Une fois équipées, j’ai voulu lubrifier les deux engins mais les deux perverses avaient un autre plan ! Elles m’ont demandé de les sucer à tour de rôle. Franchement, sucer les bites c’est pas trop mon truc même si cela m’est déjà arrivé. Mais sucer une femme qui porte une bitte, avoir ce sentiment d’être dominé par cette femme et son phallus, c’est le pied. Je me suis donc appliqué à bien les sucer, toutes les deux, en les tenant par les fesses, pour bien les lubrifier. Ensuite, j’ai suggéré de faire un montage à trois : Belinda prise par Aanja, elle-même honorée par mes soins. Ceci ayant été accepté à l’unanimité, Belinda s’est mise à quatre pattes, appuyée contre le divan, et Aanja s’est placée derrière elle pour la sauter. À cause du strap, elle devait bien ajuster son mouvement mais elle s’est vite retrouvée fichée dans la chatte de la belle Noire. Je me suis placé à mon tour derrière sa complice. Ma pénétration fut facilitée par sa taille car le strap flottait un peu autour de son bassin.
J’ai donc pu rapidement planter mon chicon dans sa foufoune. J’ai donné le "go !" et nous avons commencé notre exercice de gymnastique synchronisée. C’était assez amusant, en effet, pendant que je limais la chatte d’Aanja, elle bourrait le con de Belinda dans un concert de gémissements et de grognements. Malheureusement, nous étions quand même un peu fatigués et cette position n’était pas des plus reposantes. Aanja s’est redressée et m’a regardé en suppliant "Prenez-moi plutôt en double mixte, j’adore faire le jambon dans un sandwich… Et comme je préfère les vraies queues dans mon back-office, tu vas passer derrière…!"
Belinda semblait bien rodée car elle s’est immédiatement couchée sur le dos à même le sol, la tête sur un coussin, en faisant pointer bien droit sa belle bitte blanche. Aanja est venu s’empaler sur le chibre puis s’est couchée sur la belle ébène, mettant ses jolies fesses blanches bien en vue. Je me suis approché de sa croupe, la bitte bien dure en main. Après l’avoir lubrifiée avec le jus de sa moule, je l’ai placée à l’entrée de son back-office. Celui-ci avait déjà été bien utilisé pendant nos ébats, il ne s’était pas encore totalement refermé et restait bien souple. Je l’ai pénétrée d’un seul coup, d’un seul élan, quasi jusqu’aux couilles. Elle a poussé un long gémissement, tout en soufflant, comme si j’avais poussé l’air hors de ses poumons. J’ai ajusté ma prise en faisant quelques petits mouvements, ensuite Belinda et moi avons essayé de nous synchroniser. En étant bien synchrones, cela permettait à la jeune perverse d’avoir nos deux engins dans ses orifices en même temps et de les sentir à travers sa mince paroi vaginale.
Mais aussi, si on sautait un tour, elle était pilonnée en alternance, chatte-rosette, chatte-rosette. Je m’en foutais un peu, son rectum était comme une gaine pour ma verge et je devais juste faire attention à ne pas éjaculer trop vite. Belinda faisait son boulot avec sérieux, si je pouvais en croire ses halètements. Aanja, elle, en voulait encore et nous encourageait à aller plus loin et plus fort.
Je commençais à comprendre pourquoi… Je l’avais agrippée par les hanches et essayais de sortir ma queue au maximum sans sortir complètement avant de retourner au four quand j’ai réalisé qu’elle était en train de nous préparer une petite surprise. En effet, je sentais une certaine pression qui venait de l’intérieur et qui s’accentuait. La salope était en train d’essayer de vider son rectum et ma bite entrait en contact avec sa merde bien chaude. Je l’ai déjà dit, il s’agit rarement d’un accident… sauf bien sûr si on a trop bu, qu’on se fait pilonner le fion style marteau pneumatique, et qu’on n’a pas été chier depuis des plombes… Sinon, c’est à coup sûr "à l’insu de son plein gré" comme aurait dit l’autre ! Or ici, j’avais nettement l’impression qu’elle poussait et qu’elle allait nous offrir cette dernière gâterie en conclusion de la soirée. Je n’ai rien contre les sodos merdeuses, que du contraire ; et je me disais que si elle allait se risquer à ce petit jeu, elle devait savoir que Belinda n’y voyait guère d’inconvénients.
