Bonjour lecteur et lectrice, pas de repassage aujourd’hui. Veux-tu m’accompagner dans la cuisine ?

Ce matin, je fais de la pâtisserie. Je porte un mini short en jean’s, des talons de 10 cm et une brassière blanche qui laisse voir mon nombril et même, par moments, l’arrondi de mes seins. Je suis plutôt gourmande et j’aime les brioches dorées.

Ce n’est pas raisonnable. Mon petit ventre rond risque de prendre cher. Et bien tant pis, je n’ai qu’à faire un peu de gym ! Je pourrais contracter mes abdos, ce serait déjà un bon début.

J’ouvre mon livre de cuisine et sors ma balance.

Et voilà que j’ai déjà oublié l’exercice ! Comment m’obliger à me concentrer ? Il faudrait que j’aie quelque chose autour du ventre, ou mieux, dans le ventre…

Ouiii ! J’ai ce qu’il faut ! De jolies boules de geisha, lestées à l’intérieur de leur enveloppe rose, de billes métalliques, qui se balancent à chaque mouvement. J’écarte mon short et pose un pied sur une chaise, puis j’introduis, en gémissant, dans mon vagin, l’accessoire de sport. Maintenant je suis obligée de bien contracter mon périnée pour les garder en moi ! Je pèse les ingrédients et le leste bouge dans ma chatte.

Pour que les éclaboussures de beurre fondu ne tâches pas ma tenue j’ai ceint ma taille d’un adorable petit tablier blanc brodé de dentelle et mes cheveux sont retenus en queue de cheval sous une coiffe vintage de serveuse.

Le beurre fond en pétillant dans la casserole. Je regarde avec nostalgie, les éclaboussures sur la plaque de cuisson. Je me penche pour lécher la trace blanche. Je ferme les yeux, imaginant le goût délicat d’une autre substance bien plus délectable.

Il faut ajouter les ufs un après l’autre dans la farine. Je prends un uf. Je me demande combien rentreraient dans mon vagin sans casser. J’ai vite fait de retirer mon short ainsi que ces exaspérantes boules roses qui me harcèlent d’une douce torture.

Heureusement que je suis mouillée. J’introduis très lentement le premier uf. C’est frais, mais à peine ai-je cette pensée que déjà il est à température ambiante. Il faudra que je me rappelle cette technique la prochaine fois que je ferais de la mayonnaise ! L’uf est gros et élargi agréablement mes parois intimes. Sa douceur extrême caresse trop agréablement mon vagin qui mouille abondamment. Et là, je me demande comment vais-je le faire sortir car il remonte loin au fond de ma chatte. Peu importe, je verrai bien car la sensation est délicieuse. J’introduis le deuxième avec encore plus de précautions et de bonheur. J’ai peur qu’il ne casse le premier. Cela me fait un peu peur, les coquilles brisées pourraient me blesser. Un troisième rejoint mon antre, brûlante d’une excitation pervers. Les ufs me remplissent et je les sens bouger dans mon ventre. C’est énorme et tellement exquis ! Je pousse légèrement et je ponds un uf. Ça me fait rire. Le passage de l’uf entre mes lèvres et d’une volupté sans nom.

Je comprends pourquoi les poules pondent autant !

Soit sérieuse ! Et continue ta recette !

Le sucre gourmand va rejoindre ma préparation. Quelques cristaux collent mes doigts. Je les lèche avec délectation. Faisant courir ma langue le long de chacun d’eux et les suçant en les avalant profondément pour qu’ils ne collent plus. Mes doigts caressent mes lèvres qui s’entrouvrent. Ma langue donne de légers coups sensuelles, attrapant les derniers grains sucrés.

Les mouvements que je fais pour mélanger tous les ingrédients font bouger les deux ufs restés à l’intérieur de ma chatte, obligeant mon trou à se contracter. Le délicieux va et vient imprimé dans mon ventre me tire des gémissements de plaisir.

Je fais couler la farine entre mes doigts. Elle est aussi douce que la peau d’un homme sous ma langue.

Il faut maintenant pétrir la pâte comme une belle paire de seins. Je suis nue, enfin presque. Un soutient gorge de voile blanc laisse transparaître mes larges aréoles on dirait que mes tétons vont transpercer la fine mousseline. J’imagine des mains d’homme malaxant à outrance mon 90 D, pinçant tendrement mes tétons sensibles, m’arrachant des cris de plaisir, recommençant, jusqu’à imprimer la marque de ses doigts dans la chair tendre et blanche de mes seins. La volupté gonfle mes nichons comme cette belle pâte à brioche que mes mains avides pétrissent.

Je verse la préparation dans un moule large (comme la mienne) et mets le tout au four chaud.

Je n’ai plus qu’à préparer le nappage. Avec un gros fouet, je mélange tous les ingrédients en imaginant un autre genre de fouet dans mon dos. Je fais tourner les ingrédients rapidement. Mon poignet est souple. Son mouvement doux mais ferme, transmet une impulsion régulière que j’accélère lentement pour faire mousser la sauce. Je me concentre. Je ne veux pas céder. Je veux continuer cet branle jusqu’au bout pour que mon nappage soit onctueux à souhait. Je secoue de plus en plus vite mon fouet. J’ halète sous l’effort, mais continue à agiter le manche. Soudain, un faut mouvement m’envoie une giclée blanche sur les lunettes. Je ne vais quand même pas perdre ce délicieux jus. Je lèche mes verres avec voracité, ne voulant pas gâcher la moindre goutte de ce divin dessert.

Il fait chaud dans ma cuisine. Il faut attendre que ma brioche termine sa cuisson. Le deuxième uf est en train de descendre. Je m’assieds sur le bord de la table, les cuisses bien écartées, pour le retirer. Il glisse facilement en sortant, et j’étale ma cyprine sur mes cuisses et mon mont de Vénus. Je caresse mon clito gonflé par la chaleur. Je l’excite de plus en plus vite. Je change de position. Debout devant la table, j’écarte bien les jambes et me penche en avant, écrasant mes seins sur la surface froide. Je masse mes fesses en les écartant.

Un string arachnéen met en valeur mes miches, qui n’en peuvent plus d’attendre la main généreuse qui les fera rougir. Mes fesses se tendent, avides d’une fessée. D’ailleurs je ne suis pas difficile, la cravache me ferait tout autant plaisir ! Je tortille du cul, frustrée que rien ne vienne heurter mes fessiers languissants. J’écarte les jambes et me cambre au maximum pour m’offrir aux claques piquantes virtuelles. J’imagine des mains puissantes et rugueuses caressant mes fesses avant de s’abattre en pluie ardente sur mon cul.

Seigneur, je me perds dans la luxure ! Sous l’excitation de mes pensées, j’expulse, dans un jet de cyprine avec le dernier uf qui explose au sol.

Ça calme ! Il faut nettoyer et la minuterie qui sonne en même temps. Ma brioche est merveilleusement dorée.

J’étale le nappage blanc et me munis d’un rouleau de papier absorbant pour nettoyer.

Des bas, gainent mes longues jambes d’une teinte dorée et mes pieds sont chaussés d’escarpins vernis blanc de 10 cm de haut. Je m’agenouille, les jambes largement écartées, sur le carrelage dur. J’éponge rapidement, le papier absorbe le liquide visqueux. À quatre pattes, bien cambrée, je termine de laver le sol. Quand dans mon champ de vision apparaît une paire de chaussures.

Enfin tu es là ! 

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