Tout le monde déjeune, seule Brigitte manque à l’appel, elle est retournée chez elle pour récupérer des affaires. Nous sommes tous nus car il est inutile de s’habiller sachant que l’on va passer le reste de la journée à poil à se faire mettre par différentes bites, plus ou moins grosses. La ferme étant isolée, nous ne risquons rien. Eric sort avec Joëlle et Guy. Ils vont préparer les chevaux. Quand tout le monde a fini de déjeuner, Valérie sonne le rassemblement et nous voila tous partis en direction de l’écurie. Marie me prend la main.
— Je veux que se soit toi qui me prépare.
— Tu veux faire quoi.
— Je veux Tonnerre dans ma chatte, et peut être si ça se passe bien avec Tonnerre, un coup avec Bijou. Mais d’après le fourreau que j’ai vu, je ne crois pas pouvoir prendre Bijou.
— Ne t’en fais pas, je suis là pour t’aider.
Elle me dépose un petit baiser sur la bouche avec un grand sourire.
Nous arrivons dans l’étable. Les chevaux sont sortis, le plateau est équipé. Il y a aussi une sorte de cheval darçon lui aussi rembourré.
— Qui veut tester le plateau le premier.
Marie lève la main.
— Viens par là lui dit Eric.
Elle m’agrippe la main et va vers le plateau, je la suis. Eric l’aide à monter, la positionne bien et l’attache. Brigitte arrive sur ces entre faits, nue, elle est passée par la maison. Elle porte un grand sac de cuir. Elle pose le sac sur un muret et en extrait toute une série de godes de différentes tailles, qu’elle pose sur le muret. Eric vient en choisir deux. Pendant ce temps, je me penche sur la chatte de marie et je lui titille les lèvres et le clitoris. Eric me donne le plus petit gode, qui est déjà pas mal. Je le pose sur le minou de marie, lui donne un mouvement de haut en bas pour exciter son clitoris et son cul. Elle ondule des hanches.
— Mets le moi s’il te plait.
J’enfonce le gode dans son sexe, et commence des vas et viens de plus en plus rapide. Son sexe s’ouvre et le gode coulisse de plus en plus facilement. Eric s’en apercevant me tend l’autre gode. Il fait six centimètres de diamètre et est gonflable. Je rentre le gode sans problème dans le con de marie. Je la pistonne tout en gonflant le gode.
Pendant ce temps, Valérie et Joëlle s’occupent de Tonnerre. Elles lui ont présenté un tissus imprégné d’une odeur de jument en chaleur. Tonnerre commence à bander. Les femmes s’activent sur sa bite qui grossie à vue d’oeil. Elle prend des proportions gigantesques, que ce soit en longueur qu’en diamètre. Cette queue doit bien faire sept centimètres de diamètre et au moins quarante de long. Guy sangle Tonnerre qui commence à s’agiter. Le système de sangles lui permet juste de donner des coups de rein de quelques centimètres, mais il ne peut ni avancer ni bouger sur les côtés. Joëlle lèche la bite du cheval avec apparemment beaucoup de plaisir.
— Je crois qu’elle est prêt me dit Eric.
Je regarde Marie.
— On y va chérie.
— Oui, amène moi au supplice dit elle en souriant.
Elle me prend la main, Eric dirige le plateau vers Tonnerre. Il règle la hauteur et glisse Marie sous la ventre du cheval. Son sexe est à quelques centimètres de la vulve de Marie. Je m’empare du mandrin, le positionne à bonne hauteur et Eric recule le plateau. Les jambes de marie sont de chaque côté du ventre de Tonnerre. Le sexe de Tonnerre touche celui de Marie. Elle me serre la main plus fort. Je maintiens le sexe de Tonnerre pendant qu’Eric pousse doucement le plateau. Les lèvres de marie s’écartent, Eric arrête de pousser.
— Tout va bien Marie?
— Oui, continu doucement.
Eric avance encore le plateau et la tête du sexe disparaît dans le puits de marie.
— Oui, vas y enfonce encore ce monstre dans mon trou.
Je ne reconnais pas la voix de Marie, elle parle comme une personne sonnée, en transe. Le cheval commence à donner des coups de rein.