Néanmoins, j’ai préféré prendre mes précautions en lançant "Aanja, tu nous prépares un cornetto au chocolat ou je me trompe ?!". La pauvre semblait incapable de prendre la parole et c’est Belinda qui apporta la confirmation "Elle ne sait jamais se retenir, elle adore se faire bourrer le fion mais après il faut nettoyer… et se nettoyer…" J’ai pris ça pour un feu vert clair et sans équivoque.
J’ai complètement sorti ma queue de son trou de balle pour constater les premiers dégâts, mon gland avait pris une belle couleur brune, cela s’annonçait bien. Je suis retourné explorer son trou à purin, et j’ai de suite senti la masse molle qui s’apprêtait à sortir de son cul. La salope gémissait et poussait fort. J’ai ressorti mon dard et constaté qu’il était enrobé de bon "chocolat". À travers son il anal, j’ai vu qu’elle était prête à chier. J’ai préféré ramoner sa cheminée une dernière fois pour mettre la pression. Là, elle m’a supplié "Arrête, je vais exploser…". Elle était mûre ! J’ai rapidement sorti ma queue, cette fois bien grasse et gluante, et une première livraison de caca a suivi sans attendre. Comme au distributeur de "soft-ice", la coulée semblait onctueuse et fluide, pas trop puante, juste ce qu’il fallait. Dans un gros effort, elle a refermé la porte, coupant l’arrivée. J’ai juste eu le temps de rattraper un peu de son bronze sur ma bite, que j’ai utilisé pour pommader sa raie.
J’ai vu qu’elle avait recommencé à pousser et je suis reparti au fourneau. Cette fois, je n’ai pu que m’essuyer les pieds à l’entrée car sa seconde livraison était déjà bien avancée. Elle a laissé couler plus longtemps, déchargeant une belle quantité de belle merde. J’en ai barbouillé ma bite, le reste tombant entre les cuisses de Belinda qui avait arrêté son pistonnage. Le flot s’est arrêté sous la contraction de son anus, mais à mon avis elle avait dû garder des réserves. J’ai encore bien tartiné son joli cul, plus tellement blanc tout comme ma queue couverte de son "Nutella". Elle s’est ensuite relevée et s’est retournée comme pour constater les dégâts, et innocemment a joint les deux mains sous son menton et s’est exclamée "rhôlalaaa… il y en a beaucoup quand même…!" Effectivement, il y avait de quoi contenter les plus exigeants !
Elle contemplait ma bite maculée de son caca comme un enfant regarde un sucre d’orge, avec une intrigante lueur de gourmandise dans les yeux. Je me suis demandé si elle allait me faire une pipe. Avaler ou sucer de la merde est quand même très risqué, même si elle sort de votre propre trou du cul, et je ne tenais pas à prendre des risques insensés. Mais elle se contenta de murmurer "qu’elle est belle toute maquillée…!". Derrière elle, Belinda avait une vue magnifique sur son joli fessier barbouillé de son caca, et semblait trouver le spectacle excitant car elle se massait les seins avec douceur, jouant aussi avec ses tétons. Puis elle s’est levée et s’est dirigée vers la chaise en bois. Au passage, elle a pris un petit plug ventouse qui traînait sur la table et a remplacé celui que j’avais utilisé plus tôt. Elle s’est assise dessus en écartant un peu les lanières de son strap-on. Elle a poussé un beau "ouiiii" puis m’a fait signe "Viens maintenant, je vais t’enculer beau blanc !".