Quand je débutai ma carrière d’enseignant, je fus affecté dans une école professionnelle dans une banlieue assez agitée. J’avais des élèves qui avaient à peine quelques années de moins. Mais ils étaient intenables. Je passai plus de temps à obtenir un semblant d’ordre dans ma classe qu’à faire cours. Ecoeuré, je demandai ma mutation. On n’obtenait que rarement une mutation aussi rapide. Et il ne fût proposé que peu de postes, inintéressants pour la plupart.
Je remarquai toutefois, dans le cadre d’un accord de coopération, un poste dans un lycée technique du sud de la Tunisie. La culture islamique est très claire sur un point : les femmes devaient arriver vierges au mariage. De ce fait, les jeunes hommes, ne peuvent assouvir leurs pulsions sexuelles qu’entre eux. Cette situation, propice à des aventures, m’intéressa, je postulai et fût retenu.
Lors du briefing à l’ambassade, je fus un peu déçu. A mots couverts, on nous dissuadait de rencontrer des élèves en tête à tête, sous peine d’être accusé de détournement de mineurs. Je pris néanmoins la route du Sud, contactai quelques enseignants déjà sur place, qui me trouvèrent une maison à louer, ainsi qu’un cuisinier-aide ménager.
Il existe une longue tradition d’esclavagisme dans la région. Pendant des siècles, les Arabes traversèrent le Sahara pour capturer des noirs, hommes et femmes, et les ramener comme esclaves. Si ces coutumes n’existent plus aujourd’hui, les noirs, descendants de ces esclaves, avaient gardé un comportement d’obéissance.
Je sentais chez mon cuisinier, Ahmed, ce comportement. Il obéissait à mes ordres sans rechigner. Il avait 19 ans, assez petit et mince. Mais comme, vu la chaleur, il travaillait en tee-shirt et petit short, j’eus l’occasion de deviner, sous son short, un petit cul assez rebondi. Il s’aperçut assez vite que je reluquai son cul. Il se mit à avoir des attitudes provocantes. Un jour que j’étais assis dans le séjour, il entreprit de nettoyer le haut d’un meuble. Il grimpa sur une chaise, en face de moi, et se hissa pour atteindre le haut du meuble. Il leva un peu une jambe, et comme j’étais assis un peu en-dessous de lui, j’eus l’occasion de constater, en dessous de son short qui s’écartait sur ses jambes, qu’il n’avait pas de slip en-dessous, et que ce qu’il dévoilait était appétissant.
Un autre jour, j’étais assis dans le salon, et, à 4 pattes, il récurait le sol, dos tourné, short tendu sur ses petites fesses. Je finis par entrer en érection. Imperceptiblement, il reculait vers moi. Quand il fût à la portée de ma main, mon excitation l’emporta, et je mis ma main à son entrejambe. Il tourna sa tête vers moi, avec un grand sourire. Excité comme je l’étais je lui baissai son short et enfilai un doigt mouillé dans son trou du cul. Je n’étais pas le premier à passer par là. Je m’agenouillai derrière lui et appuyai mon gland contre son trou. Ca rentra tout seul. Je le saisis donc par les hanches, et me mit à le baiser. Je l’entendais haleter et gémir de plaisir. Excité comme je l’étais cette première baise fût assez brève.
Les cours ne commençant que la semaine prochaine, pendant les derniers jours de la semaine, je le baisais dans toutes les positions et les pièces de la maison, à son grand plaisir : sur la table de la cuisine, sous la douche, dans le salon, moi assis dans un fauteuil, lui empalé sur ma bite bandée, et, bien sûr dans mon lit.
Lors de mon arrivée au lycée, je m’aperçus que je n’avais en charge que des élèves en classe terminale. Après une brève visite au proviseur, je me dirigeai vers ma salle de cours. Tous les élèves se levèrent et se tinrent immobiles. Ca me changeait de la banlieue. Je fis remplir à chaque élève une fiche de renseignements, avec nom, adresse, date de naissance, Comme j’étais dans une classe terminale, et qu’ils n’étaient pas en avance dans leurs études, je m’aperçus que dans leur grande majorité, ils étaient majeurs. Il en fût de même avec les autres classes, ce qui m’ouvrait des perspectives alléchantes
J’étais venu en cours, le premier jour, en pantalon et veston. Je m’aperçus bien vite que mes collègues étaient en tenues plus décontractées, chemisette et jeans pour la plupart. Je décidai le lendemain d’offrir une surprise agréable à mes élèves. Je choisis un jean bien moulant. Rien qu’en traversant la cour, j’aperçus des élèves se retourner pour « évaluer » mon cul. Une fois en classe je m’installai derrière mon bureau. Il s’agissait d’une simple table, surélevée, car posée sur une estrade. Et j’écartais les cuisses, ma braguette bien gonflée par mon érection. Je vis les paires d’yeux de toute la classe se fixer sur ma braguette, ce qui ne diminua pas mon érection. J’envoyai quelques élèves faire des exercices au tableau. Je choisis ceux dont le pantalon était moulant, et reluquai leurs culs. Je n’étais pas le seul. Les autres élèves avaient temporairement délaissé ma braguette pour le cul de leur condisciple.