— AAAAAAAHHHHHHH oui, que c’est bon, encore, plus loin, vas y Eric, empale moi plus profond.
Eric avance encore la plateau mais arrive en bout de course. Le cheval donne de plus en plus de coup de rein violents, son rythme s’accélère, Marie a les yeux fermés, elle se mord les lèvres, elle tend ses mains vers son sexe et s’empare de la bite du cheval. Elle lève les jambes en l’air à la verticale.
— Oui, oui baise moi encore, c’est le pied, je vais jouir, je viens, caresses moi mon chérie, caresses moi les seins.
Je porte ma main sut sa poitrine, lui pince les tétons quand le cheval donne un coup de rein terrible. Il se vide dans la chatte de marie.
— Ca y est il me rempli, je joui, AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHH je joui mon amour, je joui.
Elle se cabre, son ventre touche celui de Tonnerre qui donne des coups de rein terribles. Le cheval se calme. Marie, les yeux toujours fermés essaye de respirer, elle a le souffle coupé par l’orgasme qu’elle vient d’avoir.
— Chéri, c’est le plus beau pied de ma vie.
Le cheval commence à débander et se dégage de la chatte de Marie. Eric retire le plateau de dessous le cheval. Marie me tend les bras, je me penche sur elle et elle me donne un tendre baiser. Eric la libère. Je la prend dans mes bras, la soulève et je vais la déposer sur une couverture étalée sur un tas de paille. Elle me prend par le cou et mentraîne avec elle. Elle me sert dans ses bras, m’enlace avec ses jambes, je ne peux plus bouger. Je me laisse aller à ses caresses en la caressant aussi. Nous sommes bien.
Pendant ce temps, Brice a préparé Elodie avec le gode gonflable. Valérie et Joëlle ont préparé Bijou. Je vois le sexe du percheron et ça n’a rien à voir avec celui de Tonnerre. Lui fait bien neuf centimètres de diamètre sur cinquante de long. Il est gigantesque. Eric et Guy le fixe au sangles et règlent la position du cheval.
— A qui le tour?
— Moi dit Elodie.
Elle monte sur le plateau et Eric la sangle. Il la positionne sous le percheron. Je vois cette bite hors norme presque aussi grosse qu’une cuisse d’Elodie, s’avancer ver sa chatte. Brice prend la bite et la pose sur la vulve d’Elodie. Elle a un petit sursaut, mais avance son con vers la bite. Son sexe déjà bien dilaté accepte de s’ouvrir. Eric avance le plateau doucement, je vois ce monstre pénétrer dans l’entre jambe d’Elodie. Mon corps est parcouru de frissons, j’aimerais être à sa place. Marie se lève, et se dirige vers Elodie. Elle se penche sous le cheval et embrasse Elodie, sa main droite descend son son clitoris et le titille.
— Oui, c’est bon, vas y Eric défonce moi avec son chibre, je veux le sentir bien au fond, je veux qu’il me remplisse de foutre.
Le sexe de l’animal entre de plus en plus profond, Bijou donne des coups de rein, il s’agite de plus en plus et je commence à me faire un peu de soucis. Pendant ce temps, Brice vient vers moi.
— A toi maintenant.
Il m’entraîne vers le cheval d’arçon, me couche dessus sur le ventre, une jambe et un bras de chaque côté. Je positionne mes genoux sur rebords prévus à cette effet. de la sorte, mon cul est légèrement plus haut et mes jambes sont écartées, ouvrant bien mon fion. je suis en position pour me faire mettre un gros zob dans le cul. Brice me lubrifie le cul et m’introduit un gros gode. Ses vas et viens me dilatent le fion, jusqu’à ce qu’il ne sente plus de résistance. Il remplace le gode par le gonflable et me pistonne en augmentant le diamètre petit à petit. D’un seul coup, on entend Elodie jouir.
— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH il se vide dans ma chatte, vas y Marie, branle moi, je joui, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Elle bouge dans tous les sens, plaque son ventre sur celui de bijou, attrape la tête de Marie et pose ses lèvres sur les siennes. Marie la masturbe toujours, Elodie se cambre, jette ses jambes en l’air.
— OOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHH AAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH GGGGGRRRRRRR.
