Bonjour, bonsoir. Je me présente, je m’appelle Chris. Et je vais vous parler de la mère de mon meilleur ami.

Elle s’appelle Marianne. C’est une grande femme d’un mètre septante environ. Elle doit avoir 45 ans. Elle est blonde et fine avec de belle forme. Sa taille de poitrine est 90C. Depuis La première fois que je l’ai vu, j’ai toujours fantasmer sur elle. Elle est très attirante.

J’allais souvent chez mon ami. Juste pour pouvoir voir sa mère. Un soir où je dormais chez lui. Je vis sa mère sortir de sa chambre en petite nuisette. Je ne pus m’empêcher de la regarder. Elle avait de longue jambe fine, et à travers sa nuisette je voyais ses petits tétons ressortir. Elle alla directement aux toilettes, puis 5 minutes après retourna dans sa chambre. 10 minutes plus tard, n’y tenant plus, je partais à la salle de bain. Je fouillais le bac à linge et y trouvais une culotte et un soutien-gorge. J’hummais la culotte. Elle sentait son intimité. Je me mis à bander et je commençais à lécher sa culotte pour l’exciter plus. J’entourais ma bite avec la culotte et me mis à me branler avec. C’était tellement bon de sentir le tissu qui avait toucher sa chatte se frotter sur mon gland. Très vite je sentis monter la jouissance. Alors je stoppais peut avant et pris le soutif, recommençais à me branler dans son soutif, jusqu’à jouir. Ce fut la première fois que je jouis autant… Une fois rassasié, je me rendis compte que j’avais souillé son soutif et que ça se verrait, alors j’entrepris de le rincer, et je remis tout dans le bac à linge.

Je recommença ce rituel pratiquement à chaque fois que j’aillais chez mon ami. Puis un jour, en sortant de la salle de bain, je me rendis compte que j’avais laissé le soutif rempli de sperme frais dans le lavabo. J’y retournais, mais entre-temps Marianne y était entré. J’ouvris la porte, et elle était là, en se demandant pourquoi son soutif était dans le lavabo. Elle me regarda, pris le soutif et compris.

— Mael, tu t’es masturbé dans mon soutien-gorge?

Je devins rouge et bredouillais que je ne savais pas de quoi elle parlait.

Elle passa derrière moi pour fermer la porte.

— Ce n’est pas grave tu sais, tu as le droit d’avoir des envies… J’ai remarqué que tu venais de plus en plus souvent à la maison, et que tu aimais me regarder. Je vois que t’es pas insensible à mon charme. Tu sais, depuis que je suis veuve, je n’ai pas connu beaucoup d’homme, et je t’avouerai que la chaleur d’un homme me manque.

Et là elle lécha son soutif. J’ouvris grand la bouche. Elle s’approcha de moi et m’embrassa. Nous mélangâmes nos salives et mon sperme, qui avait en passant un doux goût sucré; je me remis à bander et elle le vit. Elle descendit avec sa bouche, m’embrassant dans le cou, descendit jusqu’à ma braguette, l’ouvrit, sortit mon pénis et commença à me masturber. Elle jouait avec, elle commença à faire des bisous sur le bout du gland. Elle sortit sa langue, et lécha ma bite du haut en bas, en en profitant pour me gober les boules avec un regard coquin. Puis elle me prit en bouche et fit des va et vient en me branlant. Elle jouait de sa langue sur mon gland, je commençais à gémir de plaisir. Sentant que j’allais jouir elle accéléra, et je jouis dans sa bouche. Elle avala tout et me lança un regard coquin. Je sortis pendant qu’elle s’essuyait la bouche. Le lendemain elle fit comme si de rien n’étais. Je rentrais chez moi, et ne reparla plus de cette histoire…

La suite bientôt…

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