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Ma belle soeur (b) – Chapitre 3




Le réveil samedi matin se fit en douceur, l?oreiller sentait toujours aussi bon, et je m?accordais encore un petit plaisir solitaire dans les draps. Draps que je mis au sale après avoir pris ma douche.

    L?après midi ne passa pas bien vite…. Je repartis faire les courses, et consacra tout mon temps libre à la cuisine, en prenant bien soin avant d?appeler mon épouse pour prendre des nouvelles et surtout ne pas être dérangé ce soir.

    Sur le coup des 16h00, la sonnerie retentit enfin.

    Je suis allé ouvrir tranquillement et j?avoue que j?ai eu un choc en la voyant à nouveau.

    Elle était resplendissante.

    Elle portait une chemise blanche et un tailleur noir somptueux, avec ce qui me semblait être des collants et des petites chaussures de ville.

    Ce qui me rassura le plus c?est qu?elle avait à la main un sac de voyage et elle m?expliqua qu?il s?agissait de ses vêtements de nuit et ceux pour la journée de demain car elle comptait bien si j?étais libre passer tout ce temps à mes côtés.

    Je ne l?ai pas détrompée ! ! ! !

    Elle me demanda des nouvelles de sa soeur et de sa mère et nous sommes partis profiter du beau temps, et des centres commerciaux.

    Nous avons fait du lèche vitrine et sommes retournés à la maison prendre un apéritif bien mérité.

    Comme la veille, nous avons discuté, dîné et sommes allés regarder la TV dans ma chambre.

    Je lui ai proposé de prendre une douche avant, mais elle m?a dit qu?en passant chez elle, elle l?avait prise dans la foulée.

    Pendant que je préparais la cassette, elle a soigneusement étalé son haut de tailleur et ensuite s?est allongée dans mes bras un petit sourire aux lèvres.

    Elle m?a proposé d?enlever son chemisier comme la veille et en retirant ma chemise, j?ai découvert la raison de son petit sourire : elle avait mis une brassière soutien gorge qui avait au moins 8 attaches ! ! Elle me dit alors :

    - ? Ma soeur m?avait fait part de ta dextérité à enlever les soutien-gorges alors j?ai voulu tester par moi même ?.

    Elle s?allongea comme à l?accoutumée la tête sur mon torse nu et après avoir fait durer un peu le suspens j?ai commencé ma mission.

    Savamment, j?ai fait sauter une à une ces barrières jusqu?à la dernière, avec un plaisir non dissimulé.

    Elle s?est redressée et m?a offert ce spectacle que j?aime tant : la libération de sa poitrine.

    Merveilleuse ! ! ! ! !

    Toujours le même petit sourire, elle s?est silencieusement remise à sa place sur mon torse.

    Attendant beaucoup moins longtemps qu?hier, je place vite ma main sur son sein et recommence mon petit jeu. Pendant ce temps elle me caresse le torse délicatement de la main et parfois m?embrasse le téton et joue un peu avec sa langue dessus.

    Puis elle me dit alors qu?à force d?être allongée, elle va froisser sa jupe, je lui propose donc de l?enlever.

    Elle accepte à condition que j?enlève aussi mon pantalon, on pourra se mettre sous la couette ensuite.

    D?un bond, je retire mon pantalon et la regarde enlever sa jupe, allongé comme un pacha sur mon lit.

    Elle dégrafe la fermeture éclair, descend la jupe et là, stupeur !

    Ce que j?imaginais être un collant n?est ni plus ni moins que des bas (les plus beaux que je n?ai jamais vu) qui finissent en une sorte de ruban de dentelle…. Et un string me dévoilant une paire de fesses à croquer, ni trop grandes ni trop petites, le rêve réincarné en femme.

    Elle m?invite sous la couette et nous reprenons notre activité.

    Mais maintenant la télé ne nous intéresse plus du tout, elle ne nous sert plus que de prétexte pour ne pas avoir à parler de nos actes.

    Je la sens se mettre presque à 4 pattes sur moi, sans pour autant me toucher, seules ces lèvres parcourent mon torse, et je sens ses cheveux me balayer, partant du cou, et descendant petit à petit sur mon corps.

    Autre instant magique : quand sa tête arrive sur une certaine partie de ma poitrine, je sens ses deux seins se pauser juste avant mon sexe, l?emprisonnant dans leur progression.

    Tout mon corps frissonne : entre le contact des cheveux et des seins, je subis un vrai supplice chinois.

    Contrairement à la plupart des femmes que j?ai rencontrées, ma belle soeur est une femme qui aime beaucoup prodiguer ses caresses et a une grande imagination, je suis donc loin de me sentir délaissé pendant tout ce temps où elle s?occupe de mon cas, sans jamais pour autant enlever mon boxer short.

    Mais les bonnes choses ont une fin, et elle me propose d?aller nous fumer une petite cigarette pour faire retomber la pression.