Après une journée passée comme ça, rentrant chez moi, j’entrainais Ahmed, mon cuisinier, sur mon lit pour dégorger ma queue. J’étais tellement excité que je jouis deux fois de suite dans son cul.
Le lendemain, comme je n’avais pas cours l’après-midi, j’allai à la plage. Je traversai la première partie, où étaient installé quelques touristes, pour aller plus loin, là où la plage était bordée d’une forêt d’eucalyptus. Quelqu’un était déjà installé là. En m’approchant, je vis que c’était un de mes élèves. Dès qu’il me reconnût, il se passa la main dans le maillot de bain, et se mit à se branler. Je m’accroupis à ses côtés. De sa main libre, il me caressa entre les cuisses.
« Tu sais, je ne me fais pas baiser »
Avec un sourire, il se mit à plat ventre et ondula du cul. Je jetais un regard rapide. Personne, à part les touristes, loin, là-bas. Je baissai son maillot pour découvrir un jeune cul, presque trop charnu à mon goût. Mais mon doigt me fit découvrir une « entrée » très accueillante, du fait certainement d’une longue pratique. Je m’enfonçais en lui très facilement, et, dans la chaleur de cette fin d’été, le baisait paresseusement, longuement.
Le lendemain matin, j’eus des problèmes de démarrage avec ma voiture. Comme j’étais dans un lycée technique, il y avait une section « mécanique auto » dirigée par un dénommé Bernard, qui m’avait déjà été présenté. J’arrive tant bien que mal au lycée, et, un peu en retard, file à mon cours. A l’interclasse, je vais dans l’atelier de mécanique. Désert. Mais j’entendais des bruits dans l’arrière salle vers laquelle je me dirige. J’y découvre un élève. Penché sur le capot d’une voiture, froc et slip aux genoux. Et derrière, Bernard qui lenculait vigoureusement. Pas du tout gêné, Bernard me fait un clin d’il, et l’élève un sourire vicieux. Ce dernier devait aimer s’exhiber pendant qu’on l’enculait.
Je les laisse terminer, puis expose mon problème à Bernard.
« Ca doit être des bougies encrassées. Laisse-moi les clefs de la bagnole, je vais m’en occuper. Au fait, t’as déjà enculé un de tes élèves ? »
« Oui, hier après-midi, à la plage »
« T’as bien raison, ils ont tous le feu au cul ! Et il n’y a pas que les élèves, je te recommande Ali, le prof d’anglais. Et si tu veux, je pourrai de faire rencontrer des mecs que j’encule, en ville »
Ma voiture réparée, je rentre chez moi. Le lendemain était un dimanche, jour de congé de mon cuisinier. Il faisait une chaleur étouffante, et je me baladais en slip, chez moi. En début d’après-midi je décide d’une sieste. Quand j’entre dans ma chambre, j’aperçois mon voisin, qui malgré la chaleur, était sur son toit en terrasse, surplombant mon jardinet. Un mec dans la trentaine, bien foutu. J’avais déjà discuté avec lui, et l’avais trouvé sympa. Je lui fais un signe de la main, ouvre les fenêtres et referme à moitié les volets. Puis, lui tournant le dos, j’enlève mon slip, et, pour ôter toute ambiguïté, me doigte le cul. Je vais ensuite m’allonger à plat ventre sur le lit, jambes écartées, feignant de dormir. J’entends un raclement, et je vois mon voisin descendre une échelle de son toit pour accéder à mon jardin. Je ne bouge pas. Je l’entends entrer silencieusement par la fenêtre. Bientôt je sens une main me caresser l’intérieur de ma cuisse, et frotter contre ma raie des fesses. Bientôt un gland s’appuie contre mon anus.
Je m’étais déjà doigté, j’étais en sueur et la pénétration se fait sans peine. Il me baise doucement, lentement, et s’en va.
