Le lendemain matin, je me lève, je me sens transformée. Jai limpression dêtre une autre personne. Je me sens bien dans ma peau, heureuse, épanouie. Lamour de mon père nest certainement pas étranger à ce nouvel état. Mon père est dans la cuisine, je suis avec mon bas de pyjama, torse nu.
« Bonjour chérie » me dit mon père doucement.
« Tu as bien dormi ? »
« Oui merci et toi ?»
Il me prend dans ses bras, me serre contre lui, me caresse les seins.
« ça va, ton anus ne te fait pas trop mal ? »
« Non ça va, je le sens un peu mais ça va »
Il me caresse les fesses, je me cambre.
« Jai rêvé de toi Virginie »
« Ha bon ? » Il continue de me parler doucement.
« Oui tu étais dans la même tenue que ta mère, lautre nuit. Tu portais une combinaison noire très courte. Des bas résilles tenus par un porte jarretelles noir et blanc, culotte et soutien-gorge assortis. Tu portais des talons aiguilles. Tu étais maquillée, très belle. Tu déambulais dans la maison en te déhanchant.
Je vois que mon père a un début dérection. Moi aussi. Mon père le voit.
« va mettre le haut de ton pyjama, il couvrira ça » dit-il en montrant ma bosse.
Je reviens avec mon haut de pyjama.
« ça te plaît ce que je te raconte ? »
Je lui souris il comprend.
« Il me tarde de te voir habillée en femme et maquillée. »
Je sais que cela arrivera, mais quand ? Je ne suis pas sûre dêtre totalement prête.
Je massois pour boire mon chocolat. Mon père me caresse le cou. Il se met derrière moi, me caresse les épaules. Je me sens bien, ses mains sont chaudes. Il descend ses mains sur ma poitrine et commence à me masser. Je me cambre, poitrine en avant pour lui montrer que je moffre à lui.
« Cest bien, tu es belle comme ça, seins en avant et fesses en arrière »
Mon père me fait des compliments, je suis au ciel.
Je continue de prendre mon petit-déjeuner, je lentends descendre sa braguette. Je me tourne, son sexe est dressé, dur, superbe. Je comprends ce que mon père cherche. Je prends sa bite en main et je commence un lent va et viens. Elle est chaude douce, dure, raide épaisse. Jaime cette texture, jaime lodeur dégagé par son sexe tendu. Jaime les poils qui dépassent au dessus de sa queue. Il me sort de mes rêveries en me disant doucement pour nêtre entendu que de moi :
« taille moi une pipe avant que ta mère ne se lève et avant que je parte au travail »
Je me lève, je me mets à genou devant mon père, je prend sa queue dune main, je place son gland luisant dans ma bouche et je commence mon travail. Jaime sucer, à genou, cest la position qui mexcite le plus. De mon autre main, je lui caresse les couilles. Je mactive de plus en plus vite.
« Dépêche toi salope, je ne voudrais pas que ta mère nous voit comme ça »
Jobéis en continuant de le sucer, de le branler et de lui caresser les couilles. Il me prend par la tête, il mimmobilise, et cest lui qui fait des vas et viens dans ma bouche. Je me laisse faire avec plaisir.
« Petite salope, je vais jouir dan ta bouche et tu vas tout avaler jusquà la dernière goutte, pour ne laisser aucune trace »
Je sens que sa queue se raidit dans ma bouche, je mattends à recevoir sa semence. Elle arrive en quatre jets que jarrive à avaler sans problème. Le goût de son liquide ne me déplaît pas. Je commence à my habituer.
« Avale tout cochonne, tu suces mieux que ta mère et en plus toi tu reçois dans la bouche et tu avales sans rie dire, alors que cette pute ne veux même pas recevoir dans la bouche.
Une fois les jets de sperme arrêtés, je lèche le gland quil serre fortement pour faire sortir les dernières gouttes que javale avec délectation. Il me caresse le visage, remet sa queue à sa place, membrasse sur le front.
« Merci chérie, tu es divine »
Je suis heureuse davoir satisfait mon père, et jaime quand il me complimente.
Il sassoit à côté de moi.
« Il me tarde de te refaire lamour, mon cur »
Je suis charmée par mon père. Je lui souris. Je suis contente.
Ma mère sest levée, elle nous rejoint. Elle semble remarquer que mon père est assis très proche de moi. Elle nous embrasse et dit sur le ton de la boutade : « on dirait deux tourtereaux en lune de miel. »
Elle ne croit pas si bien dire : mon mari ma dépucelé cette nuit et mon mari est le même que le sien. Si elle savait. En plus je viens de le soulager de ses tensions sexuelles matinales.
Je me sens pour la première fois jalouse de ma mère, ou en compétition avec elle pour obtenir les faveurs de mon père.
Mon père part travailler. Il fait un bisou à ma mère. Je me lève de ma chaise et me pend à son cou pour lembrasser (sur la joue). Mon père pose ses mains sur mes reins, me serre contre lui et me dit :
« Allez, lâche-moi chérie, il faut que jy aille » et il me tapote le fesses pour me faire lâcher. Ce que je fais.
