SYLVIANE ET JOSEPH RENDENT VISITE (SUITE)
Joseph sursaute. Ils se sont assoupis après létreinte. Il tient toujours Sylviane dans ses bras, la queue encore en place. Il sent une présence. Oui ! Nicole et Lucas les contemplent main dans la main sur le seuil de la porte. Depuis quand sont ils là? Bah quelle importance! Il leur fait un signe de tête. Les deux enfants savancent. Ils interrogent du regard Joseph qui leur sourit. Encouragés, ils sassoient sur le lit. Quils sont mignons tout nus, surtout la fille, pense le jeune homme. Avec honte il sent sa verge gonfler. Sylviane grogne de plaisir. Nicole avance la main pour caresser la cuisse de Joseph. La queue fait un bond dans le vagin de Sylviane.
— Ouiii! Oh!
La jeune femme qui découvre la présence insolite, se dégage et sentoure du drap. Nicole regarde avec envie la hampe toute luisante des sécrétions féminines.
— Que faites vous là? interroge Sylviane.
— Vous êtes si belle, plaide Lucas.
Le compliment touche la jeune femme. Non, ce nest pas bien, pas devant son copain attitré! Pourtant elle ne bouge pas. La requête de Chloé lui demandant de soccuper de ses enfants revient à sa mémoire. Cest ça quelle voulait dire!
— Joseph, Joseph je ten supplie, aide moi sinon je ne réponds de rien! murmure-t-elle.
Un coup dil à son ami. A la façon dont il dévisage Nicole, elle comprend quaucun secours ne lui viendra de ce coté. Elle doit se débrouiller seule. Un soupçon de jalousie étreint le cur de Sylviane. Puisque cest ainsi pourquoi se priver! Elle soffre aux regards de Lucas pendant que ses yeux sattardent sur la verge du garçon qui se redresse peu à peu.
Son compagnon lit une admiration comparable dans les pupilles de Nicole. Sa queue hoquète ce qui fait loucher la gamine. Il rougit dexhiber ainsi son désir. Il décide de réagir. Il se lève brusquement et lentraîne dans le couloir.
— Ce nest pas bien de sintroduire ainsi dans une chambre.
La jeune fille se colle contre lui. Il frémit au contact des seins, du ventre, des poils du pubis qui chatouillent son sexe dur. Par un effort de volonté, il la repousse.
— Votre mère risque de nous surprendre.
Nicole le regarde étonnée. Elle sait elle que Chloé ne dira rien. Elle tente de se rapprocher.
— Pourquoi vous voulez pas?
— Ce ce euh
Cette gamine qui lui demande de la baiser! Il en bafouille. Elle le sent fléchir. Elle entoure de sa main la verge qui pointe, indécente.
— Aah !
— Philippe! appelle-t-elle, dis lui toi quil peut.
Joseph succombe. Cest de cela dont voulait parler Chloé tout à lheure! Malgré lui ses bras enlacent le jeune corps. Il ferme les yeux pour ne pas voir une bouche sapprocher de la sienne. Un tremblement le secoue quand une langue frétillante écarte ses lèvres. Nicole lentraîne dans sa chambre. Le couple recule sur le lit. Par la porte il entend Lucas déclarer:
— Jai envie de faire lamour avec vous.
La réponse de Sylviane nest pas distincte. Quelle se débrouille, pense-t-il, il sen fiche. Tant mieux si elle a envie du garçon. Il embrasse Nicole. Il na plus honte. Quimporte si quelquun le surprend, plus rien ne compte que cette chair ferme et douce quil va honorer.
Dans la pièce quil vient de quitter, la jeune femme est désemparée. La fuite de Joseph la laisse sans défense. Dêtre nue face à un garçon nu dont le désir est évident, lui ôte ses facultés de discernement. Elle regarde la verge sapprocher. Elle ne voit quelle. Elle tend la main, non! Si! Elle soupire de soulagement de la toucher de lentourer de sa paume. Il savance. Elle se renverse sur le lit sans lâcher son trophée. Les hanches du garçon écartent ses cuisses qui cèdent.
— Aah!
— Aah!
Allongé sur Annie, Philippe écoute les bruits provenant du couloir et des chambres proches.
— Je crois que ça y est.
— Oui, répond elle. Ton frère et ta sur ont ce quils voulaient.
Ils reprennent la danse damour un instant interrompue
Sylviane et Joseph se retrouvent au bord de la piscine. Ils ne sont pas fiers deux. Ce nest pas lattitude de Nicole et Lucas qui sembrassent et se caressent comme deux amants sur une chaise longue qui les réconforte. Elle plonge, il la suit.
