. Amélie est prise par le plaisir encore plus que moi.

Tu sais ce que jaimerais ?

Non

Quun de tes potes soit là pour me la mettre par derrière.

Tu veux deux hommes en même temps ?

Cest le paradis, pour une fille. Je lai fait une fois : jai joui comme jamais.

Je verrai comment faire.

Si on demandait à la bonne de se joindre à nous ? Tu la connais : elle baise bien.

Fais-moi jouir, en attendant.

Elle reprend ses mouvements en accéléré. Elle sest assise sur ma queue, quelle change de trou en cours de route. Elle est aussi baisable devant que derrière. Pour elle, la sodomie est meilleure : elle se branle en même temps. Je lai sentie jouir une fois grâce à son con et lautre fois grâce à son cul. Jaime la sentir jouir : elle me comprime la bite chaque fois.

Enfin, elle se relève pour se tourner complètement. Jaime sa façon de faire les 69. Sa bouche est agile, habitable, logement parfait pour une bite, surtout quand sa langue est de la partie. Je croyais sa langue douce, alors quelle est pleine de machins durs qui me donnent des frissons. Je gicle sans rien dire sur sa glotte. Sans rien dire, elle avale ma semence avec plaisir.

Cest une sacrée garce, une vraie salope. Je comprends quelle veuille que nous soyons deux hommes pour la satisfaire.

Je ne lattendais plus ; la bonne entre sans frapper pour se joindre à nous. Dès quil sagit de baise, elle est toujours présente.

Elle soccupe dabord de moi en membrassant ; sa langue remplace celle dAmélie. Elle prend ma bite dans une main pendant quelle commence à se déshabiller. Amélie laide à sa façon en passant sa main sur les seins et entre les cuisses découvertes. Bien sûr, elle la branle aussi. Les voici corps à corps. Elles agissent de concert pour se donner du plaisir. Elles sen donnent pas mal, à entendre les gémissements.

Elles arrivent à me faire bander. Je prends la bonne dans mes bras ; je la retourne pour quelle soit sur le dos, je passe sur elle, entre ses jambes. Là, je nai pas besoin de son aide pour la baiser. Je connais bien le chemin qui mène à son antre. Elle nest pas mouillée : elle est trempée. Ce nest plus un sexe ; cest un beurrier ! Jentre facilement. Ses mains sur mes fesses me guident seulement pour rythmer les va-et-vient.

Les mains dAmélie sont sur les seins de la bonne, qui bénéficie des caresses dune autre femme. Tout en baisant, elle me demande aussi la venue dun autre amant pour quelle aussi puisse se faire mettre à la fois devant et derrière. Elle parle de derrière ; je vais lenculer pour finir.

Jentre encore facilement dans son ventre côté pile. Elle gémit de plaisir, comme une chatte en chaleur que le minou vient combler. Je suis bien dans ce cul, aussi bien que dans celui dAmélie. Je suis comblé avec ces deux femelles.

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