Un peu plus tard dans l’après-midi, je sors dans la rue à la recherche d’un cours oublié dans ma voiture. J’y retrouve mon voisin. Conversation anodine, comme s’il ne s’était rien passé. Le soir, je décide de me coucher de bonne heure. Volets ouverts. Bientôt j’entends un raclement et le scénario de l’après-midi reprend. Sans un mot. Il est revenu par la suite. Nous n’en avons jamais parlé. Pour lui je n’étais qu’un trou du cul dans lequel il pouvait venir prendre son plaisir.
Le lendemain à la sortie du cours, je vois Ali, le prof d’anglais, devant moi. C’est vrai que dans son jean, il avait un superbe cul. Je le rejoins
« Salut, j’ai entendu dire du bien de toi »
« Ah bon ? »
« Oui. Surtout de ton cul, il parait qu’il est superbe »
Sur ce, il s’arrête, me regarde en souriant et me propose d’aller dans sa salle de classe, déserte à cette heure. Une fois-là, il appuie ses mains sur sa table, et me laisse faire. Je dégrafe son pantalon, et lui met le cul à l’air. Vraiment bien foutu, musclé, ferme, les fesses naturellement écartées laissant entrevoir sa raie. Il se doigte spontanément pour s’humecter, et je pénètre ce superbe cul. Par la vitre de la porte fenêtre, j’aperçois un surveillant qui nous mate en se branlant ostensiblement. J’en fais part à Ali
« Je m’amuse bien avec lui. Il n’a jamais osé m’aborder. Alors je le laisse là. Il prend son plaisir en venant me regarder me faire enculer. »
Le lendemain, je fis passer une interrogation écrite à mes élèves. Je remarquai qu’un des élèves du dernier rang, qui avait été très attentif à ma braguette gonflée (que je m’amusais à leur montrer de temps en temps) était à la peine. Je vins lui chuchoter quelques conseils, en lui passant la main au dos, juste au-dessus de son pantalon. Il défit alors le haut de sa braguette, et le pantalon, à l’arrière se détendit. J’y glissai ma main. Voyant que j’éprouvais des difficultés, il défit complètement sa braguette, et je pus glisser la main, et lui chuchotant la solution, enfonçai bien ma main et allai lui doigter le cul. Son voisin, pendant ce temps, copiait la solution que j’avais donnée à son camarade. Voyant qu’il était en short, je vais lui poser une main sur ses cuisses. Il les écarte aussitôt et me laisse complaisamment glisser un doigt, contre la cuisse dans son short et se laisse doigter avec le sourire.
En sortant, je vis un élève enfourcher sa mobylette, et un autre la selle derrière lui. Avant que le premier soit complètement assis, le second lui glisse un doigt le long de la raie du cul. Voyant que je souriais de leur manège (effectué en public, devant leurs camarades de classe) ils sapprochent de moi l’air rigolard. Je leur donnai rendez-vous à tous les deux sur la plage, près des eucalyptus. On était en fin d’après-midi, et la plage était déserte. Ils me virent arriver et glissèrent une main dans leur maillot pour se branler. Je saisis celui qui s’était fait mettre le doigt au cul, le prit par les hanches, le mit à 4 pattes puis baissai son maillot. J’écartai ses fesses et invitai son copain d’un signe de tête. Ce dernier baissant son maillot commença à l’enculer. Il allait lentement, il voulait que ça dure. J’observais les deux gars qui baisaient, se donnant en spectacle devant moi. L’enculé bandait bien. Je lui saisis sa queue et la branlai doucement. De mon autre main, avec un doigt mouillé, je pénétrai l’enculeur.
La situation m’excitait au plus haut point. Je passai derrière et enfonçai ma bite dans le trou de l’enculeur.
J’avais de l’avance dans la préparation de mes cours, aussi j’avais plus de temps, pour aller à la plage, ou visiter les environs.
Un jour, à la plage des touristes, je revis un jeune allemand, assez grassouillet, qui m’avait reluqué plusieurs fois lorsque je passais. Je m’installai face à lui, à quelque distance. Il écarta les jambes et se caressa ostensiblement la bite par-dessus son maillot. J’en fis autant. Il se leva et rangea ses affaires. Je le suivis dans son hôtel, assez près pour l’entendre demander le numéro de sa clef de chambre au comptoir. Peu après j’allai frapper à sa chambre. Quand il m’ouvrit, je n’oubliai pas que j’avais affaire à un européen. Je l’embrassai donc longuement sur la bouche. Pendant ce temps, ma main descendait derrière son dos, glissait sous le maillot, et je lui frottai assez vigoureusement la raie du cul. Comme il était contre moi, je sentais sa bite bien bandée. Je l’entrainai ensuite sur son balcon, entouré d’une rambarde en béton. Je le penchai sur la rambarde. Il pouvait voir les touristes à la piscine, seulement un étage au-dessous de lui. Je me penchai derrière lui, baissait son maillot et lui léchait la raie du cul.