Elle crie, elle gronde, elle part dans un orgasme démentiel. Marie lui caresse toujours le clitoris en l’embrassant. Sa main gauche est posée sur son propre sexe, elle se masturbe en même temps qu’elle masturbe son amie.
— Oui Elo, je te suis, je joui, oui oui, je joui avec toi.
Elodie et Marie se calment doucement, Eric, après avoir constater que le sexe de Bijou était ressorti, retire le plateau. Elodie est bras et jambes ballants, tout le monde se rapproche pour la caresser. Moi je suis toujours sur le cheval d’arçon entrain de me faire sodomiser par Brice avec le gode gonflable. Tonnerre est en forme à en juger par sa queue sortie de son fourreau et qui pend légèrement. Eric remplace Bijou par Tonnerre et vient vers moi.
— Je pense que pour les hommes le cheval d’arçon est plus pratique.
— je le pense aussi dis je.
Eric prend le cheval d’arçon par une sangle et l’amène vers le box spécialisé. Tonnerre est déjà en place. Eric me glisse sous lui, fixe le cheval d’arçon avec des cordes et le règle en hauteur. Je sens le ventre de Tonnerre sur mes fesses. Je suis en position. Eric fait avancer Tonnerre, son sexe est tout à coup en contact avec mon cul. Je ressens la décharge électrique dans tout mon corps. J’ai les fesses assez hautes, ce qui libère de la place sous mon ventre. Marie se glisse sous mon ventre et me prend la bite dans sa bouche.
Je sent le sexe de Tonnerre au contact de mon fion. Il pousse de plus en plus et ma rondelle se dilate pour le laisser passer. Une légère douleur se manifeste, je fais signe à Eric d’arrêter la progression. Mon sphincter se dilate petit à petit, libérant la bite qui recommence sa progression. J’ai le cul complètement rempli d’un énorme mandrin qui s’enfonce de plus en plus. Je sent ma rondelle au bord de l’éclatement. La bite s’arrête de progresser, recule et avance de nouveau. Le rythme s’accélère, ainsi que lamplitude. Eric lubrifie ma rondelle de temps en temps, je sent que la pénétration est de plus en plus facile. Le mandrin circule maintenant avec beaucoup de facilité. Je me concentre sur cette pénétration, je veux en profiter au maximum, mon cerveau ne connait plus qu’une partie de mon corps, mon cul. Je pense cul, je bouge cul, je suis un cul et rien d’autre. Une vibration commence à me titiller les pieds. Ca commence. L’onde monte doucement vers mes mollets, mes cuisses. Mon ventre se crispe, j’ai des noeuds plein le ventre. Mon coeur s’accélère, mon cerveau bout, mon sexe palpite dans la bouche de Marie. le plaisir monte dans mon ventre, il arrive sur mon cul. Tonnerre m’envoie son foutre dans le cul. Je n’ai jamais eu autant de sperme dans mon fion. Je ne peux le contenir et je sent le liquide sortir de mon cul et couler le long de mes cuisses. N’en pouvant plus, j’explose dans un orgasme terrifiant. Mon corps est parcouru de chocs électriques, tout mon être vibre, je ne sait plus ou je suis, je plane dans les nuages, je vogue sur l’eau bercé par les vagues du plaisir. J’inonde la bouche de Marie. Au bout d’un bon moment, mon corps reprend le dessus et un calme divin m’envahie. Marie a lâché ma bite, je m’écroule sur le cheval d’arçon. Eric libère Tonnerre et tout le monde sauf Brice et Valérie vient parcourir mon corps de ses mains. Marie m’embrasse. Je sent une main s’introduire dans mon fion. Il est encore en partie ouvert. La main s’enfonce complètement et me masturbe le cul. Je sent un frisson me parcourir, ce n’est pas de la jouissance mais une sorte de bien être qui se diffuse dans tout le corps. La main se retire et mon cul se referme petit à petit. Je reprend mes esprits et je regarde tout le monde.
Marie et Elodie ont l’air de planer dans un bien être divin. Brigitte et Joëlle nous regardent avec envie, leur cuisses sont maculées se cyprine jusqu’aux genoux. Elles n’en peuvent plus de regarder ces chevaux nous enculer et nous baiser devant elles. Elles veulent participer. Brice s’occupe de Valérie, Eric manipule le plateau et s’occupe de Bijou. Guy a une caméra à la main.