Mon père sen va.
Ma mère reste silencieuse mais au bout dun moment :
« Dis donc cest devenu une vrai histoire damour vous deux »
Je rougis et ne réponds pas.
« Tu las embrassé quasiment, comme une femme embrasse un homme »
Je deviens écarlate.
« il tappelle chérie, il veut que je thabille comme une fille ou presque »
« Je ne suis pas habillée comme une fille, maman »
« Quand tu portes tes djinns et que tu marches en te déhanchant, je peux te dire que des hommes te regardent »
« Ha bon ? »
« Ton père ma toujours dit que tu étais un drôle de garçon et cest pour ça que ça ne se passais bien entre vous. Mais depuis quelques temps je vois bien quil te regarde différemment. »
« Que jétais un drôle de garçon ? »
« Oui il ta toujours trouvé féminin »
Je ne réponds pas. Jai limpression que ma mère est jalouse de lattitude de mon père envers moi. Me considèrerait-elle comme une rivale ?
La conversation sarrête là et je me prépare et je pars à lécole.
Toute la journée je pense à mon dépucelage dhier soir, la petite gêne que je ressens entre mes fesses lentretient certainement. Cette gêne mexcite ; je repense à mon père qui ma faite femme hier soir. Je me sens femme aujourdhui et je me déhanche librement et je me fous de ce que pensent les autres. Je me sens libérée et imperméable aux jugements des autres. Mon père ma rassurée, en me faisant lamour. Jespère que je lui ai plu et quil aura de nouvelles envies de moi.
Pendant les jours et les semaines qui vont suivre ma mère sabsente peu, elle reste le soir avec mon père et moi, je ne peux plus être seule avec lui. Le soir la porte de leur chambre est fermée mais jentends leurs ébats. Jaimerais tant être à la place de ma mère.
Un matin mon père mamène au lycée et me dit quil a eu une discussion avec ma mère. Il la sentie jalouse de moi et quelle me trouvait de plus en plus féminin.
« Ma chérie il ne faut pas saffoler. Sur ta féminité, tu fais ce que tu veux, tu vis ta vie, elle ne pourra rien te dire et si elle tembête je te défendrai. Je tencourage même à continuer et si ça te plaît à être plus féminine encore »
Je me sens rassurée et jai envie de me féminiser.
« Pour nous deux il faut faire attention : continuer de bien sentendre mais ne pas manifester notre désir devant elle ok ? »
« Ok papa »
« Ne tinquiète pas je trouverai le moyen de te baiser »
Je lui souris.
« Jaimerais bien que tu sois plus féminine »
« Moi aussi, je vais continuer, jaimerais arrêter de porte des slips de garçon, je préfèrerais des culottes en dentelles »
« Tant quà faire porte des strings chérie, tes fesses nen seront que plus désirables »
Jacquiesce dun sourire.
Arrivés devant le lycée, mon père arrête la voiture.
« Ne remue pas trop tes fesses en sortant, sinon tu vas te faire une réputation de pd dans tout le lycée. »
Je souris, jembrasse mon père, je sors de la voiture et en marchant je me déhanche comme jamais je ne lai fait en extérieur. Mon djinn moulant fait bien ressortir mes fesses. Des garçons me regardent, certains se moquent. Peu importe les moqueries, je veux me féminiser. Jespère que mon père remarque mon manège et lapprécie.
Le soir en rentrant ma mère est là. Je lembrasse.
« Ta journée cest bien passée au lycée mon chéri ? »
« Oui maman, très bien »
Je méloigne en me déhanchant fortement. Jespère que ma mère le remarque.
Je vais dans ma chambre, je me place devant mon miroir et je baisse mon djinn sur mes hanches. Je retourne voir ma mère.
Jarrive face à elle en me déhanchant outrageusement. Ma mère me regarde mi étonnée, mi dégoûtée (elle semble faire la moue).
Je me prépare un goûter.
Ma mère rompt le silence.
« Je trouve que tu marches dune drôle de façon depuis quelques temps. »
« Ha bon et comment ? » dis-je étonnée.
« Hé bien tu te déhanches beaucoup »
« Ha bon jai pas limpression davoir changer quelque chose » dis-je embarrassée.
« Je me fais peut-être des idées, mais je peux te dire quhier quand nous étions avec René (notre voisin) et que tu nous a quitté il ta regardé dune drôle de façon »
« Et comment ma-t-il regardé ? » dis-je faussement attristé mais en fait heureuse davoir tapé dans lil dun homme mur. René a la cinquantaine, bien conservé avec un bon ventre
« Il a regardé tes fesses, comme il aurait regardé une femme, et il ma dit il a grandi celui-là, il a mit un cul de fille »
« Ha bon ? »
« Oui, il plaisantait, mais il la dit »
Je rougis gênée de ce quelle me dit, mais en même temps curieux de savoir ce que pense vraiment René de moi.
Le soir je vais me coucher, je sais que ma mère va rester avec mon père.
Dans mon lit je pense à notre voisin, René .