Les gens qu’ils voyaient à peu de distance ne pouvaient deviner qu’il donnait son cul. Cette situation l’excitait énormément, et quand je me fus redressé, je n’eus aucun mal à l’enfiler. Il était tellement excité, qu’il jouit avant moi, sans même se toucher.
Je redescendis au bar raconter mon aventure au barman
« Hans ? Un vrai pédé celui-là ! Je dois lui envoyer un mec tous les soirs, et en général il les garde la nuit pour se faire mettre plusieurs fois »
« T’en connais d’autres vicieux dans l’hôtel ? »
« Oh oui, mais les plus cochons sont un père de 45 ans et son fils de 20 ans. Le père appelle des mecs pour enculer son fils devant lui »
Je venais de décharger dans le cul de Hans, mais cette histoire vicieuse me fit rebander immédiatement. Je demandai le N° de chambre et y allait immédiatement. Le père m’ouvrit
« Bonjour, le barman m’a appris que tu cherchais des hommes pour enculer ton fils devant toi. Si je te conviens, je suis volontaire »
Le père avait jusque-là exclusivement utilisé des tunisiens. Un européen serait une diversion agréable et il accepta. Le jeune lisait sur son lit, en maillot de bain. Je le lui enlevai et le plaçai sur le lit, à 4 pattes, jambes écartées. C’était la position qui me semblait la plus adéquate. Le père se faufila en effet sous son fils, pour voir de près ma bite qui bientôt se mit à aller et venir dans le cul de son fils. Mais j’avais oublié que dans ma position, agenouillé, cuisses écartées, le père, en dessous avait un bon aperçu de mon trou de balle. Dans lequel, il ne tarda pas à insérer un doigt lubrifié. Je me tortillais pour, à la fois, enculer le fils et m’empaler sur le doigt de son père. Voyant ma bonne volonté, le père vint s’agenouiller derrière moi et m’enfila sa bite. Après cette bonne baise, ils m’offrirent à boire. J’étais assis à côté du fils qui bandouillait vaguement . Je le caressai et il entra en érection. Voyant cela, je fis s’allonger le père à plat ventre sur le lit, et me plaçai au-dessus de lui.
Le père crût que j’allais le baiser, et, en remerciements de mes services, acceptait volontiers. Mais je m’étais placé trop haut pour cela. Et le fils voyait le cul de son père à travers mes jambes écartées. Il avança, timidement puis se décida et commença à limer le cul de son père. Le père réalisa brutalement ce qui se passait. Je m’appesantis sur lui, pour l’empêcher de bouger. Et, passant une main, sous lui, je sentis qu’il avait une superbe érection à l’idée d’être enculé par son fils. L’idée avait dû lui trotter dans la tête, mais il n’était jamais passé à l’action. Je quittai la chambre, certains que ces deux-là allaient recommencer, le fils baisant le père. Et il pourrait bien lui venir à l’esprit de faire baiser son père par des tunisiens, devant lui.
Une après-midi, je décidai d’aller me promener en voiture, et sortit de la ville, par une petite route, que je ne connaissais pas. J’avais mal fait mon choix. Bientôt une colline d’ordures longeait le bord de la route. La décharge municipale ! Au sommet de laquelle des hommes, penchés en avant, faisaient de la récupération. Je décidai de m’arrêter car ils tournaient la plupart le dos à la route. L’un d’eux retint mon attention. Il avait une quarantaine d’années, et il portait un short si large, sans slip dessous, que quand il se penchait, jambes écartées, on voyait très bien sa bite pendouiller et ses couilles balloter. Je restai à me branler dans la voiture devant ce joli spectacle. Quand il se retourna, je lui fis un signe de la tête. Il me fit un sourire, descendit et se dirigea vers un bosquet. Quand je l’y retrouvai, il était, froc aux chevilles, penché en avant, s’appuyant au tronc d’un arbre, le cul bien tourné vers moi. Un doigt mouillé me convainquit que c’était un « habitué », et contrairement aux précautions que je prenais avec mes élèves, je le baisai bien à fond, ce qu’il sembla apprécier.