— Tu filmes?
— Oui mais ne t’en fait pas, tu verras tous les films et si tu ne veux pas apparaître nous effacerons toutes les images ou tu apparais.
— Pas de problème, pourvu que ça reste dans un cercle fermé.
— Ce n’est que pour notre usage personnel.
— Ok.
Les deux dogues sont là et il me viens une idée. J’étend la couverture par terre, je demande à Brigitte et à Joëlle de se mettre à quatre pattes face à face. J’amène Dick derrière Brigitte et Guy amène Fidel derrière Joëlle. Les chiens, excités par l’ambiance régnante n’hésitent pas et donne de grands coup de rein pour pénétrer leurs femelles. Brigitte se saisie du sexe de Dick et le présente à son fion.
— Jean, tu veux bien me lubrifier un peu s’il te plait.
Je lubrifie le cul de Brigitte et elle libère le mandrin de Dick. Celui ci donne un grand coup de rein, il s’enfonce d’un seul coup, et avance un peu.
— AAAAAAAAHGHHHHHHHHHHHH que c’est bon une grosse bite dans le cul, mais j’en veux une plus grosse tout à l’heure.
Joëlle se fait elle pistonner le con par Fidel. Elle sont face à face et leurs lèvres se rencontrent dans un long baiser. Je me couche sous Brigitte et lui lèche le clitoris bien dégagé. Je vois le sexe de Dick faire des allers retours. Un liquide blanchâtre coule le long des cuisses de Brigitte, il se vide en elle. Brigitte est secouée de soubresauts, elle libère sa soeur de son baiser et replie les bras. Son cul et dressé vers le ciel.
— AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH je joui, je joui, Jean, mord moi le clito.
Je lui mordille le clitoris et elle se redresse, me plaque la tête sur son sexe.
— Putain que c’est bon, que c’est bon.
Joëlle pousse un cri de jouissance et les deux chiens s’arrêtent, libère leurs femelles et vont vers Guy se faire caresser. Je n’en reviens pas, ces bêtes si bien dressées et si affectueuse malgré leurs tailles respectables. Joëlle et Brigitte se couchent sur la couverture et se mettent en 69. Elles se caressent sur tout le corps, je saurais plus tard que c’est la première fois qu’elle ont des rapports sexuels ensemble. Elles se découvrent l’une l’autre.
— Valérie est prête nous dit Brice.
Guy a déjà préparé Bijou qui avec le chiffon imprégné de l’odeur d’une jument en chaleur n’en peut plus de bander. Il donne des coup de rein dans le vide. Nous positionnons Valérie sur le plateau, et après les réglages d’usage, Guy la glisse sous Bijou. Je me saisi du sexe de Bijou, c’est impressionnant, pour l’immobiliser pendant que l’on positionne Valérie. Je préésente le mandrin de Bijou devant la chatte de Valérie.
— Non Jean, pas là, plus bas.
Je n’en crois pas mes oreilles, elle veut se faire enculer par cette énorme bite. Je remarque que Brice lui a préparé le cul et non le sexe. Ses fesses sont luisantes de gel lubrifiant. Je pointe donc la bite de Bijou sur son fion. Elle donne un coup de rein vers ce sexe qu’elle veut sentir dans son cul. Je me penche sous Bijou et je vois le sexe s’enfoncer doucement. La rondelle se dilate et laisse le passage à ce pieux gigantesque.
— Oui, ça rentre, je le savais bien, ça rentre, je vais me faire enculer par la plus grosse bite de ma vie.
Le cheval commence à s’énerver de restrictions de mouvement. Il donne de grand coups de rein.
— Oui encore, encore, met le moi profond, encule moi, enfonce moi ton sexe dans le fion, il ne demande que ça. Vas y, vas y, j’en veux encore.
Elle s’empale sur cette tige de plaisir. Son fion se dilate de plus en plus et les vas et viens sont de plus en plus amples. Le cheval se raidi un peu et je vois du liquide crémeux sortir du cul de Valérie.