— Pardonne moi ma chérie, lui murmure-t-il, tu men veux?
— Aime moi oui, maintenant!
Le désir revient. Quelques caresses de Sylviane suffisent à restaurer la rigidité nécessaire. Elle se soulève dans leau et descend sur la verge.
— Aah!… Ouiii!
Elle est heureuse, le frottement dans son vagin efface le souvenir de lautre queue quelle veut oublier. Elle sourit au frère et à la sur qui les contemplent amusés. Quimporte de se donner en spectacle, elle fait lamour avec son homme, il ny a que cela qui compte. Il est bon de leur montrer quils narriveront pas à les séparer
Quand elle rouvre les yeux, une fois londe de plaisir évanouie, elle rougit devant le regard ironique dAnnie. La jeune fille les rejoint.
— Cest bon de baiser dans leau nest-ce pas? On peut se concentrer sur son seul plaisir, tu trouves pas?
— Tais toi au lieu de proférer des horreurs!
Annie éclate de rire et lembrasse. Chloé détourne la tête. Joseph sort de la piscine et sinstalle à ses cotés.
Nicole regarde étonnée les deux naïades soudées lune à lautre, bouche contre bouche.
— Quest-ce quelles font? demande-t-elle à Philippe.
— Elles se caressent, tu ne vois pas?
— Oh! Entre filles? Elles sont lesbiennes? murmure-t-elle.
— Pas du tout, la rassure son frère. Elles saiment et se le prouvent, cest tout. Tu me prouves bien que tu maimes toi aussi.
— Cest pas pareil!
— Mais si! Viens, rejoignons les.
Il entraîne sa sur dans leau et la pousse dans les bras dAnnie.
— Montre lui comment tu laimes.
— Mais je je balbutie la jeune fille.
Annie lenlace et applique des petits baisers sur la figure. Ses lèvres glissent sur les yeux, la joue, la bouche enfin. Sa langue sinsinue entre les dents qui sécartent. Elle senroule autour dune autre langue qui recule dans un premier mouvement, puis timidement vient à sa rencontre.
— Aah!
Annie sourit. Sous la surface, sa main entoure le petit sein. Elle triture le téton qui sallonge sous les doigts. Lautre main caresse le ventre, un index senroule dans les poils, sépare les lèvres du sexe.
— Que que fais tu?
— Elle te caresse? demande Philippe.
— Ou oui, mais mais je veux pas. Ce nest pas bien.
Malgré sa dénégation Nicole ne fait aucun mouvement pour échapper aux investigations dAnnie dont deux doigts excitent le clitoris.
— Aah!
— Nest-ce pas agréable? poursuit-il.
— Ou oui.
— Alors, laisse toi faire.
Annie plonge sous la surface et embrasse le sexe. Ses lèvres mordillent le petit bouton sensible.
— Aaah!
Nicole sagrippe à son frère pour ne pas couler. Ses jambes la trahissent. Cest la première fois quon la caresse ainsi. Annie émerge pour reprendre respiration.
— Ah! Tas aimé?
Nicole reprend les lèvres et entoure le cou de ses bras.
— Allons dans ta chambre, murmure Annie à loreille. Jai envie que tu me caresses toi aussi.
— Je je saurai pas faire.
— Je te montrerai.
— Où vont elles? demande Chloé en voyant les deux filles senfuir.
— Bah! Laissons les, déclare Sylviane qui la rejointe. A leur âge elles ont des confidences à se faire.
— Elles vont se caresser?
— Quel mal y a-t-il?
— Euh je ne sais pas.
Une autre fille dévergonde sa fille. Après ses fils qui senculent, un autre pan de sa morale seffondre. Cest peut-être mieux ainsi. Elle reprend sa lecture. Philippe freine lardeur de son frère qui voulait suivre les deux filles.
— Que vont elles faire? demande Lucas.
— Parler entre filles. Ça fait du bien à Nicole.
Chloé invite Sylviane et Joseph à une promenade dans le parc.
— Euh Je voulais vous remercier.
— De quoi? sétonne Sylviane.
— De vous être occupé de mes enfants. Oui, ajoute-t-elle devant le regard dincompréhension du couple. Ils ne connaissaient que les membres de notre famille. Il est bon que des personnes étrangères leur apprennent lamour et ses plaisirs. Vous ne men voulez pas de ma franchise?
— Euh non, balbutie Sylviane.
— Les laisserez vous samuser encore un peu dici votre départ? Je vous le demande comme un service.