En repartant, nous croisâmes un tunisien d’un certain âge, qui entrainait un jeune vers le bosquet, en lui passant la main au cul. Et je compris pourquoi ils tournaient tous le dos à la route, en hauteur sur leur colline. En faisant ainsi, ils exhibaient leurs parties intimes aux tunisiens qui passaient en voiture, s’arrêtaient et pouvaient faire leur choix en toute connaissance de cause, avant de les entraîner dans le bosquet.
En repartant, je fus doublé par un flic à moto, qui m’intima l’ordre de m’arrêter. Je préparais mes papiers. Il me fit un signe négatif de la main
« Je suis le beau-frère de votre voisin. Je sais que vous vous laissez enculer par lui. J’aimerais bien en faire autant. Si vous refusez, j’en parlerai à sa femme »
Je souris intérieurement de la menace, car le flic était bandant, et j’étais décidé à lui donner satisfaction.
Je descendis donc de ma voiture, me penchai sur le capot, baissai mon froc et offrit mon cul. Il me baisa lentement et longuement, le long de la route, tant et si bien que certains tunisiens, en voiture, partis chercher un petit cul à la décharge, s’arrêtèrent pour mater un européen se faisant enculer publiquement par un flic tunisien.
Le soir, pour remercier Robert de son dépannage de ma voiture, je l’invite au restaurant. En arrivant il me dit que c’était un très bon choix, parce que l’on y mangeait bien, mais aussi parce qu’après le repas, on pouvait « profiter » du cuisinier qui donnait son cul au premier venu. Nous attendîmes que tous les clients aient fini leur repas, pour nous faufiler dans la cuisine. Dès que le cuisinier aperçut Robert, avec un sourire, il s’accouda à une table, nous tournant le dos, et retroussa sa djellaba. Je lui trouvai un trop gros cul, à mon goût. Il est vrai que les cuisiniers ne sont généralement pas minces. Robert l’enfila avec une grande facilité, et se mit à le baiser. Moi, je n’avais d’yeux que pour le cul, blanc et ferme de Robert qui s’agitait devant moi. Je m’approchai et le lui caressai. Robert se retourna avec un sourire, puis arqua son cul vers moi. Je le pénétrai très aisément. Il ne devait donc pas se contenter d’enculer ses élèves, il devait aussi se faire enfiler par eux !
Le lendemain matin, je reçus une lettre « officielle ». J’étais convoqué au commissariat à 15h. En arrivant, je fus tout de suite introduit chez le commissaire. Il n’y alla pas par quatre chemins :
« Bonjour, Monsieur. Certains bruits sont parvenus à ma connaissance. Vous avez de nombreuses relations sexuelles avec de jeune hommes, dont un de mes policiers. Ces relations se passant avec des majeurs, il n’y a pas de délit. Mais il ne faudrait pas que ces rumeurs arrivent jusqu’à votre ambassade, car vous seriez en position délicate. En tant que commissaire, j’ai un certain pouvoir d’influence, et je vais faire cesser ces rumeurs. Après tout, vous ne faites que vous comporter comme la grande majorité des hommes de cette ville : vous appréciez les culs des jeunes hommes, et vous profitez de leur disponibilité. Je vais donc demander qu’on cesse de s’intéresser à vos comportements. Il pourrait courir des rumeurs analogues sur presque tous les mâles de cette ville ! Cela étant, j’aimerai vous demander un petit service. Il parait que vous avez un cul très appétissant »
En souriant, je défis ma braguette et laissai tomber mon pantalon aux chevilles. Le commissaire se leva, passa derrière moi, et saisit fermement mes fesses, qu’il pelota un moment. Il me fit pencher en avant, main sur mes genoux, baissa mon slip et écarta mes fesses. Il apprécia la vue et se mit à me lécher, puis à doigter, à un rythme assez soutenu. Me jugeant assez assoupli, il me pénétra en douceur et m’encula lentement pour bien faire durer le plaisir. Il m’exprima ensuite sa satisfaction
« J’ai beaucoup apprécié notre rencontre, Monsieur. Je vais faire cesser ces rumeurs. Bien sûr, cela prendra du temps. En conséquence, je vous demande de revenir me voir une fois par mois »
Je l’assurai, en toute franchise, que je le ferai avec plaisir, car je trouvai qu’il m’avait bien baisé. Et pour l’en convaincre, je l’invitai à dîner chez moi, en précisant que j’avais un lit très confortable. Ca le méritait bien : j’allais pouvoir continuer mes sodomies, en toute impunité, sous la protection du commissaire !
Fin