Les trois amants s’accordent alors quelques instants de repos. Mais le sorcier n’a toujours pas débandé.
— Père, est ce raisonnable de vouloir de vouloir nous prendre par l’entrée dérobée ? S’inquiète Cunégonde.
— Le gardien va finir par s’inquiéter, explique Radegonde
— Ne vous inquiétez pas, mes filles ! Le temps s’est arrêté à l’extérieur de cette cellule. Quand vous ressortirez , il sera même étonné du peu de temps que vous aurez passé avec moi ! Qui de vous deux dois-je prendre.
— Radegonde est déjà en place…
— je vais donc vous offrir mon anus la première !
Radegonde se repositionne de façon à présenter sa rondelle en face du sexe paternel que Cunégonde maintient en position. Elle descend doucement son bassin et avant même que le gland ne la touche, elle sent son sphincter s’ouvrir et s’offrir à la pénétration.
Cunégonde porte une main à son périnée car elle aussi a ressenti ce mouvement d’ouverture de son ventre. Son doigt caresse l’anneau ouvert et les deux surs ressentent simultanément, la pénétration du sexe paternel et la caresse du doigt autour de la rondelle.
Les deux sensations se mêlent harmonieusement et Cunégonde décide d’en rajouter en portant son autre main à sa vulve enflammée. Cette ajout de sensation déclenche un orgasme immédiat chez les deux surs.
Après un court arrêt pour permettre à chacune de reprendre ses esprits, Radegonde continue de s’empaler sur le chibre de son père. Les deux surs sentent la progression du pieu qui refoule leurs boyaux et vient caresser leurs matrices.
Après être descendue au maximum et avoir profité de cette sensation de plénitude pendant quelques instants, Radegonde entreprend une lente ascension pour libérer quasiment le sexe du père, en prenant garde toutefois à ne pas laisser s’échapper le gland juteux.
Elle reste ainsi en suspens, enserrant amoureusement le gland de sa rondelle ouverte, puis s’abat brusquement pour s’empaler à nouveau jusqu’au fond de son ventre.
La sensation brutale est inouïe et provoque à nouveau des spasmes d’orgasme chez les deux surs.
Radegonde remonte alors son bassin doucement, puis retombe brusquement. Toutefois, Cunégonde a pu entre-temps insérer sa main dans son propre vagin avide de sensation, si bien que lors de la nouvelle retombée, les deux surs se sentent remplies des deux côtés.
Radegonde semble insatiable et répète à l’envi ses oscillations autour du pénis qui laboure inlassablement le terreau de son cul. C’est enfin, lorsque le sperme jaillit à nouveau que les deux surs connaissent un nouvel orgasme.
Radegonde se relève et découvre que le sexe de son père est désormais souillé de bran et de sperme. Elle entreprend alors de nettoyer soigneusement l’outil de plaisir avec sa bouche, alors qu’elle sent la langue de sa sur qui s’empresse à la nettoyer de la chatte au cul.
Cunégonde s’inquiète alors.
— Aurez-vous toujours autant de vigueur et de semence pour me faire profiter, moi aussi, des plaisirs de mon cul ?
— Certes oui, ma fille, ai-je jamais débandé ? Je tiens à tinonder les intestins comme je t’ai inondé la matrice.
Cunégonde, souriante de la proposition paternelle, prend alors la place de sa sur sur l’engin qui palpite du désir d’enculer. Radegonde aide l’engin à se positionner sous la rondelle ouverte de sa sur qui, foi de préliminaires, s’abat brutalement, engouffrant le terrible engin dans ses reins.
Radegonde se positionne contre sa sur et lui présente sa bouche de façon à ce que leurs langues se rencontrent et se mêlent.
Cunégonde a entrepris de chevaucher son père au triple galop qui ne peut contenir ses râles de plaisir. Le bonheur est proche !
Radegonde, pince les tétons de sa sur, les tords, puis tente de venir les mordiller. Mais les mouvements hystériques de Cunégonde permettent difficilement ce genre de jeu.
Radegonde entreprend alors de jouer de ses ongles pour griffer sauvagement le ventre et la poitrine de Cunégonde. Les larmes de la douleur ressentie par les deux jeunes filles traduisent l’éclatement d’un ultime orgasme alors que le flot de sperme du père jaillit à nouveau au plus profond des entrailles.