— Ca y est il joui en moi, quel pied, je vais partir, j’arrive, Chéri embrasse moi, je veux jouir avec ta langue sur la mienne.
Eric se penche et embrasse sa femme, elle se cambre, essaye d’enlacer le torse de bijou mais ses bras ne couvrent que le quart du diamètre. Elle s’agrippe à lui.
— RRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
Seul un grondement sort d’elle, sa bouche étant fermée par le baiser d’Eric. Son corps retombe sur le plateau. Eric lui caresse le ventre. Il tire sur le plateau et dégage sa femme. Elle l’enlace et l’embrasse.
— Merci chéri, je savais que je pouvais le faire, merci de ta confiance.
Elle se retourne vers moi.
— Cet après midi, ce sera ton tour. Je veux voir une si grosse bite dans un cul de mec.
— Ok, je crois, vu l’expérience de ce matin, que se sera possible sans trop de problème.
Eric libère sa femme. Le temps s’est écoulé et il est bientôt midi. Je remarque que Joëlle, Brigitte et Guy ne sont plus là. Ils ont été préparer le déjeuner.
Nous arrivons dans la grande bâtisse, chacun va prendre une douche et redescend pour prendre l’apéro.
— Tu compte te faire mettre par lequel? dis je à Brice.
— Aucun, je ne peux pas prendre de si gros diamètre, je me contente des chiens.
— Comme moi dit Eric; je n’arrive pas à me dilater assez. Tu sera le seul mec à te faire enculer par mes chevaux. Je dois dire que je n’y comptais pas trop. Guy m’a dit avoir fait d’excellentes images de toi, il fait une copie pour toi, tu nous diras si on peut garder l’ensemble des images.
— Si c’est pour être utilisé ici, il n’y a pas de problème, tu peux garder toutes les images.
— Merci, c’est sympa.
Nous buvons notre apéro tranquillement, quand apparaissent Brigitte et Joëlle avec les entrées. Tout le monde passe à table. Le déjeuner se passe très très bien, dans une excellente ambiance. Marie me caresse toujours les cuisses et le sexe. Elle se penche de temps en temps pour le sucer quelques secondes.
— J’adore ton sexe mon chéri, je l’A D O R E.
Le repas se termine, Marie veut s’allonger un peu, nous nous donnons rendez vous dans une heure. Nous allons dans notre chambre, Marie me jette sur le lit et se jette sur moi. Elle me fait une fellation d’enfer, je bande en un clin d’oeil. Elle monte sur moi, me prend la bite dans les mains et s’enfonce mon chibre dans le cul.
— Oui chéri, enfonce le moi au fond, j’aime ta bite dans mon cul, j’adore.
Je ne résiste pas très longtemps, étant assez fatigué.
— Joui dans mon fion chéri, joui, joui, tu vas me faire venir.
Elle se masturbe avec sa main droite. Je part dans son cul et elle se raidi en même temps que moi. Comment fait elle pour toujours se synchroniser avec moi?
— Oui, tu vois, on joui ensemble, que c’est bon, je t’aime, je t’aime.
Elle se couche sur moi, mon sexe toujours dans son fion. Je lui caresse le dos, elle ronronne, me fait des bisous sur tout le torse, le cou, les bras.
— Il faudrait que l’on se repose un peu si tu veux me voir me faire mettre par Bijou.
— Moi aussi je veux me faire mettre par Bijou mais pas dans le fion, je ne cois pas être encore au point.
— Aller dors, nous verrons ça tout à l’heure.
Elle sendort presque instantanément sur moi, mon sexe toujours dans son cul. Je me dégage, la couche sur le côté, elle m’agrippe le cou et je reste là, à la regarder dormir. mon coeur n’en peut plus, cette fille me plait énormément, je commence à ne pas voir l’avenir sans elle mais la différence d’age est trop importante, pratiquement quarante ans, c’est trop. Je la câline, l’embrasse sur tout le corps, elle a des petits mouvement de plaisir, et je fini par m’endormir aussi.
— Debout là dedans.
C’est Valérie qui est entrée dans notre chambre.
— Tout le monde vous attend.
Nous nous levons et rejoignons les autres.
L’après midi s’annonce chaud pour mon cul.
Mais ceci est une autre histoire.