Cest la première fois que je temmène chez moi. Ma maison nest pas très loin et, à peine la porte fermée, je me colle à toi, joint mes lèvres aux tiennes et ma langue sinsinue entre tes lèvres pour senrouler à la mienne. Tandis que nos salives se mêlent, ma main fébrile se glisse sous ta jupe pour se poser entre tes cuisses encore toutes mouillées de ton plaisir. Jenfonce deux doigts dans ta grotte pendant que mon autre main sattaque à tes seins dont les tétons sont durs et turgescents. Pour ta part, tu ne restes pas inactive et cest sans surprise que tes doigts se posent sur mon slip trempé par le miel qui sécoule de mon sexe. Nous sommes haletantes et dans un état dexcitation qui laisse présager une nuit de folie.

Attends, je voudrais te bander les yeux, te murmurai je.

Je veux que tu sois à moi ce soir, que tu sois à ma merci. Tu es daccord ?

Oui, tu le sais bien. Il y a si longtemps, Paty. Oui, je suis à toi.

Te prenant la main, je te conduis à ma chambre puis je me tourne vers toi et déboutonne ton chemisier tout en déposant de petits bisous sur tes lèvres. Passant derrière toi, je défais lagrafe de ton soutien-gorge et glisse mes mains sous les bonnets, emprisonnant tes seins. Tu te cambres dans mes bras, tournant la tête, cherchant mes lèvres tout en tentant de glisser une main sous ma jupe. Mais je me dérobe et défait ta jupe qui tombe à tes pieds. Tu es nue devant moi. Je prends un foulard dans sa table de nuit et te bande les yeux avant de tallonger sur le lit.

Laisse-toi faire, tu verras, ce sera bon et je te ferai hurler de plaisir. Ici, tu peux, il ny a pas de danger, nous sommes au dernier étage et il ny a pas de voisins. Tends les bras derrière ta tête, je vais tattacher, tu seras offerte à mon plaisir.

Dans le noir, tu sens des foulards se nouer à tes poignets puis je tire tes bras vers le sommet du lit. Mes mains semparent de tes chevilles qui subissent le même sort. Tu es écartelée sur le lit, nue, impudique, offerte à mon regard et à mon envie. Frémissante de désir, tu attends.

Mes mains frôlent ton corps, glissent sur tes seins, ton ventre, se séparent en atteignant ton mont de Vénus et suivent tes cuisses pour échouer sur tes pieds avant de rompre le contact. Plus rien ne bouge, pas le moindre bruit. Je disparais. Tu sens tes tétons se durcir. Cette attente dans le noir texcite et une douce moiteur envahit ton sexe. Les jambes écartelées, Tu sens le miel suinter entre tes lèvres intimes qui, du coup, souvrent impudiquement.

Paty, où es-tu ?

Pas de réponse.

Soudain, tu sens mon souffle chaud sur la plante de tes pieds. Ma bouche emprisonne ton petit orteil et le suce, tout en faisant courir ma langue sur toute sa longueur. Je passe ensuite à lautre et te suce chaque orteil un à un, longuement, savamment. Tu es prise entre le chatouillement et lexcitation, mais cest finalement cette dernière qui lemporte. Cest terriblement bon de sentir cette bouche que tu connais si bien te lécher les orteils les uns après les autres. Ma langue délaisse finalement tes orteils pour remonter le long de ton mollet, puis de ta cuisse, léchant, virevoltant sur ta peau. Tout ton corps appelle mes caresses et cest avec soulagement que tu sens mon souffle chaud qui fait vibrer les pétales de ma fleur.

Mes lèvres se posent délicatement sur le capuchon qui emprisonne ton bouton et y dépose un baiser. Lentement, avec de petits baisers discrets, je parcourt le pourtour de tes lèvres intimes. Ton ventre se tortille dimpatience et déverse un ruisseau de miel qui coule le long de ton sexe, humidifiant ton illet avant daller imbiber les draps.

Tu mouilles vraiment beaucoup. Je ne te dis pas lauréole sur les draps sous tes fesses.

Je ten prie, lèche-moi.

Je ne sais pas si jen ai envie. Pourtant, cest vrai quil est dommage de perdre tout ce bon jus. Tu es certaine que tu en as envie ?

Je ten supplie, cest insupportable, lèche-moi. Je veux je voudrais ta langue dans mon sexe.

Mon souffle chaud se rapproche et ma langue vient cueillir les gouttes de nectar qui coulent dentre tes lèvres, commençant un ballet qui tentraîne implacablement vers la jouissance. Je lape le jus, tantôt enfonçant ma langue agile vers les profondeurs de ma grotte, tantôt agaçant ton bouton dans son écrin. Ton ventre est en feu et lorgasme monte en toi. Tes fesses se soulèvent, se lançant au-devant de ma bouche, mais juste avant que néclate ton plaisir, je tabandonne, te laissant insatisfaite au bord de lorgasme.

Non, Paty narrête pas. Pas maintenant, je ten prie, jallais jouir. Paty, que fais-tu ? Où es-tu ?

Tu nentends plus rien et lattente devient torture. Les minutes passent et le feu qui brûlait en toi séteint lentement. Tu tinquiète du silence et tapprêtes à crier quand soudain un craquement se fait entendre sur ta droite. Ma bouche se pose sur ton sein droit, ma langue agace ton téton avant que mes dents ne le mordillent. Tout à coup, tu pousses un cri de surprise sentant une autre bouche engloutir le téton de ton sein gauche.

Je te susurre à loreille, « fais-moi confiance. »

Quelque chose se glisse entre tes cuisses et se pose sur ton buisson, juste entre tes lèvres. La pression saccentue et un sexe dhomme te pénètre, lentement, la queue inconnue va-et-vient dans ton ventre. Que faire?

Tans pis, de toute façon, tu ne peux rien faire et cest si bon. Tout à coup, la queue quitte la chaleur de ton ventre pour se poser sur ta bouche. Tes lèvres sécartent docilement pour laccueillir et ta langue virevolte sur ce sexe chaud encore napée de ton jus.

Elle suce bien, dit une voix masculine encore jeune, tu avais raison, cest un bon coup, ton amie.

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