    Je vais au toilettes pour détendre la tension de mon sexe, et nous nous affalons tous les deux dans un fauteuil pour discuter comme si rien n?était arrivé de tout et de rien, sauf qu?elle est seins nus en bas et string et moi juste en slip, détail qui ne semble pas nous déranger ni paraître incongru.

    Notre cigarette finie, nous nous lavons les dents et retournons nous coucher.

    La télé marche toujours mais nous ne nous en soucions guère.

    Je m?allonge sur le ventre à côté d?elle et dépose un baiser sur ses lèvres, ça y est, nos langues jouent enfin ensemble, et elle embrasse sublimement bien.

    Je n?imaginais pas autant de sensualité dans une femme.

    J?embrasse son cou et joue de la langue ensuite sur ses tétons, mes mains caressent en même temps ses seins que je ne peux prendre entièrement dans ma main.

    Puis je m?allonge en sens inverse pour lui prodiguer ma spécialité : le massage des pieds, d?une main je la masse, et de l?autre, je lui caresse l?intérieur des cuisses.

    Elle, elle en profite pour me masser du plat de la paume tout le contenu de mon slip avec une délicatesse ferme qui me rend fou.

    Je ne rêve que de lui arracher son string et la prendre fougueusement, mais je me reprends et continue nos caresses.

    Je délaisse ses pieds pour aller caresser l?endroit ou ses bas se terminent, la partie entre les bas et son string.

    Je sens ses mains tirer sur mon slip doucement alors je cambre les fesses pour l?aider à me le retirer, je fais de même avec le sien, et j?avoue que je le sens bien humide ce string ! !

    Elle prend mon membre dans sa main et le sert doucement, me branlant de façon presque imperceptible.

    Moi je caresse ses grandes lèvres au début du plat de la main puis explore ses contours de l?index.

    Tout se fait dans un silence religieux.

    Je n?en peux plus, je plonge ma bouche dans son antre et m?aide de l?appui de ses fesses pour aller la fouiller le plus loin possible, ne pas oublier le moindre centimètre carré de son anatomie intime.

    Elle se cambre de plaisir au début et s?abandonne à mes caresses tout en jouant avec mon membre qui a prit je l?avoue, des dimensions que je ne me connaissais pas.

    Elle me serre alors la cuisse de la main restante et jouit sous mes caresses buccales.

    Moi je ne peux plus me retenir et éjacule une grosse partie sur les draps, le reste sur sa poitrine.

    Je suis un peu gêné mais elle se met à rire doucement et alors que mon sexe commence déjà à dégonfler, me dit :

    - ? Après toutes tes gentillesses, je serais bien ingrate de te laisser comme ça ! ?.

    Et elle commence à me nettoyer et à me lécher le sexe, en le prenant parfois en bouche, en alternant aussi les caresses de la main.

    Je suis un peu mieux dans mes baskets car j?avais peur qu?elle le prenne mal, sa soeur ne supportant ni la vision ni le contact du sperme ailleurs qu?en elle.

    Mais décidément ces deux soeurs ne sont pas faites sur le même moule !

    J?ai déjà retrouvé ? ma forme ? d?origine et elle remonte alors vers moi en faisant encore glisser mon sexe entre ses deux seins.

    Elle m?embrasse et me glisse à l?oreille :

    - ? Tu as un cadeau du ciel entre les jambes, ça serait dommage que je n?en profite pas ?.

    Elle place alors son sexe contre le haut de mon gland et imprime un très long mouvement des hanches, je peux voir ses lèvres s?écarter sous la pression et mon gland doucement disparaître de ma vue.

    Elle se laisse alors glisser et lorsqu?il manque presque 2 ou 3 cm pour que nos deux pubis se touchent quand je sens mon gland cogner contre le fond de son sexe.

    Elle fait une petite grimace, respire un peu en attendant et remonte pour redescendre à nouveau.

    Quand nous sommes enfin totalement réunis, elle m?embrasse fougueusement puis se cambre en prenant appui les deux mains derrière elle en laissant sortir de sa bouche un long râle de plaisir.

Si je peux me permettre la comparaison, je la trouve alors bien plus étroite que sa soeur et ce n?est pas pour me déplaire ! !

    Elle bouge comme une déesse et je m?agrippe à ses seins, me redresse pour les embrasser, caresse ses jolies fesses et pour la première fois depuis bien longtemps, je me sens complètement passif entre ses cuisses.

    Je ne sais comment elle peut le sentir mais à chaque accélération, elle sent exactement quand je suis prêt à éjaculer, et s?arrête un instant, pour repartir doucement pour faire passer l?envie.

    Quand elle le décide, elle accélère et me chevauche brutalement jusqu?à ce que je me répande en elle par de brusques saccades.

    Elle s?allonge alors sur moi et nous restons unis ensemble.

    Toute cette nuit et ce week-end furent l?occasion de tester toutes sortes de choses et positions que je ne connaissais même pas.

    En espérant que le récit de mon expérience vous a plu.

    Marc

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