Le couple échange un regard dimpuissance. Quelle famille! Ils retournent à la piscine. Entre temps, Philippe a cédé aux prières de son frère qui brûle de savoir ce que font les filles entre elles.
Il nest pas déçu du spectacle. Nicole couchée sur le dos lèche le sexe dAnnie qui lui rend la pareille.
— Je savais bien que je pouvais te faire confiance lui murmure-t-il.
— Quest-ce quelles font? Cest sale! Lucas est offusqué.
— Pas plus que de se faire sucer la bite, affirme Philippe. Taimerais pas? Annie! Occupes toi de lui!
— Et moi? rouspète Nicole quand la jeune fille obéit, quest-ce que je deviens?
— Je ne te laisse pas tomber, lui dit son frère non reste comme tu es
Il sinstalle à la place dAnnie.
— Prends ma queue oui suce la Aah! Cest bien A mon tour.
Il penche la figure entre les cuisses écartées de Nicole.
— Aaaah!
— Continue de sucer ne tarrête pas!
Lucas les regarde faire les yeux grands ouverts.
— Viens ici mon gros! lattire Annie. Montre moi que tu es aussi habile que ton frère.
Elle se couche à coté de Nicole. Lucas hésite puis imite Philippe.
— Aah! gémit il quand Annie introduit le gland dans la bouche.
— Hé! lui lance-t-elle avant de reprendre son trophée, ne moublie pas!
— Ecarte les lèvres du sexe avec les doigts, lui conseille son frère aîné. Tu vois le clitoris? Tu le prends entre les lèvres Si! Ce nest pas sale je tassure, elle vient de prendre un bain! Là bien continue comme ça.
Les deux couples se donnent du plaisir. Lucas comprend vite ce quil doit faire. Annie est satisfaite. Un coup dil à Nicole. Celle-ci suce avec application la verge de Philippe. Cest une bonne élève. La jeune fille est fière de son rôle dinitiatrice. Les gémissements augmentent dintensité. La première Nicole pousse un cri.
— Aaaah!
Philippe étanche les gouttes de cyprine qui suinte du vagin. Annie résiste quelques secondes avant de resserrer les cuisses sur la tête de Lucas dont le sperme envahit sa bouche. Elle arrive à déglutir sans en rejeter.
— Ah! Oh!
Nicole retire précipitamment la queue de Philippe dont la semence asperge sa figure.
— Le cochon! Tu pouvais pas prévenir?
Lucas ne comprend pas. Où est passé son foutre? Annie laurait elle avalé? Celle-ci accompagne Nicole dans la salle de bain.
— Descendons, invite Philippe. Elles nous rejoindront
Les jeunes sont montés se coucher. Ils restent trois, Chloé, Sylviane et Joseph, allongés sur des chaises longues à siroter une liqueur. Ils ont enfilé des robes de chambre pour résister à la fraîcheur du soir. Chloé demande à Sylviane et Joseph depuis quand ils se connaissent.
— Depuis plusieurs années, déclare le jeune homme mais ça fait trois ans que nous nous fréquentons assidûment.
Chloé soupire.
— Moi, il y a longtemps que mon mari ma quittée.
Sylviane fronce les sourcils. Chloé aurait elle lintention de lui emprunter Joseph?
— Heureusement que mes fils sont là, mais je me rends compte que je ne leur donne pas un bon exemple.
« Cest le moins quon puisse dire! » sexclame intérieurement la jeune femme.
— Vous avez la chance vous de disposer dun homme. Ah! Si je pouvais en faire autant!
Oui, cest clair Chloé veut profiter du seul male étranger présent. Sylviane épie Joseph. Quen pense-t-il? A-t-il conscience de ce que désire leur hôtesse?
— Quest-ce qui vous en empêche? déclare-t-il.
— Vous accepteriez?
Au moins cest direct! Joseph met la main devant la bouche. Ce nest pas la réponse quil attendait. Cette Chloé! Il doit savouer que cette femme mûre si bien faite lattire. Il regarde Sylviane qui le scrute mi-sérieuse mi-moqueuse. Après ce qui sest passé dans laprès-midi comment le lui refuser? pense-t-elle. Elle prend les choses en main.
— Vous me demandez de vous prêter mon ami nest-ce pas? Lui, je sais, il est daccord Tst! Tst! Ne dis rien Joseph, tu profèrerais des mensonges. Moi, je veux bien, mais à une condition.
— Laquelle? demande-t-il inquiet.
— Rien qui te gêne, rassure toi. Jexige que Chloé me caresse auparavant!
— Je je ne sais pas faire, avoue celle-ci.
— Sylviane se fera un plaisir de vous guider, propose Joseph qui respire plus librement.
