Le lendemain matin lorsque je me levai, maman était toujours en train de dormir. Elle ne travaillait pas ce matin là, je la laissais donc dormir. Je pris mon petit-déjeuner, me lavai, mhabillai et partis en cours. Tout au long de la journée, je me demandais si javais rêvé ce qui sétait passé avec maman cette nuit. Je me demandais comment nous allions réagir quand nous nous croiserions et si elle sen souviendrait vraiment. Le soir je poussais la porte de lappartement, maman était à la cuisine en train de préparer à manger. Je la rejoignis pour lui dire bonjour et lui faire un bisou sur la joue. Je pris un soda dans le frigo et massis à la table en la regardant travailler.
Elle semblait comme à son habitude. Je rompis le silence :
— « tu as bien dormi maman ? » ;
— « oui un peu trop bu et javais mal à la tête en me réveillant » répondit-elle ;
— « je men suis rendue compte, je tai entendue rentrer » ;
— « désolée de tavoir réveillée ma chérie » ;
— « ce nest pas grave, cela ma permis de faire une belle découverte ».
Elle se retourna, le sourire aux lèvres et demanda :
— « ah oui et laquelle ? »
Cest moi qui souriait maintenant :
— « tu ne ten souviens pas maman ? » ;
— « jaurais eu du mal à ne pas men souvenir même dans létat où jétais » ;
— « et cest tout ce que cela te fait ? » ;
— « cest fait, on ne peut pas rien changer et franchement regrettes-tu ? ».
Je dus avouer en baissant la tête que « non » et de rajouter insolente « au contraire ».
Elle éclata de rire et dit :
— « eh bien tu vois nous sommes deux ».
Je ris avec elle en me remémorant nos attouchements. Je lui demandai :
— « tu crois que lon recommencera ? » ;
— « même si ce nest pas quelque chose courant, nous sommes consentantes et si nous en avons envie, pourquoi pas si nous gardons cela pour nous ».
Mon esprit flottait dans les souvenirs de cette nuit et une douce moteur recommençait à envahir ma culotte. Je me levai et mapprocha delle. Tendrement en la tenant par les épaules, je déposai un baiser sur ces lèvres et lui disant « tiens, cest pour le plaisir que tu mas donné cette nuit ». Elle sessuya la main droite et, en me prenant par le cou, me rendit mon baiser en glissant la langue « alors ça cest pour ce que tu mas donné ma chérie ». Nos lèvres restèrent soudées dans ce long baiser, nos poitrines lune contre lautre palpitaient.
— « mets la table Chloé, sinon nous nallons pas manger ».
Je mexécutai car je savais quelle avait raison. Nous dînèrent comme à laccoutumé en parlant de choses et autres. Je filai préparer mes cours pour le lendemain pendant quelle faisait la vaisselle. Je la rejoignis plus tard dans la soirée alors quelle regardait la télévision dans le salon. Je massis à côté delle en posant ma tête sur son épaule. Elle passa son bras gauche autour de mes épaules dans un geste tendre. Je me sentais bien. Je commençais à massoupir quand maman me réveilla pour que jaille me coucher. En me frottant les yeux et métirant, je lui demandai si je pouvais dormir avec elle cette nuit. Il métait arrivée de dormir avec maman et Marie-Hélène sa copine quand jétais petite, mais jamais depuis quelle était seule. En souriant elle accepta en ajoutant « on ne fait pas de folies ce soir car je travaille demain aussi ». Jacceptais bien volontiers en allant me changer dans ma chambre.
Jarrivais avec mon oreiller dans sa chambre. Elle était encore dans la salle de bain. Jen profitais pour minstaller confortablement, ne sachant si elle prendrait la place de droite ou celle de gauche. Elle arriva pour se coucher uniquement vêtue de sa culotte. Moi javais, comme à mon habitude en cette période de lannée pas encore très chaude, mon t-shirt et ma culotte. Elle sallongea à mes côtés, membrassant chastement pour me souhaiter bonne nuit et éteignit la lumière. Elle me tournait le dos et je me collai contre elle, ma main posée sur son épaule. Nous nous endormîmes ainsi.
Je me réveillai le matin avant que le réveil ne sonne. Maman dormait encore mais face à moi. Je ne pus résister à lenvie de toucher sa belle poitrine qui mavait attirée la nuit précédente. Baissant un peu le drap, je posai ma main gauche sur son sein droit pour le caresser. Sa peau était si douce et chaude. Je jouais avec ce téton qui durcissait lentement entre mes doigts. Cela mexcitait. Ma main descendit vers son ventre et se glissa dans sa culotte. Je retrouvais la douceur de ses poils. Mes doigts commencèrent à sinsinuer entre ses lèvres. Je la sentais large et ouverte. Inconsciemment, maman se tourna un peu en écartant les jambes. Jen profitais pour titiller son clitoris sortant de son capuchon. Elle séveilla en ouvrant doucement les yeux, me sourit en sétirant. Elle retira complètement sa culotte me laissant le champ libre. Je me glissai entre ses cuisses et commença à la lécher. La moiteur de sa chatte était intense et je dégustais sa mouille avec volupté. Maman maintenait ma tête avec ses mains. Ma langue fouillait son intimité et revenait sur son clitoris. Son bassin sélevait au rythme de mes coups de langue jusquau moment où un cri de plaisir jaillit de sa gorge et je sentis tout son corps secoué des tremblements de lorgasme.
Je restais un moment sans bouger, puis toujours collée contre elle, je remontai pour lembrasser. Elle lécha sa mouille qui couvrait encore le bas de mon visage. Jétais trempée et elle dut le sentir car en deux mouvements elle retira mon t-shirt et ma culotte pour se glisser sous moi. Jétais à genoux, me tenant à la tête de lit. Maman sur le dos avait sa tête au niveau de ma chatte, ses mains sur mes hanches. A grands coups de langue, elle me léchait. Cétait délicieux et je mabandonnais complètement à cette caresse. Que ce soit ma mère qui me lèche ainsi me rendait folle et me faisait mouiller encore plus. Je me pinçais le téton droit. La jouissance monta et éclata dans mon ventre. Je criais sans retenue et mécroulai sur loreiller. Maman se dégagea et sallongea à mes côtés. Nous nous serrâmes mutuellement dans les bras en nous embrassant. Il était temps de nous lever et nous nous rendîmes dans la salle de bain. Après un bon petit-déjeuner, nous partîmes chacune de notre côté pour nos activités.
A suivre…