Le trio gagne la chambre de la maîtresse de maison. Dès le seuil franchi, Sylviane prend les lèvres de Chloé pendant que Joseph ôte la robe de chambre.
— Vous embrassez bien, affirme Sylviane.
— Vous aussi.
Chloé est poussée contre le lit. Sylviane sagenouille, embrasse les poils bruns.
— Que faites Oh! Aah!
— Nest-ce pas agréable? demande Joseph quand la jeune femme attrape entre les lèvres le bouton sensible.
— Aaah! Que me faites vous?
— Vous aimez? Je peux continuer? dit Sylviane qui recommence à lécher sans attendre la réponse.
— Aaah! Ouii!
— Nest-ce pas agréable les caresses entre femmes? interroge malicieusement Joseph.
Il nest pas pressé, son tour viendra.
— Aaah! Ouii!
— Sylviane aimerait que vous lui en fassiez autant.
Chloé se désole.
— Je ne lai jamais fait.
— Raison de plus pour commencer aujourdhui. Laissez vous guider. Sylviane, couche toi sur le dos.
La jeune femme abandonne sa place monte sur le lit. Joseph dispose Chloé tête bêche au dessus.
— Faites lui ce quelle vous fait!
Chloé sent des doigts qui ouvrent son sexe. Elle reproduit le geste.
— Aah!
Une bouche attrape son clitoris.
— A votre tour, invite Joseph Si! Vous pouvez Allez!
Chloé ouvre des doigts le sexe qui lui fait face.
— Vous voyez, cest facile.
— Mmmh! gémit Sylviane qui enfonce le doigt dans le vagin rouge dexcitation.
— Alors quen dites vous, Chloé? Et toi ma chérie, elle caresse bien?
— Aah! Oui, c’est super!
Le compliment fait rougir la maîtresse de maison.
Joseph décide quil est temps pour lui dintervenir. Il monte à son tour sur le lit. Sylviane sourit de voir le sexe savancer tout près de ses yeux. Elle écarte les lèvres du sexe rouge. Elle empoigne la queue et la met en place.
— Aaah!
— Ouii!
Chloé tremble des pieds à la tête. Une queue pour elle, une vraie queue dhomme! Bien grosse, qui dilate agréablement les muscles du vagin. Elle en oublie de caresser Sylviane. Celle-ci compréhensive, glisse hors du lit, laissant le couple sébattre à son aise. Chloé subit les coups de rein. Tout à coup elle séchappe, retourne Joseph et sempale sur la queue luisante.
— Aaaah!
Elle danse sur le ventre du jeune homme. Sylviane sourit devant son enthousiasme. Elle soutient les seins qui virevoltent. Chloé se calme le temps déchanger un baiser avec Sylviane pour repartir de plus belle. Joseph en a assez de son rôle passif. Il prend sa partenaire à bras le corps et, sans retirer sa queue, la retourne sur le dos. Chloé heureuse noue ses talons sur les fesses de son cavalier. Elle crie sa joie dêtre possédée.
La porte souvre sur les deux plus jeunes. Leur figure inquiète séclaircit devant le spectacle. Sylviane leur fait signe dentrer ainsi quà Annie et Philippe qui viennent aussi aux nouvelles. Les jeunes entièrement nus font cercle autour du lit.
— Quest-ce quelle jouit maman! sextasie Nicole.
— Cela vous fait plaisir? interroge Sylviane.
— Oh oui! affirme Lucas.
Joseph sécarte doucement. Une goutte perle au bout du gland. Sylviane lattrape sur le bout du doigt. Nicole et Lucas, montent sur le lit cajoler leur mère. Annie entraîne sa sur.
— Viens, laissons les se reposer.
Philippe et Joseph les suivent. Dans le couloir ils se séparent pour la nuit après un dernier baiser
Toute la journée du dimanche, les couples se forment et se défont au gré des rencontres. Sylviane et Joseph sont vraiment fatigués lorsquils prennent congé de la famille de Philippe.
Chloé les serre contre elle.
— Je vous remercie pour ce que vous avez fait pour mes enfants et pour moi, Oui, je vous remercie de tout mon cur. Ce dimanche restera dans nos mémoires.
Dans la voiture, Philippe interroge Sylviane.
— Comment avez vous trouvé ma mère? Notre comportement ne vous a pas choqué?
— Non, affirme Joseph. Chloé est une femme admirable. Je vous envie davoir une mère comme elle.
Sylviane soupire. Ah! Si son père avait su attendre quelle soit adolescente au lieu de la forcer au sortir de lenfance !
(A suivre)